Dessins Animés/ Mangas

[Ereshkigal]

Totalement !

[Oméga]

Je suis intéressée!!!

[bandit]

Vas y lance toi !
J'ai hate de voir l'exercice de style ^^, bon courage !

[LoutreDeMer]

Me voici alors avec une première œuvre !
Il s'agit ici d'un animé, mais comme souvent, les animés sont tirés d'autre chose avant ( manga, light novel... ). Lorsque les œuvres seront fidèles entres elles, je ferais une présentation groupé, en m'aidant d'image de l'animé. Mais il est claire que s'il y a des divergences entres plusieurs supports, j'en ferai la précision ( si tant est que j'ai pu voir/lire les différentes œuvres. Car certaines adaptions sont tiré de support quasi introuvable en France ).

Je ne suis pas forcément à l'aise non plus avec le forum, peut être quelque fonctionnalité m'échappe ( j'aurais bien utilisé une commande spoiler pour éviter de poster en gros pavé dans le topic, afin que ce soit plus lisible, mais je n'ai pas trouvé ).

Alors c'est parti !



Je commence avec du très lourd.
Il fait vraiment partie du top de mes animés préférés.

Ce nom, ou du moins cette licence doit sûrement vous dire quelque chose :


Originellement un ligt novel et préquelle du visual novel Fate Stay Night, Fate/Zero a été adapté en un animé de 25 épisode par le studio Ufotable. Autant dire qu’au niveau des moyens, ils ont mis le paquet. Le studio, l’animation, la bande son... Et ça a marché. On est véritablement sur un block buster de la japanimation, et le moins qu’on puisse dire, c’est que ça envoie du pâté comme on dit chez nous. L’animé a reçu de nombreux prix.

On est ici sur un seinen, action/dark fantasy/thriller, avec un univers assez sombre.

Mais avant d’aller plus loin, voici un petit résumé du scénario de la licence :

Les événements prennent places dans la villes de Fuyuki au Japon, où se déroule environ chaque demi siècle la Guerre sainte, où sept magiciens du monde vont se battre pour tenter de remporter le Graal, un artefact magique qui est censé exaucer un souhait au vainqueur. Pour ce faire, les sept Maîtres vont invoquer des Servents ( des esprits héroïques tirés des légendes et de l’histoire ) pour se battre entre eux et déterminer le dernier survivant.
La série Fate Zero retrace les événement de la quatrième Guerre sainte, dans les alentours des années 1990.

Et autres petites infos sur l’univers :

Les mages de l’univers de Fate se rapproche assez des alchimistes ( ce ne sont pas des personnes surpuissantes, la magie se pratique avec beaucoup de connaissances, elles ne sont pas forcément toujours grandiloquentes ). L’Association des mages reste relativement secrète dans le monde ( leur siège central est la Tour de l’Horloge à Londres, et sert aussi d’université pour jeune mage ), et elle est généralement représentés par de grande famille de mage. L’Église ( qui est au courant de l’existence des mages ) ne s’entend pas vraiment bien avec ces dernier ( ce qui est normal, ils considèrent le Graal comme une réplique impie du vrai ). Ils étaient en guerre il y a longtemps, mais maintenant, ils tentent de travailler main dans la main et c’est L’Église qui sert de juge et d’arbitre pendant les Guerres saintes ( pour éviter notamment de trop gros débordement pendant les batailles, pour protéger le secret de la magie et faire respecter les règles ).

Au niveau des Servants, comme je l’ai dit plus haut, ce sont des invocations de héros du passé, donc de réels personnes qui reviennent à la vie sous forme spirituelle. Pour ce faire, les mages ont généralement besoin d’une relique ( mais pas toujours ), un objet qui a un lien avec le héros.
Une fois invoqués, les Servants sont maintenu dans le plan de la réalité grâce à la magie du Maître ( le moyen le plus rapide pour éliminer un Servant est donc d’abattre le mage en priorité ).
Les Maîtres disposent aussi de trois Sceaux de commandement, qui permettent en quelque sorte de contrôler l’esprit. S’ils ont utilisé les trois, le Servant n’est plus obligé d’obéir, et peut parfois se retourner contre son Maître ( mais pas forcément, car les Servants sont eux aussi attiré par le Graal généralement).
Dernière chose, les Servants sont toujours divisés au nombre de sept " classes " ( un peu comme dans un RPG du coup ) qui vont déterminer leurs forces et capacités :
Saber ( un épéiste, le plus puissant en combat rapproché ), Lancer ( un utilisateur d'arme d'hast ), Archer ( qui se bat à distance, pas forcément avec un arc ), Rider ( qui possède une monture ), Assassin ( je pense que vous avez compris ), Berseker ( un guerrier enragé ) et Caster ( un utilisateur de magie ). Ils disposent tous d'un ou plusieurs " Noble Phantasme ", qui sont en quelque sorte des capacités, des armes ou des pouvoirs uniques en lien avec la légende du personnage.


Voila pour le speech de base. Je vous l’accorde, quand on l’écoute pour la première fois, c’est assez floue et un peu tiré par les cheveux. Mais attendez de voir...

Donc l’histoire nous amène d’abord un peu avant le commencement de la guerre, où nous faisons la connaissance du cadre et des futures personnages qui participeront à la Guerre Sainte, ainsi que les invocations des Servants. Je vais vous présenter nos sept candidats et leurs esprits.


Nous avons d’abord le protagoniste principal, Kiritsugu Emiya, qui est un tueur à gage froid et méthodique, spécialisé dans l’assassinat des mages. Il en est un lui même, et il travaille avec une des trois grandes familles de mage, les Einzbern. Il est d’ailleurs marié avec Irisviel, une homoncules des Einzbern ( être créé par la magie ) et sera le Maître attitré pour concourir en leurs nom pendant la Guerre sainte. Il a aussi une fille.

Même si en vérité il souhaite le Graal afin de stopper tout les conflit du monde, Kiristugu est un anti héros, qui n’hésite pas à se salir les mains et à utiliser toutes méthodes qui sera bonne pour arriver à son objectif.

Son Servant sera la figure de proue de la licence Fate  :


Arthuria ( Saber ), l’esprit héroïque tout droit tiré des légendes Arthurienne, où dans cet univers, Arthur est une femme ( pourquoi pas après tout ? ). Noble, loyal, chevaleresque ( et naif ), c’est le protecteur des faibles par excellence. De ce fait, le Maître et le Servant ne vont pas vraiment bien s’entendre, car leurs méthodes et leurs personnalités sont totalement différentes.


Le deuxième duo ( et le plus amusant, attachant et rafraîchissant de la série ), est composé de Waver Velvet, un jeune mage étudiant, assez révolutionnaire dans les théories magiques, mais jamais pris au sérieux à cause de sa famille qui n’est sensible à la magie que depuis quelques génération ( en effet, dans le monde magique, le nombre de génération de mage est généralement synonyme de puissance et renommée ). Il va donc participer à la Guerre Sainte pour démontrer justement qu’il n’est pas aussi ridicule qu’il n’y parait et vol carrément une relique à son professeur pour invoquer un Servant.
Son esprit héroïque est Iskandar, le roi des conquérants, plus communément connu comme Alexandre le grand ( Rider ). Ce dernier est probablement un des personnages les plus appréciés de la série. Il est bourru, franc et plutôt sympathique. Son rêve serait de conquérir le monde, chose qu’il n’a pas pu accomplir dans son passé. La première chose qu’il fait une fois invoqué, c’est de regarder l’atlas du monde, et il rit avec dérision en voyant la minuscule Macédoine ( son royaume ) et la taille du reste du monde.
Tandis que Waver est assez timide et peureux, un peu frêle et réfléchie, son Servant est totalement son contraire, obnubilé par la guerre et la conquête, ce qui donne souvent lieu à des situations comiques ( lorsque Rider voit des manœuvre de l’armé américaine à la télé, il annonce sérieusement que le président Bill Clinton serait sont principale rival dans la conquête du monde ).



Arrivent les favoris de la quatrième guerre, Tokiomi le chef actuel de la famille Toshaka. Sans doute un des plus grand mage de son temps, il est arrogant ( un trait assez commun aux grands mages ) et fier. L’Église s’est secrètement alliée avec lui pour cette guerre, ce qui lui laisse une large avance sur ses adversaires. En vérité, son objectif avec le Graal et de " retrouver les origines de la magie " ( ou un truc dans le genre ). C’est purement du savoir, et l’Église considère que parmi tous les candidats, c’est cet objectif qui leurs poseraient le moins de problèmes ( parce qu’un individu qui utiliserait le Graal pour faire des choses pas cool, bah c’est pas cool ).
Il va invoquer l’esprit héroïque le plus puissant, une autre grande figure de la licence, j’ai nommé Gilgamesh ( Archer ).


Le héros demi dieu, roi de la cité d’Uruk et grand personnage des légendes mésopotamiennes. Il est ici une caricature d’un despote imbu de lui même, avec un certain problème d’ego. En effet, il considère le monde comme sa propriété ( son " jardin " comme il dit ), tout ce qui existe comme ses trésors, et les humains comme ses esclaves ( il a tendance à utiliser des noms comme " Chiens, manant, déchet " et ce genre de chose ). Même son physique rajoute à l’exagération, avec ses cheveux blond vivel dop improbable, sa tête à claque toujours tiré dans un rictus d’amusement méprisant et son armure toute rutilante. Ses capacités dépassent de loin les autres servant, car elle permet entre autre " de posséder toutes les armes héroïques qui existe " ( l’explication veut que son trésor exceptionnel durant son vivant soit en fait composés des futures armes légendaires des héros ). Il peut les faire apparaître par centaines depuis une autre dimension avant de les envoyer telles des missiles sur sa cible.



Il y a ensuite Kayneth Ell-Melloi Archibald ( oui, cet homme est un noble... Et je vous passe le nom de sa femme ), qui est un magicien renommée, arrogant ( oui encore ) et qui officie comme professeur à la Tour de l’Horloge. C’est d’ailleurs un des professeurs de Waver, et c’est ce dernier qui lui aura volé sa première relique normalement destiné à invoquer Rider.
Ce dernier devra donc se rabattre sur Lancer, dont l’identité est Diarmuid Ua Duibhne ( décidément les noms...), un guerrier des légendes celtique. Ce Servant est aussi noble que loyal, mais il a cependant un petit soucis. Un grain de beauté maudis sur son visage fait que toutes les femmes tombent éperdument amoureuse de lui. La femme de Kayneth qui l’accompagne dans la guerre tombera notamment sous son charme. Ce qui va remarquablement compliquer les choses dans ce trio déjà instable.



On passe maintenant à Kariya Matou, un pauvre type embourbé dans un bordel familiale sans nom et que je plains énormément.
Déjà, Matou, c’est la troisième et dernière grande famille de mage avec les Einzbern et les Toshaka. De base, les relations sont tendus entre ces trois là, mais...
Kariya est le fils du doyen actuel de sa famille, un vieux mage détestable du nom de Zouken. Il y a longtemps, Kariya à renié sa nature de mage et son héritage, depuis il est donc plutôt en froid avec son père.
De l’autre coté, chez les Toshaka, Tokiomi a eu deux filles, Rin et Sakura. Comme c’est assez compliqué chez les familles de mages d’avoir deux héritiers, Tokiomi a choisi de donner Sakura comme " cadeau diplomatique " à Zouken Matou, qui en fera sa nouvel héritière.
Et le truc qui vient relier tout ça, c’est la femme de Tokiomi, Aoi, qui était une amie d’enfance de Kariya ( dont ce dernier est relativement amoureux d’elle ).
Kariya en vient donc a revenir auprès de son père pour participer en son nom à la Guerre, afin de sauver la fille de la femme qu’il aime, tout en se battant contre le mari de cette dernière, qu’il déteste.
Moi je vous dit, les affaires de famille chez les mages, c’est pas de tout repos...
La spécialité des Matou, c’est les insectes... En gros, ils s’implantent des sortes de vers magiques pour augmenter leurs propres pouvoir ( c’est comme ça que le doyen est vivant alors qu’il doit avoir un peu moins de deux cent ans ). Kariya, qui a totalement rejeté sa magie, est assez faible. Il décide donc de devenir une carcasse ambulante pour asticots afin de reconstitué son pouvoir magique.
Au final, on passe de ça...

A ça

Il va invoquer dans le même temps Berseker, un Servant assez mystérieux, engoncé dans une armure noir au design très Dark soul, qui peut corrompre tout ce qu’il touche pour le transformer en arme. C’est un héros enragé, qui semble avoir particulièrement une dent contre Arthuria (Saber ). Je ne vais pas vous révéler son identité, ça fait partie de l’intrigue.

Au final le pauvre Kariya, tourmenté et bouffé vivant par des vers va rapidement perdre les pédales et va se consacrer uniquement à tenter de tuer Tokiomi.

Notre sixième duo maintenant sont de gros psychopathes.
Ryuunosoke Uryuu est un adolescent tueur en série, avec un faible pour heu... le dépeçage des femmes, des enfants et des organes... (-_-)
Ce n’est absolument pas un mage et il ne sait rien du tout du Graal et de la guerre.
Lors d’une de ses tueries sur une famille entière, il va réaliser par hasard une sorte d’invocation de démon qu’il copie sur un vieux livre ésotérique. Ce qu’il n’avait pas prévu, c’est qu’un Servant ( Caster ) va réellement être invoqué. Et le comble, c’est que cet esprit est au moins aussi tordu que lui, si ce n’est plus.
Gilles de Rais, un compagnon de Jeanne d’Arc, qui a été accusé pour de nombreuses choses pas très catholiques avec les enfants.

Cet homme m'a l'air parfaitement sain d'esprit

Ce qui nous donne donc deux tueurs psychopathes au prix d’un. Ils vont s’amuser tout au long de la série à faire de macabres œuvres que je ne vous décrirez certainement pas. Ah, et accessoirement, Caster croit aussi que Saber est la réincarnation de Jeanne d’Arc, et il va la poursuivre sans relâche.


Comme souvent, je garde le meilleur pour la fin.
Kotomine Kirei est un ancien inquisiteur de l’Église. C’est un groupe de l’ombre qui combattait les mages ( auparavant ), et tout ce qui est lié de près ou de loin à des pratiques magique impurs, au vampire, au démon et ce genre de chose.
Il est aussi le fils de Risei Kotomine, l’actuel arbitre de la quatrième guerre ( il était aussi celui de la troisième ). Il est officiellement un Maître dans la guerre du Graal, mais en réalité, il est allié à Tokiomi selon les directions de l’Église et de son père, pour l’aider à remporter la guerre.
Kirei est un étrange personnage, totalement vide. Il ne semble rien éprouver. Ni plaisir, ni souhait, ni rien... Il n’est qu’un homme de foi. Au début, le Graal ne l’intéresse pas le moins du monde. Il ne comprend même pas pourquoi le Graal l’a choisie comme candidat.
Kirei va invoquer Assassin, qui est un Servant un peu spécial, mais qui au final sert peu dans la série, à part de faire valoir aux autres Servants.
Petit à petit, Kirei va éprouver une certaine curiosité envers le protagoniste, Kiritsugu. Comme lui, c’est un individu froid, qui est simplement sous les ordres de quelqu’un d’autre. Mais contrairement à lui, Kiritsugu désire le Graal à tout prix. Peu à peu il s’installe entre les deux personnage une sorte de guerre mental, chacun essayant de lire l’esprit et de deviner les objectifs de l’autre.
De même, étant allié avec Tokiomi, Kirei sera souvent en contact avec Gilgamesh.
Imaginez donc. D’un coté, un tyran égocentrique qui a goutté à tout les plaisir du monde etd’un autre un homme de foi vide, qui considère le désir comme un péché. La relation qu’il y a entre ces deux personnages est vraiment intéressante, de même que l’évolution de Kirei.
Car oui, en mesure que la série avance, Kirei va peu à peu découvrir un désir qu’il n’avait jamais soupçonné avant : Il éprouve du plaisir face à la douleur et la misère des autres. ( Youpi, un autre taré ! )
Et on a là notre duo antagoniste de la série. Et je pense qu’ils figurent parmi mon top des antagonistes préférés. En fait, je les estimes presque comme un seul et unique antagoniste. Car c’est réellement le lien entre les deux et le résultat de la transformation de Kirei qui est déterminant.

Spoiler : Ces gens sont des méchants



Mais j’ai beaucoup parlé sur les personnages et au final, je n’ai pas vraiment avancé. Et c’est délibéré. L’essence même de cette série, ce sont les personnages. Ils sont complexes, bien travaillés, ils évoluent et leurs relations entres eux sont le centre de l’histoire.
Au final, la bataille pour le Graal n’est qu’un décor dans lequel bouge des personnages attachant ( ou détestable ), parfois irréel et exagéré, mais toujours savamment dosé.
Au début, le personnage de Kiritsugu peut paraître un peu fade et improbable, mais en avançant dans l’histoire, nous allons comprendre le fond de ses pensées. Il y a d’ailleurs dans la série un épisode entier consacré à la jeunesse de Kiritsugu et comment il en est arrivé là.
C’est un peu pareil pour Kirei, qui ressemble au début à un robot. Puis en avançant, on découvre une toute nouvelle facette. Et l’opposition de ces deux personnage est un élément clé du récit.
Ce que j’aime aussi dans cette série, c’est que rien n’est réellement noir ni blanc ( enfin, si un peu, mais bon ). La majorité des personnages ont un but personnel et cherche le Graal pour l’accomplir. Pour certains ce sera de la richesse et de la renommé, d’autre pour contrer le destin de la mort, pour changer le passé, posséder le pouvoir, pour se distraire, etc... Il n’y a pas de vérité absolue qui dit que " ça c’est bien, ça c’est mal ", mais simplement une opposition d’idéaux.

Bon, j’ai vais tout de même parler un peu de la construction du récit ( sans spoil ).
Après le prologue et le débuts de la guerre, on entre rapidement dans le sujet, car dès le premier soir s’ensuit une grosse bataille, qui commence d’abord par Saber VS Lancer en duel singulier, avant que la majorité des autres Servants s’invite, pour devenir une mêlée général qui nous en dis long sur la puissance des esprit héroïque.

Et parlons en des combats. La série n’est clairement pas un condensé de baston sans intérêt, loin de là.
Il y en. Pas trop, pas assez, mais juste ce qu’il faut pour nous tenir en haleine. Ils sont toujours intenses et jouissif. L’animation est particulièrement belle et fluide.

Entres chaque bataille, nous pouvons voir l’évolution des pensées des personnages et parfois de longues discussions animés entre eux. Un passage assez culte est la réunion des trois roi, à savoir Arthuria, Alexandre et Gilgamesh autour d’une bonne coupe de vin, pour débattre sur la nature d’un roi et ses devoirs. Chacun ont bien sûr des avis différents. Une scène vraiment intéressante.

Trois rois légendaires des temps anciens discutant politique, un jour comme un autre dans Fate Zero

Arrive aussi certains moment dramatique, choquant et triste, qui nous font vraiment ressentir quelque chose. Je ne peux pas vraiment en parler sans spoiler, donc je m’abstiendrais.
Il y aussi quelques scènes épiques, surtout vers la fin, qui... qui sont juste... je sais pas. Tout ce que vous voulais, mais juste whoua ! Réellement !

Et la musique... La bande son de Fate/Zero est juste fantastique. Faite par Yuki Kajiura ( c'est pas n'importe qui ), les OST accompagnent à merveilles tout les moments de la série. Bataille intense comme malaise, drame et scène épique.

Bon en fait, je me rend compte que finalement, c’est compliqué de parler de cet animé sans révéler trop d’élément clés. Le mieux encore, c’est de le voir.
Si vous êtes branché animé (même si vous ne l’êtes pas, vous pouvez découvrir ce genre avec un bijou ) et que vous n’avez ne l’avais jamais vu, alors foncez. Si vous l’avez déjà vu, alors regardez le de nouveau. Parce que Fate/Zero l’animé, c’est de la bombe. Mais vraiment.

Approuvée et certifiée par une Loutre.

[bandit]

Je te lirai dès que je pourrai le faire parfaitement !
T'es ok pour les critiques en tout genre ou le simple remerciement pour ton travail te convient mieux ?

[LoutreDeMer]

C'est un essais sans prétention, donc carrément, j'accepte toutes les critiques

[Ereshkigal]

Je ferai un post un peu plus poussé intellectuellement lorsque j'aurai enfin cessé de peigner la girafe, mais sache que tu as des goûts exquis <3

J'adore Fate & Gen Urobutcher. Je suppose que tu aimes également Madoka & Psycho Pass ?

[LoutreDeMer]

En effet, j'apprécie beaucoup les œuvres de Gen Urobuchi de manière général ( sauf un vilain petit canard que je ne citerais pas^^ ).
Psycho pass, totalement

Pour Puella Madoka, c'est plus mitigé. Je conviens que c'est une œuvre qui se démarque vraiment, mais je trouve réellement beaucoup de choses malsaines dans cet anime ( en un sens, s'il me fait ressentir ça, c'est qu'il est réussie^^ ). Les personnages, l'animation, l'univers et les couleurs ( oh mon dieu les couleurs ).

[bandit]

Coucou,

une présentation bien sympathique, l'incorporation des images est bien choisie
Après ouai, difficile d'en dire beaucoup sans spoiler ^^.
Merci pour ton travail.
Si tu désires faire une autre présentation, je vote pour que tu choississes un animé/manga où le background passe avant les personnages d'après toi

Pour l'animé, je ne le connais pas, le dessin est biiiiieeeeeeen soigné :p et comment tu le présentes, l'ambiance a l'air ..en un mot.. festive xD.
Voilà mon modeste avis.

Bonne continuation =)

[LoutreDeMer]

Merci pour ton retour, ça fait plaisir !

Oui en effet, on peut dire qu'il y a un coté "festif" Disons que parfois, c'est un peu un grand mélange de personnage tout en couleur, et c'est très dynamique. Même si au final, le tout reste très sombre ( du début à la fin ).

J'aimerais bien continuer et comme tu le dit, je cherche plutôt une œuvre où le cœur est plus focaliser sur l'histoire.

[Andro]

Y a-t-il des amateurs de Noragami dans la salle ?? ^_^

[kiara]

Bonjour,

alors je ne suis pas du tout une experte en mangas/animés, en magna j'ai lu "c'était nous" étant ado puis on m'a fait découvrir stein gate, gossik aussi mais j'ai pas tout regardé, black lagoon (avec mon frère ^^ c'est un peu bourrin mais c'est marrant) et Ranma que je trouve vraiment sympa avec toutes les situations farfelues que vivent les personnages
J'aimerais savoir si vous connaîtriez un animé dans le même genre que Stein gate ou juste avec une histoire d'amour sympa et mignonne à souhait ?

Merci d'avance

[bandit]

Noragami j'ai décroché mais c'était assez sympa.

Je pense à :

- Orange, sentimentale à souhait.
- Noein, plus sombre, la protection de l'héroine est l'élément central dans ses relations.
- Kokoro Connect, pas de modification de l'espace-temps, c'est le concept de l'identité qui varie (donc plus fantastique que S.F.), ça permet de présenter (très) profondément la psychologie des personnages. Les liens amicaux sont bien plus travaillés que les relations amoureuses.

Voilou.

Et si la loutre passe par ici, Noein est peut être un bon candidat pour avoir sa synthèse xD, la fin de l'histoire.. ^^'

[LoutreDeMer]

Bonjour à tous, c'est moi la loutre ( :

Un petit moment que j’étais pas venus, j'avais pas trop la tête à ça. Mais j'ai bien envie de continuer les essais synthétiques sur des présentations d’œuvre de japanimation.

Pour Noein, je connais de nom, mais je ne l'ai pas encore vu.

Pour contre, je ressors fraichement d'un petit animé que j'ai adoré.

Kiara, ça tombe bien, c'est justement une histoire d'amour sympa et mignonne à souhait, le tout enrobé d'un univers agréable, d'humour et de tristesse. En plus, l'animé est une création original ( adapté d'aucun support donc ) et le scénariste est le même que celui de Stein gate ( comme quoi, le monde est petit^^).
Je prépare donc pour faire d'une pierre deux coup une petite synthèse préparé. Je ne te spoil pas le nom de l'animé en avance, tu le découvrira^^

[LoutreDeMer]

Aujourd’hui, pas de héros grandiloquents et de bataille épique. Aujourd’hui, je vais parler d’un tout autre genre : La romance/drame

Qu’on se le dise bien, l’animé est vraiment centré autour de ça. Et surtout, vous allez irrémédiablement sentir un écoulement de fluide lacrymal sur vos joue à un moment donné.

Je suis un peu partagé par le genre romance/drame. Il y a certains animés que j’aime beaucoup, mais d’autres au contraires, que j’ai presque détesté ( pas parce qu’il sont mauvais, mais juste parce que l’histoire va dans des tournant et des points de vue que je n’apprécie pas ).
Mais celui ci, ce fut une heureuse découverte et une bonne surprise. Et c’est :


Plastic memories

Il s’agit d’une production original ( qui n’est donc tiré d’aucun support ) en 13 épisode. Nous sommes dans une Romance/Tranche de vie/ entouré d’un léger univers SF.

Avant d’aller plus loin, comment percevoir l’histoire en quelque mots ?
Vous savez, c’est ce genre de Romance où dès le début, il nous est clairement dis que l’histoire va mal se finir. C’est ce genre d’animé qui t’attire tout doucement, de façon sournoise, avant de te planter finalement un couteau dans le cœur.
L’histoire d’une rencontre et d’une séparation irrémédiable.

Mais maintenant, place à un petit synopsis :
Nous sommes dans un monde semblable au notre, dans un contexte relativement futuriste.
La société SAI Corp produit dans ce monde des Giftia, il s’agit d’androïdes qui ne se distinguent pas des humains, tant ils leurs ressemblent ( apparence, fonction physique, émotion, sentiment, tout y est ). La seule chose qui les différencient des humains est la durée de vie de leurs cerveaux, qui équivaut à peu près à 9 ans et 4 mois ( 81 920 heures de vie précisément )
Après ce délais, ils vont perdre mémoire et personnalité, devenir fou, et se révéler potentiellement dangereux. Pour éviter ces risques, le Terminal service, une branche de la société SAI Corp, est chargé de récupérer les Giftia en fin de vie et les formater. Nous allons donc suivre le quotidien de Tsukasa Mizugaki, un nouvel employé qui vient d’intégrer ce même service. Ici, les opérations de récupération se font en binôme, avec à la fois un humains et un Giftia. Sa partenaire sera Isla, une Giftia assez maladroite et distante, avec qui il va peu à peu s’attacher.



Bon, je vous rassure : Non ce n’est pas de la mécanophilie.
Dans cet univers, les Giftia sont quasi similaires à des humains ( bien qu’ils ne peuvent évidement pas se reproduire ). Et vont la plupart de temps jouer le rôle de proche familiale. Certains ont des fils et filles Giftia, d’autres des parents Giftia, voir même des mari et femme Giftias.
Les Giftias sont totalement ancrés dans la société et rien ne les distingues vraiment des humains, si ce n’est leurs durée de vie. On peut presque dire donc, qu’ils sont humains.


C’est dans ce contexte que nous découvrons Tsukasa, un jeune homme de 18 ans qui rentre dans le Terminal Service. Il va entrer en fonction dans le Service de récupération numéro 1, et faire la connaissance de l’équipe avec qui il va travailler.

Équipe qui sera les seuls réels personnages secondaires de la série.
Pour parler rapidement d’eux, on a ici pas mal de stéréotype assez classique de la japanimation, mais qui fonctionnent toujours aussi bien, donc nous n’y faisons pas vraiment attention. De même, l’animé fait seulement 13 épisodes, et n’a pas vraiment le temps de se pencher beaucoup sur les personnages secondaires. Mais ce n’est pas très grave. Ils s’adhèrent bien dans le scénario et restent attachants. Certains vont tout de même se démarquer un peu.

Bref, Tsukasa va aussi faire la connaissance d’Isla, une Giftia. Une fille timide, maladroite et froide, qui semble n’être qu’un poids mort pour le service. En effet, suite à un accident où son ancienne coéquipière s’est retrouvé blessé par son inefficacité, son binôme à été dissous et Isla est juste bonne à préparé le thé pour ses autres collègues.
Il faut savoir que les Giftia, en tant qu’androïde, disposent de capacités physiques supérieures aux humains ( et c’est pour ça qu’un Giftia en fin de vie est si dangereux ). Cependant, leurs formes physiques peuvent se détériorer. C’est le cas d’Isla, qui est en quelque sorte rouillée...

Étrangement, ce fail m'en rappel un autre...


Nous nous retrouvons donc avec le duo de protagoniste Tsukasa et Isla, qui vont devenir coéquipier. Et nous allons découvrir par le même temps les difficultés qui s’imposent pour leur travail. En effet, leur but est de venir récupérer les Giftia en fin de vie chez leurs propriétaires. On pourrait presque les décrire comme des croques morts du futur. Et ce n’est pas toujours facile.

C’est vrai quoi. Imaginez que des personnes viennent du jour au lendemain toquer à votre porte en disant qu’ils sont là pour vous enlever votre petite fille Giftia ou votre père Giftia avec qui vous avez passé 9 longues années. Et qu’ils vous proposent à coté de ça une remise de 30% sur votre prochain achat de Giftia, où au choix de télécharger une toute nouvelle personnalité dans l’ancien corps de votre proche ( je ne blague pas, c’est vraiment la procédure standard... On comment être un commercial dénué de tout sentiment ).

En effet, la plupart des propriétaires ne sont pas réellement enclin à voir leurs proches partir. Cependant, le service numéro 1 se démarque des autres par son humanité. Ilsa fut la première à faire évoluer son service par le passé, en prenant le temps de développer des relations avec les propriétaires et les Giftia. Pendant le moment de la récupération, où on place un anneau au doigt du Giftia qui va formater la personnalité ( c’est donc la mort ), Isla avait l’habitude de chuchoter à l’oreille du Giftia une certaine phrase qui semble l’apaiser pendant le moment fatidique.

" Un jour, j'espère que tu sera réuni avec la personne que tu chéris "

Les premiers épisodes sont donc focalisé sur cet aspect de l’univers de la série, avec les difficultés que rencontre notre duo de protagoniste.
Isla est un vrai cas, enchaînant bourde sur bourde, et sa timidité l’empêche de réellement remplir ses fonctions de négociateurs avec les propriétaires. À coté de ça, Tsukasa est un homme patient et plutôt gentil, qui tente de mieux connaître sa coéquipière et de l’aider. Une bonne dose d’humour vient s’ajouter au tout, ce qui rend la chose digeste, même quand on sait comment l’animé va se terminer.

Parce que oui, dès les premiers épisodes, nous sommes directement fixé sur le destin tragique qui attend nos protagoniste. Et ce n’est pas vraiment un spoiler, on aurait facilement pu le deviner :

Isla est proche de sa fin de vie. Il ne lui reste que quelque mois.

Et c’est ces quelques mois que nous allons suivre, ainsi que la relation qui s’installe entres les deux protagoniste. Peu à peu, Tsukasa va s’attacher à sa coéquipière et va briser la glace. Isla quant à elle, va doucement s’ouvrir à lui. Et c’est vraiment... Meuuugnon ( c’est une loutre qui vous le dis ). Et drôle aussi.

Moi pas savoir sourire, veuillez m'aider svp...

L’humour qui ressort du caractère asociale d’Ilsa et de son comportement nous permet de s’attacher rapidement à cette dernière, même en seulement 13 épisode... Et plus dur sera la fin.

D’ailleurs, parlons en un peu de nos deux protagoniste.
Pour Tsukasa, pas vraiment grand chose à dire. C’est un héros masculin à la sauce romance assez banale. Pas vraiment de trait caractériel spécial. Gentil, prévenant et obstiné. Le personnage fonctionne plutôt bien dans ce genre de série, même si on aurait apprécié un peu plus de personnalité.
Isla quant à elle est plutôt renfermé, et tente de ressembler émotionnellement le plus possible à un robot ( avec sa phrase fétiche plutôt drôle qu’elle utilise en boucle quand elle ne veut pas répondre à une question : " Erreur, je ne vais pas bien entendu, veuillez répéter ". ) afin d’éviter de s’attacher aux autres. Elle est cependant maladroite et timide, ce qui est la source de plusieurs scènes humoristique dans la série.
Cela apporte une touche de fraîcheur dans cette animé qui se voudra triste sur le fond. Personnellement, je me suis facilement attaché au personnage, et c’est peut être pour ça que j’ai tellement aimé cet animé et que la fin m’aie touchée.


Les épisodes avances, et la relation aussi. Plusieurs élément viennent l’entraver, le principale étant ce destin funeste qui pose le dilemme suivant : Profiter au maximum des derniers moments, quitte à souffrir, ou s’éloigner avant pour éviter une fin trop douloureuse.
Plus la série continue, et plus nous quittons l’univers et le travail pour se concentrer vraiment sur nos deux protagonistes. Et ce compte à rebours va réellement nous mettre sous tension au fur et à mesure que l’on continue le visionnage. C’est vraiment cruel. Plus la série avance, plus la relation s’intensifie, et plus le moment fatidique approche. C’est simple, mais efficace. Du début à la fin, nous savons dans quoi nous nous plongeons.
Et vient irrémédiablement la fin. Dans une scène simple qui fait pourtant vraiment son effet. Que je ne vais certainement pas spoil.

( Précaution d’emploi : après cet animé, vous n’allez plus jamais vouloir monter dans une grande roue de votre vie )
( Précaution d’emploi 2 : après cet animé, vous n’allez plus jamais vouloir passer la bague au doigt de votre conjoint/e pour un mariage )

La seule chose que je peux vous dire, c’est que la fin s’ouvre à une petite lueur d’espoir et de renouveau. Enfin, moi, c’est comme ça que j’ai envie de l’interpréter. Même si ça reste totalement triste et dramatique. Et c’est ainsi que ça doit être.
Parfois, certaines choses sont inévitables. Et la volonté ne peux rien y changer.
Et c’est vraiment ce qui me fait aimer certaines œuvres de romance/drame et pas d’autres, où je trouve que certaines morales sont trop éloignés de cette réalité.

Pour ma part, cet animé m’a vraiment parlé. Et un animé qui nous fait ressentir quelque chose, je pense que c’est un animé réussie.
Que dire de l'ost, sinon quelle est belle et accroche parfaitement à l'anime. On notera aussi de jolie paysage avec un univers SF plutôt sympa. Cependant, même si ce n’est pas le centre de l’histoire et plus un décor qu’autre chose, on peut se permettre d’être un peu déçu de ne pas en savoir plus sur cet univers et ces éléments. De même, je pense que cette série aurait vraiment profité de quelques épisodes en plus. C’est déjà un bon animé, mais avec plus d’épisodes, il aurait pu être encore mieux. Pas trop non plus, mais juste un peu afin de développer la relation et de la découper plus lentement, en faisant du final quelque chose d’encore plus fort.

Adepte de romance et de mignonnerie ( je vous assure que ce mot existe ), vous allez probablement aimer.

Moi, mon âme sensible de loutre n’a pas su résister. Et le simple fait d'écrire ce résumé me fait mal
J’ai pleuré. Beaucoup pleuré. Pendant et après. Longtemps après.

Parole d’une Loutre au cœur brisé.

[bandit]

Salut LoutreDeMer,

j'aime beaucoup lire ton travail de présentation sur les animés, honnetement j'attendais et esperais le second patiemment et il est làààà xD.
Merci.

J'étais tombé sur cette oeuvre dans mes recherches d'animés et je l'avais noté "à voir" mais pas bien placé dans ma liste : ma premiere impression dessus et je suis pas d'humeur en ce moment aux histoires qui finissent mal , je prefere encore quand elle termine en suspens.
Et celle ci comme tu dis, le moindre résumé sur le net donne la couleur donc t'as renforcé mon opinion ^^ , ca mérite d'être vu, mais perso je vais attendre.

Ah et je verse aussi facilement une larme devant la tournure des histoires et la mise en scène des dénouements de certains animés donc je comprend.

Quelques animés marquant au point de me faire pleurer que j'ai en tête :
"Clannad" l'un des premiers, du sentimental pure.
"Phantom : requiem for the phantom" le dernier en date je pense, je voulais de l'action/flingues avec un minimum de réflexion et je me suis fait surprendre par la profondeur de l'histoire.

Tiens d'ailleurs pour faire le lien avec Plastic Memories : dans "Phantom : requiem for the phantom" ce sont des tueurs à gages qui subissent plus ou moins un lavage du cerveau pour être programmé à tuer et du coup, la profession réduit considérablement leur espérance de vie
Je te le recommande.

[H.S. de la thématique : Un drama qui m'a retourné plus d'une fois aussi "Kill me, Heal me", coréen je crois, des acteurs très bons, une histoire originale je trouve]

En y réfléchissant un peu, on voit que l'approche dans les films/animés/etc d'attribuer des émotions à des robots (dont androides), ou à l'inverse déshumaniser quelqu'un qui en ai pourvu à la base, et mettre sur le tapis "qu'est ce que la vie ? J'ai de moins en moins de temps" ca passe plutôt bien ^^.


Avec le choix de Robin Williams très pertinent (de 1999)

Encore merci.

[LoutreDeMer]

Merci pour ton retour bandit ^^

En effet, si tu n'es pas dans ta meilleur période, je te déconseille de regarder cet anime directement.
Personnellement, je l'ai fini pile le 31décembre 2016 dans l'après midi, et j'ai passé à coté de ça la soirée du nouvel an à tourner et retourner ce que j'ai vu, en me morfondant sur cette fin... Et ça a duré plusieurs jours

Je vais tenter la prochaine fois de trouver un anime un peu moins... catégorique sur la fin^^

[bandit]

Pas une mauvaise période, juste je suis devenu une madeleine.

Oui mais pas trop dans le non catégorique non plus, je suis sur que t'es déjà tombé sur des animés qui sont fait pour promouvoir un autre format (manga,visual novel) et qui n'admettent pas de réel fin, les laissers pour compte

[Ereshkigal]

Quels sont vos anime préférés ?

[Nihiliste]

Quels sont vos anime préférés ?

NHK ni Yokoso comme j'en parlais sur mon fil de présentation. Surtout pour la proximité certaine offerte par le personnage principal qui m'a permis de vivre l'oeuvre à l'intérieur de ce bon vieux Satou. Une véritable claque empreinte d'humour noir bien dosé pour traiter d'un sujet qui dérange, décontenance.

Dans un registre plus joyeux, je citerais : Maison Ikkoku. Véritable ode à la bonne humeur et à la réalisation personnelle, nous suivons Yusaku Godaï, jeune adulte paumé dans la vie de tous les jours et qui se bat pour intégrer une faculté. Il va tomber éperdument amoureux de la concierge fraîchement débarquée dans leur petite pension et va s'en suivre une longue histoire, parfois drôle, parfois triste, d'un jeune homme qui s'engage dans le monde "adulte" pour se réaliser et vivre ses rêves.

Un peu en contradiction avec mes idées certes, mais ce fut très rafraîchissant à voir.