Bonjour.
Et badaboum a écrit :Bonjour,
Merci de ta longue réponse. Tu m'excuseras si je ne te réponds pas point par point. Je vais essayer d'être synthétique.
D'abord, moi quand je te lis, je lis pas quelqu'un qui me semble malade ou fou ou idiot. Je lis quelqu'un qui s'exprime bien, a du vocabulaire, sait argumenter et me semble donc out à fit intelligent. Donc, non, je ne me dis pas, tiens il a des symptômes d’hypocondrie, c'est qu'il doit être bete et stupide.
Même si c'est vrai que j'imagine les préjugés stupides auxquels tu dois faire face. ( je ne veux pas sans cesse comparer, mais j'en ai eu ma part aussi parce que je ne sais pas supporter les mariages, grandes fêtes; que j'y suis très mal à l'aise, et que ça se voit.)
Avec plaisir. Ça me soulage dans une certaine mesure de m’exprimer ici et d’avoir des retours.
Et badaboum a écrit :Pour la santé. Non, je ne vais pas te sortir l'argument de la vieillesse avançant. D'ailleurs, je n'ai pas tilté sur ton age. là, sans te relire, je me dis que tu as dans la trentaine ? C'est jeune et tu as raison, normalement on n'est pas sans cesse chez le médecin à cet âge là !
Tu as raison aussi sur le système immunitaire amoindri qui ouvre la porte à toutes sortes d'infections opportunistes.
Mais... sais-tu que le stress, l'angoisse contribuent fortement à diminuer les forces de ce système immunitaire ?
Oui je sais que l’angoisse et le stress intense peuvent accentuer le processur d’affaiblissement du système immunitaire. Toutefois, je ne me sens pas si stressé que ça. Enfin, quand même un peu parfois voire beaucoup quBonjour.
Et badaboum a écrit :Bonjour,
Merci de ta longue réponse. Tu m'excuseras si je ne te réponds pas point par point. Je vais essayer d'être synthétique.
D'abord, moi quand je te lis, je lis pas quelqu'un qui me semble malade ou fou ou idiot. Je lis quelqu'un qui s'exprime bien, a du vocabulaire, sait argumenter et me semble donc out à fit intelligent. Donc, non, je ne me dis pas, tiens il a des symptômes d’hypocondrie, c'est qu'il doit être bete et stupide.
Même si c'est vrai que j'imagine les préjugés stupides auxquels tu dois faire face. ( je ne veux pas sans cesse comparer, mais j'en ai eu ma part aussi parce que je ne sais pas supporter les mariages, grandes fêtes; que j'y suis très mal à l'aise, et que ça se voit.)
Avec plaisir. Ça me soulage dans une certaine mesure de m’exprimer ici et d’avoir des retours.
Et badaboum a écrit :Pour la santé. Non, je ne vais pas te sortir l'argument de la vieillesse avançant. D'ailleurs, je n'ai pas tilté sur ton age. là, sans te relire, je me dis que tu as dans la trentaine ? C'est jeune et tu as raison, normalement on n'est pas sans cesse chez le médecin à cet âge là !
Tu as raison aussi sur le système immunitaire amoindri qui ouvre la porte à toutes sortes d'infections opportunistes.
Mais... sais-tu que le stress, l'angoisse contribuent fortement à diminuer les forces de ce système immunitaire ?
Oui je sais que l’angoisse et le stress intense peuvent accentuer le processur d’affaiblissement du système immunitaire. Toutefois, je ne me sens pas si stressé que ça. Enfin, quand même un peu parfois voire beaucoup quand la douleur est là et que je repense à ce que j’ai vécu (« mini-syncopes » ou je me sens littéralement partir du fait que je deviens froid au niveau des membres et j’ai l’impression que le cœur et le cerveau s’arrêtent un instant). Sensation de poitrine pleine, de gêne thoracique importante, comme si ça aller exploser couplé de rots et/ou hoquets. Ou d’autre fois, sensation de poumons plaines, de respiration plus courte, de manquer d’air, pareil d’étouffer. Génial ! Enfin, ce n’est pas H24 mais quand même. Comme les répits sont rare, je peine à me détendre. J’ai l’impression aussi de perdre de la mémoire. D’avoir cet handicap, d’être inférieur, pas valide comme les autres. Mais ce n’est pas marqué sur mon front mes gênes, de fait les autres vous regardent parfois comme un bête de foire ou plutôt de manière désagréable (vous jugent, oui).
Niveau social, 0. Moi aussi je peine à me confronter aux regards, me sent foutu, faible, et je n’ai plus d’entrain, inquiet de mon avenir à court et moyen terme (je ne parle pas du long, il est hors de portée).
Pourtant, pour aller mieux j’essai de mieux manger, de prendre des compléments (cure Oligosol, Gélée Royale, Ginseng, Vit C pépins de pamplemousse, Immunostim). Mais rien n’y fait, alors je me questionne. Ok, je manque d’activité sportive, m’enfin.
Et badaboum a écrit :Bon, je vais encore prendre mon cas ( désolée, c'est celui que je connais le mieux !)
Jusqu'à mes trente deux ans environ, je voyais mon médecin une fois par an en moyenne. Et encore, j'ai même été quelques années sans médecin référent tant je m'en passais ! Grosso modo je souffrais d'un bon rhume et ou d'une gastro par an.
Je deviens alors journaliste. Métier oh combien passionnant mais aussi, et je l'ignorais, super stressant ! Pendant deux ans je tiens le coup et paf, d'un coup, je commence à avoir des cystites à répétition, sans raison. J'étais très fatiguée et au sommet de l'angoisse niveau boulot. Ca s'est calmé une fois au chômage. Sauf que j'ai commencé à avoir de gros soucis de dos en même temps que l'arrivée d'un voisin qui transformait notre immeuble en lieu de rdv pour tous les cas sociaux de la ville... Je pourrais développer, mais voilà un exemple de ce que peut produire de fortes angoisses... de un rdv par an, j'en suis à trois quatre rdv médicaux, paramédicaux par semaine très régulièrement... Et j'ai eu beaucoup de mal à entendre ce que me disaient les médecins aussi... ila fallu que je l'expérimente moi-même pour m'en convaincre. Donc, je comprends (au moins en partie) ton point de vue. Si j'essaie de te faire voir les choses sous un autre angle, c'est aussi peut-être pour t'éviter de perdre du temps ou plutot pour t'en faire gagner... car la vie passe, en effet. Je sais que je ne vais pas te convaincre, d'un claquement de doigt, aujourd'hui. Mais si ça peut t'amener à des pistes de réflexion différentes de celles que tu uses d'ordinaire.
Merci, néanmoins dans les faits, mon cas est complexe, comme vous l’aurez discerné à me lire. Partant, je doute que votre technique/méthode soit adaptable, applicable à mon cas. J’aimerai en finir avec tout cet enfer de douleurs et de schéma de vie (je n’ai plus l’impression de vivre, limite vidé, sans force à errer sans avoir d’objectifs long terme sur terre –car je crois ma survie est menacée à court terme à cause de ses signaux que sont les douleurs et autres signes cliniques, chronique–).
Et badaboum a écrit :Pour le psychiatre, y'a un travail préparatoire ( de plusieurs séances) souvent à la thérapie. Et puis, peut-être veut-il vérifier que tout ça n'a pas une cause autre que psychique. Bien manger fait partie aussi du processus de défense immunitaire. Donc, il t'écoute à mon avis, ce médecin... En tout cas, ça prend du temps et ça peut être frustrant par moment, oui.
Les vitamines ont étés dosées (B12 et folates). Elles sont dans les normes.
Aujourd’hui sale journée. J’ai revu ma petite amie. Ça c’est très mal passé (elle me reproche certaines choses et c’est comme si ça devait se terminer m’a-t-elle fait comprendre notre histoire. Faut dire je n’ai plus trop de motivation pour pas grand-chose pris dans cette spirale et ces angoisses, et la voir si peu me mine). Le 17 au soir, douleurs flash au niveau du thorax intense, rapide lors de la respiration et moins forte après. Hier, avant l’avoir vu, douleur localisée en point vers le milieu du thorax, du haut (niveau cœur) plus ou moins supportable. Puis, aussi, une douleur localisée à droite pareil en point, puis l’intensité augmentée de temps à autre puis diminué. Alors, ensuite, dès qu’elle est partie, ça c’est mal passé donc, la douleur à terriblement augmentée et est devenu très invalidante et plus étendue, avec en plus une douleur verticale le long de la colonne par moment dans le dos. Le soir, ça s’est un peu calmée, j’ai peiné à m’endormir. Ces douleurs ont du débuté vers 16h30 et atteindre un pic à 19h pour décroître jusqu'à 21h30. Alors, bon, il se trouve que j’ai arrêter le Calmodren (homéopathie), y’a deux/trois jours. Sont-ce les effets de l’arrêt et du à l’anxiété et/ou une maladie que je crois grave (je ne vais pas me répéter tout ces maux depuis plus d’un an maintenant). Je m’interroge réellement.
Et badaboum a écrit :Quant aux autres... vaste sujet ! On en a besoin ( nous sommes un animal grégaire quoi qu'on dise et des études on montré que le cerveau d'une personne gardée à l'isolement, se détériore, perd certaines capacités ... ) mais il ne faut pas non plus leur accorder trop de pouvoir (être libre d'être soi) ni trop de méchanceté à notre égard. Je l'ai longtemps cru... mon métier m'a démontré le contraire : à 90 % les gens sont sympas. Pas forcement très très intéressants. Je passerais pas ma vie avec tous ceux que j'ai rencontrés ! Mais foncièrement, ils ne sont pas agressifs. Par contre, il peut y avoir des malentendus, des incompréhensions, des jugements par défaut d'éléments entrant dans leur monde. Comment faire comprendre à une personne extravertie que l'on a peur des autres ? Si tu ne dis rien, y'a peu de chances qu'il saisisse la raison de ton attitude et va donc te prendre peut-être pour quelqu'un de froid, hautain... si tu expliques, t'as plus de chances, déjà (mais tu peux tomber sur un représentant des 10 % d'imbéciles qu'il reste malgré tout ! )
Oui je le sais nous sommes des êtres sociaux. Les contacts peuvent nous faire du bien quand ils ont lieu dans le respect sans avidité aucune ni d’intérêts cachés derrière (or ceux d’apprendre, etc.). Non vicié dirons-nous…
Seulement parfois, c’est dur quand on se démarque du reste. Ou que l’on a un handicap, qu’on sors des clous pour une raison ou une autre. Je ne pense pas que nous soyons si animal que ça (dans le sens ou nous avons une conscience et des capacités bien supérieures aux animaux or être humain, nous pouvons faire des projets, ressentir des sentiments. Cela est bien supérieur à l’espèce animale qu’on distingue de nous). Je persiste à croire qu’il existe des méchants (je veux dire des êtres dénués d’empathie et prenant plaisir à voir souffrir les autres, à les duper…). Après c’est plus complexe et il y a d’autres cas d’individus mauvais, à éviter, fuir. Au-delà de ça, il y en a qui œuvre pour le bien, pour s’améliorer et luter contre leur tendance naturelle à faire le mal (nous sommes tous imparfaits).
Et badaboum a écrit :Et puis, si tu te sens attiré par d'autres méthodes ( du moment que tu n'adhères pas une secte ! ) et bien vas-y, tente ! Tu n'as rien à perdre ! Tout cve qui peut soulager, même momentanément est bon à prendre. Tu rencontreras d'autres personnes, ça t'ouvrira d'autres possibilités, tu feras ton bout de chemin, ton expérience. Et p'tre que tu trouveras là ce qui te conviendra... l'important c'est de trouver quelqu'un à l'écoute. Ma kiné est géniale pour ça Elle n'est pas psy pourtant ! Ma soeur a eu des soucis y'a quelques années, elle a trouvé sa façon à elle de surmonter ça grace à un naturopathe qui l'a aidée à évacuer des émotions jamais dites... Une amie a vu un magnétiseur et ça lui a fait du bien, de la même façon. Deux autres amies ont vu un psychiatre et ça les a aidées... Moi j'aurais pu aller voir un psychologue, mais je préférais un médecin car aller voir quelqu'un qui a le même niveau que moi et dont j'ai vu les pairs aller en cours en amphi quand j'étais étudiante, ne me donne pas confiance. J'ai sans doute tort. Car au fond, c'est la relation humaine, de confiance, qui est primordiale. Mais je commence tout juste à m'en rendre compte... =
J'irai lire ton blog plus tard .
A noter que je déménage bientôt sans ami sur qui m’appuyer, une famille loin qui vendange et est fragile (beaucoup de soucis), puis pas en excellent terme avec moi.
Bonne fin de journée.
and la douleur est là et que je repense à ce que j’ai vécu (« mini-syncopes » ou je me sens littéralement partir du fait que je deviens froid au niveau des membres et j’ai l’impression que le cœur et le cerveau s’arrêtent un instant). Sensation de poitrine pleine, de gêne thoracique importante, comme si ça aller exploser couplé de rots et/ou hoquets. Ou d’autre fois, sensation de poumons pleins d'eau ou je ne sais quoi, de respiration plus courte, de manquer d’air, pareil d’étouffer (ça dure 15 à 30 minutes en général). Génial ! Enfin, ce n’est pas H24 mais quand même. Comme les répits sont rare, je peine à me détendre. J’ai l’impression aussi de perdre de la mémoire. D’avoir cet handicap, d’être inférieur, pas valide comme les autres. Mais ce n’est pas marqué sur mon front mes gênes, de fait les autres vous regardent parfois comme un bête de foire ou plutôt de manière désagréable (vous jugent, oui).
Niveau social, 0. Moi aussi je peine à me confronter aux regards, me sent foutu, faible, et je n’ai plus d’entrain, inquiet de mon avenir à court et moyen terme (je ne parle pas du long, il est hors de portée).
Pourtant, pour aller mieux j’essai de mieux manger, de prendre des compléments (cure Oligosol, Gélée Royale, Ginseng, Vit C pépins de pamplemousse, Immunostim). Mais rien n’y fait, alors je me questionne. Ok, je manque d’activité sportive, m’enfin.
Et badaboum a écrit :Bon, je vais encore prendre mon cas ( désolée, c'est celui que je connais le mieux !)
Jusqu'à mes trente deux ans environ, je voyais mon médecin une fois par an en moyenne. Et encore, j'ai même été quelques années sans médecin référent tant je m'en passais ! Grosso modo je souffrais d'un bon rhume et ou d'une gastro par an.
Je deviens alors journaliste. Métier oh combien passionnant mais aussi, et je l'ignorais, super stressant ! Pendant deux ans je tiens le coup et paf, d'un coup, je commence à avoir des cystites à répétition, sans raison. J'étais très fatiguée et au sommet de l'angoisse niveau boulot. Ca s'est calmé une fois au chômage. Sauf que j'ai commencé à avoir de gros soucis de dos en même temps que l'arrivée d'un voisin qui transformait notre immeuble en lieu de rdv pour tous les cas sociaux de la ville... Je pourrais développer, mais voilà un exemple de ce que peut produire de fortes angoisses... de un rdv par an, j'en suis à trois quatre rdv médicaux, paramédicaux par semaine très régulièrement... Et j'ai eu beaucoup de mal à entendre ce que me disaient les médecins aussi... ila fallu que je l'expérimente moi-même pour m'en convaincre. Donc, je comprends (au moins en partie) ton point de vue. Si j'essaie de te faire voir les choses sous un autre angle, c'est aussi peut-être pour t'éviter de perdre du temps ou plutot pour t'en faire gagner... car la vie passe, en effet. Je sais que je ne vais pas te convaincre, d'un claquement de doigt, aujourd'hui. Mais si ça peut t'amener à des pistes de réflexion différentes de celles que tu uses d'ordinaire.
Merci, néanmoins dans les faits, mon cas est complexe, comme vous l’aurez discerné à me lire. Partant, je doute que votre technique/méthode soit adaptable, applicable à mon cas. J’aimerai en finir avec tout cet enfer de douleurs et de schéma de vie (je n’ai plus l’impression de vivre, limite vidé, sans force à errer sans avoir d’objectifs long terme sur terre –car je crois ma survie est menacée à court terme à cause de ses signaux que sont les douleurs et autres signes cliniques, chronique–).
Et badaboum a écrit :Pour le psychiatre, y'a un travail préparatoire ( de plusieurs séances) souvent à la thérapie. Et puis, peut-être veut-il vérifier que tout ça n'a pas une cause autre que psychique. Bien manger fait partie aussi du processus de défense immunitaire. Donc, il t'écoute à mon avis, ce médecin... En tout cas, ça prend du temps et ça peut être frustrant par moment, oui.
Les vitamines ont étés dosées (B12 et folates). Elles sont dans les normes.
Aujourd’hui sale journée. J’ai revu ma petite amie. Ça c’est très mal passé (elle me reproche certaines choses et c’est comme si ça devait se terminer m’a-t-elle fait comprendre notre histoire. Faut dire je n’ai plus trop de motivation pour pas grand-chose pris dans cette spirale et ces angoisses, et la voir si peu me mine). Le 17 au soir, douleurs flash au niveau du thorax intense, rapide lors de la respiration et moins forte après. Hier, avant l’avoir vu, douleur localisée en point vers le milieu du thorax, du haut (niveau cœur) plus ou moins supportable. Puis, aussi, une douleur localisée à droite pareil en point, puis l’intensité augmentée de temps à autre puis diminué. Alors, ensuite, dès qu’elle est partie, ça c’est mal passé donc, la douleur à terriblement augmentée et est devenu très invalidante et plus étendue, avec en plus une douleur verticale le long de la colonne par moment dans le dos. Le soir, ça s’est un peu calmée, j’ai peiné à m’endormir. Alors, bon, il se trouve que j’ai arrêter le Calmodren (homéopathie), y’a deux/trois jours. Sont-ce les effets de l’arrêt et du à l’anxiété et/ou une maladie que je crois grave (je ne vais pas me répéter tout ces maux depuis plus d’un an maintenant). Je m’interroge réellement.
Et badaboum a écrit :Quant aux autres... vaste sujet ! On en a besoin ( nous sommes un animal grégaire quoi qu'on dise et des études on montré que le cerveau d'une personne gardée à l'isolement, se détériore, perd certaines capacités ... ) mais il ne faut pas non plus leur accorder trop de pouvoir (être libre d'être soi) ni trop de méchanceté à notre égard. Je l'ai longtemps cru... mon métier m'a démontré le contraire : à 90 % les gens sont sympas. Pas forcement très très intéressants. Je passerais pas ma vie avec tous ceux que j'ai rencontrés ! Mais foncièrement, ils ne sont pas agressifs. Par contre, il peut y avoir des malentendus, des incompréhensions, des jugements par défaut d'éléments entrant dans leur monde. Comment faire comprendre à une personne extravertie que l'on a peur des autres ? Si tu ne dis rien, y'a peu de chances qu'il saisisse la raison de ton attitude et va donc te prendre peut-être pour quelqu'un de froid, hautain... si tu expliques, t'as plus de chances, déjà (mais tu peux tomber sur un représentant des 10 % d'imbéciles qu'il reste malgré tout ! )
Oui je le sais nous sommes des êtres sociaux. Les contacts peuvent nous faire du bien quand ils ont lieu dans le respect sans avidité aucune ni d’intérêts cachés derrière (or ceux d’apprendre, etc.). Non vicié dirons-nous…
Seulement parfois, c’est dur quand on se démarque du reste. Ou que l’on a un handicap, qu’on sors des clous pour une raison ou une autre. Je ne pense pas que nous soyons si animal que ça (dans le sens ou nous avons une conscience et des capacités bien supérieures aux animaux or être humain, nous pouvons faire des projets, ressentir des sentiments. Cela est bien supérieur à l’espèce animale qu’on distingue de nous). Je persiste à croire qu’il existe des méchants (je veux dire des êtres dénués d’empathie et prenant plaisir à voir souffrir les autres, à les duper…). Après c’est plus complexe et il y a d’autres cas d’individus mauvais, à éviter, fuir. Au-delà de ça, il y en a qui œuvre pour le bien, pour s’améliorer et luter contre leur tendance naturelle à faire le mal (nous sommes tous imparfaits).
Et badaboum a écrit :Et puis, si tu te sens attiré par d'autres méthodes ( du moment que tu n'adhères pas une secte ! ) et bien vas-y, tente ! Tu n'as rien à perdre ! Tout cve qui peut soulager, même momentanément est bon à prendre. Tu rencontreras d'autres personnes, ça t'ouvrira d'autres possibilités, tu feras ton bout de chemin, ton expérience. Et p'tre que tu trouveras là ce qui te conviendra... l'important c'est de trouver quelqu'un à l'écoute. Ma kiné est géniale pour ça Elle n'est pas psy pourtant ! Ma soeur a eu des soucis y'a quelques années, elle a trouvé sa façon à elle de surmonter ça grace à un naturopathe qui l'a aidée à évacuer des émotions jamais dites... Une amie a vu un magnétiseur et ça lui a fait du bien, de la même façon. Deux autres amies ont vu un psychiatre et ça les a aidées... Moi j'aurais pu aller voir un psychologue, mais je préférais un médecin car aller voir quelqu'un qui a le même niveau que moi et dont j'ai vu les pairs aller en cours en amphi quand j'étais étudiante, ne me donne pas confiance. J'ai sans doute tort. Car au fond, c'est la relation humaine, de confiance, qui est primordiale. Mais je commence tout juste à m'en rendre compte... =
J'irai lire ton blog plus tard .
A noter que je déménage bientôt sans ami sur qui m’appuyer, une famille loin qui vendange et est fragile (beaucoup de soucis), puis pas en excellent terme avec moi.
Bonne fin de journée.