Néantisons les cauchemars
Il était une fois une petite vermine
Elle tendait les bras, souriait sans fard
La claque qu'elle s'est prise je vous raconte pas
Bah depuis le monde elle lui crache dessus
Qu'importe
Essaimer sa marmaille
Et la
Condamner à mort
Je chante une ritournelle
Je chante
Je la chante sans cesse
Plus personne n'entend
Il était une fois une petite vermine
Son nez plein de coke le charme de sa morve
Les claques reçues les crachats les huées
Les bras tendus en croix encore seule toujours seule
Petite Sa.... oserait donc se plaindre
Petite saleté a tout dans la vie pourtant
Petite immondice ose pleurer
Petite raclure devrait mieux pouvoir s'annihiler
Je suis un corbeau
Guettant ma propre chair
Me crevant les yeux
Dévorant mon ventre
Ne plus devenir
Jamais
N'avoir été
Muerta nova. Néantisons les cauchemars
- Nush
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- Enregistré le : dimanche 22 septembre 2013 19:05
- Localisation : With the Doctor
- Nush
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Une de trop
Une de trop
Il y a longtemps, vraiment très très longtemps.
Le loup chantait et la petite fille tournait, en riant, dents percées et crocs pourris.
Je me suis baladée dans des bois, un beau bois plein de nuées bleues.
Il n'y avait que le silence.
(Une de ces zones d'ajout, a pocket universe.)
Il suffisait de fermer les yeux pour
se retrouver projetée ailleurs et de
nouveau être
indécise et
malheureuse
Entendez-vous la voix qui monte ?
Elle se rend aux quatre coins du néant
Balance son tournevis et
Me découpe en trois parties
L'une d'elles se fait manger, les deux autres s'entretuent. À qui la faute ?
Le monstre a dévoré, les portes sont closes, fin de la soirée, verre vidé, alcool régurgité.
Trop de sexe et de sang, un point d'accroche inattendu, tes dents.
Le loup a giclé, la petite fille a mordu, les yeux ont viré au jaune, les cris dans la nuit, encore.
Tournons, tournons sur nos chaos.
Dansons, dansons sur nos cadavres.
Il y a longtemps, vraiment très très longtemps.
Le loup chantait et la petite fille tournait, en riant, dents percées et crocs pourris.
Je me suis baladée dans des bois, un beau bois plein de nuées bleues.
Il n'y avait que le silence.
(Une de ces zones d'ajout, a pocket universe.)
Il suffisait de fermer les yeux pour
se retrouver projetée ailleurs et de
nouveau être
indécise et
malheureuse
Entendez-vous la voix qui monte ?
Elle se rend aux quatre coins du néant
Balance son tournevis et
Me découpe en trois parties
L'une d'elles se fait manger, les deux autres s'entretuent. À qui la faute ?
Le monstre a dévoré, les portes sont closes, fin de la soirée, verre vidé, alcool régurgité.
Trop de sexe et de sang, un point d'accroche inattendu, tes dents.
Le loup a giclé, la petite fille a mordu, les yeux ont viré au jaune, les cris dans la nuit, encore.
Tournons, tournons sur nos chaos.
Dansons, dansons sur nos cadavres.
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