C'est étrange la Vie, s'enfermer pour mieux protéger ...
- eternelletristesse
- Messages : 398
- Enregistré le : dimanche 28 octobre 2007 15:35
C'est étrange la Vie, s'enfermer pour mieux protéger ...
Texte: C'est étrange la Vie...
C’est étrange comme la Vie peut vous faire voyager tant tôt d’un côté, tantôt de l’autre. Un instant vous croyez que la prochaine seconde vous sera fatale, que c’est trop dûr de résister, que c’est trop dûr de continuer de vous battre. Puis un autre instant vous savez que vous ne pouvez faire autrement que continuer, toujours vous battre, et aller de l’avant. Toute cette énergie dépensée pendant des années à garder la tête hors de l’eau, vous n’avez pas le droit de renoncer, vous n’avez pas le droit pour vous, et pour ceux qui vous soutiennent.
Parfois vous rencontrez sur votre chemin des gens, des Anges. Oui des Anges parce que vous vous sentez protégés en leur présence, vous vous sentez exister. Ces personnes sont rares bien sûr mais lorsque vous avez la chance d’en connaître, vous ne pouvez pas les laisser filer, partir loin de vous. Ils font parti intégrante de votre Vie.
C’est parfois difficile comme situation parce que vous êtes là, accro à des personnes qui eux, ne sont pas forcément conscient de leur impact. Puis la Vie fait son œuvre, et des liens souvent très forts s’unissent entre ces personnes.
Un lien bien plus fort qu’un Amour familial, qu’un Amour passionnel. C’est un Amour inconditionnel, un Amour qui dépasse toute dimension réel, sans toucher, sans parler, les êtres se comprennent et communiquent, sachant ce que l’autre a besoin, ou non.
La Vie est une horloge dont les aiguilles sont tout le temps en mouvement multidirectionnel, parfois reculant, parfois avançant, vous projetant souvent dans une Vie autre que la réalité.
Que dire que faire pour survivre dans un monde où nous croyons les autres tous coupables, tous fautifs ? Nous sommes peut être nous-mêmes fautifs, fautifs de vouloir vivre dans notre monde, monde où nous croyons être au calme, protéger, abriter des tensions malsaines des relations humaines. Monde, où la violence, la haine est inexistante.
S’asseoir, les poings serrés, regardez autour de vous, que se passe t il qu’est ce que c’est que cette Terre qui soit disant tourne alors que pour vous, tout est immobile, seule la détresse, la souffrance est là, vous caresse la main, vous fait signe, vous appelle.
Là, assis, le regard hagard, vous vous demandez qu’est ce qu’il faut faire pour être comme ces gens. Gens soient disant heureux, gens qui vivent, qui sortent, qui rigolent, qui partagent.
Pourquoi, vous, il n’y a que ce gouffre qui vous intéresse, pourquoi seule cette attraction ?
La roue tourne, on vous le dit souvent. Pourquoi une roue d’abord ? C’est comme si à chaque fois on mettait une pierre sous la roue pour être sûre de ne pas reculer. Mais tout à continuer, rien n’a changé, en ne focalisant que sur une roue, sans songer à comment la faire avancer, on ne peut pas y arriver.
Pourquoi avoir peur de tous ses démons présents en chacun d’entre nous, de ces démons qui font peur, de ces démons qui nous font voir qu’on existe. Démons d’un soir, démon du Noir. A chacun de choisir, de voir.
Chaque matin je me réveille, petit Ange sur mon épaule, un oiseau, bel oiseau blanc, pur, pur comme aurait dû être mon enfance, ma jeunesse, ma rencontre avec la Vie. Chaque jour, il est là, près de moi, prêt à m’aider à surmonter les nouvelles épreuves, prêt à cueillir pour moi les plus belles roses de la Vie, prêt à m’en retirer les épines.
Le savoir là, Lui, me savoir accompagnée, d’un aussi petit être, me sentir rassurée, me sentir protégée. C’est cela mon réveil.
A chaque nouvelle étape, à chaque nouvelle épreuve, je prie le ciel de me le laisser près de Moi, le laisser me réchauffer lorsque le froid m’assaillit, lorsque la peur me terrifie, lorsque la mort m’affaiblit.
L’Horloge de la Vie avance, de sa petite aiguille, montre peu à peu que nous avançons, nous existons. Et pourtant, quelquefois, j’ai l’impression d’être figé là, assise près du gouffre de la Vie.
Pourquoi exprimer sa souffrance, pourquoi garder le silence.
Le plus simple apparemment c'est de garder sa souffrance pour soi-même, ne rien dire. Seulement "elle" est là au plus profond de soi malgré tout ce que l’on peut mettre en place comme stratège pour oublier.
C’est mettre un masque vis-à-vis des autres, vis-à-vis de Soi aussi. Mais le jour, où le masque tombe, c’est une bombe à retardement qui explose.
Ce masque, c'est l'oubli apparent,le déni. Il y a bien quelques alertes, dans la relation que l’on a aux autres, dans la relation à son propre corps, dans ses relations amoureuses. On ne comprend pas toujours bien ses réactions, mais certains gestes nous bloquent ou nous agressent. Toujours dans l’excès, soit en positif, soit en négatif. Bon en, mal en, cet oubli nous préserve et permet de survivre, mais un jour la souffrance rejailli...
La souffrance nous dévore. La honte nous envahit. Nous voulons nous détruire parfois jusqu'à la mort pour nous délivrer de notre corps, nous délivrer de notre passé.
Bien souvent la parole n'est pas possible, pas encore possible. Comment exprimer cet indicible vérité tenue secrète ? Où trouver un lieu où l'on me croira, me comprendra ?
C’est étrange comme la Vie peut vous faire voyager tant tôt d’un côté, tantôt de l’autre. Un instant vous croyez que la prochaine seconde vous sera fatale, que c’est trop dûr de résister, que c’est trop dûr de continuer de vous battre. Puis un autre instant vous savez que vous ne pouvez faire autrement que continuer, toujours vous battre, et aller de l’avant. Toute cette énergie dépensée pendant des années à garder la tête hors de l’eau, vous n’avez pas le droit de renoncer, vous n’avez pas le droit pour vous, et pour ceux qui vous soutiennent.
Parfois vous rencontrez sur votre chemin des gens, des Anges. Oui des Anges parce que vous vous sentez protégés en leur présence, vous vous sentez exister. Ces personnes sont rares bien sûr mais lorsque vous avez la chance d’en connaître, vous ne pouvez pas les laisser filer, partir loin de vous. Ils font parti intégrante de votre Vie.
C’est parfois difficile comme situation parce que vous êtes là, accro à des personnes qui eux, ne sont pas forcément conscient de leur impact. Puis la Vie fait son œuvre, et des liens souvent très forts s’unissent entre ces personnes.
Un lien bien plus fort qu’un Amour familial, qu’un Amour passionnel. C’est un Amour inconditionnel, un Amour qui dépasse toute dimension réel, sans toucher, sans parler, les êtres se comprennent et communiquent, sachant ce que l’autre a besoin, ou non.
La Vie est une horloge dont les aiguilles sont tout le temps en mouvement multidirectionnel, parfois reculant, parfois avançant, vous projetant souvent dans une Vie autre que la réalité.
Que dire que faire pour survivre dans un monde où nous croyons les autres tous coupables, tous fautifs ? Nous sommes peut être nous-mêmes fautifs, fautifs de vouloir vivre dans notre monde, monde où nous croyons être au calme, protéger, abriter des tensions malsaines des relations humaines. Monde, où la violence, la haine est inexistante.
S’asseoir, les poings serrés, regardez autour de vous, que se passe t il qu’est ce que c’est que cette Terre qui soit disant tourne alors que pour vous, tout est immobile, seule la détresse, la souffrance est là, vous caresse la main, vous fait signe, vous appelle.
Là, assis, le regard hagard, vous vous demandez qu’est ce qu’il faut faire pour être comme ces gens. Gens soient disant heureux, gens qui vivent, qui sortent, qui rigolent, qui partagent.
Pourquoi, vous, il n’y a que ce gouffre qui vous intéresse, pourquoi seule cette attraction ?
La roue tourne, on vous le dit souvent. Pourquoi une roue d’abord ? C’est comme si à chaque fois on mettait une pierre sous la roue pour être sûre de ne pas reculer. Mais tout à continuer, rien n’a changé, en ne focalisant que sur une roue, sans songer à comment la faire avancer, on ne peut pas y arriver.
Pourquoi avoir peur de tous ses démons présents en chacun d’entre nous, de ces démons qui font peur, de ces démons qui nous font voir qu’on existe. Démons d’un soir, démon du Noir. A chacun de choisir, de voir.
Chaque matin je me réveille, petit Ange sur mon épaule, un oiseau, bel oiseau blanc, pur, pur comme aurait dû être mon enfance, ma jeunesse, ma rencontre avec la Vie. Chaque jour, il est là, près de moi, prêt à m’aider à surmonter les nouvelles épreuves, prêt à cueillir pour moi les plus belles roses de la Vie, prêt à m’en retirer les épines.
Le savoir là, Lui, me savoir accompagnée, d’un aussi petit être, me sentir rassurée, me sentir protégée. C’est cela mon réveil.
A chaque nouvelle étape, à chaque nouvelle épreuve, je prie le ciel de me le laisser près de Moi, le laisser me réchauffer lorsque le froid m’assaillit, lorsque la peur me terrifie, lorsque la mort m’affaiblit.
L’Horloge de la Vie avance, de sa petite aiguille, montre peu à peu que nous avançons, nous existons. Et pourtant, quelquefois, j’ai l’impression d’être figé là, assise près du gouffre de la Vie.
Pourquoi exprimer sa souffrance, pourquoi garder le silence.
Le plus simple apparemment c'est de garder sa souffrance pour soi-même, ne rien dire. Seulement "elle" est là au plus profond de soi malgré tout ce que l’on peut mettre en place comme stratège pour oublier.
C’est mettre un masque vis-à-vis des autres, vis-à-vis de Soi aussi. Mais le jour, où le masque tombe, c’est une bombe à retardement qui explose.
Ce masque, c'est l'oubli apparent,le déni. Il y a bien quelques alertes, dans la relation que l’on a aux autres, dans la relation à son propre corps, dans ses relations amoureuses. On ne comprend pas toujours bien ses réactions, mais certains gestes nous bloquent ou nous agressent. Toujours dans l’excès, soit en positif, soit en négatif. Bon en, mal en, cet oubli nous préserve et permet de survivre, mais un jour la souffrance rejailli...
La souffrance nous dévore. La honte nous envahit. Nous voulons nous détruire parfois jusqu'à la mort pour nous délivrer de notre corps, nous délivrer de notre passé.
Bien souvent la parole n'est pas possible, pas encore possible. Comment exprimer cet indicible vérité tenue secrète ? Où trouver un lieu où l'on me croira, me comprendra ?
- eternelletristesse
- Messages : 398
- Enregistré le : dimanche 28 octobre 2007 15:35
Texte: S’enfermer pour mieux se protéger
Un jour enfermée,
Un jour désespérée,
J’avais été assommée,
Tellement désabusée,
Par un monde défiguré ;
J’avais choisi,
Peut être par dépit,
De vivre dans une cage,
Eloignée de la rage.
Des années entières,
Je suis restée ainsi,
Je ne sais de quelle manière,
Je croyais en la Vie.
Je me battais contre la maladie,
C’était ma pire ennemi,
Mais elle m’aura poursuivi,
Et fait devenir qui je suis.
Alors enfermée,
Dans une cage en acier,
J’avais peur de l’extérieur,
Peur sûrement que j’y meurs.
Enfermée,
Je me sentais rassurée.
Un jour enfermée,
Un jour désespérée,
J’avais été assommée,
Tellement désabusée,
Par un monde défiguré ;
J’avais choisi,
Peut être par dépit,
De vivre dans une cage,
Eloignée de la rage.
Des années entières,
Je suis restée ainsi,
Je ne sais de quelle manière,
Je croyais en la Vie.
Je me battais contre la maladie,
C’était ma pire ennemi,
Mais elle m’aura poursuivi,
Et fait devenir qui je suis.
Alors enfermée,
Dans une cage en acier,
J’avais peur de l’extérieur,
Peur sûrement que j’y meurs.
Enfermée,
Je me sentais rassurée.
- eternelletristesse
- Messages : 398
- Enregistré le : dimanche 28 octobre 2007 15:35
Texte: Le silence
Le silence,
c'est comme si je me balance,
à cette balançoire,
ou comme si je traverse,
ce très long couloir,
où il tomberait averse.
Il peut être souhaité,
ou encore imposé,
il peut être douceur,
ou pourrait être meilleur,
Il peut me convaincre,
qu'un jour je pourrais vaincre,
tous ces doutes qui m'habitent,
tous ces rêves qui m'agitent,
Mais il n'y a pas que le silence,
il y a aussi la parole,
qu'un jour un ange d'une timidité immense,
avec une magnifique auréole,
nous avait donné à tous,
pour qu'on l'utilise à bonne escient,
non pas pour faire des remous,
mais pour garder confiance.
Le silence,
c'est comme si je me balance,
à cette balançoire,
ou comme si je traverse,
ce très long couloir,
où il tomberait averse.
Il peut être souhaité,
ou encore imposé,
il peut être douceur,
ou pourrait être meilleur,
Il peut me convaincre,
qu'un jour je pourrais vaincre,
tous ces doutes qui m'habitent,
tous ces rêves qui m'agitent,
Mais il n'y a pas que le silence,
il y a aussi la parole,
qu'un jour un ange d'une timidité immense,
avec une magnifique auréole,
nous avait donné à tous,
pour qu'on l'utilise à bonne escient,
non pas pour faire des remous,
mais pour garder confiance.
- eternelletristesse
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- Enregistré le : dimanche 28 octobre 2007 15:35
Texte: Femmes fragiles
Les femmes...
Douce et fragile,
aux doigts agiles,
cherchant leur âme,
comme un sésame,
et pour cela cherchant l'amour,
en se disant qu'il dure toujours,
mais çà n'est jamais si simple,
de contourner toutes ces complaintes,
de ces amants qu'on a aimé,
ou ces autres tant désirés,
que l'on voudrait qu'il soit sien,
mais qu'on ne peut prendre par la main,
parce qu'il est illégitime,
mais nous connait de manière si intime...
Les femmes...
Douce et fragile,
aux doigts agiles,
cherchant leur âme,
comme un sésame,
et pour cela cherchant l'amour,
en se disant qu'il dure toujours,
mais çà n'est jamais si simple,
de contourner toutes ces complaintes,
de ces amants qu'on a aimé,
ou ces autres tant désirés,
que l'on voudrait qu'il soit sien,
mais qu'on ne peut prendre par la main,
parce qu'il est illégitime,
mais nous connait de manière si intime...
- eternelletristesse
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- Enregistré le : dimanche 28 octobre 2007 15:35
Texte: Thérapie
Tu dois rentrer dans nos Vies,
Au moment où nous avons pleins de soucis,
Tu dois prendre des chemins,
Même si tu dois nous emmener loin,
Tu dois nous apprendre beaucoup,
Même si l’on pense que çà ne vaut pas le coup,
C’est un long travail à faire,
Même si comme çà çà en a pas l’air,
On peut la faire seul(e) ou alors accompagné(e),
Si l’on souhaite se faire aider,
Il y a des gens bien,
Qui comme n’ont aucun lien,
Ne pourront nous juger,
Ou encore nous déprécier,
Ils n’ont qu’un travail,
Celui d’écouter,
Et de soigner,
Ces maux,
Que l’on peut soulager avec des mots…
Tu dois rentrer dans nos Vies,
Au moment où nous avons pleins de soucis,
Tu dois prendre des chemins,
Même si tu dois nous emmener loin,
Tu dois nous apprendre beaucoup,
Même si l’on pense que çà ne vaut pas le coup,
C’est un long travail à faire,
Même si comme çà çà en a pas l’air,
On peut la faire seul(e) ou alors accompagné(e),
Si l’on souhaite se faire aider,
Il y a des gens bien,
Qui comme n’ont aucun lien,
Ne pourront nous juger,
Ou encore nous déprécier,
Ils n’ont qu’un travail,
Celui d’écouter,
Et de soigner,
Ces maux,
Que l’on peut soulager avec des mots…
- eternelletristesse
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- Enregistré le : dimanche 28 octobre 2007 15:35
Texte: La Vie
La Vie
synonyme d'ennuie,
synonyme de pluie,
sur un Coeur esseulé,
que l'on entend pleurer,
La Vie
synonyme de peur,
synonyme de malheur,
sur une âme perdue,
qui se sent comme nue,
La Vie
c'est aussi avoir l'Espoir,
et de toujours y croire,
parce que laisser tomber,
n'aide pas à remonter.
La Vie
c'est de se dire,
qu'il y a bien plus pire,
et qu'il faut réapprendre à sourire,
et surtout à rire...
La Vie
synonyme d'ennuie,
synonyme de pluie,
sur un Coeur esseulé,
que l'on entend pleurer,
La Vie
synonyme de peur,
synonyme de malheur,
sur une âme perdue,
qui se sent comme nue,
La Vie
c'est aussi avoir l'Espoir,
et de toujours y croire,
parce que laisser tomber,
n'aide pas à remonter.
La Vie
c'est de se dire,
qu'il y a bien plus pire,
et qu'il faut réapprendre à sourire,
et surtout à rire...
- miracle rose
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- Enregistré le : dimanche 04 mars 2007 13:26
- eternelletristesse
- Messages : 398
- Enregistré le : dimanche 28 octobre 2007 15:35
Texte: Amitié
C'est un monde merveilleux,
rayonnant de milles feux,
ils sont là avec moi,
ils sont mignons tout plein,
je les serre contre moi,
pour pas qu'ils partent au loin.
Ce sont des peluches,
oui des peluches,
dont le dernier petit Valentin,
ne peut rester dans un coin,
il est souvent là près du lit,
pour veiller sur moi la nuit...
Je rêve, je rêve à ce monde,
où l'on oublie ces choses immondes,
je rêve à cette douceur,
à eux qui m'enlèvent mes pleurs,
je les adore,
ils valent de l'or,
là près de mon coeur,
m'apportant à chaque heure,
des milliers de calins,
oui tout plein tout plein...
Pour moi c'est ma pause douceur,
où l'espace d'un moment
je suis apaisée,
où l'espace d'un instant
je ne suis pas agacée,
ils me protègent,
ils m'allègent,
d'un lourd poids,
lorsque tous mes sens sont en émoi,
et que je n'ai plus la foi en la Vie,
ils sont là et me sourient,
ils sont là partout dans l'appartement,
là, bien présents...
Petite pause douceur,
pour vous, pour votre Coeur,
vous dire que je tiens à vous,
et vous remercier d'éviter certains coups,
que la Vie peut donner,
mais je compte sur votre Amitié
C'est un monde merveilleux,
rayonnant de milles feux,
ils sont là avec moi,
ils sont mignons tout plein,
je les serre contre moi,
pour pas qu'ils partent au loin.
Ce sont des peluches,
oui des peluches,
dont le dernier petit Valentin,
ne peut rester dans un coin,
il est souvent là près du lit,
pour veiller sur moi la nuit...
Je rêve, je rêve à ce monde,
où l'on oublie ces choses immondes,
je rêve à cette douceur,
à eux qui m'enlèvent mes pleurs,
je les adore,
ils valent de l'or,
là près de mon coeur,
m'apportant à chaque heure,
des milliers de calins,
oui tout plein tout plein...
Pour moi c'est ma pause douceur,
où l'espace d'un moment
je suis apaisée,
où l'espace d'un instant
je ne suis pas agacée,
ils me protègent,
ils m'allègent,
d'un lourd poids,
lorsque tous mes sens sont en émoi,
et que je n'ai plus la foi en la Vie,
ils sont là et me sourient,
ils sont là partout dans l'appartement,
là, bien présents...
Petite pause douceur,
pour vous, pour votre Coeur,
vous dire que je tiens à vous,
et vous remercier d'éviter certains coups,
que la Vie peut donner,
mais je compte sur votre Amitié
- eternelletristesse
- Messages : 398
- Enregistré le : dimanche 28 octobre 2007 15:35
Du temps au temps
Dans un silence,
Avoir peur que la nuit danse,
Dans un fracas,
Avoir peur que la Vie nous noie.
Dans une lueur,
Vouloir noyer sa peur,
Dans une prière,
Vouloir cesser la guerre.
Croire en Dieu,
Vouloir voir ses yeux,
Pour approcher la vérité,
Son calme, sa sérénité.
Parcourir un long chemin,
Partir dans des contrées au loin,
Pour vouloir juste Etre,
Et non pas seulement paraître.
Ce chemin là, tu es la seule,
A pouvoir le traverser sans coup de gueule,
En t'accrochant à la raison,
Pour ne pas trébucher et tenir bon.
Dans un silence,
Avoir peur que la nuit danse,
Dans un fracas,
Avoir peur que la Vie nous noie.
Dans une lueur,
Vouloir noyer sa peur,
Dans une prière,
Vouloir cesser la guerre.
Croire en Dieu,
Vouloir voir ses yeux,
Pour approcher la vérité,
Son calme, sa sérénité.
Parcourir un long chemin,
Partir dans des contrées au loin,
Pour vouloir juste Etre,
Et non pas seulement paraître.
Ce chemin là, tu es la seule,
A pouvoir le traverser sans coup de gueule,
En t'accrochant à la raison,
Pour ne pas trébucher et tenir bon.
- eternelletristesse
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- Enregistré le : dimanche 28 octobre 2007 15:35
Rêve de Vivre et non Survivre…
Aussi vrai que l'on peut se sentir très bien,
un rêve peut paraître si lointain,
Que la tristesse peut vous envahir,
en même temps que l'on vous fait sourire,
Parfois dans une Vie,
il faudrait être Petite Souris,
pour pouvoir aller et gambader,
sans toutefois oublier d'Aimer,
C'est un doux rêve que je fais,
comme si je rêvais de paix,
mais il me paraît tant illusion,
parce que j'y mets mes raisons,
Mais je me dis qu'un beau jour,
je pourrais peut être dire toujours,
à quelque chose qu'on appelle l'Amour,
qui devrait être paisible mais pas si lourd...
Ce sont de doux instants volés,
volés à une Vie emplie de tristesse,
parce que parfois je me sens volée,
en dehors de toute détresse,
parce qu'on me donne beaucoup,
et j'évite ainsi des coups,
parce que je sais que c'est sincère,
que ce ne sont pas des paroles en l'air..
Instants magiques,
contre instants tragiques,
merci encore,
parce que tu es de l'Or...
Aussi vrai que l'on peut se sentir très bien,
un rêve peut paraître si lointain,
Que la tristesse peut vous envahir,
en même temps que l'on vous fait sourire,
Parfois dans une Vie,
il faudrait être Petite Souris,
pour pouvoir aller et gambader,
sans toutefois oublier d'Aimer,
C'est un doux rêve que je fais,
comme si je rêvais de paix,
mais il me paraît tant illusion,
parce que j'y mets mes raisons,
Mais je me dis qu'un beau jour,
je pourrais peut être dire toujours,
à quelque chose qu'on appelle l'Amour,
qui devrait être paisible mais pas si lourd...
Ce sont de doux instants volés,
volés à une Vie emplie de tristesse,
parce que parfois je me sens volée,
en dehors de toute détresse,
parce qu'on me donne beaucoup,
et j'évite ainsi des coups,
parce que je sais que c'est sincère,
que ce ne sont pas des paroles en l'air..
Instants magiques,
contre instants tragiques,
merci encore,
parce que tu es de l'Or...
- eternelletristesse
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Femmes fragiles
Les femmes...
Douce et fragile,
aux doigts agiles,
cherchant leur âme,
comme un sésame,
et pour cela cherchant l'amour,
en se disant qu'il dure toujours,
mais çà n'est jamais si simple,
de contourner toutes ces complaintes,
de ces amants qu'on a aimé,
ou ces autres tant désirés,
que l'on voudrait qu'il soit sien,
mais qu'on ne peut prendre par la main,
parce qu'il est illégitime,
mais nous connait de manière si intime...
Les femmes...
Douce et fragile,
aux doigts agiles,
cherchant leur âme,
comme un sésame,
et pour cela cherchant l'amour,
en se disant qu'il dure toujours,
mais çà n'est jamais si simple,
de contourner toutes ces complaintes,
de ces amants qu'on a aimé,
ou ces autres tant désirés,
que l'on voudrait qu'il soit sien,
mais qu'on ne peut prendre par la main,
parce qu'il est illégitime,
mais nous connait de manière si intime...
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