Vivre avec un déprimé: 20 règles d'or
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- eternelletristesse
- Messages : 398
- Enregistré le : dimanche 28 octobre 2007 15:35
- Localisation : 78
Vivre avec un déprimé: 20 règles d'or
Ne pas nier l’évidence, il est malade ;
Savoir qu’il va guérir ;
Ne pas s’énerver de sa lenteur ;
Comprendre que son irascibilité est liée à son état ;
N’être pas soupçonneux parce qu’il est mieux (ou moins mal) le soir ;
Ce qui est bon pour vous ne l’est pas nécessairement pour lui ;
Le stimuler n’est pas le bousculer ;
Accepter de ne plus recevoir d’amis pendant un temps ;
Ce n’est pas parce qu’il parle du suicide qu’il ne le fera pas ;
Etre présent mais pas pesant ;
Un déprimé ne s’oppose jamais à sa guérison ;
Ne pas lui faire de chantage affectif, toujours mal ressenti ;
Lui rappeler que « ça » va guérir ;
Participer au traitement sans faire d’autoritarisme ;
C’est dur pour vous mais tellement plus pour lui ;
Ne pas se croire coupable de son état ;
Savoir interroger le médecin après accord du déprimé ;
Vous réserver un peu de temps pour vous, car c’est « dur à supporter » ;
Limiter les erreurs : c’est vous laisser guider par le bon sens et l’affection ;
Garder confiance.
_____________________________
*Extrait du livre « Je suis déprimé, mais je me soigne » écrit par le Pr. Henri LOO et le Dr. Henry CUCHE
Savoir qu’il va guérir ;
Ne pas s’énerver de sa lenteur ;
Comprendre que son irascibilité est liée à son état ;
N’être pas soupçonneux parce qu’il est mieux (ou moins mal) le soir ;
Ce qui est bon pour vous ne l’est pas nécessairement pour lui ;
Le stimuler n’est pas le bousculer ;
Accepter de ne plus recevoir d’amis pendant un temps ;
Ce n’est pas parce qu’il parle du suicide qu’il ne le fera pas ;
Etre présent mais pas pesant ;
Un déprimé ne s’oppose jamais à sa guérison ;
Ne pas lui faire de chantage affectif, toujours mal ressenti ;
Lui rappeler que « ça » va guérir ;
Participer au traitement sans faire d’autoritarisme ;
C’est dur pour vous mais tellement plus pour lui ;
Ne pas se croire coupable de son état ;
Savoir interroger le médecin après accord du déprimé ;
Vous réserver un peu de temps pour vous, car c’est « dur à supporter » ;
Limiter les erreurs : c’est vous laisser guider par le bon sens et l’affection ;
Garder confiance.
_____________________________
*Extrait du livre « Je suis déprimé, mais je me soigne » écrit par le Pr. Henri LOO et le Dr. Henry CUCHE
- Procrastina
- Membre d'honneur
- Messages : 1606
- Enregistré le : lundi 07 janvier 2008 17:06
- Hope
- Messages : 953
- Enregistré le : lundi 14 janvier 2008 15:14
- Localisation : Strasbourg (Est)
Tu as raison Procrastina, mais c'est presque impossible que cela ne touche pas l'entourage, à un degré plus ou moins important selon les personnes. On a beau prendre de la distance par rapport à la maladie, on l'a cotoie quand même quotidiennement. Au bout d'un moment, on a l'impression d'être "aspiré" sans pouvoir trop résister.
- Procrastina
- Membre d'honneur
- Messages : 1606
- Enregistré le : lundi 07 janvier 2008 17:06
- Aragatz
- Messages : 328
- Enregistré le : jeudi 28 décembre 2006 17:09
- Localisation : Vendée
Ne pas nier l’évidence, il est malade ; En effet, une dépression ça existe et ça concerne tout le monde, âge, sexe, milieu social !
Savoir qu’il va guérir ; C'est long et difficile mais on y arrive
Ne pas s’énerver de sa lenteur ; Dépression = dégoût de tout, démotivation
Comprendre que son irascibilité est liée à son état ; donc ne pas s'énerver à son tour, ça n'arrange rien
N’être pas soupçonneux parce qu’il est mieux (ou moins mal) le soir ; Ce sont des étapes seulement, pas une guérison complète
Ce qui est bon pour vous ne l’est pas nécessairement pour lui ; Chacun est unique, chaque cas est différent
Le stimuler n’est pas le bousculer ; En douceur, progressivement, les "coup de pied au c.." braquent
Accepter de ne plus recevoir d’amis pendant un temps ; Dépression = solitaire, évitement, parce qu'on se sent nul et "insortable"
Ce n’est pas parce qu’il parle du suicide qu’il ne le fera pas ; sait-on jamais, vaut mieux être disponible et à l'écoute sans trop en faire non plus
Etre présent mais pas pesant ; disponible en laissant le dépressif libre de nous demander
Un déprimé ne s’oppose jamais à sa guérison ; il sait qu'il en a besoin, conscient de son état
Ne pas lui faire de chantage affectif, toujours mal ressenti ; Ca ne peut que le braquer
Lui rappeler que « ça » va guérir ; même si c'est long, on y arrive
Participer au traitement sans faire d’autoritarisme ; ça risque de braquer
C’est dur pour vous mais tellement plus pour lui ; Il en est conscient et tenir compte de ce qu'il culpabilise à tort
Ne pas se croire coupable de son état ; Nous n'y sommes pour rien même si nous nous sommes disputés la veille
Savoir interroger le médecin après accord du déprimé ; quelques conseils pour gérer sont les bienvenus
Vous réserver un peu de temps pour vous, car c’est « dur à supporter » ; il n'y a pas que le dépressif ! Ca prend notre énergie aussi de s'en occuper, penser à soi n'est pas l'abandonner
Limiter les erreurs : c’est vous laisser guider par le bon sens et l’affection ; Tout le monde peut se tromper, mais bon quand même...
Garder confiance. Oui, ça guérit !
Savoir qu’il va guérir ; C'est long et difficile mais on y arrive
Ne pas s’énerver de sa lenteur ; Dépression = dégoût de tout, démotivation
Comprendre que son irascibilité est liée à son état ; donc ne pas s'énerver à son tour, ça n'arrange rien
N’être pas soupçonneux parce qu’il est mieux (ou moins mal) le soir ; Ce sont des étapes seulement, pas une guérison complète
Ce qui est bon pour vous ne l’est pas nécessairement pour lui ; Chacun est unique, chaque cas est différent
Le stimuler n’est pas le bousculer ; En douceur, progressivement, les "coup de pied au c.." braquent
Accepter de ne plus recevoir d’amis pendant un temps ; Dépression = solitaire, évitement, parce qu'on se sent nul et "insortable"
Ce n’est pas parce qu’il parle du suicide qu’il ne le fera pas ; sait-on jamais, vaut mieux être disponible et à l'écoute sans trop en faire non plus
Etre présent mais pas pesant ; disponible en laissant le dépressif libre de nous demander
Un déprimé ne s’oppose jamais à sa guérison ; il sait qu'il en a besoin, conscient de son état
Ne pas lui faire de chantage affectif, toujours mal ressenti ; Ca ne peut que le braquer
Lui rappeler que « ça » va guérir ; même si c'est long, on y arrive
Participer au traitement sans faire d’autoritarisme ; ça risque de braquer
C’est dur pour vous mais tellement plus pour lui ; Il en est conscient et tenir compte de ce qu'il culpabilise à tort
Ne pas se croire coupable de son état ; Nous n'y sommes pour rien même si nous nous sommes disputés la veille
Savoir interroger le médecin après accord du déprimé ; quelques conseils pour gérer sont les bienvenus
Vous réserver un peu de temps pour vous, car c’est « dur à supporter » ; il n'y a pas que le dépressif ! Ca prend notre énergie aussi de s'en occuper, penser à soi n'est pas l'abandonner
Limiter les erreurs : c’est vous laisser guider par le bon sens et l’affection ; Tout le monde peut se tromper, mais bon quand même...
Garder confiance. Oui, ça guérit !
Chouette hibou
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