Depression, crise de la quarantaine, séparation ?

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zelande
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Depression, crise de la quarantaine, séparation ?

Message par zelande »

Bonjour

Je cherche un avis avec du recul sur une situation que je vis en ce moment avec ma compagne. J’ai conscience qu’il manquera son avis pour avoir une vue de la situation mais je vais tacher de faire au mieux et d’etre factuel.


La situation
A cette date, je suis donc en couple depuis bientôt 12 ans avec une femme merveilleuse. J’ai 38 ans et elle 36 ans. Nous avons emménagé ensemble en 2006, eu un premier enfant en 2010, le tout avec un 1er déménagement. 2012, souci de couple surlequel je reviens plus tard. Ce souci s’est résolu par une prise d’action et un projet de vie. Nous avons relevé la pente après l’été 2012, cherché une maison pour déménager car la vie parisienne devenait étouffante pour nous deux/trois. Fin 2013, cela aboutit en même temps que des essais pour un 2nd enfant. Direction FIV pour celui-ci avec une naissance en 2014. La grossesse est difficile pour ma femme qui ne peut pas bouger. Après l’accouchement, ça repart les 1ers mois. Puis depuis dimanche dernier soit 14 mois après l’accouchement, de nouveau une crise avec gros potentiel de départ et de fin d’histoire. 2 enfants magnifiques et adorables, 2 crédits immo, 12 ans d’efforts et de construction, tout cela possiblement chamboulé.


La chronologie
Je vais exposer les faits avec une question suivante : malaise psychologique de ma femme et de mon couple, ou bien véritable désamour et fin d’histoire ? je ne sais que dire.

2009 : qq jours avant de tomber enceinte, ma femme part se reposer chez ses parents. Elle m’avoue plus tard qu’elle commençait à se poser des questions. Mais rien de bien méchant. Ça arrive à tout le monde de douter lors d’une passation d’étape, moi y compris.

2012 : je ne l’ai pas vu venir. Milieu de l’été, ma femme m’annonce qu’elle ne m’aime plus, se donne le temps des vacances pour réfléchir et partir. A la rentrée, rien n’a changé selon elle et m’annonce sa décision. Elle en parle à un ami qui lui dit qu’elle reste sur du détail. Elle change d’avis le jour même et décide de me mettre à l’épreuve, que je fasse plus de choses, que je réalise un plan d’action. Je le fais, et nous sommes repartis.
En détail, ce qui s’est passé pour elle en 2012. A cette période, elle avait flirté avec un mec puis qq mois après m’a confié qu’elle avait été nulle de se méprendre sur lui. Elle a ensuite été agressive en vacances, certes avec moi mais avec la seule adulte partageant nos vacances, à savoir sa sœur. Notre fils s’éloignait également un peu d’elle. Elle avait également pas mal de ressenti envers mes parents et son père. A cette époque, elle me disait être fatiguée. Le petit faisait ses dents et c’était très dur. Nous avons donc vécu une période d’abstinence mais également pour elle car sa libido était à plat. Elle n’avait plus envie d’elle. Je rajoute aussi les biais de perception dans les reproches faits à moi ou à sa sœur. Elle ne voyait pas de manière juste certaines choses. Fatigue, libido à plat, voir les choses en noir et se prendre la tête, je me suis dit que c’était les symptômes d’une dépression. Un ami et ma mère travaillant dans le milieu psy m’ont confirmé cela. Bien sûr, je ne suis pas praticien et je pose un diagnostic donc cela a ses limites.

2015 : la situation se répète. La grossesse a été dure en 2014. La FIV imposait des précautions pour que le fœtus soit bien accroché et les relations sexuelles ont été proscrites. Peut-être un peu durement le principe de précaution mais j’ai respecté ce choix. C’est reparti ensuite en 2015 avec une fréquence 1/mois environ, ce qui avec le tempo laissé par les enfants était pas si mal finalement.
Dimanche dernier. Je l’ai un peu poussé. Je sentais qu’il y avait qqch qui n’allait pas et qu’on revenait comme en 2012, la période pré-clash. Chaque chose que je dis ou fais est mal interprété et cela fait 2 mois/2mois et demi que nous sommes en abstinence. Nous sommes fatigués par les otites à répétition du deuxième et les nuits qui sont coupées. Cela fait depuis juillet environ depuis les poussées de dent. Je pensais qu’on était physiquement au bord du gouffre mais cela l’est aussi pour elle sur le plan relation de couple. J’ajoute que depuis juillet mon corps est fatigué et a enchainé des petits pépins pas bien méchants mais pénibles : déshydratation, névralgie cervico-brachiale, pityriasis rosé de gilbert, genou en vrac et récemment (depuis dimanche dernier) colopathie ou possible colique hépatique (que je trainerais depuis plusieurs mois et expliquant en partie la fatigue avec les nuits coupées).


Son discours récent donc :
- Sur le plan perso : elle se sent perdue, se pose des questions depuis début novembre, ne sait plus où elle va et a peur de gâcher son avenir. Sur le plan pro, elle a changé de job donc tout va bien (je l’ai aidé à changer aussi…)
- Sur le plan « femme », elle m’a avoué une attirance en 2013 envers un gars. Il aurait pu se passer qqch mais étant donné qu’il y avait moi, il ne s’est rien passé. Je conçois que nous sommes soumis à des tensions hormonales ou autres, et que flirter avec qq’un se passe de temps à autres. Donc, jusque là, je suis pas choqué. Il ne s’est rien passé alors qu’avec son ex, elle l’avait trompé au bout de 7 ans ensemble pour voir si leur relation était morte.
- Sur le plan parentalité : rien à me reprocher dans mon rôle de père.
- Sur le plan gestion de la cellule familiale : je ne ferai plus rien du tout. Je ne peux pas lui donner totalement tort. J’ai lâché prise avec la fatigue et une addiction à un petit jeu sur mobile. J’avais mis des choses en place pour m’en sortir récemment et je commençais à reprendre du peps et du poil de la bête. Mais, elle n’a pas tort et je lui ai dit et me suis excusé en conséquence pour le con que j’avais été ces dernières semaines ou derniers mois. Dès le lendemain, j’ai d’ailleurs bougé pas mal de choses.
- Sur le plan couple : nous serions déphasés. Elle aime la rando et pas moi par ex. C’est vrai que pas grand fan mais je peux le faire. Elle parle d’une histoire de rythme alors que sans les enfants, quand nous sommes à deux, cela va super bien. Fin août dernier, nous avons passé une super semaine à la fin de laquelle je l’ai même demandé en mariage et elle a accepté…Sur le plan intime, elle n’a jamais eu une trop grande libido par rapport à moi donc je n’insiste pas. Cela ne lui manque pas, n’a pas envie de moi (vu mon implication dans le job logistique et mon irritabilité, je comprends). Elle n’a pas envie d’un autre et comme en 2012, je pense qu’elle n’a pas envie d’elle non plus mais à confirmer.

En conséquence, elle veut prendre sa décision elle-même et pour une fois une décision pour sa « pomme », pour elle qui ne la concerne qu’elle et tant pis pour les autres. Elle dit que ce n’est pas facile de prendre cette décision (ou non) avec les enfants qu’elle devra gérer seule ensuite. Elle dit qu’elle a besoin d’avoir confiance en moi en cas de pépin. J’introduis ici que j’ai tjs été présent pour elle quand il y a eu des soucis (fracture du pied, FIV, grossesse, crise au précédent job, aide pour changer de job, etc…). Elle dit aussi plus de présence logistique et qu’elle craint l’effet de mobilisation de sa parole puis après que le soufflé retombe et elle n’a pas envie de cela à l’avenir avec moi. Je mentionne d’autres biais de perception par ex : quand je dis que "sans les gosses, c’est plus facile", elle a imaginé que je pensais m’en débarasser…Elle étouffe en ce moment, elle a besoin d’être seule et la moindre chose que je dis est retenue et déformée contre moi-même si cela est factuel. Je l’exaspère donc. Elle dit aussi que c’est tellement allé loin qu’elle ne sait pas si un retour arrière est possible et qu’elle me laissera ptet pas une 2e chance après 2012.


Mon interprétation des éléments.
Elle se dit fatiguée, très fatiguée et manque de lucidité. Elle a redéclenché un pb de santé mineur (sinusite) mais portant sur la disponibilité mentale. Les nuits du 2e et la pression du 1er à ne pas se coucher tue notre intimité et discussion le soir. On est épuisé et on s’endort vite. Gros besoin de repos. De là, je pense que la fatigue joue sur tout : disponibilité et envie intimes avec moi, perception des choses et relation aux autres. Je précise que tout le monde l’insupporte de nouveau : son père, mon père, ses deux enfants, moi, ses sœurs. Elle ne voit plus ses amis/amies ou ne leur écrit plus. Elle est donc dans une situation proche de 2012 avec un corps au ralenti et des idées noires. Je lui reproche (un peu) de pas avoir communiqué sur le sujet et d’avoir pris sur elle puis d’exploser comme une cocotte-minute, la pression montant petit à petit. Je finis ce passage en disant qu’elle laisse tomber petit à petit l’autorité sur les enfants et fait preuve de laxisme. Je dois assurer seul pour qu’il y ait un minimum de présence « normative ». Enfin, j’ajoute sur la fatigue, qu’elle n’a jamais décroché depuis la naissance du 1er. J’ai pu me retrouver seul chez moi sans enfant, mais pas elle. Je lui ai proposé plusieurs fois et cette fois, je pense lui imposer.

Dans ce cas, je me dis que c’est un épisode dépressif qui refait surface. Elle a vu deux psys sur ma demande. Un premier suite au 1er accouchement et des rêves sombres. La psy l’a cerné elle et le mur qu’elle mettait entre elle et les autres. Elle voulait la revoir pour creuser ce point mais ma compagne n’a pas voulu. Le 2e fut moins probant je trouve. C’était a priori centré sur son job donc rien ne l’aidant car elle refuse d’affronter le « mur » en disant qu’elle va bien avec. Il y a 15 jours, vu notre fatigue, elle me disait qu’elle m’aimait pour ce que j’étais contrairement à ses beaux-frères et son père à savoir un bricoleur acharné malgré la fatigue. Là, elle me demande le contraire. Il y a une perte de lucidité y compris au quotidien (elle oublie ses clés…) et dans ses relations avec sa propre famille.

Je me dis aussi qu’au vu de son discours sur le fait qu’elle soit perdue et qu’elle ait envie de séduire qu’il peut également s’agit une crise existentielle ou mid-life crisis (de la quarantaine bien qu’elle en ait moins). D’après ce que j’ai pu lire, je suis le 1er fusible dans ces cas-là et toute l’agressivité est routée (injustement) vers moi.

Enfin, il y a quand même l’hypothèse qu’il s’agisse de la fin de notre histoire, du désamour et de la fin de son envie physique envers moi (alors que septembre c’était encore top). Je ne sais pas et j’ai bien envie qu’on m’éclaire et qu’on me donne qq indices ou portes de sortie, de progrès.


La suite
Je suis donc mis à l’épreuve et je ne serai pas jugé sur mes efforts pendant cette mise à l’épreuve. C’est extrêmement dur à vivre. C’est une belle femme que je désire, que j’aime et avec qui je veux vivre encore. J’ai déconné malgré moi et à cause de mes peurs, je m’en suis rendu compte mais quelles sont mes options ?
- est-ce une depression ? Deprime ? Crise existentielle ? Desamour ?
- Si je parle, c’est retenu contre moi
- Si je prends une grosse initiative, genre un we, ce sera idem…
- J’agis donc silencieusement au quotidien et je courbe l’échine mais sans garantie
- Je lui propose de prendre les enfants 1 ou 2 jour qu’elle se repose. Elle a pas dit non pour un jour. 2 jours la dérange car elle ne les voit pas souvent…(oui c’est moi qui les emmène le matin et va très souvent les chercher le soir donc elle ne les voit pas bcp)
- On a un soir pour nous deux la semaine pro mais je crains de me retrouver seul avec elle et me dis que c’est pas le bon moment
- Un ami me suggère une conseillère conjugale pour que la parole soit libre. J’avoue que cela me tente car l’injustice de certaines paroles font que cela n’est pas la réalité dans son ensemble, et que peut-être qq’un lui dira qu’elle est dans l’excès et que l’herbe n’est pas plus verte ailleurs. Je me dis qu’elle a besoin d’entendre des choses par un autre que moi et que dans ce cas, ce serait pas mal. Seulement, elle m’a déjà dit non pour un psy ou autre « connerie ».
- Je lui laisse du temps et propose un dernier essai de 4 mois ?
- Je lui parle ouvertement de ma peur de vieillir pour faire écho à la sienne si c’est une crise de la quarantaine ?


Voilà, j’ai déjà bcp écrit. Si qq’un peut m’aider sur le diagnostic et les idées de sortie de crise, je lui en serai reconnaissant

-- Lundi 21 Décembre 2015 17:09 --

Je me suis peut-etre trompé dans mon analyse et je n'aurais ptet pas du juger ma compagne
c'est peut-etre une grosse peur de l'engagement et du mariage. J'ai lu des choses dessus. Désolé du dérangement. Je sais que la situation me touche et je vais me protéger après avoir vu un conseiller conjugal.
Cardinal

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Message par Cardinal »

Bonjour,

tu parles beaucoup de ta femme, mais toi tu veux quoi ? Qu'est-ce qui fait que tu as envie de te lever le matin ? De profiter de la vie ? Faut pas te laisser bouffer par quelqu'un qui ne sait pas ce qu'elle veut.
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zelande
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Depression, crise de la quarantaine, séparation ?

Message par zelande »

A la base, je voulais avoir un foyer heureux avec mes enfants, leur mere, ma femme. Apprecier le quotidien et des petites choses, les voir grandir, leur transmettre et les conseiller, puis vieillir avec ma femme. Maintenant, tout cela n'est pas possible et il faut que je me reprojete, refasse un peu de sport sur mon temps libre, et que je fasse qq projets que je n'ai pas eu le temps de faire. Je mange et dors bien. J'ai vu un pro aussi pour prendre du recul.
Ma femme sait ce qu'elle veut et c'est partir. Il y a eu un temps de passe apres ce post et la situation est plus claire. Melange de crise existentielle puis de fatigue/burn out maternel/epuisement. Mais elle ne veut pas se reposer. Elle a meme dit qu'elle ne servait a rien pour les enfants car n'arrivant pas a les gerer. Elle veut avancer coute que coute le plus vite possible, et tout controler meme mes choix. Je me laisse pas envahir mais elle devient nocive la.
Cardinal

Depression, crise de la quarantaine, séparation ?

Message par Cardinal »

Je n'aime pas trop ce terme car il a une connotation sexiste, mais j'ai l'impression que ta femme est un peu hystérique aussi (en plus de la déprime) le fait de perdre des objets par exemple. Je crois que tu dois trouver la force de t'affirmer et ne plus te laisser marcher sur les pieds, ça pourrait faire un déclic.
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zelande
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Depression, crise de la quarantaine, séparation ?

Message par zelande »

Oui c'est l'impression que j'ai pour l'histrionie/hysterique. J'ai lu a ce sujet. Mais bon, il faudrait un pro pour diagnostiquer et elle refuse car pour elle, pas besoin de se faire soigner.

On m'a deja dit de m'imposer sur un autre forum. Seulement, comme elle n'a plus de sentiment, et qu'elle est psychiquement emoussee, quand je le fais, ce n'est pas tjs bien pris et elle monte dans les tours. J'avoue ne plus la reconnaitre par moment.
Cardinal

Depression, crise de la quarantaine, séparation ?

Message par Cardinal »

Mais elle part ou elle part pas ?
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zelande
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Depression, crise de la quarantaine, séparation ?

Message par zelande »

Elle part
En fait son interrogation je pars/je pars pas a dure 5 jours. C'etait juste le temps pour elle pour trouver les forces de dire je quitte le foyer famillial au motif que je pense a moi et uniquement a moi. Le lendemain j'avais les papiers de divorce sue la table. Mais depuis elle n'arrive pas a gerer les gamins ("je sers a rien pour eux") et autres trucs negatifs. Elle voit tout noir avec son epuisement et se renferme. Et moi j'assiste a cela, sans rien pouvoir faire. Je l'ai soulage sur la logistique mais elle a ete faire la fete avec ses collegues de 25 ans, celib sans enfant, au lieu de se reposer. Et elle se comporte impulsivement de maniere odieuse. Donc bon, j'aurais tendance a dire qu'il faut que je passe a autre chose.
Cardinal

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Message par Cardinal »

Je vois,

Vous avez discuté pour ce qui est du mode de garde des enfants ?
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zelande
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Depression, crise de la quarantaine, séparation ?

Message par zelande »

Oui c'etait acte des le debut...
Garde alternee
Et elle veut aussi mettre la garde alternee des que possible et ce meme si on est sous le meme toit. Je devrais dc me trouver un autre toit.
A ce jour, j'ai un doute sur ses capacites de garde. Mais j'ai pas envie du juge. Elle change aussi 50 fois de versions. Maintenant, elle a fait un second enfant juste pour resolidariser le couple. Il y a 15 jrs c'etait par amour.
Cardinal

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Message par Cardinal »

C'est une location la maison ?
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zelande
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Depression, crise de la quarantaine, séparation ?

Message par zelande »

non, malheureusement
achat récent. Elle nous plaisait à tous les deux et on a bcp de mal à l'obtenir (vente sous tutelle, transformée en héritage). C'est d'autant plus dommage que les enfants s'y sentaient bien.
Cardinal

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Message par Cardinal »

Donc ce qu'elle veut c'est que tu cherches une location le temps que vous revendiez la maison dont elle va continuer à profiter pendant ce temps la ?

...

C'est pas très réglo tout ça.
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zelande
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Depression, crise de la quarantaine, séparation ?

Message par zelande »

Oui ou que j'aille vivre chez mes parents ou des amis certains week-ends
C'est elle qui part du jour au lendemain et c'est moi qui suis invite a partir. Mais bon, j'ai decline pour le moment. C'est pas correct en effet. Je suis domicile a un endroit, je suis pas expulsable comme cela. Elle culpabilise et veut se rapprocher des enfants qui lui envoient des signaux negatifs.

-- Lundi 18 Janvier 2016 21:56 --

bon bah verdict médical : grosse carence en fer et en vitamine D depuis le mois de janvier 2015 et confirmé par une prise de sang récente.
Mais bon pour elle, c'est normal, elle boit trop de thé et ça va revenir. Il n'y a eu aucun impact sur son moral. J'ai pu lire que les niveaux faibles de vitamine pouvait jouer sur les coups de blues/deprime/depression. Elle a reconnu l'irritabilité suite à ce manque médical. Je la laisse cogiter un peu mais tout commence à concorder après la naissance du 2e, des constantes basses puis une reprise de taf difficile, puis la fatigue qui s'installe. etc etc
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