C'est un best-seller qui vient du Japon.
Je ne connaissais aucun des auteurs lorsque j'ai choisi de lire ce livre.
En réalité, c'est le titre qui a attiré mon attention car comme beaucoup de dépressif (je pense ?), j'attache bien trop d'importance au regard des autres.
Ce livre est sous forme de dialogues et s'inspire de la psychologie Adlérienne, appelée aussi psychologie individuelle.
Ça fait maintenant assez longtemps que j'ai lu ce livre et il faudrait que je le relise car, pour ma part, je pense qu'une seule lecture ne suffit pas.
Voici un résumé qui vous expliquera mieux que moi l'intérêt de ce livre :
Je dois bien avouer que de mon coté, j'ai toujours du mal à me passer du regard des autres mais j'espère un jour y arriver ou en tout cas y faire moins attention et réussir à vivre ma vie pour moi et non pas pour les autres.SOUS CE TITRE PROVOCATEUR QUI VA À L'ENCONTRE DE TOUT CE QUE L'ON NOUS APPREND DEPUIS NOTRE ENFANCE, ce livre, très accessible et profond, nous explique comment débloquer le pouvoir qui est en nous et qui ne demande qu'à s'épanouir pour que nous soyons la personne que nous souhaitons vraiment être. Et cela, sans tenir compte du regard des autres, sans nous soucier de leur approbation. En s'appuyant sur les théories d'Alfred Adler, l'un des trois géants de la psychologie du début du xxe siècle aux côtés de Freud et de Jung, ce livre suit une conversation éclairante entre un philosophe et un jeune homme. Le philosophe explique à son élève comment chacun d'entre nous est capable de déterminer sa propre vie, sans les entraves des expériences passées, des doutes et des attentes des autres. C'est une façon de penser profondément libératrice, nous permettant de développer le courage de changer et d'ignorer les limites que nous et les personnes qui nous entourent peuvent nous imposer. VÉRITABLE PHÉNOMÈNE DE LIBRAIRIE EN ASIE, CE LIVRE A DÉJÀ CHANGÉ LA VIE DE MILLIONS DE PERSONNES.
Si des fois quelqu'un a lu ce livre... Ou un livre du même style... N'hésitez pas à répondre à ce post !
Au plaisir de vous lire,
Phil