Comment êtes vous perçu par votre entourage?
Règles du forum
Avant d'ouvrir un nouveau sujet dans cette partie du forum, pensez à utiliser Les moteurs de recherche du forum.
Un point bleu s’affiche devant les messages sans réponse
Avant d'ouvrir un nouveau sujet dans cette partie du forum, pensez à utiliser Les moteurs de recherche du forum.
Un point bleu s’affiche devant les messages sans réponse
- Lynci
- Messages : 6
- Enregistré le : mercredi 11 février 2009 0:01
Pour les gens n'étant pas depressifs, il est clair que cette maladie semble irréelle, et il peut etre difficile d'admettre son existence puisqu'elle n'est pas visible, mais psychique. Et quand on pousse un appel à l'aide pour dire que la souffrance est là, et bien réelle, ce message peut être mal interprété, ou pire, ignoré. Mais tout dépend des personnes autour de soi, si elles sont compréhensives. Dans ma famille, je pense être vue comme une fénéante, nonchalante et trop gatée. Pourtant mon incapacité à agir quand il le faut, me met dans des états de stress, d'angoisse et de souffrance.
- Darkness
- Messages : 624
- Enregistré le : lundi 09 février 2009 19:49
Pour moi la plupart des gens que je suis sans problèmes, que je suis bien, etc
Simplement un gars un peu bizarre sans histoire ^^
Chuis plutôt du genre à essayer au max de cacher quand je vais pas bien, seules certaines personnes savent un peu par où je suis passé certaine fois, et encore, je suis pas du genre à tout raconter non plus, beaucoup de mal à me confier aux autres
Simplement un gars un peu bizarre sans histoire ^^
Chuis plutôt du genre à essayer au max de cacher quand je vais pas bien, seules certaines personnes savent un peu par où je suis passé certaine fois, et encore, je suis pas du genre à tout raconter non plus, beaucoup de mal à me confier aux autres
- luna13
- Messages : 938
- Enregistré le : mardi 07 octobre 2008 0:33
Moi, on ne m'a dit comment on me considérait!!
depuis cette dépression majeure que je me traîne encore
par contre avant, quand je déprimais moins fort
et que j'étais encore dans la vie sociale
on me disait que j'avais tout pour moi:beaux enfants, mari travailleur, maison,
quoi tout pour être heureuse
Je ne le nie pas mais le problème est ailleurs
depuis cette dépression majeure que je me traîne encore
par contre avant, quand je déprimais moins fort
et que j'étais encore dans la vie sociale
on me disait que j'avais tout pour moi:beaux enfants, mari travailleur, maison,
quoi tout pour être heureuse
Je ne le nie pas mais le problème est ailleurs
- alésia
- Messages : 3176
- Enregistré le : lundi 23 juin 2008 12:55
je ne sais pas...
je crois que je suis percu comme la femme "battante" mais çà cest la psy qui me la dit.
apparemment au cmp on me voit comme çà...s'ils savaient vraiment...
les autres?
je sais pas.
pour ma soeur, je suis une grande sensible qui fait la forte.. (elle est pas loin)
apres cest...
egoiste,
mechante,
sure d'elle,
...
je crois que je suis percu comme la femme "battante" mais çà cest la psy qui me la dit.
apparemment au cmp on me voit comme çà...s'ils savaient vraiment...
les autres?
je sais pas.
pour ma soeur, je suis une grande sensible qui fait la forte.. (elle est pas loin)
apres cest...
egoiste,
mechante,
sure d'elle,
...
-
- Messages : 23
- Enregistré le : jeudi 19 février 2009 14:52
alors par mes proches ( parents, compagnon....), disons que ça va bien maintenant, il faudrait que je me bouge le derrière!mon compagnon ne supporte pas que je sois arrétée, et me répète souvent qu'il serait temps de retravailler....................
j'avais une "amie" que je ne vois plus: elle m'a dit que elle, elle aurait eu des raisons de déprimer mais qu'il suffisait de le vouloir et ça passait!
un couple d'amis par contre me soutient vraiment, et heureusement que je sais pouvoir me confier auprés d'eux!
globalement, je suis une feignasse de fonctionnaire qui ne travaille plus depuis 2 ans, alors que fonctionnaire, c'est pas la mer à boire!!!!!!
ah si, mon frère essaie de me soutenir, mais il n'est pas trés souvent là, dommage........................
j'avais une "amie" que je ne vois plus: elle m'a dit que elle, elle aurait eu des raisons de déprimer mais qu'il suffisait de le vouloir et ça passait!
un couple d'amis par contre me soutient vraiment, et heureusement que je sais pouvoir me confier auprés d'eux!
globalement, je suis une feignasse de fonctionnaire qui ne travaille plus depuis 2 ans, alors que fonctionnaire, c'est pas la mer à boire!!!!!!
ah si, mon frère essaie de me soutenir, mais il n'est pas trés souvent là, dommage........................
- claudine
- Membre d'honneur
- Messages : 6742
- Enregistré le : mardi 05 décembre 2006 19:30
-
- Messages : 23
- Enregistré le : jeudi 19 février 2009 14:52
ben oui........
c'est vrai qu'elle a perdu un oeil, et que je l'ai aidée au mieux pour traverser tout ça, ma dépression est arrivée longtemps aprés.
mais au début, ça me faisait encore plus culpabiliser, puisque je n'avais pas de "vraie raison". il a fallu du temps pour que je m'accepte malade, donc indépendant de ma volonté
c'est vrai qu'elle a perdu un oeil, et que je l'ai aidée au mieux pour traverser tout ça, ma dépression est arrivée longtemps aprés.
mais au début, ça me faisait encore plus culpabiliser, puisque je n'avais pas de "vraie raison". il a fallu du temps pour que je m'accepte malade, donc indépendant de ma volonté
- la rosée
- Messages : 30
- Enregistré le : vendredi 13 février 2009 10:37
Les amis m'ont lâchés durant ma tuberculose (peut être de crainte de l'attraper)
Le téléphone ne sonne jamais pour moi, personne ne vient jamais me voir.
J'ai perdu mes parents en 2000 et 2002 de cancers.
Fille unique : je suis seule.
Biensur j'ai un mari et deux enfants.
Mais je me sens vraiment abandonnée.
Les gens me voient comme une fénéante : ceux qui savent que je suis en arret maladie.
Je pense que si on est pas passé par la dépression on ne comprend pas.
Les gens ne sont vraiment pas tolérant
Le téléphone ne sonne jamais pour moi, personne ne vient jamais me voir.
J'ai perdu mes parents en 2000 et 2002 de cancers.
Fille unique : je suis seule.
Biensur j'ai un mari et deux enfants.
Mais je me sens vraiment abandonnée.
Les gens me voient comme une fénéante : ceux qui savent que je suis en arret maladie.
Je pense que si on est pas passé par la dépression on ne comprend pas.
Les gens ne sont vraiment pas tolérant
- Regin
- Messages : 53
- Enregistré le : mardi 25 novembre 2008 22:31
Comment je suis perçue par "les gens" (c'est à dire tout ceux que je connais mais dont je ne suis pas proche), je saurais difficilement le dire. Certains doivent penser que je n'ai pas de raison d'aller mal, et se désintéresser de mon cas avec un fond de dédain. D'autres, en plus grand nombre, doivent se sentir désolés pour mes parents. Et le reste n'est pas au courant ou n'en a cure.
Mais avec mes parents, j'ai de la chance. Malgré des débuts difficiles (elle a pensé aussi que j'étais feignante dans un premier temps, elle venait m'arracher du lit pour me mettre au travail, me disait des mots durs pour stimuler ma volonté, bref), ma mère me soutient désormais tout à fait.
Trop, peut-être, vu qu'elle cherche des solutions dans la médecine parallèle et m'a fait essayer des centaines de méthodes et remèdes divers parfaitement inefficaces, de sorte que si je devais replonger vraiment, j'éviterais de lui en parler. Mais pour l'instant, tout semble au mieux entre nous. Elle m'encourage à me trouver un travail, est même prête à écrire mes lettres de motivation car ça me bloque complètement (même si je sais rédiger).
Mon père s'est montré tres compréhensif, en dépit de son volontarisme qu'il espérait me transmettre, en vain. Mais contrairement à ma mère, je sais que sa patience a des limites.
Mais avec mes parents, j'ai de la chance. Malgré des débuts difficiles (elle a pensé aussi que j'étais feignante dans un premier temps, elle venait m'arracher du lit pour me mettre au travail, me disait des mots durs pour stimuler ma volonté, bref), ma mère me soutient désormais tout à fait.
Trop, peut-être, vu qu'elle cherche des solutions dans la médecine parallèle et m'a fait essayer des centaines de méthodes et remèdes divers parfaitement inefficaces, de sorte que si je devais replonger vraiment, j'éviterais de lui en parler. Mais pour l'instant, tout semble au mieux entre nous. Elle m'encourage à me trouver un travail, est même prête à écrire mes lettres de motivation car ça me bloque complètement (même si je sais rédiger).
Mon père s'est montré tres compréhensif, en dépit de son volontarisme qu'il espérait me transmettre, en vain. Mais contrairement à ma mère, je sais que sa patience a des limites.
- fée
- Messages : 714
- Enregistré le : lundi 11 février 2008 15:55
Pour mon mari je me sous estime beaucoup trop et trop souvent
Suis une grande râleuse
Pour mon fils je préfère pas savoir ce qu'il pense vraiment
Ma mère me répête qu'il faut garder espoir, qu'il y a pire dans la vie etc...
Le reste de la famille j'en sais rien
Mes amies même si je les vois pas souvent, elles me respectent et nos conversations sont des échanges et non des jugements, je crois que c'est pour cà que je les considère comme des amies et depuis peu de temps.
Les autres qui étaient soit disant les amis j'ai fini par m'en passer ou avoir des nouvelles brèves puisque mes soucis ne sont pas les leurs, je me sens trop différente d'eux.
Voilà
Suis une grande râleuse
Pour mon fils je préfère pas savoir ce qu'il pense vraiment
Ma mère me répête qu'il faut garder espoir, qu'il y a pire dans la vie etc...
Le reste de la famille j'en sais rien
Mes amies même si je les vois pas souvent, elles me respectent et nos conversations sont des échanges et non des jugements, je crois que c'est pour cà que je les considère comme des amies et depuis peu de temps.
Les autres qui étaient soit disant les amis j'ai fini par m'en passer ou avoir des nouvelles brèves puisque mes soucis ne sont pas les leurs, je me sens trop différente d'eux.
Voilà
- choucoulate
- Messages : 37
- Enregistré le : samedi 07 mars 2009 17:29
Personne autour de moi ne se rend compte de mon état car j'ai pris l'habitude de cacher mes sentiments par honte car je n'arrive pas à en parler à mes proches. Par contre on ne cesse de me reprocher d'ètre pessimiste et de me rabaisser mais ça s'arrète là.
Les jours où je vais vraiment mal, je m'isole le plus possible, il m'arrive mème de sécher le lycée pour ne pas qu'on me vois.
Mais quoi qu'il arrive je resterai toujour la gentille fifille avec son grand sourrir d'hypocrite et qui va super bien car je ne veux pas qu'on me juge.
Les jours où je vais vraiment mal, je m'isole le plus possible, il m'arrive mème de sécher le lycée pour ne pas qu'on me vois.
Mais quoi qu'il arrive je resterai toujour la gentille fifille avec son grand sourrir d'hypocrite et qui va super bien car je ne veux pas qu'on me juge.
coucou
Pr mon cas...mes parents me voyaient comme qqn qui se crée des "pb" toute seule, que ct du cinéma, même quand j'en parle autour de moi j'ai l'impression que les gens ne me croient pas et qu'ils pensent que je joue un rôle...je sais pas mais c pas du tout un plaisir de se plaindre, de prendre des medocs.
Mes parents ont "acceptés" que j'avais surement un pb, pcq du coté des femmes de la famille on se ressemble bcp, surtout avec ma cousine ...
J'arrive à aller "bien", quand je suis au travail je ne laisse rien paraitre, tjr gentille et souriante, du coup dès que j'ai pas le moral je culpabilise.
J'ai plus envie de faire grand chose, ya plus rien qui m'interesse vraiment, je dirais que je survis, des amis m'invitent à sortir parfois alors je le fais mais bon j'ai souvent une préférence pr rester ds ma couette mais je me force à le faire.
Mais je sais pas cmt retrouver le gout des choses, il m'a quitté ya qq semaines et ca ne fait que renforcer la chose, mm si seule je n'ai plus de toc, mais les rechutes sont dures et son désintérêt à mon égard est d'autant pénible que je ne me reconnais plus trop.
J'ai tellement changé depuis tout ca, je suis devenu perfectionniste, rien n'est jamais assez bien , je me laisse aller, j'ai envie de rien faire, juste me cacher
Pr mon cas...mes parents me voyaient comme qqn qui se crée des "pb" toute seule, que ct du cinéma, même quand j'en parle autour de moi j'ai l'impression que les gens ne me croient pas et qu'ils pensent que je joue un rôle...je sais pas mais c pas du tout un plaisir de se plaindre, de prendre des medocs.
Mes parents ont "acceptés" que j'avais surement un pb, pcq du coté des femmes de la famille on se ressemble bcp, surtout avec ma cousine ...
J'arrive à aller "bien", quand je suis au travail je ne laisse rien paraitre, tjr gentille et souriante, du coup dès que j'ai pas le moral je culpabilise.
J'ai plus envie de faire grand chose, ya plus rien qui m'interesse vraiment, je dirais que je survis, des amis m'invitent à sortir parfois alors je le fais mais bon j'ai souvent une préférence pr rester ds ma couette mais je me force à le faire.
Mais je sais pas cmt retrouver le gout des choses, il m'a quitté ya qq semaines et ca ne fait que renforcer la chose, mm si seule je n'ai plus de toc, mais les rechutes sont dures et son désintérêt à mon égard est d'autant pénible que je ne me reconnais plus trop.
J'ai tellement changé depuis tout ca, je suis devenu perfectionniste, rien n'est jamais assez bien , je me laisse aller, j'ai envie de rien faire, juste me cacher
-
- Sujets similaires
- Réponses
- Vues
- Dernier message