Mes rendez-vous, mon suivi avec l'alcoologue

[lilith]

bon mardi j'ai u mon 2° avec ce medecin ... dans un centre spécialisé ....

alors pour situer, je bois quasi quotidiennement depuis des années ... mais pas au point d'etre bourrée, de perdre le controle généralement et uniquement quand je n'ai aps de contrainte professionnelle ou domestique ... donc ca ne m'a pas encore causé de gros problemes ...

seulement voila ca fait maintenant un an que j'essaie d'éliminer ce comportement déplacé qui vise à me descendre des bonnes dose de rhum pour me détendre / reposer et arreter un peu le cerveau .....

voyant que je n'arrivais pas à grand chose j'étais donc allée voir cet alcoologue...; bilan de la 1° séance : j'ai effectivement un comportement à risque, j'ai bein fait de venir mais je ne suis pas dépendante physiquement pour le moment, on va donc éviter les cachets : soulagement ....

sauf qu'entre temps g pas fait des masses d'efforts ...

j'ai vraiment du mal à envisager l'abstinence à vie ...... mais là elle m'a quand meme balancer que pour que l'alcool ne prenne plus une telle place dnas ma vie, il allait falloir en passer par une longue longue periode de rien du tout ..... que le rien c plus facile à gérer que le un peu ....


alors je cogite dnas tous les sens .....
j'arrive pas à me sentir décidée mais je sais que j'ai aps le choix ....


j'ai pas envie de tomber plus bas pour enfin me relever .....
je sais que boire ca augmente le sentiment de tristesse, la dépression ...
mais g peur de me lancer ... peur de ne pas y arriver ? peur d'y arriver ? peur de ce que serrai une vie sans alcool ?????

[eternelletristesse]

Bonjour,

Je voulais juste te dire que je t'avais lu. C'est très courageux de faire la démarche vers un alcoologue c'est que tu es conscient que tu as un problème.

Moi j'ai vécu avec un alcoolique qui n'a jamais reconnu son pb, mais ce que je peux te dire c'est que quand le médecin te dit "rien c plus facile que peu" c'est vrai. Parce qu'en fait dans le "peu" cela signifie qu'il y a une bouteille, de l'alcool dans la pièce qu'on pourra en reprendre si on veut et çà peut vite dégénérer. Alors que "rien" signifie que c'est pas ici que tu boiras et tu passeras ta soirée sans te poser la question, où elle est la bouteille?

J'ai oublié de te dire bon courage dans le choix que tu feras.

[lilith]

merci de ton soutient .....

ce qui est drole dans l'histoire c que j'ai arreter de fumer du jour au lendemain, sans raison, sans préméditations, sans y penser ........ comme ca ... pour voir combien de temps je tiendrais et par curiosité de la vie sans clope ...........

j'ai pas repris depsui plus d'un an ........

et là j'arrive pa à faire pareil avec l'alcool............. :


toute la journée je me dit :"tu ne bois pas aujourd'hui !"
et le soir à la maison ......................
et si je suis toute seule c pire, je sais d'avance que je tiendrai pas ......

j'arrive pas à m'imaginer capable de ca ....

[Hope]

Bonjour lilith,

Tout cpmme les autres membres, je ne peux que te féliciter pour ton choix.
Aller demander de l'aide et faire analyser ton comportement auprès de cet alcoologue, c'est déjà une démarche très positive !
Je vis moi aussi avec un alcoolique, mais pour qui c'est bien plus grave que pour toi .... je ne peux donc qu'approuver ta décision avant que ça ne t'emmène trop loin.

Pour ce qui est du fait de "tenir", je pense que mon mari pourrait t'en parler ..
Personnellement, je ne sais pas ce que c'est, mais là où je suis d'accord comme eternelletristesse, c'est que "rien est mieux qu'un peu". Elle a bien résumé, le rien empêche toute tentation.
Jusque là, mon mari a aussi toujours cru que de boire occasionnellement ne le ferait pas rechuter et à chaque fois ça a été pire que la fois précédente.
En fait, comme toi je pense qu'il n'arrivait pas à accepter l'idée d'une vie sans alcool du tout. J'espère qu'un jour il finirat par l'accepter ... En fait je pense que ce genre de comportement est ancré depuis tellement longtemps en toi, même inconsciemment, qu'aujourd'hui tu as du mal à voir comment ça pourrait être autrement, c'est normal. C'est un peu comme un saut dans le vide : au début ça fait peur mais une fois qu'on l'a fait, on se sent mieux.

Il est normal que tu te poses des questions, que tu ais peur, mais je peux te garantir une chose pour l'avoir vu de mes propres yeux : l'alcool peut vraiment vous emmener très loin ... Et le fait d'arrêter maintenant sera plus facile que si tu deviens en plus dépendante physiquement. En ce moment même mon mari est hospitalisé, il est en phase de sevrage et je peux te garantir qu'il déguste. Je ne veux pas te faire peur, mais juste te faire comprendre que tu en ais encore "au début" de ton alcoolisme et que de régler le soucis maintenant sera bien plus simple que d'attendre que ça n'empire.

Il fallait aussi que je te demande autre chose : est ce que tu sais pourquoi tu bois ? Ma question est peut être trop directe je m'en excuse, mais il faudrait que tu trouves la cause à tout ça. Petit à petit tu t'es laissée prendre au piège sans t'en rendre compte, mais à la base, le pourquoi du besoin de calmer ton cerveau, tu le connais ?
L'alcoolisme cache tjs un malêtre et je pense qu'en parallèle, pour te sortir de là, il faut aussi éradiquer la cause, sinon tu risques de replonger.

En tout cas tu as tout mon soutien et je t'admire pour ton courage !

[lilith]

merci beaucoup hope pour ce message !...
je te souhaite aussi beaucoup de courage aisni qu'a ton mari .....

pour ta question non elle pas trop direct y a pas de soucis !

je sais que j'ai jamais u un rapport sain avec l'alcool, ca a toujours été "trop" ... et souvent pour "s'intégrer", "faire la maligne" .....

après on se sent plus à l'aise, plus malin avec..... on à l'impression qu'on rigole mieux comme ca .....

et pis en ce qui me concerne c un des seuls "trucs" qui me permet de "débrancher le cerveau" (sinon je pense en continue et c très fatiguant, comme une tv toujours allumée....) donc on s'en sert pour décompresser, se calmer... se mettre dans de bonnes dispositions ....

alors oui y a un manque de confiance, un besoin de reconnaissance

et pis aussi ce fouttu truc bizard qui fait que mon cerveau tourne tout le temps ......

[Hope]

Merci de m'avoir répondu.

Je crois vraiment qu'il serait bon en parallèle de ton alcoologue, de voir un psy, peut être un psy comportementaliste, qui pourra t'aider à analyser ta relation avec l'alcool, et t'aider à combler ce vide que tu tentes de remplir, ainsi que ton manque de confiance en toi.
As tu envisagé de te faire prescrire un médicament à la place ? Si tu as des angoisses, pour "reposer ton cerveau", pour dormir, il existe de bons traitements, parle en.

Les deux allant de paire, je suis sure que tu peux y arriver ! La volonté est vraimen la clé dans les problèmes d'alcool, bien sur ça n'est pas tout, mais il en faut beaucoup, c'est malheureusement un combat quotidien que tu devrais faire pour le reste de ta vie, je sais que ça n'est pas juste, mais c'est pour ton bien, et tu verras qu'une autre vie est possible sans alcool.

Je te remercie pour tes encouragements, ton histoire m'intéresse beaucoup parce que ça m'aide aussi à comprendre pas mal de choses.

[lilith]

c vraiment bien d'échanger avec toi aussi !!!

alors je vais dans un centre de cure donc c l'avantage c'est que j'ai aussi la psychologue en prime !

et pis à la base je suis suivi par une psychiatre ....

donc elle s'y mettent à 3 pour me sortir de là !!!

j'ai des somnifère et des anxyo, j'ai meme pris du tercian aussi mais j'ai vite arreter celui là : j'augmentai les doses ^pour ressentir l'éffet....

dans tout ca rien ne bloquait ou meme ralentissait me neuronne tous fous ......

seul le canabis fonctionnait vraiment ..... mais ca non plus c pas bien....

ton histoire est aussi indirectement la mienne, mon père aussi est alcoolique......

[claudine]

Bonsoir Lilith,

Je suis entièrement d'accord avec Hope, dans le sens où un psy pourrait te faire prendre conscience de la cause exacte de ton besoin de boire

Tu as besoin de te faire aider par un professionnel

Courage

[lilith]

ben là avec 2 psy ca va aller encore mieux alors ????

plus sérieusement j'ai hate de revoir la psychologue, c'est pour lundi. j'avais finalement bien apprécié le premier contact ! c'était direct mais efficace ...

[Hope]

Tu consulte dans un centre de cure ?
Je trouve ça très bien, si nous avions ça ici ça aiderait pas mal !
Mon mari avait commencé un séjour dans un centre de cure, il devait y rester 28 jours mais il n'a pas tenu, les piqures qu'ils lui faisaient pour se débarasser de l'alcool l'ont rendu malade ...

Effectivemment, tu es bien entourée, avec ça tu devrais y arriver !

C'est fou, pas mal de personnes que je connais ont eu le même problème que toi avec le tercian. Surtout s'il est en gouttes apparemment on peut pas mal jouer avec les doses ...
Là à l'HP ils en ont remis à mon mari aussi, 3 fois 25 par jour, mas il a du mal avec, ça l'assome de trop (il prend aussi des AD, des somni et du valium ...) ça fait trop mais bon, c'est la seule chose qui le calme en cette dure période de sevrage vu que les médocs spéciaux pour aider au sevrage alcoolique il les supporte mal ...

Enfin bref, tu sais, le fait que ton père ait été alcoolique doit aussi beaucoup jouer sur ta relation avec l'alcool.

Il faut te libérer de ce que ton père a pu faire de travers à cause de ça pour que toi tu puisses avancer dans la vie sans ce poid.

[Procrastina]

Hello Lillith

D'abord bravo pour tes efforts, voir l'alcoologue etc

Ensuite je voulais te dire, dans toute addiction, il y a une identification au "personnage consommateur" que l'on incarne, tu vois ce que je veux dire ?

Être fumeur, c'est pas juste tirer des lattes de nicotine, c'est aussi ben "être fumeur", il y a une gestuelle, des rituels (la première clope du matin, celle après le café etc), il y a les zones fumeurs où on se retrouve entre fumeurs etc.
C'est pareil pour les autres drogues, cela nous intègre dans un cercle, nous offre la possibilité de nous raccrocher à un personnage qui nous rassure parce que c'est facile à jouer : je trinque avec vous, je suis dans l'autodestruction comme vous, ou jusqu'au boutiste comme vous, je brave la mort mieux que vous etc.

En fait quand tu arrêtes une drogue, tu apparais en tant que personne soucieuse de sa santé. Craintive des risques éventuels.
Surtout, tu apparais, avec ce que tu veux de mieux pour toi, avec ton souci pour ton avenir, et ta contradiction vis-à-vis des autres qui continuent, et vis-à-vis du personnage de toi qu'ils connaissaient. Pas fastoche à assumer, mais tu peux le porter, faut le porter bruyamment et fièrement !

Alors voilà, la question je pense à se poser, c'est pourquoi c'est si difficile d'exister seule, sobre, droite dans ses basquets avec son besoin de mettre des limites à sa conso. Pourquoi vouloir être en bonne santé, c'est si difficile à assumer comme désir ?

Pourquoi vouloir le bien pour soi, ce serait inacceptable... ?

Enfin bref, voilà, l'aspect identification, je pense, joue énormément. Abandonner l'alcool, pour toi, c'est abandonner qui ?

courage ma belle

[choupette]

Bonsoir Lilith

Bravo qu'elle courage.
L'étape que tu as faite me parais déjà extrêmement importante .

faire la démarche d'aller voir quelqu'un de spécialisé pour voir comment faire .Et prendre conscience de sa dépendance ,chapeau.

Bon courage pour la suite.

[lilith]

merci beaucoup pour vos messages !!!

hier rien .... c'est même bien passé !

voila une bonne chose de faite !

Hope >> heureusement, le comportement de mon père a juste précipité un peu le divorce mais rien de vraiment grave .... enfin si son décès... les conséquences sur son organisme ont été incurable, meme après 3 années de sobriété il était encore touché par certaines choses qui ont causé un accident ...

merci beaucoup choupette !

Proc >> rah ! toi !
voila vriament matière à réflexion ! oui effectivement les consommation amène un ensemble comportemental et les stopper c'est enlever une peau, un déguisement ..... sauf que pour moi c'était des faces entière de ma personnalité e toui j'ai du mal à recentrer sur d'autres face .....
bizarrement stopper les joints ca allait bien puisque je ne fréquentais presque plus d'autre consommateurs donc plus le probleme de la personnification .....
pour la cigarette, de meme, la majeur partie de mes fréquentations étant non fumeur ....... ca aide ...........

mais là l'alcool .... c une marque au fer rouge : elle a une bonne descente, elle crache pas sur un verre ...
et cette drogue la est tellement répandue dans notre société ....

comme tu dis gros gros travail de réfelxion sur le comportal, l'incarnation....; le personnage et le moi ..........
ayant toujours eu peur de l'abandon, du rejet... envie d'etre intégrer dans les groupes sociale, c pas facile de sortir et de claquer la porte du plus fameux et du plus large d'entre eux ..........

je crois que le plus simple serait de faire croire à une grossesse ! on me foutterait la paix ....
ah oui mais non après on va me gonfler pour que j'en fasse un pour de vrai ......

[senna]

oui mais c'est pas bete ce que dit procrastina.
tu peux aussi renvoyer l'image de la fille saine et dynamique!

[lilith]

oui senna faut que j'arrive à me contruire une nouvelle "image" .... à trouver le nouveau reflet social qui me plaira ......

bon heu dynamique .... moyen ..... et pis saine ..... ben faut que je dégage le skilos en trop et ca pourrait etre crédible ....

mais c clair que c pas bete ! c meme primordial !!!!!!! mais ca fait beaucoup cogiter .....
abandonner l'alcool c aussi abandonner la dernière part de ma jeunesse insouciante, celle qui s'imaginait encore plus de chose, qu'elle aurait une vie, un job et tout exceptionnel .... qui voulait qu'on l'admire ....
c aussi se résoudre à laisser tomber ses reves pour entrer de plein pied dans la froide réalité de la banalité .......

c mettre une croix sur les longues années festives entourée de gens si ce n'est d'amis ... tourbillannte de vie ... pour sombrer dans la solitude du quotidien de la vie d'adulte ......

bon oui vu comme ca c pas drole .... mais c un peu ca le probleme c que pour le moment la vie sans alcool pour moi c pas drole .... c triste froid, résigné ....
tout le monde me dit que c pas vrai .... mais la difficulté c que pour le moment j'ai aps trouvé la lumière dans ce nouveau couloir ....

désolée pour le pavé hein je réfléchi "a haute voix" .....

[eternelletristesse]

Bonjour Lilith,

Ce que tu écris me touche profondément pour avoir vécu avec un alcoolique qui je pense comme toi aurait penser perdre presque sa joie de vivre s'il ne pouvait plus boire.

Mais l'alcool seule dans ton coin, est ce cela la festivité, la joie de vivre, l'inscouscience? N'est ce pas au contraire rentrer dans une solitude intérieure et ne croire que seule notre bouteille nous aime?

Je suis désolée si je peux choquer avec mes propos, mais je dis les choses comme je les vois moi, ex compagne d'une personne qui buvait

[lilith]

tu as complètement raison !

c vrai que quand on pense alcool 0 en pense tout de suite au moment ou on boit avec les autre s.....

mais c vrai que le problemes c les moments ou on boit seule .... et c vrai que c s'enfermer encore plus dans la solitude tu as complètement raison !!



c dingue comme le cerveau ne pense que à ce qu'il veut .....

c pour ca que je préferre réfléchir à haute voix avec vous ! ca aide !

[eternelletristesse]

Si on peut t'aider à quelquechose, penses tout haut autant que tu le souhaites.

Tu reconnais que les moments qui sont les plus "mauvais" sont ceux où tu bois seule... alors je voudrais savoir si ces moments où tu bois seule sont plus nombreux que ceux où tu bois pour des fetes et trinquer à quelquechose?

Encore une fois ce n'est pas un interrogatoire, je ne te juge, je veux juste t'aider...

Courage

[coconut]

bonjour,
en tant qu'ancien alcoolique,si je peux t'aider,dis le moi.
le plus dur est de décider.C'est étrange mais de voir la vie sans alcool quand on boit,c'est comme voir le diable.C'est tabou.Je ne sais pas bien expliquer.Mais,c'est vrai que ça change la perception de la vie.Les problèmes restent,bien sûr,mais on les voit mieux.
ensuite,j'ai tendance à penser que seule une cure de désintoxication est efficace.Il faut couper un moment avec les vieilles habitudes,les copains alcolo,...
Pour t'encourager,je peux te dire que c'est plus difficile d'arrêter de fumer que de boire.Je sais bien que l'alcool est une drogue dure mais,en tout cas en ce qui me concerne,je pense plus à la cigarette maintenant.Elle est devenue un rempart à l'alcool.Si ,un jour,je devais craquer je refumerai d'abord.Bon,j'ai gérer ça comme ça,chacun fait ce qu'il peut.
Enfin"le rien est plus facile à gérer que le peu" c'est drôlement vrai.Au début rien de rien(moutarde,parfum sur la peau,verification des étiquettes sur les produits,c'est dingue il y a de l'alcool partout) ensuite tu vois.
Alors c'est décidé?
ps:il faut trouver une boisson de compensation(moi c'est le déca)même si certains psy disent que ce n'est pas vrai.Bon pas du pastis sans alcool ou de la bière à 0°(ç'est jamais vrai 0°)
bise

[lilith]

malheureusement je bois plus souvent seule .... faut dire que j'ai plus beaucoup d'amis aussi ... ceux qui restent sont globalement ceux de me mon copain qui veulent encore bien me voir et que je veux encore bien voir .....

et quand je bois avec d'autre amis c raisonnablement ! pas de beuveries !!!!! quelques verres de vins un ou deux apréos mais rien de grisant .....
faut pas non plus risquer les dérapages publiques ....

j'arrive pas à me décider, à me motiver ..... autant la clope ca s'est bien passé du premier coup autant là ........

je sais aps si comme si d'un sens je voulais pas vraiment me jetter à l'eau ...... j'ai peur .... d'échouer ! mais aussi de ce qui peut advenir d'une réussite ....
et dans une coin de me monde crane je me dis que c fouttu d'avance et pis que de toute façon ca n'arragerait pas ma vie .....
je sais que c pas vrai ! mais j'arrove pas à me convaincre ...

j'ai rien trouvé de substitution ..... rien du tout ... nin boisson ni activité ni compensation ....


bon ce soir je vois la psy du centre .... j'ai hate ......

merci à vous très sincèrement !