Posez n'importe quelle question..et le prochain repond

[Emeraude117]

Titeuf.... non, enfait non.

Etienne, je trouve que ce prénom est joli.

La pire chose que tu aies mangée ?

[bandit]

(Posez n'importe quelle question..et le prochain repond
Il te manque une question à la fin de ton message )

[Emeraude117]

Voilà j'ai édité mon message

[bandit]

( )

[ShatteredHeart]

La pire chose que tu aies mangée ?

Du nattô.


La dernière chanson que tu as écoutée ?

[Emeraude117]

Je crois que c'était une chanson de Pink Floyd ou des Rolling Stones (J'adore les Rolling Stones).

Quelle est la dernière pâtisserie que tu as mangée ?

[jane]

Un cake

As tu passé un bon dimanche ?

[Emeraude117]

Bof, pas trop, ennuyeux et j'ai été contrariée..

Quelle est ton actrice préférée ?

[MarlaSinger]

J'en ai pas vraiment de préférée... Personne dont je connaisse vraiment l'oeuvre entière, mais j'aime bien Helena Bonham Carter (qui l'eût cru ?) et Isabelle Huppert.

Si tu avais le pouvoir de devenir invisible, que serais-tu tenté(e) de faire ?

[Détachement]

Je crois que j'en profiterais pour disparaître.

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Comment agis-tu quand quelqu'un pleure devant toi ?

[Emeraude117]

Je lui demande ce qui ne va pas, si il veut rester seul ou si il veut que l'on discute.

Quel est ton genre de musique préféré ?

[Ictavia]

J'aurais beaucoup de mal à dire que j'ai un genre de musique préféré. C'est vraiment du cas par cas. Je dirais que j'aime les choses qui se détache des genres auquel elles sont généralement associé. Aujourd'hui, j'ai eu le leitmotiv du film Enemy at the gate qui ne m'as pas lâché et hier, je pensais plus à des chansons dont j'apprécie les textes.

Est-il plus facile de savoir ce que l'on est que de savoir ce que l'on est pas ?

[Emeraude117]

Pour ma part j'aime beaucoup le jazz et le blues particulièrement mais pas que, dur de faire un choix.
Alors, ta question est très difficile , je dirais qu'il est plus difficile de savoir ce que l'on est malgré tout.
Sous quel angle se référer pour définir son identité: sociologique ? spirituel ? scientifique ? anthropologique ?
Sentiments, croyances et intériorité ou étude de tes actes et des tes mœurs au sein de la société.
Le tout ou l'individuel ?
Savoir qui l'on est c'est sans doute tout d'abord se poser la question: Qu'est ce que l'homme ?
Est-il un animal comme les autres ou est-il bien plus parce qu'il possède une conscience ? Notre âme est elle matérielle ou immatérielle ? Est-elle mortelle ou immortelle ? Notre existence a t-elle un sens ? Sommes nous complètement déterminés comme le pense certains philosophes ?
Ce sont des mystères éternels, et c'est aussi pour cela qu'il est compliqué de se connaître, il y a des questions métaphysiques qui planent sur nos vies pour l'éternité. Il est déjà difficile de savoir ce que l'on aime, comme le soulignait Godard dans "Vivre sa vie" me semble t-il il est très dur de savoir ce que l'on aime à 20 ans (les propos d'un philosophe qui discute avec le personnage féminin que joue Anna Karina) peut être que la maturité arrive après en éclaireur.
En revanche, pour ce qui est de ce que l'on est pas, on peut parfois le savoir très tôt grâce à des valeurs morales (venant de nous mêmes ou de la société, je ne sais pas, je ne saurais dire, peut être un mélange des deux) et la science actuelle semble pouvoir nous démontrer plus aisément ce que nous ne sommes pas que ce que nous sommes.
Une grande partie de notre fonctionnement cérébral est inconnu encore aujourd'hui, on a encore des progrès à faire !
Peut être que dans quelques années avec le progrès des neurosciences on découvrira qu'ont à telles capacités et que donc on peut se rapprocher d'un concept particulier pour définir notre identité.

Quel est ton philosophe préféré ?

[Emeraude117]

Il est plus aisé d'avoir conscience de nos limites que de nos capacités, toujours.

[Audette]

Platon !!! (En plus, sa République est carrément pratique pour caler ma porte)

Le meilleur de soi est-il possible ?

[Ictavia]

(je suis totalement d'accord avec ton précédent message, sauf en ce qui a trait à la maturité. J'aurais tendance à estimer celle-ci comme une chimère )

Il n'y a aucun philosophe qu'il m'ait été donner de lire avec lequel je me sens totalement en phase. Malgré tout, j'aime bien Nietzsche. Sa grandiloquence, son outrecuidance et son côté "troll-esque" m'ont toujours bien fait rire et j'apprécie le fait qu'il a surtout passé son temps à démontrer la vanité et la vacuité des diverses croyances de son temps.

Sinon ce n'est pas exactement un philosophe, mais j'ai bien aimé l'approche de Kundera face à vie dans son "insoutenable légèreté de l'être" (l'être a beau être léger, on ne peut en dire autant de ses titres de bouquins)
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Ho Ma réponse fût trop longue ^^
Je dirai non. Le meilleur est un idéal qui peut toujours être dépassé (j'ai l'air nietzschéen là ? )
Edit
Je dois ajouter que j'avais été particulièrement impressionner de la vivacité d'esprit de Platon en lisant La République. Simplement le fait qu'il y reconnaissait la femme comme fondamentalement égale à l'homme pour l'époque était quelque chose. C'est surprenant que ce texte nous soit demeuré intacte malgré la mainmise qu'a eu l'église sur la culture durant le Moyen Âge.
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Si tu pouvais t'inspirer d'une autre culture/société pour amener quelque chose à la réalité de ton pays, qu'importerais-tu et de quel endroit cela serait tiré ?

[Emeraude117]

Ah Nietzsche, moi aussi je l'aime bien, il apparaît en homme libre, une sorte de philosophe poète parfois tant sa plume pourrait nous sembler subtile.
C'est aussi un homme d'individualité, c'est en cela qu'il m'attire, ce qu'il dit du ressentiment et de la culpabilité m'a beaucoup éclairée aussi.
Beaucoup de marxistes en font un philosophe de droite, ce que je trouve dommage, est-ce que être de gauche et penser qu'ils y a des inégalités sociales devrait forcément nous laisser penser que le salut ne peut être qu'exclusivement collectif ? Je ne sais pas.
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Pour répondre à ta question, j'importerais peut être du Japon leur sens du respect d'autrui, ne pas incommoder les autres, que cela soit avec l'hygiène, le parfum, les attitudes
Quelques exemples: Les japonais portent un masque lorsqu'ils ont attrapé un virus pour ne pas contaminer les autres. Au Japon, les parfums les plus vendus sont des fleuris frais et proprets comme Kelly Calèche d'Hermès (pour femme), on trouvera très difficilement des parfums entêtants et opulents là bas, pas d'Opium d'Yves Saint Laurent, ou de parfums très sucrés et puissants.
Chez les femmes, les idoles ce sont Grace Kelly et Audrey Hepburn (pour l'élégance, le côté sage, bien éduqué), et ce n'est pas sans sens, puisqu'elles veulent êtres bien souvent sages et bien éduquées, pudiques.
Après, j'aime la France et d'autres pays européens aussi pour la spontanéité, le charme, la diversité, l'originalité, le caractère...que ce soit en terme de d'attitude ou de parfums.
Mais la pudeur qui existe chez les japonais peut me semblée rafraîchissante parfois.

Le philosophe contemporain que tu trouves le moins convaincant ?

[Audette]

(Emeraude, t'as oublié la question. J'en ai une pour toi : un acte manqué a-t-il toujours un sens ? )

[Emeraude117]

Je viens tout juste de m'en rendre compte et d'éditer - quelle étourdie -

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Je pense qu'un acte manqué témoigne souvent de quelque chose d'inconscient qui s'est manifesté - et dont la nature peut être très difficile à déterminer
- si j'oublie mon cv le jour de l'entretien, peut être que c'est parce que inconsciemment le monde du travail me fait peur et que je n'ai pas envie de grandir (là on entre dans de la psychanalyse).
Mais je dirais parfois oui, parfois non, tout dépend de l'acte manqué .
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Un mot que tu détestes ?

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(et je réédite encore après parce que je vois que je fais des fautes )

[Ictavia]

C'est triste à dire, mais je n'ai pas lu suffisamment de philosophes actuels pour répondre à ta question. Je n'aime pas tellement les courants de pensée humanistes actuel, mais dans quel mesure est-elle issue de philosophes ?

Pour le mot que je déteste, je pense à tout un tas de trucs vulgaires à caractère misogyne ou homophobe que je ne citerai pas ici

Tu préfères une langue étymologique ou phonétique ?