Avant tous ces événements, j'avais demandé à ma psy de changer d'AD. Parce-que je trouvais qu'Effexor ne m'aidait pas particulièrement. J'avais une sensation de fatigue continuelle. Pas envie de faire les choses. Pas vraiment stimulant quoi ! Auparavant j'avais Déroxat et je trouvais qu'il me convenait bien. J'étais active. Je travaillais. Les effets stimulant ont cessé fin 2011. On m'à prescrit,alors,Effexor. En mars dernier, quand je suis allée aux urgences, parce que j'avais une crise de panique aiguë, le psy de garde m'à dit que sûrement après tout ce temps (environ 5 ans)mon AD ne fonctionnait plus. Ni mes anxiolitiques (j'étais à 6 xanax 0,50 par jour---le maximum). Il m'avait prescrit du buspirone qui au demeurant s'est avéré inefficace. Et tout ça pour quoi ? rien d'autre qye la peur d'entrer en conflit avec sa collègue, ma psychiatre!
Quand j"en ai fait part à ma psy pour changer d'AD, sa réponse à été : "non,je ne change jamais d'antidepresseur comme ça. Il faut vraiment qu'il arrive un événement particulier pour que je le fasse !"
À bien y regarder, je me retrouve dans cet état physique à cause de son entêtement. Après toutes ces crises aiguës d'angoisses, de panique. Au moins 1 à 2 fois par jour. Elle aurait pu quand même se dire que quelque chose n'allait pas. Je me souviens que je l'appelais 2 fois par semaine tellement j'étais mal. Sa solution constituait à augmenter les doses de benzo et à vouloir m'hospitaliser. ce dont je n'ai jamais voulu.
Fin novembre 2015, Quand j'ai eu ma rechute, je lui ai téléphoné avec tous les symptômes cités plus haut: elle m'à répondu qu'elle n'avait pas le temps de s'occuper de moi, qu'il fallait que j'aille voir mon médecin généraliste. Jusqu'à notre prochain RDV, mi janvier 2016 Ét quand je suis allé voir mon médecin, je suis tombée sur un remplaçant, qui est devenu pratiquement hystérique ou est ce qu'il l'était vraiment ? quand il a vu mon état et les médocs que je prenais. Il m'a mise tout simplement à la porte.
Et c'est là que je me suis retrouvée aux urgences à nouveau pas prise en charge . En fin de compte abandonnée par tous ces médecins qui sont sensés vous soigner.
Pendant cette période hyper difficile, j'ai été soutenue par mon psychologue qui a augmenté les consultaions à 2 fois par semaine . Quand il a vu que ma santé s'étiolait et surtout que mon moral partait en vrille à vitesse grand V. Il a lui même pris les devant et s'est procuré l'agenda de ma pychiatre. J'ai pu obtenir un rdv une semaine plus tôt. C'était la période des vacances d'hiver. Elle était absente. Tous absents. Mon dieu ! j'ai souffert
Entre fin novembre 2015 et le 05 janvier 2016 (rdv avec ma psy) j'ai perdu 20 kg. Je ne mangeais rien. Je n'ai été prise en charge par aucun médecin.
Ça m'était déjà arrivé lors de ma toute première dépression. Je ne comprenais pas ce que j'avais. Mon médecin traitant de l'époque a été incapable de poser un diagnostique sur ce qui m'arrivait. il m'a dit de sortir et de ne revenir que lorsque je serais guérie !
J'avais des sacs de médicaments à ingurgiter par jour que cela avait horrifié les médecins des urgences. Surtout que les prescriptions ne convenaient pas à ma pathologie. Ils m"ont dit que ce médecin était incapable de prescrire de médicaments psy. Là ils m'avaient dirigé vers une structure qui m'a immédiatement prise en charge
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À moins que tu me dises que sous Effexor, tu as un moral d'enfer, alors là ça serait un mal pour un bien, mais sinon... 
Ça empêche les crises, mais au final, c'est un pansement sur une blessure, mais ça ne soigne pas la blessure