Sevrage de la Venlafaxine (Effexor)

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Morgane1389
Messages : 33
Enregistré le : lundi 19 juin 2023 9:36

Sevrage de la Venlafaxine (Effexor)

Message par Morgane1389 »

Bonjour , le doc m a arrêtée la paroxetine et je suis passée à la Venlafaxine 37,5mg depuis 10 jours mais beaucoup d effets secondaires : vertiges maux de tête fatigue extrême et maux de ventre . Avez vous eu ça au début ? Merci d avance 🙏
Morgane1389
Messages : 33
Enregistré le : lundi 19 juin 2023 9:36

Sevrage de la Venlafaxine (Effexor)

Message par Morgane1389 »

Hideseek a écrit : vendredi 23 février 2024 13:15
@Zaza 2012 salut effexor est un très bon ad qui m a aidé énormément, le seul qui me convient vraiment. Il a une grosse action anxiolite aussi
Après le sevrage est extrêmement compliqué pour certaine personne comme moi , mais pour d autre et une majorité j espère, ça pose pas de souci .
Pour les effets secondaires tu verras très rapidement au première prise si ton corps aime pas cette molécule ( sueurs nocturnes , tet3 dans le coton ... )
As tu eu des symptômes en début de traitement ? J ai commencé il y a 10 jours vertige maux de tête maux de ventre grosse fatigue ? Merci
Alexius
Messages : 1
Enregistré le : vendredi 12 avril 2024 22:07

Sevrage de la Venlafaxine (Effexor)

Message par Alexius »

La venlafaxine (effexor) est un AD qui fonctionne bien au départ. J'ai perdu un rein, donc on m'a conseillé d'arrêter la venlafaxine,(néphrotoxique). Pour info, ancien toxico , j'ai fait le tour des AD et même des anxiolitiques .. Le syndrome de manque à la venlafaxine est pire que ce que j'ai subi par rapport à l'arrêt des opiacés (buprenorphine, méthadone). Un conseil, ne commencez jamais les isns. Un sevrage horrible pire que les opiacés IMO
Axel36
Messages : 1
Enregistré le : samedi 13 avril 2024 10:20

Sevrage de la Venlafaxine (Effexor)

Message par Axel36 »

Bonjour,

J’ai recherché sur Internet des témoignages relatifs aux difficultés de sevrage à la Venlafaxine, et j’ai trouvé ce forum dans les pages référencées.
J’ai commencé à prendre de l’amisulpride (1/2 comprimé de 100 par jour) et de l’effexxor (1 comprimé de 75 mg par jour) en 2008 suite à un épisode dépressif avec (de mon point de vue des idées psychotiques). C’était mon médecin de famille qui me l’avait prescrit, et ensuite le psychiatre qui avait pris le relais me le renouvelait tous les trois mois, et c’était devenu une forme de routine qui s’était installée, je pense.
J’avais pris de l’anafranil durant 7 ans arrêt en 2006.

J’ai arrêté l’amisulrpide en 2016, sans trop de dégâts collatéraux.

En revanche, l’arrêt de la venlafaxine (effexor) a été très, très difficile. Il faut dire que je l’ai fait sans échelonnement, ce qui à l’opposé des recommandations médicales habituelles et je n’en avais pas parlé au psychiatre que je consultais depuis peu après un changement.
Et en même temps je sentais que fondamentalement je n’avais pas besoin de ce médicament et ne concevais pas que j’avais besoin de le prendre à vie, et que c’était le moment de le faire tant que j’étais assez jeune pour ça. J’ai arrêté en avril 2018, cela fait donc 6 ans maintenant.
J’ai commencé à avoir une très forte agitation intellectuelle et mentale, des sensations cérébrales de douleurs « électriques » un débordement d’activité sur les réseaux sociaux décousue avec un florilège de publications partant un peu dans tous les sens, une sensibilité plus importante, comme si j’en voulais un peu à la terre entière.

J’ai eu cet état d’agitation qui, paradoxalement fut une période « féconde » en termes de productions littéraire et d’exploration débordante sur des sujets nombreux et très hétéroclites (avec une composante évidemment farfelue et « incohérente »), pendant quasiment trois ans, et cela ne s’est tempéré qu’il y a deux ans, et je peux dire que ce n’est que maintenant que je suis plus stabilisé, même si je connais mes fragilités.
Je ne suis pas neuropsychiatre, mais je pense qu’il faut être très prudent avant de s’engager dans la prise d’un tel médicament dont il est très difficile de parvenir à s’en passer.

Chaque cas est individuel et différent, mais si fondamentalement quelqu’un va mieux dans sa vie avec un travail psychothérapeutique et un soutien adapté, et en dehors d’une problématique neurologique avérée que seul un traitement médicamenteux peut compenser, je ne suis pas certain que l’option médicament à vie soit toujours la meilleure (attention, je dis dans certaines situations évidemment).
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