L'alcool et ses dégâts

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zenitude
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L'alcool et ses dégâts

Message par zenitude »

Bonsoir,

Je me permets d'ouvrir un nouveau sujet de discussion destiné à l'alcool mais plus précisément aux méfaits que procure cet "échappatoire"...
Je pense personnellement que certains récits pourraient dissuader certaines personnes de persévérer dans cette spirale infernale et totalement destructrice.

Pour ma part il me semble avoir connu très tôt ma première cuite, au tout début de l'adolescence dirons-nous sans compter le jour où petit
j'ai bu une bonne partie d'une bouteille d'eau de Cologne qui traînait dans la salle de bain familiale...

J'ai ainsi connu depuis plus de 10 longues années : chutes, violence, et états épouvantables dont une magnifique jaunisse en été 2012 où j'ai vomi du sang,
pour conclure et le plus important : les effets collatéraux commis sur l'entourage, plus particulièrement pour ma part sur ma première compagne de vie,
celle que j'ai le plus aimé jusqu'à ce jour et qui garde de moi, de nous, de très mauvais souvenirs, un ressenti que je partage hélas fort bien.

Soirées "festives" qui finissent mal, etc etc, bref les "classiques" qui ne laissent indemnes aucun individu normalement constitué, enfin je crois.

29 ans, 30 début août j'ai décidé de ne plus boire une seule goutte depuis mardi dernier où j'ai hélas été acteur d'attitudes bien plus que déplacées
pour terminer dans un affrontement physique stupide mais traumatisant.

Actuellement en plein down j'essaie malgré une absence d'espoir de remonter progressivement la pente...
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Prisoner
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Message par Prisoner »

J'aimerais également stopper totalement l'alcool. C'est aussi un très vieux faux amis. Je l'ai connu relativement tôt aussi, et j'ai passé pratiquement un an à me soûler (vraiment) quasiment tous les week ends, suite à ma première rupture sentimentale...
J'en ai ressenti le manque (le vrai manque qui dure plus de quelques heures) non pas après cette période là, mais après un alcoolisme plus "calme": au boulot où on boit 3 4 ou 5 verres le midi, et souvent aussi le vendredi soir. Parfois plus pour une petite cuite. Ca fait beaucoup au final. Et au bout de quelques mois à ce rythme, j'ai voulu me calmer mais j'ai ressenti le manque. Différent par exemple du manque de clope (mais d'une nature comparable tout de même cad un mélange de pensées nous encourageant à boire, et de sensations désagréable dont on sait qu'elles seraient calmées par quelques verres.

Pour ajouter à ce phénomène de manque, des expériences négatives, je peux en raconter un max: soucis de mémoire, de tremblements, de tension, de foie, de comportements à très grands risques, de nuits dans le caniveau (réel ce n'est pas une métaphore) où on m'a piqué le téléphone et les lunettes et vraisemblablement pissé sur la chemise, les retours à la maison où on se réveille dans le métro, avec des tâches de son propre vomis, entouré des gens qui vont au boulot, parce qu'on s'est endormi et qu'on a fait plusieurs tours de ligne jusqu'à l'heure de pointe, on est alors très mal, on a envie d'aller aux toilettes mais on est à l'autre bout de la ligne de métro; allé une dernière pour la route, bourré en boîte se retrouvé malade, devoir sortir mais après les videurs qui ne vous laissent pas revenir alors qu'on est en plein décembre glacial, qu'on a qu'un pull, pas de thune pour un taxi, qu'on se fait refouler par le samu social, et passer la nuit dans le froid comme ça... et sans oublier les bêtises qu'on fait à la maison, parce que finalement à la maison il n'y a plus de limite (mais depuis quasi 2 ans je tiens sans avoir de bouteille à la maison..).

Alors non, ne tombez pas dans l'alcool, même à petite dose. Ceux qui n'y touchent pas, continuez à ne pas y toucher, faites le pour moi et ceux qui sont comme moi quelque soit l'echelle de leur consommation. Ca me pèse gros de parler de ça, je le fais pour ceux qui peuvent ne jamais commencer, ou stopper tant qu'il est temps. :)
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zenitude
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Message par zenitude »

À mes yeux tu es un véritable survivant prisoner :jap:
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Prisoner
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Message par Prisoner »

Je vais te raconter une anecdote. Un de nos client était alcoolique sévère cad qu'il buvait dès le matin (pas de café au café, direct quelques verres). Mais un jour il a été à l'hosto après un bilan sanguin, plein de chiffres n'allaient pas, certains étaient 5 fois au dessus de la fourchette max.
Maintenant il est suivi par le centre de désintox, il a plein de médocs. Il arrive très péniblement à tenir.
Je lui tire mon chapeau à lui, et s'est bien que la santé lui ait fait peur, car au boulot y en a plusieurs qui en ont pas peur. L'addiction les fait rire. Pourtant le père d'un collègue en est mort, et le fils d'un autre aussi.
Perso la santé, je m'en fiche (en tout cas actuellement, si un jour je vais mieux je m'en ficherais plus), mais l'addiction je ne supporte pas. Quand j'ai mes manques, ça me fout en rogne à l'intérieur. Et en ce moment que je fais une trève, cette rogne m'aide à tenir face aux tentations quotidiennes.

Comment tu tiens toi Zen?
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zenitude
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Message par zenitude »

J'imagine très bien la vie de ce client que tu as connu, il y a un petit bistro juste à côté de chez moi et très tôt le matin les habitués répondent présents.

Concernant la santé mon père est décédé d'une hépatite C se résultant par une cirrhose du foie, de varices à l'estomac, d'un cancer,
bref un cocktail vraiment moche qui l'a fait partir très brusquement à l'âge de 58 ans.

Lorsque je me suis retrouvé ces derniers mois malades à cause de soirées bien trop arrosées j'avais une véritable haine contre moi-même
sachant parfaitement les dégâts que provoquent cette saloperie d'alcool sur l'ensemble de l'organisme humain, y compris le cerveau.
De plus avec le traitement que je prends mes attitudes ont étés totalement irresponsables.

Comment je tiens ?
En me remémorant tout simplement les dégâts subis et occasionnées tout autour de moi...
Et puis accessoirement cela coûte très cher financièrement, j'ai vraiment honte d'avoir autant dépensé dernièrement pour au final me sentir encore plus mal...

Ma dernière sortie, au restaurant et dans un bar s'est déroulée uniquement à l'eau.
Pour être honnête j'ai ressenti une certaine frustration en voyant défiler d'excellentes bouteilles de vin, mais ma motivation a été bien plus forte.
Je ne fume pas, je ne me drogue pas et je ne souhaite plus boire.

J'ai décidé d'annihiler l'ensemble des addictions ainsi que les comportements à risques qui m'ont littéralement gâchées la vie afin de me sentir enfin mieux dans ma peau.
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Prisoner
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Message par Prisoner »

bravo!

de temps en temps je prends du soda au repas. Ca m'occupe un peu les papilles.
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zenitude
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Message par zenitude »

:wink2:

Deux très bons films, je dirai même deux chefs d'oeuvre cinématographiques illustrant parfaitement l'alcool et les dégâts que celui-ci entraîne :

Le premier : Le Feu Follet de Louis Malle (1963)

Un homme en cure de désintoxication décide de mettre fin à ses jours. Il regagne alors Paris afin de dire adieu ses amis.

ATTENTION : Film à ne surtout pas regarder en cas de down ou de lendemain de cuite.

Pour moi cette oeuvre est tout simplement parfaite, j'entends ici sur le plan artistique bien entendu,
je me suis personnellement retrouvé dans le personnage principal d'une manière extrêmement intense,
ce film a pour moi été une immense claque dont le message "final" m'a terriblement marqué.

Le second : Le dernier pour la route de Philippe Godeau (2009)


Hervé, patron d'une agence de presse, décide d'en finir avec l'alcool. Loin de tout et grâce aux autres, il parvient à combattre sa dépendance, en repartant vers une nouvelle vie...

Encore une fois ATTENTION ! certaines scènes sont très difficiles, là encore réservez vous le visionnage lorsque vous vous sentirez apte.
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Prisoner
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Message par Prisoner »

merci pour ces références, je ne pense pas être capable de regarder en ce moment.
Par contre pour la clope, parfois je regarde "the tobacco conspiracy" qui est excelent à mon sens, il faudrait que je trouve une équivalence pour l'alcool!
Viola

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Message par Viola »

"the tobacco conspiracy", qu'est-ce que c'est?
Peux-tu en dire plus Prisoner? :mercipoli:
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Prisoner
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Message par Prisoner »

Un documentaire sur l'industrie du tabac et son affreuse histoire dans le monde.

http://topdocumentaryfilms.com/tobacco-conspiracy/

Watch it!

on youtube:

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doloplus
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Message par doloplus »

Bonsoir à tous,

Ce sujet ne peut pas me laisser indiférente bien que je ne soit pas moi-même en difficulté avec l'alcool.
J'ai eu dans ma famille trés proche une personne alcoolique, j'a grandi à ses côtés et j'ai pu voir et vivre au quotidien les ravages de ce poison sur près de 30ans!

-D'abords l'alcool passe plus ou moins inaperçu, le consommateur a toujours une bonne raison pour boire "comme tout le monde" : une fête d'anniversaire, un apéro avec les amis, une fête de Noel ou Pâques ou nouvel an..., un apéro le soir...
-Puis la consommation devient plus régulière : du vin à table tous les jours, plusieurs verres à chaque repas, toujours un apéro. en entrée...Le comportement se met à changer, les fins de journée voient l'alcoolémie grimper et le consommateur devient aggréssif, sur la défensive, violent pour un rien, méchant voir blessant ou traumatisant pour l'entourage. Mais il n'a pas conscience de ce conportement anormal...c'est toujours la fautes des autres...qui le cherchent!
-Puis l'alcoolisme devient évident : Alcool dès le matin, haleine chargée et yeux agards 24H/24. La violence devient la norme, l'entourage et tétanisé. Les enfants ont peur, sont livrés à un spectacle désolant au quotidien et sont morts de honte, le conjoint s'éloigne ou devient violent à son tour, la famille explose. Les bouteilles sont "cachées" dans toute la maison, dans des endroits on ne peut plus insolites. Les finances de la famille sont plombées (ça coûte cher l'alcool à ce rythme!). La santé du consommateur est désastreuse, l'empreinte de l'alcoolisme se lit sur le visage, les mains tremblent, le foie est fichu, le teint cireux, les cheveux ternes et cassants, les jambes flageolent...C'est la déchéance morale et physique et toujours ce p.utain de déni : "mais non je ne suis pas alcoolique", "c'est pas de ma faute, c'est à cause de ci ou de ça"...
-Ultime étape après 30 années de descente aux enfers oenoliques : la mort brutale et sans aucun secours possible par hémorragie digestive (on vomit son sang par flots, à moins d'être déjà dans un hôpital au moment où cela se produit, on a aucune chance de survie : ça va trop vite). La personne que j'évoque est morte seule, dans une marre de son propre sang...

Voilà, je suis désolée pour ce récit violent mais ce n'est que mon récit. J'ai vécu cela de trés prés et je sais pour m'en être informée ensuite que ces situations sont fréquentes en France. Depuis, je suis incapable de toucher une seule goutte de ce poison mortel qui tue celui qui le consomme mais aussi détruit tout son entourage. Ces blessures sont terribles, injustes, irrémédiablement inscrites dans nos chairs. C'est un poids de tous les jour.

Voilà, si vous vouliez savoir les dégats de l'alcool...en voici quelques uns.
"Les parents boivent...les enfants trinquent"
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pericoloso
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Message par pericoloso »

Je lis avec intérêt vos expériences avec l'alcool. Je suis très étonné car personnellement j'ai été "alcoolique volontaire" de 24 à 29 ans et il m'arrive de façon ponctuelle de dépasser la dose mais j'ai toujours gardé le contrôle. Je peux rester des semaines sans boire une goutte et au contraire m’enivrer plusieurs fois de suite.

Je pense que l'alcool est un allié merveilleux dans certains moments de la vie, pour exhaler les choses ou combattre le mal de vivre mais le maitriser n'est pas donné à tout le monde.

Je m'étais juré que le jour où je ferai une grosse connerie sous l’emprise de l'alcool sans l'avoir voulu auparavant je le bannirai à tout jamais! Ce jour, dieu merci n'est jamais arrivé, Sous l'emprise de médicaments par-contre j'ai frisé la grosse connerie, alors j'ai choisi mon camp mais chacun réagit différemment. :ravi:
Cassé 2 fois, l'une en 1997, l'autre en 2008.
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Prisoner
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Message par Prisoner »

tu as le discours totalement typique de quelqu'un qui se doit de ne pas trop jouer au bord du ravin. :ravi:
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pericoloso
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Message par pericoloso »

@Prisoner
ça tu n'en sais rien, supputation purement gratuite. Alcool ne rime pas toujours avec suicide. Comme je l'ai précisé tout le monde ne réagit pas de la même façon. Il y a les stéréotypes de l'alcoolique, j'ai l'orgueil de croire que je suis hors du lot. :langue:
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doloplus
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Message par doloplus »

pericoloso a écrit :
Je lis avec intérêt vos expériences avec l'alcool. Je suis très étonné car personnellement j'ai été "alcoolique volontaire" de 24 à 29 ans et il m'arrive de façon ponctuelle de dépasser la dose mais j'ai toujours gardé le contrôle. Je peux rester des semaines sans boire une goutte et au contraire m’enivrer plusieurs fois de suite.
Je pense que l'alcool est un allié merveilleux dans certains moments de la vie, pour exhaler les choses ou combattre le mal de vivre mais le maitriser n'est pas donné à tout le monde.
Je m'étais juré que le jour où je ferai une grosse connerie sous l’emprise de l'alcool sans l'avoir voulu auparavant je le bannirai à tout jamais! Ce jour, dieu merci n'est jamais arrivé, Sous l'emprise de médicaments par-contre j'ai frisé la grosse connerie, alors j'ai choisi mon camp mais chacun réagit différemment. :ravi:
Tu joues avec le feu...Mais c'est ton droit et personne n'a à juger. Tant que cela n'implique que toi...
Quand à mon message, point de stéréotype, je t'assure. Ce n'est que mon vécu, une réalité que je ne laisserai personne remettre en question tant elle fut, et est encore d'une insoutenable douleur... Je ne fais la morale à persone, je témoigne juste pour que le plus de personnes possible sache ce qui peut arriver avec ce poison banalisé qu'est l'alcool.
Je te souhaite sincèrement d'échapper à tout cela. Je ne le souhaite cette souffrance à personne.
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zenitude
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Message par zenitude »

Merci beaucoup doloplus pour ton témoignage, je compatis, sincèrement, et je sais à quel point l'alcool peut être source de destruction.
Pour ma part je pensais à me mettre au poignet un bracelet de couleur vive pour me rappeler l'envie de m'en sortir afin d'être bien plus en harmonie avec moi-même.
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doloplus
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Message par doloplus »

Je te souhaite de tout mon coeur d'arriver à te sortir de cet enfer de l'alcool Zénitude. Tu as déjà conscience que tu es en difficulté vis à vis de ce poison, c'est déjà un pas énorme vers l'abstinence définitive.
Contrairement à ce qui est dit parfois, c'est pas difficile socialement de ne jamais boire d'alcool. C'est mon cas, par conviction personnelle uniquement. Ca passe trés bien tant dans ma vie privée qu'en société. Je dis que je ne bois jamais d'alcool et demande toujours une autre boisson (Perrier, jus de fruit, soda, café, thé...il y a du choix). Si on insiste je dis que non gentillement mais fermement, c'est un choix personnel. En général les gens n'osent pas trop demander pourquoi, et quand ça arrive j'explique juste que j'ai vu de prés les dégats de l'alcool et ça suffit.
Et puis, si besoin il y a plein d'autres raisons à invoquer : je prends des antibiotiques, je prends le volant après, ça me donne des migraines atroces, je suis enceinte, j'allaite, ma religion me l'interdit...
Bref c'est tout à fait possible.
Je te souhaite plein de courage dans cette quête Zénitude, et en cas de coup dur n'hésite pas à demander vite de l'aide à un médecin alcoologue.
Doloplus.
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Message par zenitude »

Bonsoir doloplus et merci à nouveau pour ce message d'encouragement !

Oui j'ai parfaitement conscience du problème et je suis résolu à me battre jusqu'à pouvoir me sentir enfin parfaitement serein face à ce poison comme tu l'appels si bien,
et concernant les raisons de l'abstinence là aussi tu as totalement raison, pour ma part j'ai en plus des petits problèmes liés à la bile ce qui est largement suffisant
comme "prétexte" afin de pouvoir fermement dire : NON MERCI !!!
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pericoloso
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Message par pericoloso »

:Zen0:
Cassé 2 fois, l'une en 1997, l'autre en 2008.
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