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@Antonio
Et ben voilà j’ai replongé
Suite à problème familiaux
Impossible de dormir depuis qq jours ça cogite dans la tête.
Le matin je suis cassé. Alors que faire pour
dormir : j’ai repris valium à 2 h du matin (1 goutte)
mais aucun effet. Es ce une dépression ? prendre du
Seroplex 10 pendant 6 mois comme m’avait suggéré le docteur? Que faire pour dormir ?
Je serais curieux de savoir comment tu dors actuellement avec la vague de chaleur..
Pour ma part, çà a cassé tous mes efforts pour diminuer mon hypnotique ( zopiclone )
Concernant le Seroplex, j'ai essayé, effets secondaires immédiats: A éviter, à mon sens, comme tous les antidépresseurs, du reste.
Je me présente rapidement je me prénomme Christelle et j'ai 49 ans.
Je prends maintenant depuis plusieurs mois de la sertraline en 50 et 25 tous les matins et avant cela je prenais d'autres antidépresseurs encore.
Je prends également de l'alprazolam en 25 trois fois par jour et pareil avant je prenais aussi un autre ou plusieurs autres anxiolytiques mais je ne me rappelle plus de leur non et ca n'a guère d'importance.
Aujourd'hui si je parle sur ce forum c'est pour dire mon ressentit surtout vis à vis de tout ses médicaments, car pour ma part ils ne m'apportent que plus d'ennui encore.
Je m'explique, un des premier antidépresseurs que je prenais me faisait dormir 24h/24, super quoi quand on est en recherche d'emploi et en plus allié avec l'alprazolam ca n'arrangeait pas les choses.
Ensuite j'ai pris un autre antidépresseurs et anxiolytiques mais là aussi que des effet secondaire mais aucun effet sur mon moral, même plutôt de grosses crises de colère, des hallucinations, de la paranoïa, ou encore des pleures, et la liste serait encore longues mais ce sont les principaux symptômes.
Après un passage forcé en hôpital car j'ai eu des hallucinations devant mon compagnon et avait des propos totalement délirants et hallucinants voire même hystérique dont bien entendu je ne me souviens pas ceci c'est passé en octobre 2019.
Une fois rentré après trois semaines de traitements et surtout d'un environnement différent j'était bien, mais une fois rentré le bien n'a pas duré longtemps car quelques jours avant les fêtes de Noël je suis passé un première fois à l'acte mais je me suis raté j'ai pris beaucoup de médicaments qui m'ont certes fait dormir mais qui ne m'ont pas ..........
Après ca j'étais comme sur un petit nuage pendant presque un mois et demi, tout était rose, je souriait pour un rien, j'était faussement bien.
Puis peut de temps avant le confinement la colère a repris le dessus et est devenu parfois violente principalement sur les objets.
Mais en mai 2020 est arrivé un évènement que je qualifierais de traumatisant, nous nous somme disputer mon compagnon et moi concernant un achat que nous avions effectuer tout les deux lors du marché de noël de Colmar.
Il m'a dit une phrase que j'ai horreur d'entendre et qui ai j'ai oublié, tout ca parce qu'il avait oublié que l'on avait acheté deux cube de savons de
600 g et non pas un enfin à cause de tout cela je me suis tout de même retrouvé avec des séquelles au niveau du pied droit qui aujourd'hui au mois d'août n'est toujours pas guéri.
Mais ce n'est pas ca le problème, le problème c'est que je trouve que depuis que je prends les antidépresseurs et les anxiolytiques je suis plus nerveuse, plus en colère, que la violence arrive vite et que je ne parviens pas à la contrôler et qu'en plus par la suite que je soit ou non passé à l'acte elle ne s'en va pas.
En plus, ma dépression comme le psychiatre l'appelle ne change pas, ou j'ai dans la journée quelques minutes de répits et de quiétude mais le reste du temps tous les petits riens m'énervent au plus haut point.
Enfin hier soir, je suis repassé à l'acte même si je n'avais pas réellement l'intention de mourir mais surtout l'envie de dormir voire même d'énormément dormir du style une semaine, je sais c'est débile mais c'est vraiment ce dont j'avais envie, bref je me suis retrouvé aux urgences quand exactement je ne me souviens pas je me rappelle juste qu'il y avait deux personnes qui sont venus chez moi et qui m'ont emporté ensuite en ambulance et le trou noir, je me suis réveillé plus tard avec une chemise d'hôpital et une perfusion de je ne sais pas quoi.
C'est pour ca je me demande aujourd'hui si j'ai réellement besoin d'antidépresseurs et d'anxiolytiques, ou si je dois encore changer de traitements pour trouver le bon qui me guérisse ou si je dois simplement changer mon environnement (les personnes qui m'entoure, mon compagnon et ses trois enfants et toutes ses emmerdes financières et autres qui vont avec).
Je sais personne n'a la science infuse mais des conseils ou d'autres expériences comme la mienne pourrai certainement déjà m'y faire voire plus clair surtout que j'aime énormément mon compagnon et que j'aime aussi les enfants même s'ils sont parfois casse pied on va dire.
Certaines personnes réagissent terriblement mal avec les antidépresseurs.
Je ne saurais pas quoi te conseiller. Tu parles d'"emmerdes financières", ne vaut-il mieux pas résoudre ce problème (entre autres) plutôt que de prendre un médicament ?
Je suis actuellement hospitalisée en hp. Je n'ai jamais pris d'antidépresseurs. J'ai pris des benzo les 2 premières semaines car mon Insomnie ici m'est insupportable. J'arrivais à dormir avec un Temesta et un Loramet. Puis ça n'a plus fait effet. J'ai pris de l'Etumine quelques jours et je dormais comme un bébé. Sauf que la journée j'avais mal aux muscles, à la tête et j'étais dans le gaz. Au point que ça me fesait dormir la journée aussi. Donc au lieu d'une complète j'ai pris 1/4 et ça allais un peu. Puis j'ai arrêter car j'avais pas envie d'être dépendante. Maintenant l'insomnie est de retour, j'ai l'impression que c'est pire car maintenant j'ai de violants maux de tête. Avez vous eu une expérience avec ce médicament ? J'ai peur des effets sur le cerveau et de ne plus savoir dormir sans. Merci
L'Etumine peut en effet rendre tendu et faire mal aux muscles, tout comme il nous plonge dans un état un peu comateux, mais il n'y a pas de risque de dépendance avec ce genre de produit, contrairement au Temesta et Loramet.
Le mieux à faire pour retrouver ton sommeil naturel, c'est être très patiente, ça finira par revenir en quelques jours ou quelques semaines.
Ne prends pas de somnifères, il faut juste laisser le temps faire son oeuvre.
Merci d'avoir pris le temps de me répondre et ton message me rassure un peu. J'ai une Herboriste qui m'a conseillé la valeriane liquide. Je pense tester. Dans un premier temps prendre les deux histoire que le corps ne soit pas choqué. Puis doucement stopper letumine. Tu en penses quoi ? Courage pour toi aussi et encore merci
Selon moi, les neuroleptiques comme l'Etumine n'aident pas vraiment pour dormir, ils fatiguent l'esprit sans provoquer l'endormissement. Après ça reste à voir avec ton médecin, mais si tu ne prends ça que pour le sommeil, je dirais que ce n'est pas la meilleure méthode.
La valériane est une bonne plante, j'en ai chez moi. Je recommande aussi le pavot de Californie qui est une plante légèrement sédative :
je cherche à me sevrer du Lexomil. J'en prends 1/4 (=1.5mg) depuis 5 ans.
Mon docteur m'a prescrit du Lysanxia en goutte 15mg/ml et me conseille de prendre entre 10 et 20 gouttes par jour en fonction de mon ressenti.
J'ai regardé le tableau Ashton d'équivalence des benzodiazépines, je n'arrive pas à calculer le nombre de gouttes de Lysanxia correspondant à 1.5mg de Lexomil.
Le tableau indique indique 6mg de Lexomil = 10-20mg de Lysanxia.
Je galère violent avec mon sevrage (j'ai eu un peu toute la panoplie de benzo, Xanax, Lexo, Temesta) . J'ai fait un sevrage brutal "cold turkey", j'en suis à ma 8ème semaine et j'ai l'impression d'avoir un "brain damage". J'arrive plus à réfléchir, j'ai des idées trop cheloues, j'ai peur de tout, aller faire mes courses c'est l'enfer, même les bruits me font peur, regarder la TV si il y a de la violence ou du c.. ça m'angoisse, je pense qu'il y a vraiment un problème. J'en ai parlé à mon psy, pour lui un sevrage dure 3 jours.... La blague. Donc là j'essaie de le convaincre de me mettre sous Rivotril et faire un sevrage correct mais il est pas convaincu de changer de molécule et me dit de rester sous le Xanax, même si mon envie fondamentale est de ne jamais reprendre de benzo, mais je viens bien que sans je ne suis pas fonctionnel. Je lui ai envoyé le manuel Ashton mais je ne pense pas qu'il l'ai lu (mise à part c'est un bon psy, le meilleur de tous ceux que j'ai vu). Donc maintenant je ne sais pas si le mieux est de ne rien faire du tout, car j'ai été trop de fois on and off benzo et je pense que je subis ce qu'ils appellent en anglais le Kindling, ou reprendre le xanax et faire mon tapper. Il m'a prescrit du Surmontil mais je ne pense pas qu'un AD à ce stade soit la solution. Damn.
Ce sont des symptômes d'un arrêt brutal, notamment l'hyperacousie (les bruits forts peuvent faire sursauter), brouillard cérébral, anxiété sévère, attaques de panique, paranoïa, en fait il y a des dizaines de symptômes qui perturbent la qualité de vie.
Il ne faut jamais, jamais, jamais arrêter d'un seul coup une dépendance aux benzos ; exactement comme pour l'alcool. C'est dangereux.
Ton psy qui dit qu'un sevrage dure 3 jours n'y connaît rien, et faire un sevrage avec du Xanax ne se fait jamais, la demi-vie est trop courte (6 heures), alors que des benzos comme le Lysanxia et le Valium ont une demi-vie de 150 heures. Le Rivotril c'est 35 heures, moi j'ai fait avec ça.
Un antidépresseur ne sert à rien en sevrage de benzos, sauf si tu as une dépression. Si c'est le cas, il faut continuer la prise de benzo et prendre l'AD, puis sevrer l'AD, et sevrer la benzo.
Dans ton cas, je dirais qu'il te faut vraiment une prescription de Lysanxia (en gouttes) ou de Valium (en gouttes).
Il faut te stabiliser à un nombre de gouttes par jour où tu te sens "bien", sans tous les symptômes que tu éprouves en ce moment, et quand tu auras trouvé le bon dosage tu pourras diminuer petit à petit avec des paliers de 5 à 20 %.
J'ai vécu par le passé un sevrage brutal (de 8 mg de Xanax à 0 mg) et ce fut l'expérience la plus traumatisante de toute ma vie.
Oui je me disais bien qu'un sevrage brutal ne serait pas une de mes meilleures idées.... En plus j'en avait déjà fait un en février, qui je dois dire s'est moins mal passé que celui de maintenant... Apparemment c'est toujours plus difficile quand on retombe dedans de se sevrer à nouveau. Quel bordel. Maintenant c'est le week-end et je vais devoir attendre lundi pour lui faire la demande qu'il va probablement refuser d'ailleurs car il n'y connait rien en sevrage. Affaire à suivre !
Pour ma part, j'ai supprimé l'Imovane brutalement et dors beaucoup mieux depuis.
J'ai remplacé le Lexomil par le Valium en gouttes et je prends 10 Mg de Valium par jour.
Symptômes: Un peu d'acouphènes et des fourmillements, mais le moral va à peu près.
Je dors de mieux en mieux.Un peu trop, peut être. Je soupçonne que je me réfugie dans l'hypersomnie.
La journée, je m'emmerde ..
Peu de contacts sociaux, confinement oblige.
J'ai du mal à me concentrer sur la lecture et la TV. Ce n'est pas mon truc, j'aime bouger, bosser, rire avec les potes.
Je ne crois pas être en dépression, j'ai de l'allant, mais que faire ?
J'ai toujours des fourmillements mais sont ils du au sevrage ? Ou bien à l'immobilité forcée, à rester devant l'ordi, comme un con?
Je ne sais plus quoi faire pour "tuer le temps".
Qu'ne penses tu, Antonio, grand expert.
A Vous autres, aussi, c'est comment le confinement pour vous ?
C'est difficile à dire. Ce sont peut-être des symptômes d'une dépression légère ou modérée. Beaucoup de gens supportent mal le confinement et peuvent avoir des troubles du sommeil ou des symptômes dépressifs qui apparaissent progressivement.
@raskolnikov la chance d'avoir pu te sevrer si facilement de l'Imovane, je me souviens qu'en février dernier, j'étais totalement accro à ce produit mixé au Xanax et un soir je ne l'ai pas pris et le lendemain matin au travail j'ai totalement "crashé", grosse crise d'angoisse, hyperacousie, vertiges, enfin c'était terrible de vivre ça, j'étais surement pas loin d'une crise épilepsie, tous mes muscles étaient totalement crispés je ne pouvais plus bouger. Et depuis.... je me suis dit que je devais arrêter toutes ces mer... mais je me bats encore contre.... Je ne suis pas un expert comme Antonio par contre... mais je pense qu'il ne faut pas t'inquiéter pour les fourmillements c'est normal et c'est peut-être même du à une posture trop longue sur ton ordi ou quoi... Si tu en ressens pas le manque c'est déjà top. N'en reprends pas et en plus tu dors donc... profites en, dors si tu n'as rien de mieux à faire. Si seulement je pouvais être en hypersomnie, malheureusement pour moi c'est l'inverse.
Le confinement ne me fait pas grand chose, je m'étais déjà auto confiné à cause de mon état alors ça me change vraiment rien. Malheureusement pour moi.
Tu as arrêté le Zopiclone et le Xanax en même temps ?
Tu ne prends plus du tout de benzos ?
Pour ma part, j'ai substitué le Lexomil et le Zopiclone par le Valium en gouttes. ( c'est, souvent la règle: demi vie longue)
Dis moi en d'avantage, çà m'aide et l'échange est positif en dépression
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