Méthylphénidate (Ritaline)

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Butterly
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Enregistré le : samedi 15 avril 2023 6:21

Méthylphénidate (Ritaline)

Message par Butterly »

Bonjour,

je vous ecris pour me défouler, car je vis des moments difficiles.

A la suite d'une chicane avec ma mère, de problèmes de voisins, et une grosse crise de nerfs, suivie d'une chicane de voisins, le tout entrecoupé d'un choc post-traumatique (le tout s,est passé dans la même semaine et même journée), j'ai été amené (de force), par ma mère (avec avoir crié trop fort), à l'hôpital, vu que je pleurais et je ne filais pas bien. Elle a décidé de m,amener à l'hopital vu je je filais pas top, mais je ne savais pas qu'elle voulait me laisser à l'hopital.

Étant une fille universitaire, intelligente et ayant une dépression depuis des années, et un TDAh et anxiété (10 ans),le tout traité avec les mêmes meds avec succès, je ne me doutais pas qu'une simple crise de nerfs m'aurait amené à être hospitalisée de force (ca ou je devais passer une évaluation, sous observation, et après si je décidais de sortir, signer un refus de traitement donc passer en cours, car ma mère et le psychiatre jugeait que je n,étais pas (bien), vu que j'avais crié fort, et le voisin se demandait ce que j'avais mais c'est long a expliquer ma mere étant autoritaire....

J'ai officiellement eu une grosse crise de nerfs, plus bcp de stress accumulé, et manque de sommeil et de la peine également, mais rien d'assez grave pour être hospitalisé de force.

Vu que je ne voulais pas de trouble, j,ai acquiescé et ma mère, parlant tjs pour moi (elle est comme cela) a décidé de me laisser coucher la, sous evaluation, et de me laisser la avec un psychiatre de garde pour voir si je ne faisais pas une psychose (selon le psychiatre....) et non selon moi. J'I DONC subi l'arrêt complet de mes meds, et on m,a forcé a prendre mes meds habituels (zoloft, clonazepam, fer mais on a ajouté le zyprexa 25 mg (ayant étudié en pharmacie et ayant tout essayé auparavant je savais que ce med ne faisait qu'abrutir et baisser la pression en plus du reste, pour moi en tout cas)., et on m'a pas vraiment donné le choix de le prendre, vu que j'étais hospitalisée, j'ai acquiesé... de force, meme si ca me tentait pas du tout en plus qu eje suis allergique a tout.

J'ai donc passé 3 semaines sous étroite supervision plein de tests, meme en étant très consciente de mon état, on m'a hospitalisée, a l'étage psychiatrique (dépression et al.). J'ai eu de la difficulté à m'adapter, car la médication, je n'étais pas d'accord. Je suis intelligente et j'ai tenté de voir si je pouvais ne pas prendre le zypreza avec le psy, sans succès. Par lasuite, j'ai tenté de demander une réintroduction graduellement du ritali n (j'étais a 60 mg et j'ai passé a zéro!) et sans aucun succès, elle étant persuadée que j'avais faitune psychose.

J'ai donc, tête basse, appris a relaxer et prendre mon mal en patience, tout en me disant que j'allais sortir un jour. J'en ai profité pour ma reposer, prendre le zoloft, clonazepam, dormir beaucoup, et apprécier graduellement le sejour, vu que j'étais dans une chambre isolée avec des colocs, bien nourrie et monitorée, avec des activités et graduellement de la liberté.

Cela m'a pris un mois avant d'avoir mon congé définitif, ou j'ai repris le poil de la bête, en étant a l'ordre, (ménage, lavage, douche, repas doubles, activités, repos, faternisation, amis infrmiers, amis dans le groupe également, paiement de factures, téléphones, visites de ma mère, monitoring, paiements divers, rencontres avec la psy, formelles mais quand meme mieux étant ouverte.

cela dit, je suis sortie, je suis retombée sur terre, j'ai mon congé définitif, et j'ai de l'aide chez moi, or la psychiatre m'a dit que j'avais probablement faitune psychose, et je suis guérie, donc elle m,a redonné mon zoloft clonazepam, fer et le zypreza, mais n'a jamais voulu me redonner le ritalin, disant que pour le moment elle disait que je n'avais jamais eu de TDAh (????????) et que cela pouvait remettre une psychose.

Ca m'a décue, car je ne suis pas d'accord, car je vais bien et j'était prête à en prendre moins, en dispill, etc, pour mon tdah qui demeure présent. je suis fatiguée, plus désorganisée, qu'avant quoique pas déprimée, mais je suis une femme qui prends soin des autres et qui doit conduire, payer le loyer etc, et qui étudiait, etc. la c,est zéro côté focus, et je déprime a cause de cela... je suis sur le café et j'espere trouver une solution.

J'aimerais qu'elle change d'idée au prochain rv, mais d'ici la je me demande comment je vais faire pour etre fonctionnelle. quand ca fait 10 ans que tu es TDAh, ca ne s'arrête pas du jour au lendemain.

Merci de vos messages, votre soutien et je suis ouverte aux discussions, j'ai besoin de ventiler.

Heureusement je suis guérie, mais un peu down.

Merci!

B
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