Bonsoir,
C'est possible d'aimer quand on souffre de dépression.
Comment rencontrer l'autre si on refuse chaque invitation sociale qui fait peur, si on a peur de changer des rituels rassurants.
Comment l'aimer? Que pourrai-je lui apporter, j'ai l'impression que je serais un boulet pour lui...
Quelqu'un pourrait me parler d'une expérience amoureuse où la maladie a été un obstacle surmontable?
Bizz
Chat
Peut on aimer quand on est en dépression ?
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ChatFragile
- Messages : 117
- Enregistré le : vendredi 01 août 2008 18:06
- Localisation : Réunion
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choucoulate
- Messages : 37
- Enregistré le : samedi 07 mars 2009 17:29
Bonjour,
je veux bien réondre à ton post mais je ne serais pas de bon conseil étant à peine une adolescente.
J'avoue que quand cette personne m'a tendu la main et aidé à sortir du gouffre je n'ai pas hésité ni mème réfléchis.
C'était la première personne capable de m'aimer et pour qui je comptais réellement alors je me suis attaché, beaucoup trop attaché jusqu'à en devenir totalement dépendante. Il n'a jamais su que je souffrais de dépression (moi mème je n'en suis pas sur ayant pas encore été voir un médecin pour un diagnostique), il savait juste que j'avais de gros problèmes avec mon père, que je broyais énormément de noir et je je me mutilais. Je lui ai fais confiance et tout confié (à part le propos de la dépression) mais j'ai tout de suite sentis qu'il ne me comprenait pas et ne me comprendrais jamais. Moi j'étais à détester mon père au point de n'plus le considérer comme tel alors que lui souffrait encore de la mort du sien d'il y a quelques années. Et puis comme beaucoup de gens le disent, il faut ètre déjà tomber au fond du gouffre pour comprendre de quoi on parle. Il n'a jamais été très doué avec les mots, en faite il m'enfonçait encore plus en me disant qu'il fallait juste se donner les moyens de s'en sortir, sinon il ne fallait pas se plaindre, ou alors que tout le monde avait ses problèmes, qu'ils ne le montraient pas forcément et que ça ne les empèchez pas de sourrire. Enfin je dérive un peu du sujet, désolé. Il ne m'a jamais sortis réellement du gouffre mais m'a aidé à arrèter la chute, en sa présence j'en oubliais presque mes problèmes et me sentais heureuse mais dès que je rentrais chez moi tout me revenais et je me remettais voire noir. J'ai essayé de m'en sortir pour ne pas le perdre, il m'a fait lui promettre de ne plus toucher à mes bras, j'ai trahis cette promesse à 2reprises, il l'a très mal pris et m'a encore moin compris. Finalement au bout de quelque mois, il s'est fatigué à essayé de me rendre heureuse et à abondonné, je crois que je suis une fille à n'pas aimer... Mais bon moi c'était juste une histoire d'ado (premier amour qui plus est) alors je suis réaliste et conciente que c'est plus ou moin la vie, mème si les motifs de ruptures ne sont pas les mèmes que ceux des filles "normales" de mon age. Et puis je m'dis que je suis juste tombé sur la mauvaise personne, j'ai été trop naive et amoureuse et aujourd'hui je regrette de lui avoir donné autant ma confiance. A notre rupture ce n'est pas lui qui m'a fait le plus mal mais moi mème parceque je m'suis perduadé que tout était de ma faute, que j'étais idiote de croire que quelqu'un pouvait m'aider et m'aimer et surtout d'avoir donné toute ma confiance en quelqu'un qui finallement ne la méritait pas. Mais aussi sombre que je peux ètre, une petite part de moi à encore foie en l'avenir, et j'ai envi de croire qu'un jour je trouverai une personne capable de me rendre heureuse et d'oublier mon passé; sans forcément me comprendre mais au moins ne pas m'juger ni m'en vouloir pour ce que j'peux faire.
Malgré que cette année ai été plus que sombre, que je suis tombé au fond du gouffre et que j'ai fooutu en l'air mon année scolaire; c'est malheuresement durant cette période que je garde mes plus beaux souvenirs, c'est bète à dire mais à 16ans, j'avais eu l'impression d'ètre pour la première fois heureuse (aussi éphémère soit il).
Alors je crois que oui ça peut t'aider, rien n'est impossible. Il faut juste trouver la bonne personne capable de te soutenir sans te juger.
Bonne continuation et courrage à toi.
A bientot,
je veux bien réondre à ton post mais je ne serais pas de bon conseil étant à peine une adolescente.
J'avoue que quand cette personne m'a tendu la main et aidé à sortir du gouffre je n'ai pas hésité ni mème réfléchis.
C'était la première personne capable de m'aimer et pour qui je comptais réellement alors je me suis attaché, beaucoup trop attaché jusqu'à en devenir totalement dépendante. Il n'a jamais su que je souffrais de dépression (moi mème je n'en suis pas sur ayant pas encore été voir un médecin pour un diagnostique), il savait juste que j'avais de gros problèmes avec mon père, que je broyais énormément de noir et je je me mutilais. Je lui ai fais confiance et tout confié (à part le propos de la dépression) mais j'ai tout de suite sentis qu'il ne me comprenait pas et ne me comprendrais jamais. Moi j'étais à détester mon père au point de n'plus le considérer comme tel alors que lui souffrait encore de la mort du sien d'il y a quelques années. Et puis comme beaucoup de gens le disent, il faut ètre déjà tomber au fond du gouffre pour comprendre de quoi on parle. Il n'a jamais été très doué avec les mots, en faite il m'enfonçait encore plus en me disant qu'il fallait juste se donner les moyens de s'en sortir, sinon il ne fallait pas se plaindre, ou alors que tout le monde avait ses problèmes, qu'ils ne le montraient pas forcément et que ça ne les empèchez pas de sourrire. Enfin je dérive un peu du sujet, désolé. Il ne m'a jamais sortis réellement du gouffre mais m'a aidé à arrèter la chute, en sa présence j'en oubliais presque mes problèmes et me sentais heureuse mais dès que je rentrais chez moi tout me revenais et je me remettais voire noir. J'ai essayé de m'en sortir pour ne pas le perdre, il m'a fait lui promettre de ne plus toucher à mes bras, j'ai trahis cette promesse à 2reprises, il l'a très mal pris et m'a encore moin compris. Finalement au bout de quelque mois, il s'est fatigué à essayé de me rendre heureuse et à abondonné, je crois que je suis une fille à n'pas aimer... Mais bon moi c'était juste une histoire d'ado (premier amour qui plus est) alors je suis réaliste et conciente que c'est plus ou moin la vie, mème si les motifs de ruptures ne sont pas les mèmes que ceux des filles "normales" de mon age. Et puis je m'dis que je suis juste tombé sur la mauvaise personne, j'ai été trop naive et amoureuse et aujourd'hui je regrette de lui avoir donné autant ma confiance. A notre rupture ce n'est pas lui qui m'a fait le plus mal mais moi mème parceque je m'suis perduadé que tout était de ma faute, que j'étais idiote de croire que quelqu'un pouvait m'aider et m'aimer et surtout d'avoir donné toute ma confiance en quelqu'un qui finallement ne la méritait pas. Mais aussi sombre que je peux ètre, une petite part de moi à encore foie en l'avenir, et j'ai envi de croire qu'un jour je trouverai une personne capable de me rendre heureuse et d'oublier mon passé; sans forcément me comprendre mais au moins ne pas m'juger ni m'en vouloir pour ce que j'peux faire.
Malgré que cette année ai été plus que sombre, que je suis tombé au fond du gouffre et que j'ai fooutu en l'air mon année scolaire; c'est malheuresement durant cette période que je garde mes plus beaux souvenirs, c'est bète à dire mais à 16ans, j'avais eu l'impression d'ètre pour la première fois heureuse (aussi éphémère soit il).
Alors je crois que oui ça peut t'aider, rien n'est impossible. Il faut juste trouver la bonne personne capable de te soutenir sans te juger.
Bonne continuation et courrage à toi.
A bientot,
Je n'suis pas morte, j'ai simplement arrèté de vivre
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choupette
- Messages : 4418
- Enregistré le : mardi 12 février 2008 14:42
- Localisation : Entre mon cerveau et mon corps.
Amour et dépression, la maladie surmontable ?
Bonsoir chat fragile.
Étant donné que quelques couples se sont créé sur ce forum.
Donc dépressif l'un et l'autre.
Je dirais que oui.
Étant donné que quelques couples se sont créé sur ce forum.
Donc dépressif l'un et l'autre.
Je dirais que oui.