Les phrases qui tuent de l'entourage

[eternelletristesse]

salut eternelletristesse , si cela ce passe comme tu le décrit dans ton travail pourquoi ne cherche tu pas un autre poste autre part , car ca ne pourra pas continuer indefinniment , pour ton bien etre.

oui je cherche, enfin depuis quelques semaines lorsque ma responsable hiérarchique m'a sorti "tu sais y'a des gens qui acceptent les choses, et les autres pour qui la porte est grande ouverte", j'ai aussi eu le droit "tu croyais qd même pas qu'à "nom de la société" tu allais évoluer?
La j'ai compris que quoi qu'on dise, quoi qu'on fasse, se battre contre le vent ne servait à rien.

Apres resté sous la couette , ouai je ne sais pas trop si c'est la bonne solution , c'est un engrenage , aujourd'hui je n'ai pas envie d"aller bosser , j'en aurait encore moin envie demain..

je ne reste pas sous ma couette à 8h30 je suis levée, même s'il est vrai que je me rendors dans la matinée ou dans l'après midi, mais je ne suis pas une je m'en foutiste

Je suis un peu dans la meme situation , je sais que c'est dur , et qu'il faut se forcer , mais c'est une des seules solution.

=> se forcer à quoi?

J'ai remarque, que les gens, n'aime pas voir ou essaye de comprendre cette maladie... je ne fait pas une generalite, mais d'apres ce que j'ai pu voir...

=> Normal, tu savais pas, la dépression c'est comme le SIDA à force d'être au contact d'une personne porteur tu choppes la maladie... Des conneries aussi énormes sur le SIDA ont perduré et perdurent encore malheureusement, et ben pour la dépression c'est pareil: peur de l'avoir ou tout simplement considérer que c'est juste du fainéantisme...

[bebstelle]

Je suis en dépression sévère depuis 3 ans et des remarques qui blessent j'en ai un bon paquet hélas ... et je crois que ce n'est pas fini.
Après ma tentative de suicide ma mère m'a mère s'est mise en colère et m'a engueulée à l'hopital disant que j'étais une mauvaise fille et que je n'avais pas pensée à eux, que je n'avais pas le droit de leur faire ça. Après quoi je me suis promise de ne pas me rater la prochaine fois ... (heureusement qu'il n'y en a pas eue !). Je suis sortie la veille de Noël de l'hopital pour être en famille et essayer de retrouver un peu de chaleur, tout le monde a fait comme si de rien n'était alors que je tenais à peine sur mes jambes puis mon père s'est mis à parler tout haut de mon compagnon et a dit en me regardant droit dans les yeux que la vie c'était pour le meilleur et surtout pour le pire ... Et là je m'en suis voulue de m'avoir ratée.
Jusqu'à ma pharmacienne qui regarde la prescription de ma psychiatre, me regarde comme une bête curieuse et qui dit "Oooohhh mais faut que vous vous en sortiez madame, il faut bouger !!!". Comme si c'était aussi simple. Maintenant j'ai peur d'aller chercher moi-même ma dose de médicaments.
J'ai tout fait pour garder mon emploi, j'ai même loué un appartement en face de mon travail. Je voyais mes collègues par la fenêtre. J'avais un mal fou cependant à y aller. Non pas que je veuille pas, mais j'en pouvais plus. Je ne savais plus ou me mettre tellement je me sentais mal, fatiguée. Je rentrais le midi chez moi et je m'endormais, je retournais bosser et là inévitablement je m'effondrais en milieu de l'après-midi et m'endormais parfois une heure à même le carrelage des toilettes pour handicapés. Je rentrais chez moi le soir et m'effondrais à nouveau. Ca a duré des mois avant que je ne capitule. Les arrêts maladie se sont cumulés et les reproches aussi. Ma mère me disait au téléphone "Mais tu peux pas rester comme ça, moi je travaille, il faut que tu y ailles". Après ça, je pleurais toute la soirée.
Ma famille étant croyante, une tante m'a dite que seul "Le Saint Esprit pouvait me sauver !". Amen.

J'ai appris beaucoup sur les limites de la compréhension humaine. Mes amis m'ont quittée. Une grande partie de ma famille ne me parle plus et mes parents ne reconnaissent même pas ma maladie après 10 ans de violence conjugale avec mon ex, une tentative de suicide, mon suivi psychiatrique et la tonne de médicaments que j'absorbe tous les jours.

Je suis complètement d'accord avec ce qui a été dit : il faut pour notre bien être ne pas écouter tout ce qui est blessant. Mais ce n'est vraiment pas facile. Venant de ceux qu'on aime, les phrases qui tuent ont parfois un gout de réalité amère ...

[christic]

Il te faut faire abstraction des remarques désobligeantes, plus facile à dire

qu'à appliquer je le conçois. Nous avons tous à subir ces désagréments,

comme si la maladie ne suffisait pas.

[claudine]

Bonjour bebstelle,

Lutter à la fois contre la maladie et l'incompréhension des autres est un double combat qui nous épuise et nous démoralise complètement .

[durdur]

Ce soir, de la part de mon meilleur ami: " Eh arrête un peu! Oh, t'es pas à l'agonie dans ta vie non plus!"
Sans compter ma mère qui ne se pose pas de questions alors que je dors toute la journée, ne sort pas de ma chambre alors que je suis là pour les vacances uniquement et que je ne les voit que rarement..
Ca fait tellement mal, je me sent folle..

[L566]

Bonsoir Durdur

Les gens, même ceux qu'on pense le plus proche, jugent malheureusement sans savoir ce qu'on a au fond de nous, et le plus dur c'est leur incompréhension.. Vois tu au moins un professionnel à qui en parler (qui ne juge pas ni rien) ?
Je te dis tout de suite non tu n'es pas folle, c'est la vie qui rend comme ça.. Chacun réagit différemment aux épreuves que nous obligent la vie. Mais ce n'est pas pour autant que l'on est "fou" . Je pense d'ailleurs que personne ne sois apte à tenir de tel propos !
En tout cas, bon courage !!

[durdur]

Bonjour,

Merci pour ta réponse L566.

Peu à peu mon entourage commence à ouvrir les yeux.. Hier soir, ma mère m'a dit que c'était plus possible, que ça durait depuis 6 ans et qu'il fallait que j'en parle au médecin pour qu'il me donne quelquechose et que je commence une psychothérapie.. mais étant étudiante, le temps et les moyens financiers me font défaut pour celà..

Mon meilleur ami s'est raddouci ce matin, je pense que ce doit être douloureux pour l'entourage de ne pas "SAVOIR".. mais il cherche un peu plus à comprendre j'ai l'impression.. les véritables inquiétudes commencent à apparaitre de leur coté..

Je ne suis pas suivie, je commence moi même tout juste à prendre conscience.. je ne sais même pas si celà est une "vraie" dépression.. j'ai un passé plutot douloureux et depuis 6 ans environ je vis des périodes de très bas fonds et des pèriodes de mieux où j'arrive à vivre assez normalement même si je ne m'amuse pas et ne suis pas vraiment ce qu'on pourrait qualifier d'heureuse.. mais je vis au ralenti tout le temps, dans une espece de léthargie devenue mon état "normal"..

Je suis actuellement dans une période assez violente où je ne me lève plus, je dors jour et nuit, je pleure et j'ai sans arrêt une boule dans la gorge et dans le ventre, je ne me lève plus depuis des semaines pour aller en cours et j'ai l'impression de croûler sous le poids de ma vie, je n'ai plus envie de la porter ça me saoule..

Enfin voilà, bon courage à toi aussi L566 et merci.

[L566]

Effectivement je rejoins ta Maman en te disant que voir quelqu'un t'aidera sûrement à mettre des mots sur ce qui te rends mal. Cela t'apaisera surement !
Ensuite je tiens quand même dire que ma mère m'a dit, quand les médecins lui ont annoncée que je faisais une dépression, qu'elle avait remarqué que j'étais pas bien, mais qu'elle refusait de voir la réalité parce que c'est dur pour des parents de savoir que leur enfant ne va pas bien. Peut-être était-ce le cas, je sais pas c'est une possibilité.
En tout cas bon courage pour la suite !

[Nihil]

Dans le genre "les phrases qui tuent", j'en ai une pas mal!!!
De la part de ma propre mère, qui, un jour, à osé imaginer que je puisse faire une quelconque dépression (quelle idée ).
Je cite:
"Mais tu n'as pas le droit d'aller mal! Tu te dois d'aller bien et d'être bien parce que tu as un enfant! Tu n'as pas le droit d'être mal sinon tu vas le rendre mal! Tu dois te reprendre pour lui! Enfin!"
Jusque là... c'est déjà bof... mais la suite est encore mieux:
"si tu étais seule dans la vie, sans enfant, tu pourrais faire ce que tu veux! Si tu avais envie de mourir, tu pourrais te suicider si tu voulais, peu importe! Je ne te retiendrais pas, mais là...non, car ta responsabilité de mère ne te permet pas de te laisser aller."
C'est moi qui suis parano où ma mère m'a clairement dit qu'elle se moquerait de mon mal-être, voir de mon suicide si je n'avais pas d'enfant à charge?
Je souris souvent du manque de délicatesse des gens...mais là, j'avoues que je m'en serais passée.
Une dernier mot...elle m'a dit aussi ce jour-là que c'était la première fois et la dernière fois qu'on aborderait ce sujet (c'est ce qui fut depuis), car il était hors de questions que j'aille mal. Pas le droit, j'ai un enfant!

[Nihil]

Re!
Ce sujet des phrases mortelles m'inspire décidément!

Alors à tout les anorexiques, de l'entendu, ré-entendu...bref:
"Mais c'est facile, t'as qu'à manger!"


A tout les dépressifs:
"Enfin, voyons, c'est trop simple de se laisser-aller! Faut réagir!
Un peu d'effort! Et tout ira mieux!!!"


A quoi je réponds (avec délicatesse, bien sûr!):
"T'as qu'à réfléchir un peu, tu diras moins de con..ries!"

[durdur]

Bonjour à tous et bonne année !!

Oui, c'est vraiment difficile d'encaisser.
Moi, ma famille ne se posait pas plus de questions, j'étais comme ça feignante, peureuse et pessimiste.. je m'en prenait plein la figure sans que personne ne s'inquiète plus que ça de mon comportement irritable etc..

Et depuis que je suis allé chez le médecin et qu'il m'a prescrit un AD que j'ai commencé hier.. je suis je cite : "Mégalo" (.. mais quel rapport? Mdr), je "m'écoute", "ce n'est pas la fin du monde, tout le monde à des problèmes!" ( comme si celà leur enlevait quelquechose à eux), j'exagère, je veux juste qu'on s'intéresse à moi enfin bref,..

A ce rythme là ça va vraiment pas le faire car je suis quelqu'un de résolument explosive.. mais ça fait mal quand même mal d'entendre ça..

Je pense aussi que l'entourage doit mal le vivre et que les gens doivent avoir du mal à savoir comment nous booster alors ils sont un peu indélicats, et je pense que le fait de voir tout en noir nous donne parfois l'impression que le monde est contre nous alors que pas forçément..pour ma part il est vrai que je me suis un peu parano..

Courage à toi ..

[UnknownError]

Ce soir, de la part de mon meilleur ami: " Eh arrête un peu! Oh, t'es pas à l'agonie dans ta vie non plus!"

Pas mal ! Dans le registre, le mien m'a fait un tonitruant "Eh Oh ! T'en as pas marre de te donner en spectacle là ? Tu crois pas que t'en fais un peu trop ?"

Oh bah oui c'est sûr, c'est par plaisir que je pars en crise d'angoise ou que je bade au point dans chialer plusieurs heures par jour ! Pardon d'être malade, non vraiment, excusez moi !

Ou encore "tu donnes vraiment de l'importance à des choses qui n'en ont pas !"

Euh... peut être... mais qui es tu pour t'autoriser de juger de l'importance de ce que je vis et/ou ressens ? Marche dans mes basques, après seulement on en discute mais là, non ! Et puis entre nous soit dit, j'ai coulé ma boite, je suis en train de perdre mon logement, mes potes s'éloignent de plus en plus et par dessus le marché je suis en detté jusqu'au cou mais t'as raison, ca doit pas être important, ouais ...


Mon ex, aussi, celle par qui tout a plus ou moins commencé et, alors que je voyais déjà un psy depuis plusieurs semaines : "T'es vraiment malade ! T'as un problème, va te faire soigner !"

Non sans rire ? Joli perspicacité de ta part, surtout après avoir subtilement déclanché tout ce merdier dans ma vie mais t'as raison, j'aurais pu l'oublier entre 2 RDV chez mon Psy... bref...

Celle ci, dernièrement m'a fait beaucoup rire sauf que comme un con j'ai suivi le conseil. Je ne referai pas : "non mas tes médocs là c'est de la M.... en barre et qui va t'enfermer dans le bad trip ! Prend plutôt une trace de C tu verras ca ira mieux ..."


Euh... Lol ?



Oui c'est sûr, ces petites phrases assassines, il y aurait de quoi en écrire un recueil...


Bonne année à tous quoiqu'il arrive !

[durdur]

"Ouais mais si tu te bouge pas le c.. c'est sur que ça ne vas pas aller!" , c'est de la "masturbation intellectuelle", "Tu dis tout le temps qe t'as plein de trucs à faire et que tu fais jamais rien, à un moment faut s'activer".. super.. tout ça parce que je n'ai pas envie d'aller faire un jaccuzzi parce que j'ai des devoirs.. qui me coutent deja enormement à faire.. et que ça fait 2semaines que je dors et que je ne fais rien parce que je n'y arrive pas..

Ce à quoi je ne sais pas trop quoi répondre si ce n'est péter un cable, partir et dire " Ouais Ouais non mais je le fais expres ça m'éclate c'est vrai qu'un jaccuzzi ça fait pas envie..pfff" Mdr

Enfin bon, je pourrais en sortir tous les jours en ce moment c'est la cata, vivement le retour chez moi ..

[Cardinal]

Le discours volontariste qu'on assène aux dépressifs est le même que celui que le chômeur entend sur sa prétendu manque d'énergie. Cela relève juste chez les gens d'un refus de la complexité face aux problèmes voire parfois d'une franche indifférence aux autres.

[UnknownError]

Indifférence, je n'irais pas non plus jusque là. Les pires que j'ai pu entendre me sont parvenues de la part de personnes que je fréquente pour certains depuis entre 10 et 20ans donc je ne pense pas qu'on puisse parler d'indifférence. Refus de la complexité en revanche, oui là j'adhère complètement à ton analyse.

Après je sais bien que la plupart des gens qui te disent ça, le font pensant bien faire. pour te faire "réagir" pou autre espèce de souhait dans le genre mais bon, chacun son métier. Ca ce sont plutôt des arguments que je serais même presque près à accepter de la part de mon psy mais pas d'un ami quoi...

[Philosss]

À un dépressif

«botte toi le xxx»

«Quand on veut on peut» Celle-là me sort par les oreilles

[Panda]

botte toi le c.. combien de fois je l'entend celle ci aussi..
Les gens m'énervent ils croient avoir réponse à tout et ne considèrent jamais la dépression comme une maladie mais juste comme de la mauvaise volonté!
j'ai aussi eu droit à

"t'es dépressive quand ça t'arrange!"
"c'est du cinéma!" ( ce à quoi je répond "oui bien sur mon médecin s'amuse à me dire de voir un psy rapidement et à me filer des anti-dépresseurs pour rien bien sur..")
"tu fais rien pour aller mieux"
"bouge toi, sort de chez toi, va chercher du travail!!" (non sans déconner j'avais pas pensé à tout ça tiens!! si c'était aussi simple j'en serais pas là hein..)
"y'a plus malheureux que toi" (cette réflexion je ne la supporte plus du tout..)
sans oublier les "moi à ta place je me bougerais le c.., je resterais pas à dormir tout le temps, je ferais ci ou ça.." (oui sauf que t'es pas à ma place et que t'es pas dépressif donc ça n'a aucun intérêt de dire ça..)

[Aragatz]

Entendu aussi "Tu aimes bien te faire plaindre !"

Autrement, je pense à cet extrait du livre humoristique de mon écrivain préférée, Nicole de Buron (qui a 84 ans aujourd'hui !), "Mais t'as tout pour être heureuse !" sorti en 1996, que je copie :

" "La déprime, ça n'existe pas !" > Alors qu'est-ce que j'ai ?
"Prends sur toi !" > Peux pas !
"Réagis bon sang !" > A quoi ?
"Cesse de t'écouter !" > Mais alors, écouter qui ?
"Un peu de courage allons !" > Où pourrais-je en acheter ?
"Secoue-toi" > Je ne suis pas un prunier !
"Tu n'as pas honte de te plaindre alors que t'as tout pour être heureuse !" > Si j'ai honte !
"Pense qu'il y a + malheureux que toi !" > Oui, j'y pense tous les jours : crimes, catastrophes naturelles, délinquance, scandales politico-financiers, etc... Mais curieusmeent, cela ne m'aide pas, au contraire : cela m'enfonce dans ma déprime !
"La dépression c'est un luxe de bourgeoise !" > Alors pourquoi tant de paysans prennent-ils des somnifères et se pendent-ils dans leur grenier ?
"Une déprime, ça se traite par le mépris !" > Le mépris de qui ?"

[Basilesim]

le travail c est la sante ...
plus facile a dire qu a faire ...
je crois cependant que si vraiment ca va pas, pour se prendre en main, il faut faire son lit, son menage, et bosser, c est une solution pour se sentir comme tous le monde ...

Pour dire de tel choses, de un ; vous n'avez jamais fait de dépression ou vous avez oubliez ce que ç'étais, et maintenant que vous êtes bien vous dite n'importe quoi ! Oui le travail ç'est la santé; j'aime ce que je fais , mais quand je suis bien dans ma peau et ne pense pas au suicide. Quand j'ai de l'énergie aussi. la plupard des dépressifs souffrent d'un manque d'énergie chronique. Du à plusieurs facteurs. Dans la tête biens sûre! Débalancement chimique et autres facteurs aussi. Ç'est çà la maladie. Et ce prendre en main veu dire que l'on a l'énergie et que l'on sait ce que l'on veu. Hors la dépression brouille les cartes. J'ai peine à faire quoique ce soit plus de 5 minutes à la fois. Pas même regarder un film. je dois sans cesse bouger quand j'en ai la force. Aucune concentration possible. Alors comment pouvoir travailler dans de telles conditions et être productif. De plus les gens qui retournent travailler avant leurs temps posent un risque de blessures plus élevé à cause de ce genre de défficit. Autre chose il y a plusieurs types de dépressions et plusieurs causes, et PERSONNE N'EST PAREIL . On gueris tous de façon différentes et à notre propre rythme.
PS; excusez les fautes je m'en fou!!

[Détachement]

"C'est dans la tête"
"Quand on veut, on peut"
"Allez, un peu d'énergie !"
"Tu n'as plus d'appétit ? Ben mange !"
"Moi aussi je suis passé par là à avoir des coups de blues, c'est rien du tout !"
"C'est parce que tu te regardes trop le nombril"
"C'est parce que tu veux faire ton intéressante, personne n'aime les mélancholiques alors souris !"
"Ton idéal, c'est de ne jamais travailler de ta vie"
"Mais tu es une fragile !"

Je ne mettrais pas ce que je pense ... parce que je sais que vous pourriez trouver mes pensées vous même.