Être informés sur l'histoire du monde occidental

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Die O'Gêne
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Être informés sur l'histoire du monde occidental

Message par Die O'Gêne »

Il y a désormais pas mal d'études analytiques sur les causes qui ont précédé et amené les grandes catastrophes humanitaires qui ont touché (et sont issus de) le monde occidental, notamment l'europe.
Ces éléments qui ont été un peu honteux encore quelque temps en France, même après la défait de Hitler, viennent de plus en plus au jour (peut-être parce qu'un à un les derniers collaborateurs sont décédés, et que, comme disait De Gaulle après sa victoire contre les Nazis "on ne peut effectuer d'épuration en France, vous savez bien qu'il ne resterait guère de Français" -- il n'y a pas plus clair sur l'ampleur de la collaboration française avec l'envahisseur nazi), c'est d'ailleurs même aujourd'hui enseigné au collège et au lycée (enfin) ce qui rend encore plus incompréhensible l'ignorance des jeunes Français d'aujourd'hui.

Ce qui est intéressant actuellement, c'est de prendre conscience de tout ce qui a précédé la montée du nazisme.

Extrait d'une page de documentation historique :
De 1930 à 1933, l’atmosphère en Allemagne ne prêtait guère à l’optimisme. La crise économique mondiale frappa particulièrement durement le pays et il y eut jusqu'à 30% de chômeurs. Des millions d’allemands associèrent la crise à l’humiliation nationale de l’Allemagne après la défaite de la Première Guerre mondiale. Ils considéraient la coalition comme un gouvernement faible, incapable de lutter contre la crise. La misère largement répandue, la peur d’un avenir plus sombre encore, ainsi que la colère et l’impatience devant l’échec apparent du gouvernement à gérer la crise, préparèrent un terrain propice à la montée d’Adolf Hitler et de son parti nazi.

Orateur puissant et envoûtant, Hitler exploita la colère et l’impuissance ressenties par un grand nombre d’électeurs. Il attira un grand nombre d’Allemands qui aspiraient désespérément au changement. La propagande électorale nazie promettait de sortir l’Allemagne de la crise. Les Nazis s’engagèrent à restaurer les valeurs culturelles du pays, à annuler les clauses du Traité de Versailles, à conjurer la menace d’une révolution communiste, à remettre le peuple allemand au travail et à recouvrer pour l’Allemagne son "rang légitime" de puissance mondiale. Hitler et les autres propagandistes nazis remportèrent d’éclatants succès en dirigeant la colère et la peur de la population contre les Juifs, les marxistes (communistes et sociaux-démocrates) et contre ceux que les Nazis tenaient pour responsables de la signature tant de l’armistice de novembre 1918 que du traité de Versailles, ainsi que de l’instauration d’une république parlementaire. Hitler et les Nazis qualifiaient ces derniers de "criminels de novembre".

Hitler et les autres orateurs nazis adaptaient prudemment leurs discours à chaque auditoire. Par exemple, lorsqu’ils s’adressaient à des hommes d’affaires, les Nazis atténuaient les thèmes antisémites, privilégiant plutôt l’anticommunisme et le recouvrement des colonies allemandes perdues en application du traité de Versailles. Devant des soldats, des anciens combattants ou d’autres groupes d’obédience nationaliste, la propagande nazie mettait l’accent sur le renforcement militaire et le retour des autres territoires perdus après Versailles. Les orateurs nazis promettaient aux agriculteurs du Schleswig-Holstein, land situé dans le nord du pays, qu’un gouvernement nazi soutiendrait les prix agricoles en chute. Dans l’ensemble de l’Allemagne, les retraités s’entendaient dire que le montant et le pouvoir d’achat de leurs versements mensuels demeureraient stables.

Prenant prétexte de l’impasse entre les partenaires de la "grande coalition", le chancelier du Reich, Heinrich Brüning, du parti du Zentrum, décida, en juillet 1930, le vieux président du Reich, le maréchal et héros de la Première Guerre mondiale, Paul von Hindenburg, à dissoudre le parlement et à organiser de nouvelles élections pour le mois de septembre. Pour dissoudre la Chambre, le président appliqua l’article 48 de la constitution qui permettait au gouvernement allemand de gouverner sans l’accord parlementaire et qui ne devait être appliqué qu’en cas d’urgence nationale immédiate.

Brüning jaugeait mal l’état d’esprit de la nation après six mois de dépression économique. Les Nazis remportèrent 18,3% du vote, devenant le deuxième parti politique du pays. Une grande instabilité politique devint la règle.

Pendant deux ans, recourant à plusieurs reprises à l’article 48 pour promulguer des décrets présidentiels, le gouvernement Brüning chercha en vain à constituer une majorité parlementaire excluant les sociaux-démocrates, les communistes et les Nazis. En 1932, Hindenburg destitua Brüning pour nommer au poste de chancelier Franz von Papen, un ancien diplomate membre du Zentrum. Von Papen procéda à une nouvelle dissolution du Reichstag, mais aux élections de juillet 1932, le parti nazi remporta 37,3% des voix, devenant le plus grand parti politique d’Allemagne. Les communistes (prenant des voix aux sociaux-démocrates dans un climat économique en constante dégradation) remportèrent 14,3% des suffrages. En conséquence, dans le Reichstag de 1932, plus de la moitié des députés étaient des représentants de partis qui s’étaient publiquement engagés à mettre fin à la démocratie parlementaire. Tous les partis traditionnels avaient perdu des voix, à l'exception du Zentrum catholique, en faveur des partis extrémistes.

Von Papen s’avérant incapable d’obtenir une majorité parlementaire pour gouverner, ses opposants parmi les conseillers du président Hindenburg l’acculèrent à la démission. Son successeur, le général Kurt von Schleicher, dissolut une fois encore le Reichstag. Aux élections suivantes, en novembre 1932, les Nazis perdirent du terrain, avec un score de 33,1% des scrutins. Les communistes, par contre, progréssèrent, obtenant 16,9% des voix. A la fin de 1932, l’entourage du président Hindenburg en arriva à croire que le parti nazi représentait l’unique espoir de prévenir le chaos et la prise du pouvoir par les communistes. Les négociateurs et propagandistes nazis contribuèrent puissamment à renforcer cette impression.

Le 30 janvier 1933, le président Hindenburg nomma Adolf Hitler chancelier. Hitler parvint à cette fonction, non pas par suite d’une victoire électorale lui conférant un mandat populaire, mais plutôt en vertu d’une transaction constitutionnellement contestable, menée par un petit groupe d’hommes politiques allemands conservateurs qui avaient renoncé au jeu parlementaire, qui espéraient utiliser la popularité d'Hitler auprès des masses pour favoriser un retour à un régime conservateur autoritaire, voire à la monarchie. En deux ans cependant, Hitler et les Nazis prirent de vitesse les politiciens conservateurs et instaurèrent une dictature nazie extrémiste entièrement soumise à la volonté personnelle du Führer.
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Die O'Gêne
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Le XXe siècle l'avènement du IIIe Reich

Message par Die O'Gêne »

Lu à l'instant sur le site grand public "histoire pour tous", une intervention (signée!) d'il y a quelques années...
Extrait :
"Bien sûr que ceci s'est fait en toute "légalité".....

la seule véritable question qui se pose est celle-ci : cette "légalité" est-elle "légitime"... ????

Un exemple très récent : Papandréou, en Grèce, au deuxième tour des municipales et régionales, ne peut que constater que 55 % des électeurs se sont abstenus, ce qui veut dire, en Grèce où le vote est obligatoire, que 55 électeurs sur 100 se sont rendus au bureau de vote et ont déposé un bulletin de vote blanc ou nul...

Cela n'empêche en rien Papandréou de dire que le peuple lui accorde sa confiance et qu'il va poursuivre dans la voie qu'il a tracée(...)
LEGALITE ne signifie pas LEGITIMITE"

Dans ce post, il s'agissait ...de l'arrivée au pouvoir de Pétain et du régime de Vichy

--edit--

Sur le même site, un extrait à mourir de rire (puisqu'on a la chance de ne pas encore être morts d'autre chose) de «Contes et Légendes du IIIème Reich », dans lequel D.L. (il écrit son nom en entier : oui, les gens signent leurs articles dans ce site) vous propose :
« Le Négationnisme raconté aux petits enfants »
après lequel il conclut avec ces phrases pour moi hyper importantes et qui soulignent la nécessité de l'information par elles-mêmes de toutes les populations de base :

D'ou la nécessité de vigilance et de connaissance. Il faut aller fouiller les poubelles de l'Histoire. Pardonnez-moi l'expression très triviale, mais c'est en mettant les pieds dans la m... qu'on en découvre l'odeur et devient capable de la reconnaître ailleurs.

Je vous transcris l'extrait (attention, c'est un pastiche !!! âmes dénuées d'humour s'abstenir !!!)
« Il était une fois, en Allemagne, un humaniste aujourd’hui mondialement reconnu comme tel par de nombreux historiens professionnels et indiscutables, qui s’appelait Adolf Hitler.
Il est arrivé au pouvoir en Allemagne grâce à une extraordinaire vague de popularité et de soutien générée par la seule libre volonté du peuple allemand. La campagne électorale, exemplaire de liberté démocratique, fut un grand succès pour ses militants, les pacifiques SA, modèles s’il en fut de Combattants de la Liberté.
Immédiatement, Adolf Hitler (Que la Paix soit avec lui) s’est engagé dans la Mission que la Providence lui avait confiée : Ramener au sein du Reich Allemand les minorités Aryennes oppressées et exploitées autour de l’Allemagne par divers colonialistes étrangers sans foi ni loi : Il a ainsi réussi, sans qu’une goutte de sang ne soit versée, à réintégrer dans le Reich la Sarre, volée en 1918 par les Français, puis l’Autriche, suivant ainsi la volonté de l’immense majorité du peuple Autrichien et, enfin, le territoire des Sudètes ou des Allemands souffraient sous le joug des criminels esclavagistes Tchèques.
Il suggéra ensuite aux Polonais de rendre au Reich le couloir de Dantzig, volé à l’Allemagne grâce à l’ignoble complicité des puissances occidentales qui, en 1918, avaient lâchement profité des complots judéo-bolchéviques qui affaiblissaient l’Allemagne pour gagner la guerre et imposer l’ignoble Traité de Versailles a une Allemagne affaiblie, poignardée dans le dos par les traîtres à la solde des puissances étrangères, pour la plupart enjuivées ou marxisées.
Les fauteurs de guerre Polonais réagirent en agressant traîtreusement la glorieuse Wehrmacht et attaquèrent par surprise sur la frontière. La glorieuse Wehrmacht a du réagir, en légitime défense, et libéra Danzig de l’ignoble occupation Polonaise. Les Bolchéviques prirent avantage de la situation pour envahir la Pologne de l’Est, trahissant le traité de Paix qu'il avait signé avec Hitler (Que la Paix soit avec Lui) ou ils ont commis de nombreux massacres, dont celui de Katyn, que les ennemis de la Vérité ont longtemps attribué au héros de la Paix Hitler. Le IIIème Reich, militant de la Paix, n’a rien pu faire pour empêcher ces crimes Bolchéviques, le traité avait été signé par Hitler lui-même et, comme tout le monde le sait, et en particulier les Historiens professionnels honnêtes et compétents, Hitler (Que la Paix soit avec Lui) n’a jamais renié aucun de ses engagements, en particulier en matière de Traités de non-agression.
Pendant ce temps, les fauteurs de guerre Français et Britanniques déclarèrent unilatéralement la guerre au IIIème Reich malgré les efforts désespérés d’Adolf Hitler de l’empêcher.
La glorieuse Wehrmacht écrasa les Français, mais épargna les Britanniques, Adolf Hitler (Que la Paix soit avec Lui) refusant de les écraser à Dunkerque puis d’envahir l’Angleterre, dans son éternel et sincère désir de Paix.
Le Führer alla même jusqu’au sacrifice suprême, envoyant personnellement son héritier, Rudolf Hess, en Angleterre, avec une juste, honnête et humaine offre de paix.
Le criminel de guerre Churchill rejeta cette offre sincère, envoya Rudolf Hess en prison, le drogua pour le procès de Nuremberg afin de l’empêcher de dire la Vérité. Pour en finir, les sanguinaires services secrets Britanniques assassinèrent Rudolf Hess à Spandau en 1987, sa libération étant prochaine, pour, encore, l’empêcher de parler.
Les ignobles bolchéviques prirent avantage de ces difficultés politiques du Reich pour provoquer la glorieuse Wehrmacht sur les frontières de l’Est et renier sans vergogne les traités de paix, préparant de toute évidence une guerre d’agression contre le Reich.
En parallèle Adolf Hitler, dans sa quête pour un véritable National-socialisme, compris enfin (Que grâce lui en soit rendue) que le principal obstacle dans la Voie vers la Paix Sociale en Allemagne, les exploiteurs capitalistes, étaient essentiellement composés de Juifs, les mêmes Juifs qui soutenaient activement les Bolchéviques avec toute leur puissance financière basée sur le vol et l’escroquerie.
Dans son infinie sagesse, Adolf Hitler (Que la Paix soit avec lui) pris 2 décisions destinées à sauver l’Europe de ce risque mortel :
1 – Séparer les Juifs des Aryens.
La très sympathique Association Humanitaire Allemande appelée «SS», les Scouts de l’époque, commencèrent donc à rassembler gentiment les Juifs et à les envoyer, à grand frais payés par le contribuable allemand, dans des camps de vacances à l’Est, essentiellement en Pologne plus quelques autres territoires de l’Est libérés du Bolchevisme ou ils purent librement prospérer dans un environnement sain et sur.
Le but de la manœuvre, comme tout esprit libre le comprendra rapidement, était de les empêcher de continuer à exploiter et mettre en danger le peuple allemand et ses bases socioculturelles avec leur abusive exploitation et leur propagande haineuse.
Le Führer, dans son infinie sagesse, en profita aussi pour retirer des circuits légaux de la Civilisation, divers éléments dangereux et asociaux, comme les bolchévistes, les tziganes, les handicapés, les homosexuels, les témoins de Jéhovah et autres dévoyés.
2 – Préparer sa mission suprême :
Eradiquer le bolchevisme et, enfin, donner au peuple Aryen l’espace vital dont il avait désespérément besoin à l’Est. Juste et honorable mission que les aléas de la guerre froide n’ont fait que souligner.
Hélas, le fauteur de guerre Roosevelt était la. Il rêvait, depuis le premier jour, d’aller en guerre, mais le sage Congrès et le sage peuple américain refusaient.
Donc, pendant les négociations avec les pacifiques japonais au sujet des fréquents abus que les USA commettaient quotidiennement envers le Peuple japonais, la position arrogante que le belliqueux Roosevelt prit fut tellement extrême que les pauvres japonais, poussés à leur dernière limite, ont commis, par désespoir, une légère erreur diplomatique.
Ils imaginèrent monter une fausse attaque sur Pearl-Harbour, destinée uniquement à montrer qu’ils étaient acculés, au bout du rouleau, et avaient besoin d’un peut plus de compréhension. Ils envoyèrent leur flotte dans le Pacifique, mais firent en sorte que Roosevelt soit discrètement informé longtemps à l’ avance. Le but était, montrant leur état de désespoir sincère à Roosevelt, de l’emmener vers une position moins dure, moins extrême, puis de stopper la flotte et de conclure les négociations.
Mais le fauteur de guerre Roosevelt garda soigneusement l’information secrète au grand désespoir des Amoureux de la Paix Japonais qui, espérant l’impossible jusqu’à la dernière minute, ne purent stopper la Flotte et vous savez ce qui s’est passé.
Le peuple américain se vit donc entraîné dans une guerre injuste et criminelle contre les Japonais et les Allemands. Le Grand Capital Américain, noyauté par la Juiverie, profita de l’occasion pour améliorer ses profits en vendant des armes et des munitions à l’ennemi Judéo-Bolchéviste et au fauteur de guerre criminel Churchill.
Le fauteur de guerre Roosevelt alla même jusqu’à envoyer de nombreux bombardiers en Angleterre qui, avec l’aide de la RAF du criminel Churchill, bombardèrent si durement des objectifs exclusivement civils que le pauvre pacifique peuple allemand, la principale victime, se retrouva acculé à un état de famine et de haut risque de maladies infectieuses.
Les principales victimes, à coté du peuple allemand, furent leurs hôtes dans les camps de vacance de l’Est : Juifs et Tziganes au sang pollué, prisonniers de guerre Slaves au sang faible, moins forts, moins motivés et moins courageux que le peuple Aryen, ils moururent par milliers sous les coups bas des ploutocraties enjuivées occidentales.
Afin d’effacer cet ignoble crime, les Juifs ont inventé après la guerre la légende des chambres a gaz, essentiellement afin de pouvoir continuer à abuser le peuple allemand en arrachant à ce dernier des compensations financières exorbitantes et, vous l’avez compris, mes enfants, complètement injustifiées.
En effet, ces soi-disant «chambres à gaz » n’étaient, de toute évidence et comme l’ont démontré de nombreux historiens indépendants, que des salles de désinfection ou les SS, débordant de compassion et d’humanité, tentaient désespérément d’éradiquer la vermine qui infestait leurs hôtes. Le sympathique Docteur Mengele, qui, s’il vivait toujours, serait aujourd’hui Président de Médecins Sans Frontière, a passé des années à chercher à comprendre pourquoi les poux, les puces, les morpions, le typhus et autre infestaient en priorité les Juifs et les Slaves mais pas les SS Aryens qui s’étaient héroïquement sacrifiés pour prendre soin de leurs hôtes dans les camps de vacance.
Il me faudrait, mes enfants, pour être complet, vous décrire les horreurs commises par les hordes asiatiques judéo-bolchéviques sur le Front de l’Est ou la Wehrmacht, dernier rempart de la Civilisation Occidentale, s’est glorieusement sacrifiée pour la Paix et la Liberté et vous parler de l’admirable combat du Grand Mufti de Jérusalem pour la Liberté du peuple arabo-islamique face à l’agression judéo-bolchévique avec l’aide de leurs complices sionistes.
Mais vous l’avez déjà compris. L’extraordinaire injustice qui a été faite à Adolf Hitler (Que la Paix soit avec lui) se doit d’être réparée.
Nous pouvons, tous ensemble, mes enfants, faire en sorte que la Vérité soit enfin reconnue et que la Croisade vers l’Amour et la Liberté que Hitler (Que la Paix soit avec lui) a commencée en 1933 puisse aujourd’hui être menée à bien.
Amen »
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