il sont tout de suite pensé à une overdose en lui demandant ce qu'il avait pris.
Il a été suivi par son ancienne psy qui n' a pas jugé bon de passer au sevrage ( proposé par une infirmière ) et il est ressorti.
pour ce qui est de la cause de l'anxièté, je ne suis pas toubib. Mais l'overdose était due à l'apparition d'une rétention d'eau qui pouvait laisser croire à une généralisation du lymphodème.
à la base il y a quand même un handicap au niveau des jambes
qui se traduit par une incapacité à faire beaucoup de choses ( ce qu'il refuse d'admettre )
une longue série d'échecs ( scolaires...)
un père qui n' a pas pu suivre ( la tâche fut rude cependant )
il passe ses journées à regarder la télé.....allongé.
on est désormais dans un cercle vicieux. On ne peut composer sans les benzo, quand il arrive
à la fin de la demi vie des benzo ( ou d'une certain dosage dans le sang ) il se met à trembler.
du coup on ne peut envisager une opération ( à cause de la trop grand dépendance ) ni même une simple prise de sang...il lui faut une dose mini en permanence.
pour les jambes, il y a eu tellement d'opérations dont la dernière qui fut un échec qu'il n 'est pas motivé pour aller chez un kiné alors que cela lui permettrait peut être d'éviter d'avoir la peau super fine et de pouvoir cicatriser en cas de blessure.
dernier schéma
il s'est cogné au niveau du genou, il a mis 6 mois à cicatriser avec des douleurs au réveil...et du coup
conso soutenue de benzo....
j'ai discuté avec une cliente infirmière en psychiatrie retraitée. Selon elle il y a un gros dérapage au niveau des psys. Dans le cas de mon beauf, il s'agit selon elle d'un cas simple. Un rendez vous par mois..une ordonnance. Pour le soucis des jambes il suffit d'aller voir un phlébologue...
pour l'instant je suis encore à régler des vieux trucs du passé ( huissiers et autres fantaisies administratives

il faudrait avancer deux ou trois fois plus vite.