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Voilà deux ans que je fume tous les jours deux à cinq joint par soir uniquement le soir sauf quand je ne travaille pas où là c'est tout au long de la journée. ces derniers temps est-ce parce que je me suis mise une date d'arrêt ou est-ce que je suis en train de ressombrer un peu plus en dépression je ne sais pas mais j'ai un gros besoin de planer du coup je ne sais pas si je vais réussir à tenir mon défis d'arrêter en Avril. C'est pas bon ce que je vais dire mais ce WE on a prévu de faire une soirée à la maison et je compte bien planer ou me bourrer la gueule un bon coup en espérant que ça calme les choses, si ça ne marche pas et que lundi cette envie et besoin est toujours là je contacterai la psychiatre pour un rendez vous plus rapproché.
Pourquoi s'être mise une date ? parce que j'ai toujours eu besoin de me mettre des ultimatums pour tout pour pouvoir avancer par exemple mon premier appart quand j'avais 18a j'avais dit avant mes 23a je serais chez moi. Souhait réalisé puisque un mois avant l'échéance j'avais mon appart. Je suis on va dire une poule mouillée si je ne calcule pas tout je laisse tomber.
En Avril, j'ai une semaine de vacances (mes première vrai vacances de ma vie ^^) et par la même occasion ma mère vient me voir (on habite à l'autre bout de la France l'une de l'autre) du coup elle va passer une semaine à la maison et j'ai décidé d'arrêter lors de mes vacances je pense que ça sera plus facile à gérer.
Me vient des questions :
- peut on arrêter sans aide médicale avec du soutien de ma femme avec qui je vis depuis bientôt trois ans qui elle aussi va arrêter (on veut arrêter en même temps) et une amie également,
- comment se passe un sevrage ?
- Comment continuer à dormir et surtout à ne pas péter de câbles parce que je suis une auto violente et je n'ai pas envie de me re casser la main ?
- Vais je ressentir un manque qui fait que ma mère pourrait voir quelque chose ?
En bref j'aimerai savoir comment une telle décision va se passer ? Au fait, j'ai peur de l'inconnu...
PS : je n'ai pas vraiment d'habitude avec ça j'ai réussi une chose déjà c'est casser le rituel du couché maintenant le tatard du couché dépend vraiment de mon état de fatigue ce n'est plus systématique.
Voiloù merci à vous de m'avoir lu, et vous souhaite une bonne journée !
et tu n'as pas été plus sur les nerfs ? ton comportement as t'il changé ? plus de violence ou moins, moins d'appétit ? ... 
il doit y avoir moyen de trouver une ou un psychiatre trés bien qui ne te jugera pas ( normalement ca devrait tjrs etre ca 
) et qui pourra tépauler, te conseiller, taider a arréter...cette histoire dultimatum que tu te fais, pourquoi pas mais ca te met une pression... 
courage ! 
aie latterrisage... 
).
) et pis ma "paresse" de me fournir fait le reste... et je reste des mois voir des années sans en reprendre jusqu'à ce que ca me toc et que l'envie de planer redevienne plus forte que ma paresse... 