Qui se sent "décalé" ici ?
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- Messages : 8
- Enregistré le : dimanche 28 septembre 2008 2:53
Qui se sent "décalé" ici ?
Salut !
Ah chaque fois que je parle de ce que je ressent, une personne normal me prendrais pour quelqu'un de "faible" et qui sourit pas (ou peu quand il ne fait pas semblant), en me disant d'aller consulter un psy...
La psy me dirait de prendre des anti-dépresseur pour faire semblant d'aller bien et revenir dans le droit chemin de la vie... (enfin pour moi l'alcool, c'est pareil qu'un anti-dépresseur, sauf que c'est plus nocif pour la santé) Bref ça tourne en rond.
La solution ? Franchement, je la cherche encore, mais je pense avoir une piste en me disant que je suis un décalé de la vie, et que mon propre bonheur ne se trouve pas au mains d'un code pré-établit par la société qu'on vous force à avaler au quotidien. Rebelle ? Encore un mot qu'une personne normal vous sortirait... En gros, je veux pas être heureux aux yeux des autres mais à mes propres yeux, sans être obligé de montrer ses joues hautes !
Quelqu'un d'autre ressent ça ?
Ah chaque fois que je parle de ce que je ressent, une personne normal me prendrais pour quelqu'un de "faible" et qui sourit pas (ou peu quand il ne fait pas semblant), en me disant d'aller consulter un psy...
La psy me dirait de prendre des anti-dépresseur pour faire semblant d'aller bien et revenir dans le droit chemin de la vie... (enfin pour moi l'alcool, c'est pareil qu'un anti-dépresseur, sauf que c'est plus nocif pour la santé) Bref ça tourne en rond.
La solution ? Franchement, je la cherche encore, mais je pense avoir une piste en me disant que je suis un décalé de la vie, et que mon propre bonheur ne se trouve pas au mains d'un code pré-établit par la société qu'on vous force à avaler au quotidien. Rebelle ? Encore un mot qu'une personne normal vous sortirait... En gros, je veux pas être heureux aux yeux des autres mais à mes propres yeux, sans être obligé de montrer ses joues hautes !
Quelqu'un d'autre ressent ça ?
- kel
- Messages : 10
- Enregistré le : mercredi 17 septembre 2008 10:48
depuis plusieurs année je me sens aussi décalé par rapport aux gens "normaux".
Je ne m'amuse plus, et je ne suis pas heureux.
Le pire dans tout ça c'est que je fais semblant d'être heureux devant mes parents et ma famille.
C'est vraiment lassant, et c'est un peu pour ça que j'ai fuit vers l'étranger.
Quant à la recherche du bonheur, il n'y a pas de remède miracle.
Je me permet de citer une phrase du film "into the wild" (qui m'a énormément touché) : "happiness only real when shared"
Ce qui peut se traduire par "le bonheur n'éxiste que s'il est partagé"
Et c'est un peu vrai, ce n'est vraiment pas facile d'être heureux en se sentant "seul" et "décalé" de la société, parce que l'on a personne qui peut nous comprendre.
D'où un dilemme assez cruel, faut-il faire semblant d'être comme tout le monde et pas forcement heureux, ou bien faut-il chercher son bonheur en sois-même en sachant la difficulté que cela implique et peut-être l'échec au rendez-vous ?
PS. lisez ou regardez "into the wild", l'un de mes films préférés.
Je ne m'amuse plus, et je ne suis pas heureux.
Le pire dans tout ça c'est que je fais semblant d'être heureux devant mes parents et ma famille.
C'est vraiment lassant, et c'est un peu pour ça que j'ai fuit vers l'étranger.
Quant à la recherche du bonheur, il n'y a pas de remède miracle.
Je me permet de citer une phrase du film "into the wild" (qui m'a énormément touché) : "happiness only real when shared"
Ce qui peut se traduire par "le bonheur n'éxiste que s'il est partagé"
Et c'est un peu vrai, ce n'est vraiment pas facile d'être heureux en se sentant "seul" et "décalé" de la société, parce que l'on a personne qui peut nous comprendre.
D'où un dilemme assez cruel, faut-il faire semblant d'être comme tout le monde et pas forcement heureux, ou bien faut-il chercher son bonheur en sois-même en sachant la difficulté que cela implique et peut-être l'échec au rendez-vous ?
PS. lisez ou regardez "into the wild", l'un de mes films préférés.
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- Messages : 8
- Enregistré le : dimanche 28 septembre 2008 2:53
Salut Kel !kel a écrit :depuis plusieurs année je me sens aussi décalé par rapport aux gens "normaux".
Je ne m'amuse plus, et je ne suis pas heureux.
Le pire dans tout ça c'est que je fais semblant d'être heureux devant mes parents et ma famille.
C'est vraiment lassant, et c'est un peu pour ça que j'ai fuit vers l'étranger.
C'est marrant que tu parles d'étrangers, ça me hante tous les jours...
L'herbe, j'ai déjà pas mal fuis en France pour en trouver de la bien verte, j'en ai trouvé une à mon goût, le jour où j'en suis partit, c'est là que j'ai pris conscience que le mot fuite n'était pas approprié à la citation (les problèmes me suivaient, certes), mais finalement, la recherche permettait parfois de se faire de bonnes expériences, et ça m'avait permis d'avancer 10 fois plus vite que dans une herbe jaune.
J'y es fait notamment la rencontre d'un ami qui partageait les mêmes émotions que moi, seulement, lui arrivait à mieux faire semblant que moi dans la vie, et était moins isolé de part sa volonté de pas rester seul en gardant sa conjointe et son ami d'enfance à tout prix

Devant ma famille, je fais comme toi

J'aimerais savoir, justement, ce que t'as apporté cette expérience à l'étranger ? Dans tous les sens...
Modifié en dernier par maravika le dimanche 05 octobre 2008 3:10, modifié 4 fois.
- kel
- Messages : 10
- Enregistré le : mercredi 17 septembre 2008 10:48
Alors pour ma part, je suis partit en ayant pour idée que tout allait s'arranger...
Erreur!
Mes problèmes sont les mêmes, sauf que je n'ai plus besoin de faire semblant devant mes parents (sauf au téléphone - embarrassant).
Mais ça m'a apporté d'autres choses, comme la découverte de cultures différentes, l'indépendance...
J'ai aussi pu me poser beaucoup de questions sur moi-même, je me suis rendu compte que j'avais vraiment un problème dans ma tête (chose dont je n'avais pas vraiment conscience avant).
Et puis il a aussi toutes ces rencontres (forcées) par le biais de l'université et le travail. Je ne suis pas très à l'aise avec les gens, mais j'ai dû surpassé ma peur pour pouvoir travailler correctement avec eux.
Ah et puis il y l'anglais... comme je ne suis toujours pas "fluent", les gens sont plus ouverts et plus compréhensifs.
Bref je suis à la fois satisfait et non satisfait de mes expériences à l'étranger. Je veux rentrer en France bientôt pour pouvoir consulter un psy et pour revoir ma famille que j'aime.
Erreur!
Mes problèmes sont les mêmes, sauf que je n'ai plus besoin de faire semblant devant mes parents (sauf au téléphone - embarrassant).
Mais ça m'a apporté d'autres choses, comme la découverte de cultures différentes, l'indépendance...
J'ai aussi pu me poser beaucoup de questions sur moi-même, je me suis rendu compte que j'avais vraiment un problème dans ma tête (chose dont je n'avais pas vraiment conscience avant).
Et puis il a aussi toutes ces rencontres (forcées) par le biais de l'université et le travail. Je ne suis pas très à l'aise avec les gens, mais j'ai dû surpassé ma peur pour pouvoir travailler correctement avec eux.
Ah et puis il y l'anglais... comme je ne suis toujours pas "fluent", les gens sont plus ouverts et plus compréhensifs.
Bref je suis à la fois satisfait et non satisfait de mes expériences à l'étranger. Je veux rentrer en France bientôt pour pouvoir consulter un psy et pour revoir ma famille que j'aime.
- claudine
- Membre d'honneur
- Messages : 5872
- Enregistré le : mardi 05 décembre 2006 19:30
Bonjour kel,kel a écrit :D'où un dilemme assez cruel, faut-il faire semblant d'être comme tout le monde et pas forcement heureux, ou bien faut-il chercher son bonheur en sois-même en sachant la difficulté que cela implique et peut-être l'échec au rendez-vous ?
:
A mon avis, le bonheur c'est quelque chose de subjectif et de personnel. On doit donc le trouver en soi car ce qui peut faire le bonheur d'une personne ne fera pas forcément celui d'une autre
- small
- Messages : 493
- Enregistré le : dimanche 14 octobre 2007 15:41
Bonjour à tous.
je me sens également totalement décalée face au reste du monde, l'impression de ne pas être sur les mêmes "rails" que les autres, mais sur des rails parallèles, à côté de leur vie à eux.
Trouver le bonheur en soi est un objectif louable et ambitieux, mais nous savons hélas que cela ne peut se faire sans tenir compte des autres et de leurs regards : comme le disait Brassens, "Non, les braves gens n'aiment pas que l'on suive une autre route qu'eux"... et si c'est pour finir pendu, comme dans la chanson...
Pas facile, tout ça, l'idéal serait de pouvoir mixer les deux : s'assumer tout en préservant les apparences de la "normalité", mais cela pose du même coup des limites à notre liberté d'agir.
je me sens également totalement décalée face au reste du monde, l'impression de ne pas être sur les mêmes "rails" que les autres, mais sur des rails parallèles, à côté de leur vie à eux.
Trouver le bonheur en soi est un objectif louable et ambitieux, mais nous savons hélas que cela ne peut se faire sans tenir compte des autres et de leurs regards : comme le disait Brassens, "Non, les braves gens n'aiment pas que l'on suive une autre route qu'eux"... et si c'est pour finir pendu, comme dans la chanson...
Pas facile, tout ça, l'idéal serait de pouvoir mixer les deux : s'assumer tout en préservant les apparences de la "normalité", mais cela pose du même coup des limites à notre liberté d'agir.
- misschocolatine
- Messages : 1964
- Enregistré le : jeudi 03 janvier 2008 17:52
-
- Messages : 8
- Enregistré le : dimanche 28 septembre 2008 2:53
C'était pas Sinsemilia ?small a écrit :Trouver le bonheur en soi est un objectif louable et ambitieux, mais nous savons hélas que cela ne peut se faire sans tenir compte des autres et de leurs regards : comme le disait Brassens, "Non, les braves gens n'aiment pas que l'on suive une autre route qu'eux".:
Erf, on m'aurait menti ? :'( N'empêche, cette chanson reflète très bien ce sujet, à savoir, voulons nous être que les autres veulent ? Ou bien devons- rester nous même quelque soit nos sentiments ?
J'aimerais tellement pouvoir rester moi même ; d'un côté, cette dépression ne me dérange pas, personnellement parlant, et de l'autre, j'ai l'impression de devoir absolument guérir pour me faire accepter...
Aujourd'hui le seul truc dont j'ai vraiment besoin, c'est du mot "paisible"
Vous voyez ?
- Snoopy
- Messages : 2
- Enregistré le : samedi 20 septembre 2008 1:54
Arf je suis moi aussi en decallé ,je passe mon temps à etre ce que je ne suis pas derriere un masque , parfois ce masque ce fissures alors je me mets en colere afin de ne pas craquer et pleurer et alors je passe pour queqlun qui ne fait rien et qui en plus rale .
Ce qui me fait mal c est le decalage bcp de personnes a qui je parles de mes soucis penses m aidé en me disant que je pourrai allais plus mal et que je devrais etre content de ma vie mais comment leur faire comprendre que dans leur monde j ai du mal a me sentit bien ? tout le temps je me dis que je suis né trop tot ou trop tard et je suis en permanance en decalage .
Ce qui me fait mal c est le decalage bcp de personnes a qui je parles de mes soucis penses m aidé en me disant que je pourrai allais plus mal et que je devrais etre content de ma vie mais comment leur faire comprendre que dans leur monde j ai du mal a me sentit bien ? tout le temps je me dis que je suis né trop tot ou trop tard et je suis en permanance en decalage .
- Chat perdu
- Messages : 1657
- Enregistré le : mercredi 16 juillet 2008 0:03
Pareil. je me sens décalé et je le remarque à ma façon de ne pas être accepté par les autres, un peu mis à l'écart comme si je n'étais pas comme eux. En même temps à cause de la dépression je me sens vieux avant l'age.small a écrit :Bonjour à tous.
je me sens également totalement décalée face au reste du monde, l'impression de ne pas être sur les mêmes "rails" que les autres, mais sur des rails parallèles, à côté de leur vie à eux.
Trouver le bonheur en soi est un objectif louable et ambitieux, mais nous savons hélas que cela ne peut se faire sans tenir compte des autres et de leurs regards : comme le disait Brassens, "Non, les braves gens n'aiment pas que l'on suive une autre route qu'eux"... et si c'est pour finir pendu, comme dans la chanson...
Pas facile, tout ça, l'idéal serait de pouvoir mixer les deux : s'assumer tout en préservant les apparences de la "normalité", mais cela pose du même coup des limites à notre liberté d'agir.
- luna13
- Messages : 613
- Enregistré le : mardi 07 octobre 2008 0:33
Moi, décalée, je le suis a 100%
Je vivais une vie avec travail, sortie en famille, tâches ménagères, aide à la gestion de la Sarl de mon conjoint? etc.
De part cette dépression qui a commencé il y a un an, je le rapelle pour ceux qui n'ont pas lu de com de ma parts, je suis DECALEE, il y a eut plusieurs phases de décalage.
En ce moment, c'est: je me lève à 6H30, j'amène ma fille au car pour le collège à 7H20, je me connecte sur internet, sur ce forum maintenant et puis vers 9h , j'ai très sommeil alors je vais me coucher et je dors de 1H30 à 3h tout dépend, jamais de ma vie cela ne m'était arrivée.
Je me lève dans le coltar, je range quatre bricoles, je m'occupe de mes animaux, j'étends une machine si il y en a une, si je peux j'évites le balayage et voilà, c'est finit , ah si! je prépare 2 bricoles pour manger.
Mais comment ai-je pu de l'action à l'inaction totale, je serais seule, je ne ferais rien mais ce qui s'appelle rien!!
Je vivais une vie avec travail, sortie en famille, tâches ménagères, aide à la gestion de la Sarl de mon conjoint? etc.
De part cette dépression qui a commencé il y a un an, je le rapelle pour ceux qui n'ont pas lu de com de ma parts, je suis DECALEE, il y a eut plusieurs phases de décalage.
En ce moment, c'est: je me lève à 6H30, j'amène ma fille au car pour le collège à 7H20, je me connecte sur internet, sur ce forum maintenant et puis vers 9h , j'ai très sommeil alors je vais me coucher et je dors de 1H30 à 3h tout dépend, jamais de ma vie cela ne m'était arrivée.
Je me lève dans le coltar, je range quatre bricoles, je m'occupe de mes animaux, j'étends une machine si il y en a une, si je peux j'évites le balayage et voilà, c'est finit , ah si! je prépare 2 bricoles pour manger.
Mais comment ai-je pu de l'action à l'inaction totale, je serais seule, je ne ferais rien mais ce qui s'appelle rien!!
- Chat perdu
- Messages : 1657
- Enregistré le : mercredi 16 juillet 2008 0:03
Oui dans ce sens là tu es décalée et c'est typique de la dépression. J'ai vécu ça seulement 10 jours mais ma famille m'a obligé à me relever (sans pour autant croire que j'étais dépressif).
Et le jour où on devient dépressif on n'est plus comme avant, on n'a plus la pêche, on veillit de 50 ans en 1 journée et on ne comprend pas ce qui nous arrive.
Ceci étant, pour se relever, il ne faut pas toujours trop compter sur les autres, y aller tout doucement et petit à petit on y arrive mais on reste encore fragilisé par la dépression.
Et le jour où on devient dépressif on n'est plus comme avant, on n'a plus la pêche, on veillit de 50 ans en 1 journée et on ne comprend pas ce qui nous arrive.
Ceci étant, pour se relever, il ne faut pas toujours trop compter sur les autres, y aller tout doucement et petit à petit on y arrive mais on reste encore fragilisé par la dépression.
- luna13
- Messages : 613
- Enregistré le : mardi 07 octobre 2008 0:33
Je n'ai pas de famille proche, elle habite à 400kms et tant mieux, ils n'ont jamais été là pour nous.
Mon conjoint est en phase down de son trouble bipolaire et il se lève vers 10H30-11H, lui non plus n'a jamais été comme ça, il a travaillé depuis l'âge de 15 ans et pas des métiers de tout repos (chef cuisinier, chef de personnel en agriculture arboricole et chef de son entreprise d'élagage (SARL), la maladie la obligé à faire un dépôt de bilan, de plus notre fils ainé étant co-gérant ne voulais plus travailler avec son père malade, trop de responsabilité pour lui, le travail et son père ne se rendant plus compte du danger et surestiment ses forces.
C'est donc difficile de se motiver à nous deux
Mon conjoint est en phase down de son trouble bipolaire et il se lève vers 10H30-11H, lui non plus n'a jamais été comme ça, il a travaillé depuis l'âge de 15 ans et pas des métiers de tout repos (chef cuisinier, chef de personnel en agriculture arboricole et chef de son entreprise d'élagage (SARL), la maladie la obligé à faire un dépôt de bilan, de plus notre fils ainé étant co-gérant ne voulais plus travailler avec son père malade, trop de responsabilité pour lui, le travail et son père ne se rendant plus compte du danger et surestiment ses forces.
C'est donc difficile de se motiver à nous deux
- Chat perdu
- Messages : 1657
- Enregistré le : mercredi 16 juillet 2008 0:03
- Chat perdu
- Messages : 1657
- Enregistré le : mercredi 16 juillet 2008 0:03
- seraphine
- Messages : 330
- Enregistré le : lundi 23 avril 2007 19:30
decalee c'est mon nom toujours trop tot ou trop tard,differente quoi!
j'essaie de garder un masque du mieux que je peux pour eviter trop de questions (souvent stupides) mais mon etat parfois passe au travers et la on ne me loupe pas...
partout ou je vais je ne me reconnais pas dans les gens d'ou ma solitude
c'est comme si les gens parlaient de quelque chose qui ne me concerne pas et comme ma petite vie ne les interesse pas non plus on ne risque pas de se rejoindre
j'essaie de garder un masque du mieux que je peux pour eviter trop de questions (souvent stupides) mais mon etat parfois passe au travers et la on ne me loupe pas...
partout ou je vais je ne me reconnais pas dans les gens d'ou ma solitude
c'est comme si les gens parlaient de quelque chose qui ne me concerne pas et comme ma petite vie ne les interesse pas non plus on ne risque pas de se rejoindre
- zorg
- Messages : 90
- Enregistré le : vendredi 11 avril 2008 18:05
Bonsoir,
Moi le masque est très fissuré et ce depuis très longtemps...
La différence et l'indifférence, je l'ai senti déjà quand j'étais petit...
Pendant 17 ans, j'ai vécu une belle histoire mais étant bipolaire, à un moment donné, j'ai craqué, et depuis, je me réfugie parfois dans la solitude, on se comprend, c'est plus facile...
J'ai un fils qui a 14 ans, c'est ce qui fait que je ne suis pas complètement décalé, et en marge.
J'arrive bien à faire semblant à mon travail depuis que j'ai repris à plein temps.
Moi le masque est très fissuré et ce depuis très longtemps...
La différence et l'indifférence, je l'ai senti déjà quand j'étais petit...
Pendant 17 ans, j'ai vécu une belle histoire mais étant bipolaire, à un moment donné, j'ai craqué, et depuis, je me réfugie parfois dans la solitude, on se comprend, c'est plus facile...
J'ai un fils qui a 14 ans, c'est ce qui fait que je ne suis pas complètement décalé, et en marge.
J'arrive bien à faire semblant à mon travail depuis que j'ai repris à plein temps.
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