Valeurs de référence de la charge corporelle en métaux stockés en population générale

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Sophocle
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Enregistré le : vendredi 23 mars 2018 14:09

Valeurs de référence de la charge corporelle en métaux stockés en population générale

Message par Sophocle »

Bonjour,

Je me suis déjà présenté dans le fil suivant : Présentation de Sophocle.

je soumets deux séries d'observations sur les conséquences des carences des références médicales en matière de toxicologie des métaux lourds et en matière de médecine conventionnelle. Parce qu'elles sont méconnues, ces carences demeurent non comblées. En les comblant, les troubles neuro-psy exclusivement liés aux particules oxydantes (dont les métaux lourds) seraient éventuellement mieux définis, et donc, enfin traités.


RÉFÉRENCES CORPORELLES DU STRESS OXYDANT
RÉSUMÉ
En 2010, suite à la pratique croissante et non-conventionnelle des analyses post-traitements, dans un article, dans lequel il laisse entendre que le sang n'est jamais représentatif du corps, un collège américain de toxicologie rappelle et confirme que, pour des raisons de rigueur scientifique, seul le sang doit être pris en compte pour évoquer un empoisonnement. En application stricte de ce consensus, en place depuis de nombreuses décennies, la médecine conventionnelle américaine a donc durablement adressé une fin de non-recevoir, tant que le Congrès n'était pas intervenu, de leurs très nombreux et très lourds symptômes caractéristiques, dont une hausse de la fréquence des cancers cérébraux, aux 300.000 soldats américains revenus empoisonnés de la guerre du Golfe de 1991. Cependant, en dépit de l'intervention du Congrès en 2016, le consensus demeure maintenu en occident.
D’un côté, les conséquences des particules oxydantes sont donc certes connues, cancers, Alzheimer, … Mais de l’autre côté, les cancéreux, les Alzheimer et les porteurs de symptômes d’empoisonnement font donc l’objet d’un refus ferme et définitif de traitement de ces particules. Question, quels mécanismes entrent-ils donc en jeu pour que des millions de malades, à l'image des soldats américains, porteurs de maladies environnementales et chroniques soient laissés sans l’encadrement de l’élimination des causes possibles de leurs maladies ? Réponse, la médecine occidentale ne traite pas le possible, elle ne traite que le certain.
Comme une combinaison de causes variables mène à une même maladie chronique, et comme elle ne connaît pas la distribution exacte des particules oxydantes chez une personne précise, la médecine occidentale ne traite donc, chez personne, aucune cause possible. De plus, l’absence de traitement des causes possibles laisse entendre une prétendue absence de cause chez tous. En conclusion, par manichéisme dans le cabinet de consultation, les causes possibles de sa pathologie virent donc, analyses sanguines à l'appui, à l’absence de cause en face du patient.


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OBSERVATIONS 1
TITRE : RÉFÉRENCES CORPORELLES DES MÉTAUX
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Note liminaire, ce texte a certes été écrit dans son contexte français, mais, en raison des limites que la biologie impose à la science, son cadre général est valable pour tous les pays.

a. SE MÉFIER DES CERTITUDES
Contrairement aux certitudes de tous, y compris à celles des médecins généralistes, les valeurs de référence de la charge corporelle en métaux stockés dans la population générale demeurent encore ignorées par la toxicologie conventionnelle occidentale [1]. De cela, il en découle que la charge toxique en métaux stockés (dont les métaux lourds) n'existe officiellement pas. Aux yeux de la médecine conventionnelle et aux yeux de la toxicologie conventionnelle, faute de valeurs de référence, une personne porteuse d'un inquiétant stock de métaux en excès par rapport à une personne en bonne santé n'est donc pas considérée comme intoxiquée.

b. RÉFÉRENCES DES ANALYSES BIOLOGIQUES
Afin de donner une existence officielle à une analyse médicale biologique, il est indispensable que des valeurs de référence de la charge corporelle en population générale soient établies. Par exemple, une concentration en globules rouges relevée chez un individu est appréciée en comparaison à une fourchette de valeurs de référence issues d'une population générale en bonne santé. Sans référence spécifique, le relevé est non interprétable. Or, les valeurs de référence de la charge corporelle pour tout métal stocké dans la population générale n'ont pas encore été établies. Faute de valeurs officielles de référence, la comparaison est impossible. Faute de comparaison, une personne qui excrète une valeur inquiétante de mercure par le traitement des métaux est nécessairement considérée en bonne santé par incongruité administrative. Par la même occasion, les stocks de métaux en excès sont officiellement acquittés de toute accusation de cofacteur des maladies chroniques, autisme, Alzheimer, Parkinson, sclérose en plaques, fibromyalgie, addictions, … Sur les quatre-vingt-dix métaux du tableau périodique des éléments, seuls trois métaux ont fait l'objet de références corporelles, cuivre (maladie de Wilson), fer (hémochromatose), plomb (saturnisme). Aucun autre métal stocké n’a fait l’objet de valeurs de référence de la charge corporelle en population générale. Cependant, sans les symptômes pré-caractérisés par une clinique, les excès des trois métaux précités ne sont pas considérés comme pathologiques [2].

c. L'ICEBERG ET LE NUAGE
Il existe certes un diagnostic validé pour les métaux. En analysant le sang, l'urine ou les cheveux, ce diagnostic se cantonne à la partie émergée de l'iceberg. Sur la charge corporelle, l'examen de ces matrices est inapproprié. Lors d'un diagnostic validé, les métaux en excès, indésirables, stockés et fixés en nuage dans un organe, passent tous inaperçus. Comme les matrices validées sont filtrées ou rapidement renouvelées, le diagnostic validé ne décèle qu'une exposition transitoire plus ou moins récente. Ce diagnostic ne décèle donc pas une charge corporelle. Le traitement permet justement de chasser peu à peu ce nuage et d'excréter la partie chassée par voie naturelle. Les analyses biologiques post-traitements sont donc pertinentes pour déceler ces nuages de façon à apprécier une éventuelle présence excessive. À ce jour, seules des analyses biologiques post-traitements permettent de déceler un inquiétant stock de métaux sédimentés par des années d'intoxication douce dont les symptômes se manifestent par des moindres changements [3] jusqu'à éventuellement des phases aigües tardives ou durablement installées en passant par des troubles neuro-comportementaux [4]. De plus, selon Freud, dans "Sigmund Freud et la technique psychanalytique" (traduction Anne Berman, 1953) [5] : "Les psychoses, les états confusionnels, les mélancolies profondes — je dirais presque toxiques — ne ressortissent pas à la psychanalyse".

d. L'ADAGE
Selon les sociétés de toxicologie, l'administration du traitement des métaux augmente l'excrétion des métaux chez tous. Comme les conditions d'analyses sont différentes, les références du diagnostic validé (sans traitement) ne peuvent donc pas être reconduites pour l'interprétation des analyses biologiques post-traitements. Selon les sociétés françaises de toxicologie (STC, Société de Toxicologie Clinique, et SFTA, Société Française de Toxicologie Analytique) : "La comparaison des concentrations mesurées dans ces circonstances aux valeurs de référence en population générale est évidemment erronée" [2]. Faute de références spécifiques, les analyses post-traitements se retrouvent donc orphelines de valeurs de référence. La STC et la SFTA indiquent certes que c’est parce que les valeurs augmentent chez tous lors d’un traitement que les références du test validé (sans traitement) ne sont pas réutilisables pour interpréter le relevé post-traitement, mais, ce faisant, c’est pour la même raison que le diagnostic validé devient impropre à la destination d'évaluation de la charge, car les métaux augmentent chez tous. Quelqu'un qui excrète cinquante microgrammes post-traitements de mercure pendant cinq ans n'est pas à placer dans le même panier que la majorité qui excrète la même quantité de mercure au cours d'un seul et unique traitement. Par cette carence, le vieil adage, "c'est la dose qui fait le poison", a donc été oublié. Tant que les valeurs des analyses post-traitement n’ont pas rejoint les valeurs d’analyses sans traitement, c’est que des stocks de métaux demeurent.

e. NON RECONNAISSANCE
Faute de valeurs de référence de la charge corporelle en métaux stockés dans la population générale et en dépit de la toxicité intrinsèque du métal, le mercure stocké, l'arsenic stocké, l'aluminium stocké, le cadmium stocké et tant d'autres métaux stockés chez un individu ne sont donc pas reconnus par la toxicologie conventionnelle comme toxiques ni à n'importe quelle dose, ni à long terme, ni à retardement, ni dans l’immédiat. Cela est un effet direct et implacable de l'absence des valeurs de référence spécifiques aux analyses biologiques post-traitements. Faute de valeurs de référence dans la population générale de la charge corporelle en métaux stockés, les valeurs inquiétantes qui surgissent uniquement lors des analyses biologiques post-traitements sont frappées de nullité. Comme son sang est négatif, une personne intoxiquée par des stocks en excès de métaux indésirables dans un organe n'est donc ni traitée, ni reconnue par la toxicologie conventionnelle. Faute de valeurs de référence et en dépit de lourds symptômes, un toxicologue conventionnel doit déclarer qu'une valeur inquiétante de mercure excrété chez un patient lors d'un traitement des métaux ne constitue pas un motif de reconnaissance d’une intoxication, ni de traitement. De plus, la clinique n’attribue officiellement pas les symptômes à l'excès du métal. Les causes des symptômes sont donc officiellement et médicalement inconnues.

f. ILLUSTRATION : AMALGAMES DENTAIRES
Bien que la concomitance entre la charge corporelle de mercure stocké et entre les amalgames dentaires présents en bouche ait été rapportée par des études scientifiques [6], la toxicologie conventionnelle conclut que, à cause de l'absence de valeurs de référence dans la population générale de la charge corporelle en métaux stockés, les amalgames dentaires ne provoquent pas d’intoxication au mercure. Faute de valeurs de référence, il n'existe officiellement pas d’intoxication. Une intoxication est une valeur au-dessus de la référence. Sans référence à partir de laquelle une charge toxique est définie, et en dépit que la documentation scientifique sur la haute toxicité du mercure à très faible concentration soit abondante, un préoccupant milligramme de mercure stocké dans le corps est officiellement non toxique. Faute de référence, il est donc vain d'accuser les amalgames ou les métaux. Seul l'établissement de ces valeurs de référence permettra donc d'affirmer si les amalgames provoquaient des intoxications au mercure. Cela est également valable pour toute sorte d'exposition (alimentation, vaccin, environnement).

g. ACQUITTEMENT AUTOMATIQUE
Les circonstances d'intoxications sont nombreuses. En dépit que, pour Alzheimer, l'excès de métaux stockés soit diagnostiqué post-mortem à l’autopsie du cerveau [7], la toxicologie conventionnelle conclut que, faute de valeurs de référence de la charge corporelle des métaux stockés dans la population générale, les excès de métaux relevés post-mortem ne sont pas des cofacteurs de ces dégénérescences du vivant du patient. Selon la toxicologie conventionnelle, ces malades, dont le nombre atteint 15 % d'une génération, ne sont donc pas à désintoxiquer. Le sursis du traitement aboutit donc à ce que les métaux en excès soient retrouvés post-mortem chez tous les Alzheimer. La sclérose en plaques, l'arthrose, l'électrosensibilité, et tant d'autres maladies chroniques sont frappées de la même sanction. Les expositions professionnelles sont également concernées par une intoxication chronique non diagnostiquée (recyclage du plomb, ...). Faute de valeurs de référence, les stocks de métaux en excès sont donc systématiquement acquittés. Tant que les valeurs de référence ne sont pas établies, l'acquittement est automatique.

h. CENTRES ANTIPOISON FRANÇAIS
Parce qu'elle apparaît dans le sang, une intoxication par une ingestion accidentelle de métaux lourds est traitée par les centres antipoison. Mais, en dépit de symptômes caractéristiques d'une forte intoxication aux métaux lourds assortis d'un diagnostic sanguin négatif, les centres antipoison français concluent que la nécessité de traitement n'est pas établie. Y compris avec des valeurs post-traitements très inquiétantes, les centres antipoison, qui sont les seuls services français à pratiquer un traitement des intoxications des métaux lourds, appliquent légitimement un refus de soins aux personnes qui présentent des analyses biologiques post-traitements. En dépit qu'ils participent à l'enseignement, et également à la recherche de la toxicologie clinique ou à la prévention et à l'éducation sanitaire des populations (article D6141-41 du code de la Santé publique), l'urgence n'étant pas établie, les centres antipoison refusent donc de traiter. Sous condition de renoncement à la reconnaissance de l’intoxication, les centres antipoison ont certes parfois admis quelques cas. Cependant, ces centres ont systématiquement refusé l’accès aux soins aux personnes qui, pensant bien faire, prétendaient que la source de l’intoxication proviendrait de dispositifs médicaux (amalgames, vaccins, …) [8].

i. FILIÈRE
En 2015, en dépit que les analyses post-traitements soient envisagées comme un diagnostic potentiel par la littérature scientifique [4], l’un des huit centres antipoison français a proféré des menaces publiques [9] à un médecin hospitalier qui traitait officiellement les personnes dont l'intoxication était révélée par les analyses biologiques post-traitements. Suite à cela, le médecin menacé a fermé son service dans la précipitation [10]. Encore à ce jour, ces menaces demeurent sur la plateforme scientifique en ligne commune aux centres antipoison fédérés en association. C'est donc avec zèle que les centres antipoison rappellent que seul le diagnostic validé, avec lequel les stocks inquiétants de métaux passent inaperçus, fait foi d’intoxication. Pour trancher cette polémique [2], les sociétés françaises de toxicologie (STC et SFTA) confirment l'exclusivité du test validé dans leur mise au point scientifique [2] en invoquant que les valeurs des analyses biologiques post-traitements augmentent chez tous. Le diagnostic post-traitement est certes imparfait, mais le diagnostic validé est absolument inopérant pour garantir l'absence d’intoxication. C’est la guérison qui fait que les médecins sont glorifiés, mais, cette mise au point démet la médecine de sa recherche de salubrité physiologique sans aucune alternative.
De plus, en dépit que les études [11], qui ont mené à la controverse publique des amalgames dentaires sur la BBC (British Broadcasting Corporation) de 1994, démontraient que le sang ne reflète pas la charge corporelle, en 2011, dans la littérature scientifique française, il y est encore écrit : "Au total, pour les intoxications aiguës au mercure métal ou inorganique, on privilégiera le dosage du mercure sanguin, pour les expositions chroniques, le mercure inorganique total urinaire. Pour les intoxications au mercure organique, le dosage du mercure sanguin est le meilleur témoin de l’intensité de l’exposition et reflète bien la charge corporelle" [12].
D’un bout à l’autre de la chaîne, l’absence de tolérance des diagnostics post-traitements est donc rigoureuse et partagée par toute la filière française de toxicologie conventionnelle.

j. PNSE ET AMÉRICAINS
En dépit que l’action 21 du PNSE3 (Plan National Santé-Environnement 2015) demandait à la STC d’élaborer les recommandations de bonne pratique pour la prise en charge des personnes fortement imprégnées au mercure, la STC a préféré maintenir les recommandations de 2010 des toxicologues américains. Selon l’American College of Medical Toxicology, 2010 [13], cité par la STC et la SFTA : "les données scientifiques disponibles ne fournissent pas un soutien adéquat pour l'utilisation des tests de métaux urinaires post-traitement comme moyen précis ou fiable d'identifier les personnes qui tireraient un bénéfice thérapeutique" (du traitement). En effet, selon le laboratoire d'analyses Microtrace, les valeurs d’excrétion des métaux sont indépendantes de la dose de traitement [14], ces valeurs sont plafonnées par des phénomènes physiques en dépit de l'augmentation du principe actif. Bien qu'elles soient élevées, ces valeurs sont donc décorrélées de la profondeur de la charge corporelle. Par manque de capacité à faire émerger une distribution granulométrique entre les personnes soumises au diagnostic, ce test est donc sèchement abandonné par la toxicologie française. Cependant, aucune alternative ne donne de meilleure indication de la présence inopportune de certains métaux. Or, le rôle d’un médecin est justement de pallier les carences de la science. Pour des questions de rigueur scientifique et en dépit que le gouvernement demande à ce qu’elles soient prises en charge, les personnes imprégnées, dont les métaux ne ressortissent pas aux tests validés, demeurent donc niées. En dépit qu’elle sait la désintoxiquer, la médecine conventionnelle nie donc la majorité du corps parce qu’elle ne sait pas établir de diagnostic fiable. Cette philosophie provient de l’absolu de la preuve. En dépit de symptômes caractéristiques, si la science ne savait pas établir un diagnostic qui donne une granulométrie, la médecine se rabat donc volontairement à tort, sur une prétendue absence de particules oxydantes. Par ses diagnostics validés, le prisme de l'exposition a donc éclipsé la notion de charge corporelle.

k. CONTRE-INDICATIONS ET PRÉCONISATIONS
Pour redoubler le sursis des traitements, le Collège américain invoque également des contre-indications prétendument bloquantes : déminéralisation aiguë du calcium et redistribution des métaux lourds. Cependant, des préconisations courantes peuvent être appliquées : renflouement en minéraux essentiels par un régime alimentaire riche en légumes ou par des compléments alimentaires et minidose quotidienne de principe actif solubilisée et faiblement concentrée à boire en alternative à la maxidose mensuelle très concentrée de principe actif injectée par intraveineuse en milieu médical. Si l’on devait appliquer au vin ce que les toxicologues appliquent au traitement des métaux, il faudrait alors définitivement interdire le vin parce que des amateurs seraient morts après qu'il leur soit administré une dose mensuelle de vin hautement concentrée dans une seule seringue. La posologie conventionnelle provient d’une culture médicale restreinte au traitement exclusif des situations aiguës. Or, en chronique, la scène est toute autre : l’absence de sélectivité d’un métal toxique par une molécule n’est pas bloquante, car la déminéralisation sera palliée par une reminéralisation chronique. De plus, quant à la redistribution des métaux lourds vers le cerveau, elle proviendrait d’un changement de pH [15] au cours d’une acidose. Dans un organe parfois très acide (rein et cerveau), les principes actifs relarguent un métal lourd qui a été attrapé dans un organe neutre ou alcalin. La prévention se fait par une hygiène de vie à court terme qui élimine l’acidose (activité physique, régime cétogène, quelques bains froids). En outre, la solubilisation, comme dans une infusion, du principe actif dans un grand volume d’une solution alcaline (bicarbonate de soude, pH8) augmente la sûreté et la sécurité du traitement. Cependant, même si les incidents par acidose sont minimisés, si les traitements étaient prétendument si dangereux, les centres antipoison ne les retiendraient pas pour traiter. Accompagnées par un médecin-naturopathe spécialisé dans la désintoxication, toutes ces contre-indications peuvent donc être prévenues. C’est la maxidose mensuelle pratiquée en milieu médical en intraveineuse, impérative en urgence, qui provoque les contre-indications les plus problématiques rapportées par le Collège américain. En chronique, il convient de la fragmenter en minidose quotidienne à solubiliser à domicile. Avec des minidoses quotidiennes sous contrôle médical, il suffira de suspendre le traitement en cas de prémisse de fatigue.

l. TOLÉRANCE HORS DE FRANCE
De façon à ce que des milliers d’intoxiqués ne soupçonnent pas cet état de fait lors d'une possible intoxication, les sociétés françaises de toxicologie (STC et SFTA) n'informent pas que les tests validés sont impropres pour évaluer la charge corporelle en métaux stockés. Le champ est ouvert à la confusion. En outre, la méconnaissance collégiale de l'existence de ces stocks instaure une négligence imprudente de techniques de santé (activités physiques, régime alimentaire, drainage, ...) dont la pratique peut compléter le traitement médical jusqu'à parfois le suppléer. Or, la posture américaine ne recueille pas l’unanimité scientifique. En dépit du manque de valeurs de référence, quelques pays (Belgique, Allemagne, Suisse, Pays-Bas, Russie, …) ont opté pour la prise en compte des métaux excrétés lors des analyses biologiques post-traitements. Outre l'admission dans leurs centres antipoison, des cliniques et des médecins de ville se sont spécialisés dans la désintoxication des intoxications chroniques.

m. UN MÉTAL PEUT EN CACHER UN AUTRE
Les molécules, qui traitent les métaux, ont une affinité de priorité. Par exemple, généralement, le cuivre est prioritaire sur les autres métaux. Lors d'un traitement, les molécules vont donc capter en priorité le cuivre. Comme la priorité du mercure est moindre, il faut donc attendre que le cuivre soit déstocké pour que la molécule retrouve une meilleure affinité avec le mercure. Cependant, même si le cuivre masque une partie du métal toxique, les valeurs de ce dernier seront suffisamment élevées pour suggérer une présence excessive. Il en va de même entre chaque métal, cuivre, calcium, mercure, plomb, ... Ce phénomène jette une donc une très forte distorsion sur les analyses post-traitement de façon à ce qu'il ne soit pas possible de quantifier une profondeur d'intoxication par un métal. Lors d'un traitement, ce qui est analysé est un flux non-représentatif du stock.
Chaque molécule dispose certes de ses affinités avec les métaux. Cependant, les affinités peuvent être regroupées dans des catégories [16]. Les molécules soufrées (S) ont une affinité accrue avec les métaux doux (Cu+, Ag+, Au+, Hg+, Pd2+, Cd2+, Pt2+, Hg2+, CH3Hg+, Pt4+) ; les molécules azotées (N) ont plutôt une affinité accrue avec les métaux durs ((Li+, Na+, K+), Be2+, Mg2+, Ca2+, Sr2+,Mn2+, Al3+, Ga3+, Cr3+, Fe3+, Sn4+, (CH3)2Sn2+, UO22+, VO2+). La catégorie intermédiaire de métaux (Co2+, Ni2+, Cu2+, Zn2+, Pb2+, Sn2+, (Sb3+, Bi3+)) entre les métaux doux et entre les métaux durs dispose d’une affinité à cheval entre les molécules soufrées et azotées. Selon le bain physiologique, telle molécule agit sur tel métal intermédiaire. "Un ion métallique dur est un ion qui retient très fortement ses électrons de valence, de petite taille et de charge élevée. À l'inverse, un ion mou est relativement grand et ne retient pas fermement ses électrons de valence" [17]. Il convient donc de marier et d’ordonnancer les molécules afin de brasser un large spectre d’élimination des métaux.
Des laboratoires allemands proposent des analyses peu coûteuses (100 €) de plusieurs dizaines de métaux sur un seul échantillon d'urine. Cela permet de dresser une vue large des métaux toxiques excrétés lors d'un traitement. Cependant, en France, les analyses se pratiquent métal par métal. Elles coûtent de 10 € (cuivre, plomb) à 50 € (mercure, arsenic) pièce. Trente métaux à analyser coûtent donc 1500 € environ. Les prestations allemandes permettent donc, non seulement, de vérifier que de nombreux métaux toxiques ont été déstockés, mais aussi, de garantir qu'aucun métal n'en cache un autre.

n. DOMAINE DE SÉCURITÉ
Au même pH, les molécules redéposent donc un plomb en échange d’un cuivre, mais ce phénomène n'est pas automatique. Lors d'un traitement, il existe donc une redistribution et une élimination dont il est difficile de définir les parts. Cependant, quand une population de molécules, après avoir été baignée dans un organe alcalin, transite par un organe acide (rein, cerveau), toute la population lâche ses plombs et ses cuivres en échange des hydrogènes. L’acidose provoque donc des incidents systémiques. Comme le cerveau est parfois très acide, il est exposé aux incidents en cas d’acidose. Comme le rein recueille les acidités du corps, il est également très exposé. Mais il est possible, par des actions, de retrouver une alcalinisation générale du corps et de ses organes de façon à planter un domaine de sécurité. En adoptant une hygiène de vie, l’acidose sera éliminée en quelques semaines ; et en buvant une solution alcaline pendant le traitement, le rein et son urine seront alcalins et en sûreté. Des microdoses ne sont donc pas suffisantes pour prévenir un accident au ralenti, il convient également que le pH soit stable pour éviter une lente redépose vers le cerveau.
Plusieurs dizaines de paramètres régissent le comportement des ions. Le pH est certes très dominant sur tout autre paramètre individuel. Cependant, il convient de vérifier qu’une association de paramètres secondaires ne renverse pas la dominance du pH. Ces comportements, connus en détail chez les disciplines minières, demeurent peu explorés par les disciplines biologiques. En fixant le pH, la redistribution est limitée à son strict minimum et l'élimination est favorisée. En attendant que le domaine de sécurité biologique soit défini de façon à réduire les précautions, même si les incidents sont rarissimes, et même si les précautions sont très contraignantes, il demeure préférable de border la sécurité au maximum.

o. CHARGE TOTALE
Pour conforter la validité d'une analyse post-traitement, il est hautement préférable que l'analyse prétraitement soit négative par une baisse de l'exposition. Cela permet de distinguer par comparaison les métaux stockés des métaux provenant d'une exposition. Mais les molécules n'explorent pas l'intégralité du corps. Donc, même si les analyses post-traitements étaient négatives, cela ne permet pas de conclure à une absence d'intoxication. Les ventouses humides pourront éventuellement prendre le relai du désempoisonnement.
Pour désintoxiquer, il convient donc de traiter tant que les particules surgissent aux analyses post-traitement. Pour pallier l’absence de jauge, il suffit de cesser le traitement à partir du moment où les valeurs post-traitement ont rejoint les valeurs prétraitements. Cette égalité indique que les métaux stockés, auxquels les molécules ont eu accès, ont été déstockés. Il conviendra également de surveiller le rebond à terme.
Pour connaître la charge corporelle totale et réelle des métaux, il faudrait digérer intégralement une personne décédée dans de l’acide nitrique et réaliser le dosage sur le lysat. Comme cela n’est pas éthiquement envisageable, les références n'ont pas encore été dressées, y compris post-mortem. L’incinération n’est pas recevable, car le plomb et le mercure sont volatils.

p. DOSES ET TEST
À partir d'une certaine dose de principe actif, il existe un plafond d'excrétion des métaux. La dose standard semble donc avoir été étalonnée sur une quantité de principe actif ajustée au maximum d'excrétion. Cette démarche provient du traitement des intoxications aiguës. Sous réserve des modèles de dose-réponse, en chronique, la minidose quotidienne s'élèverait donc à 1/30è de la dose mensuelle standard (qui est appelée "maxidose" dans cet article). Cependant, pour réaliser un test, il serait préférable d'opter pour une dose intermédiaire (1/10è) afin que l'excrétion soit suffisamment élevée pour être surveillée. Il conviendra d'observer une fenêtre thérapeutique autour du test.

q. CONCLUSION
Faute de reconnaissance officielle de l'absence des valeurs de référence de la charge corporelle en métaux stockés dans la population générale, les malades ignorent les éventuels cofacteurs de leurs symptômes chroniques. Ils ignorent également qu’ils peuvent éventuellement être traités. Avec les traitements actuels, ils ignorent également qu'ils peuvent éventuellement s’orienter vers une rémission. Faute de diagnostic approprié, ces personnes se dirigent donc vers des complications chroniques inextricables alors qu’elles pourraient être prémunies et/ou traitées avec les molécules existantes. De plus, faute de diagnostic approprié et faute de traitement approprié, des traitements palliatifs sont appliqués éventuellement ad vitam. La situation actuelle est certes dans l'impasse depuis plusieurs décennies. Cependant, le nombre de personnes actuellement porteuses de stocks de métaux en excès semble suffisamment élevé pour aviser vers un dépassement des difficultés de la science à produire un diagnostic fidèlement représentatif de la charge corporelle.

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OBSERVATIONS 2
TITRE : RÉFÉRENCES CORPORELLES DU STRESS OXYDANT
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Figure 1 : DOMMAGES DU STRESS OXYDANT SUR LA MATIÈRE ORGANIQUE [18]

Schéma du Collège de France :

STRESS-OXYDANT.jpg
STRESS-OXYDANT.jpg (165.84 Kio) Vu 6428 fois

En haut : les causes (pollutions, …)
En bas : les conséquences ou symptômes (cancers, …)
Au milieu : le stress oxydant et les dommages causés sur la matière organique en pivot entre les causes et les conséquences.
Nota : NPs = NanoParticuleS (dont les métaux et les métaux lourds) en nuages
ROS (Reactive Oxygen Species) et NOS (Nitrogen Oxygen Species)

a. STRESS OXYDANT
Le stress oxydant est une panoplie de causes dont les métaux lourds ne sont qu'une partie. Or, le problème de l’absence de la référence corporelle des métaux est également valable pour chacune des causes des maladies liées au stress oxydant. Le cadre global des effets des carences de la médecine conventionnelle sur la santé publique en matière de références des causes des maladies liées au stress oxydant est donc très large. Parce que ces carences sont méconnues et non bordées, de nombreuses personnes porteuses de maladies chroniques ignorent qu’elles pourraient éventuellement s’orienter vers une rémission.

b. RÉFÉRENCES INCONNUES DU STRESS OXYDANT
Contrairement aux suppositions partagées par tous, les valeurs de référence de la charge corporelle des causes en excès des maladies liées au stress oxydant en population générale demeurent, à ce jour, toutes inconnues de la médecine conventionnelle.

c. ABSENCE DE TRAITEMENT DU STRESS OXYDANT
Faute de référence de la charge corporelle en population générale, le stress oxydant en excès chez un patient n’est médicalement pas considéré comme pathologique par incongruité. En médecine conventionnelle, il n’est pas suffisant de connaître les causes pour traiter. Il est également nécessaire de connaître les valeurs de référence de la charge corporelle en population générale. Faute de référence et en dépit qu’elle puisse être traitée, aucune cause en excès n'est donc ni reconnue ni traitée par la médecine conventionnelle. Or, selon le Collège de France, l’effet de ces excès est la survenue et la résurgence des conséquences des maladies liées au stress oxydant.

d. LES CONSÉQUENCES DU STRESS OXYDANT
Selon le Collège de France [18, 19] & (figure 1), les conséquences des maladies liées au stress oxydant se manifestent, entre-autre, par des cancers et/ou de l’artériosclérose et/ou des maladies neuro-dégénératives (Alzheimer, Parkinson, liste non-exhaustive). Selon le Collège de France, ces conséquences sont majoritairement d’origines environnementales et/ou métaboliques. Ces conséquences sont les symptômes des causes des maladies liées au stress oxydant.

e. LES CAUSES DU STRESS OXYDANT
Selon le Collège de France [18, 19] & (figure 1), les pollutions (dont les composés organiques, pesticides), les nanoparticules (dont les composés inorganiques, métaux lourds), les infections, les inflammations, les angoisses, les ultraviolets, les rayons-X sont des causes des maladies liées au stress oxydant. La liste n’est pas exhaustive. Ces maladies ne disposeraient donc pas nécessairement d'une fatalité préprogrammée. Le traitement des causes pourrait donc prévenir et cesser l’évolution de ces maladies.

f. SYNERGIE
Selon ce schéma, les conséquences des maladies liées au stress oxydant pourraient provenir d’une synergie de causes de façon à ce qu’aucune cause unique ne puisse être ciblée. Par voie de conséquence, les maladies environnementales et métaboliques seraient étroitement liées. Pour maximiser les chances de rémission de toute maladie liée au stress oxydant, il conviendrait donc de traiter toutes les causes, unes à unes. C’est-à-dire : des traitements métaboliques participeraient à la résolution de maladies environnementales, et inversement.

g. LA MÉDECINE CONVENTIONNELLE
Faute de traitement de toutes et de chacune des causes des maladies liées au stress oxydant par la médecine conventionnelle, la survenue des conséquences des maladies liées au stress oxydant demeure contingente, dont la tendance à la hausse par la longévité n'est pas enrayée. De plus, des rechutes, post-traitement, surviennent, car le traitement des symptômes ne traite pas les causes. Dans les maladies neuro-dégénératives, aucune solution conventionnelle ne parvient encore à influencer la tendance évolutive de la maladie. Cependant, il est étonnant que l’art de la médecine ne traite pas les causes des maladies pour quelque raison que ce soit.

h. LES MÉDECINES TRADITIONNELLES
Sans référence, les médecines traditionnelles traitent, depuis toujours, les causes des maladies liées au stress oxydant de façon à aboutir à une inversion de la tendance des conséquences liées au stress oxydant.
Exemples :
Là où la médecine conventionnelle propose un traitement symptomatique, l’Âyurveda (dont la traduction est : médecine de la longévité) élimine les composés organiques (dont les pesticides) vers l'extérieur du corps par solubilisation.
Là où la médecine conventionnelle ne dispose d'aucune solution pour raffermir les tissus et pour rétablir une quantité élevée de jeunes mitochondries, les bains froids, dont les Romains ont généralisé la pratique dans leurs thermes, suscitent une angiogenèse massive (= redéveloppement des capillaires et rétablissement de la tension) et une biogenèse mitochondriale massive (= rétablissement du métabolisme) par thermogenèse. De ces bains froids, il en ressort une reconstruction des tissus. Avant désintoxication, les bains froids permettront de restaurer la tension. Après désintoxication, au quotidien, une petite douche froide sur le crâne traitera les séquelles des maladies neuro-dégénératives. Il est à noter que la température de l'eau dans laquelle se baignent les pèlerins de la ville de Lourdes est à 12 °C. Faute de références de mitochondries et de capillaires, les guérisons passent nécessairement pour des miracles. Cependant, l’absence de référence de mitochondries et de capillaires jette un scepticisme imprudent chez la majorité. Il en va de même pour toutes les autres références manquantes (métaux lourds, pesticides, …).
Là où la médecine conventionnelle ne propose pas d'éliminer les métaux lourds, toute alimentation traditionnelle est soufrée de façon à extraire les métaux lourds.
Là où la médecine conventionnelle ne dispose d'aucune proposition, les ventouses, partagées sur tous les continents de tout temps, décongestionnent les tissus de tout ce qui n'est pas indispensable à la cellule (pesticides, métaux lourds, impuretés, microorganismes, déchets, ...). En outre, sans traitement, des analyses sanguines de ventouses humides pourraient éventuellement fournir facilement la liste des particules oxydantes stockées en nuage dont l'analyse par les méthodes courantes n'est pas aisée (urines et selles post-traitements). De plus, une ventouse sur les foramens pariétaux permettra de sonder sans intrusion l'état d'intoxication de l'intérieur de la boîte crânienne. Tant que les particules oxydantes apparaissent en excès, il siéra de prolonger la campagne d'extraction.
Là où la médecine conventionnelle dissuade, la restriction calorique élimine les risques d’accident vasculaire cérébral par délitement des plaques de graisses coronariennes. Selon le Collège de France, elle élimine également les organelles (organes de la cellule) anormales [20, 21]. De plus, selon le Collège de France, elle apporte un effet très important sur la survie des neurones chez le modèle murin d’Alzheimer et de Parkinson [22].
L'électro-galvanisme buccal peut être éradiqué en quelques semaines par des bains salins de bouche (eau + sel de cuisine). Par un bain salin, le phénomène d'osmose essore l'eau et ses électrolytes contenus dans la cellule. Comme il est inégalé, ce procédé est également employé à l'hôpital pour traiter les muqueuses intestinales des personnes qui ont avalé des métaux-lourds en leur faisant ingérer une solution saline. [23]
Les tisanes de principe actif très faiblement dosé dans un grand volume d'eau, bues à jeun le matin après la première urine (moment alcalin), pratiquées en herboristerie, offrent un levier significatif de l'amélioration pharmacocinétique, sécurité, efficience, sûreté, simplicité (pas de piqûre).
Et enfin, là où la médecine conventionnelle peine, les plantes aromatiques traitent de nombreuses infections commensales chroniques.
Ces exemples ne sont qu'une miniature de la richesse des médecines traditionnelles. En généralité, c'est au traitement des particules oxydantes qu'une médecine traditionnelle est reconnue.

i. SELON L'APHP*, 20 MILLIONS DE FRANÇAIS SONT PORTEURS DE MALADIES CHRONIQUES [24]
(*Assistance Publique – Hôpitaux de Paris) Ce bilan signale une alerte d’un manque de réussite de la médecine conventionnelle dont la valeur élevée indique que la tendance à la baisse échappe aux compétences de la médecine conventionnelle. Un tel bilan pose la question du blocage de la rémission. Par exemple, en dépit que les causes soient dressées par le Collège de France et en dépit que des médecines des causes existent, un million de Français porteurs d’Alzheimer sont laissés sans le traitement des causes des maladies liées au stress oxydant par le couperet de la rigueur scientifico-administrative du manque de références. Sans écueil salvateur en vue, quand la barque est remplie au tiers, il n’est pas déraisonnable d'envisager de colmater la brèche tout en continuant à écoper.

j. RÉFÉRENCES ET ÉTUDES SCIENTIFIQUES
Outre les phénomènes physiques qui empêchent d'établir des distributions granulométriques, les références de la charge corporelle sont très difficiles à confectionner, car la synergie et la durée des causes empêchent d'établir une mesure photographique à partir de laquelle le diagnostic de la ou des causes peut être posé. De plus, les particules oxydantes placées à l'intérieur de la cellule ne ressortissent pas aux analyses biologiques courantes. En queue de comète, il existe donc parfois des rebonds de diagnostics positifs après qu'une première campagne de traitements ait abouti à un diagnostic négatif. Cependant, faute de référence et faute d’examen des synergies, les études scientifiques s'accumulent nécessairement sans jamais conclure. Il en résulte que les contradictions publiques se multiplient.

k. PHÉNOMÈNE DE L’ÉLECTROSENSIBILITÉ CONNU AU COLLÈGE DE FRANCE
Le 4 décembre 2013, dans le cadre du traitement du cancer, le professeur titulaire Clément SANCHEZ du Collège de France, a exposé le phénomène d’électrosensibilité dans le détail [25]. Selon ce professeur, les métaux lourds et les ondes échauffent les tissus. À l'instar du pont qui entre en résonance par une marche militaire, cet effet proviendrait de la résonance d'un nuage de nanoparticules hautement magnétiques par le balai des ondes ; en gradient temporel, une inflammation en cascade s'ensuivrait : excès de ROS (Reactive Oxygen Species) et NOS (Nitrogen Oxygen Species), cytokine, tnf alpha, flux de calcium. Selon cette conférence, ce phénomène est si bien connu par la médecine expérimentale qu’elle sait le mettre en œuvre pour traiter des tumeurs par hyperthermie en ajustant les ondes et les doses de métaux électro-magnéto-sensibles. Lors des traitements, les symptômes (désagréments à retardement d'une heure) décrits par les patients sont similaires à ceux rapportés par le rapport de l’ANSES (Agence Nationale Sécurité Sanitaire Alimentaire Nationale) de mars 2018 sur l’électrosensibilité. Or, après avoir épluché toute la littérature scientifique, l’ANSES déclare que les causes de l’électrosensibilité demeurent prétendument inconnues. C’est l’absence de valeur de référence de la charge corporelle des métaux stockés en population générale qui oblige l’ANSES à déclarer qu’aucune anomalie par rapport à la population générale n’a encore été trouvée. Or, seules les valeurs de référence de la charge corporelle des causes du stress oxydant (en l'occurrence : métaux lourds et ondes) permettront d’affirmer rigoureusement si les causes de l’électrosensibilité étaient indubitablement inconnues. Et, en dépit que la médecine sache produire et reproduire ce phénomène à volonté, les causes de l’électrosensibilité ne demeureront jamais décelées tant que toutes ces références en synergie n’auront pas été établies.
En nuage, les particules expriment des propriétés exacerbées. Exemple : par accumulation d’électrons, un vrai nuage d’eau est capable de jeter la foudre. Mais, cette même eau, dans la mer, demeure calme. À échelle relative, un nuage de métaux électro-magnéto-sensibles dans le corps pourrait donc infliger une défonctionnalisation d'un organe.

l. PRÉTENDUE INNOCUITÉ DES VACCINS
L'OMS (Organisation Mondiale de la Santé) a conclu à l’innocuité des vaccins à l’aluminium [26]. Cependant, en l’absence de valeur de référence de la charge corporelle des métaux stockés en population générale, cette affirmation est absolue à 99,98 %. De plus, selon Jean-François Bach [27], la hausse des maladies auto-immunes est concomitante de la hausse de l'hygiène au sens large (dont la hausse des traitements infectieux).

m. MÉTABOLISME ET SECTES
Le 25 janvier 2016, au Collège de France, le professeur titulaire et oncologue Hugues DE THÉ a expliqué que la carence alimentaire aplanissait le chemin vers la rémission des cancers [28]. Or, en 2019, au micro de Jean-Jacques BOURDIN, la Présidente de l’UNADFI (Union nationale des Associations de défense des Familles et de l'Individu victimes de Sectes) déclare que la carence alimentaire n’aplanit pas vraiment le chemin vers la rémission des cancers. Elle déclare également que les personnes qui préconisent la carence alimentaire sont des charlatans et qu’elles relèvent de phénomènes sectaires. Or, seules les valeurs de référence de la charge corporelle des calories et des synergies permettront de trancher.

n. AUTISME
Voici un extrait du traité de toxicologie "CHELATION THERAPY" [29] : "Une faible exposition au mercure chez les enfants peut résulter de l'ajout de l'agent antiseptique thiomersal dans les vaccins. Le thiomersal est métabolisé en éthylmercure dans le corps humain. On a prétendu que ce mercure, même à des doses infimes, pouvait entraîner une maladie grave de l’autisme (Bernard, Enayati, Redwood, Roger et Binstock, 2001). Cette hypothèse a conduit à la proposition d'une chélation du mercure avec le DMPS ou le DMSA comme traitement de l'autisme (Kidd, 2002). Cependant, aucun article revu par des pairs n'a signalé un excès de mercure dans le sang, l'urine ou les cheveux de sujets atteints d'autisme (Aschner et Walker, 2002; Wecker, Miller, Cochran, Dugger et Johnson, 1985). Les revues critiques ont conclu que le soutien scientifique à la chélation du mercure dans l'autisme fait défaut (Davis et al., 2013; Crisponi et al., 2015)." Selon ce traité, l’autisme n’a donc pas encore fait l'objet d’étude de la charge corporelle en métaux stockés. De plus, faute de référence et faute d'examen des synergies, ces études demeureront toujours vaines. En traitement empirique, il semble que si la réduction drastique de l’exposition aux multiples particules oxydantes (lessives, métaux, ...) ne portait pas ses fruits, il conviendrait de tenter leur élimination du corps.

o. AU COLLÈGE DE FRANCE, DIDIER FASSIN JETTE UN SORT SUR LA SANTÉ PUBLIQUE
Très récemment, dans l’une [30] de ses conférences de la chaire annuelle du Collège de France sur la Santé publique, Didier FASSIN, Professeur de Santé publique, rapporte la mésaventure des soldats américains. Trois cents milliers de soldats de la guerre du Golfe (1991), pendant laquelle les toxiques ont déferlé (bombes à l’uranium, vaccin au brome, explosion d’arsenal de gaz sarin, puits de pétrole en feu, peinture de véhicules), n’ont été reconnus comme intoxiqués qu’en 2016 par le Congrès suite à des études scientifiques spécifiques (imagerie des lésions). Auparavant, ces soldats, victimes d’un syndrome de fatigues, d’insomnies, de faiblesse musculaire, de douleurs articulaires, d’éruptions cutanées, de dérèglements intestinaux, de maux de tête, de troubles de la mémoire, de difficultés de concentration, de troubles de l’humeur, étaient niés par l’Armée et par la médecine conventionnelle. Didier FASSIN les appelle les malades sans maladie. Il ajoute que ce syndrome rappelle des syndromes en population, dont la fibromyalgie et l’hyper sensibilité chimique. Dans cette série de conférences, le rapport de la situation de ces soldats n’est qu’une illustration des quelques autres mésaventures de Santé publique égrenées par Didier FASSIN, dont j'attribue les causes à l'absence de références corporelles ou à l'absence de reconnaissance de l'absence de références. Le retournement de la situation des soldats Américains n'est qu'un exemple d'une série de retournements similaires (agent orange, ...). Les multiples reconnaissances obtenues par des combats juridiques de longue haleine illustrent les difficultés de fond de la médecine.

p. LA NATION ? ELLE ASSURE
Selon la Constitution : "La Nation assure à l’individu et à la famille les conditions nécessaires à leur développement". Dans la Constitution, il n’y est pas écrit que la Nation laisse ces conditions contingentes. Il y est bien écrit que ces conditions sont assurées. Or, l’absence des références des causes des maladies liées au stress oxydant laisse ces conditions contingentes. Cette absence n'assure pas ces conditions. Comme ces causes et les séquelles peuvent perdurer, le patient peut vivre pendant des décennies avec des symptômes graves qui entravent son autonomie et son développement sur le long terme. L’établissement de ces références permettra d’assurer à un individu qui le désire de demeurer dans les conditions nécessaires à son autonomie et à son développement. Cependant, en cas d'impossibilité de la science à établir un diagnostic fiable, un patient devrait quand même bénéficier d'un examen médical sur la présence de particules oxydantes en excès tant que des particules apparaissent aux analyses. En outre, sans signe précurseur, les premiers symptômes d'Alzheimer n'apparaissent que tardivement, car les neurones sains pallient une baisse modérée d'une population de neurones disparus. Ceci suggère que les particules oxydantes, dont les excès sont retrouvés à l’autopsie, devraient être déstockées du vivant du patient de façon préventive quand bien même aucun symptôme n’apparaît. Et enfin, comme chez la femme, les particules oxydantes peuvent perturber le développement de l’embryon, les particules devraient donc être déstockées préventivement en toute circonstance.

q. APPRENTISSAGE ET PRATIQUES
Toutes les techniques d’élimination de ces causes en excès peuvent certes se pratiquer à domicile. Cependant, à ce jour, une personne novice qui souhaite traiter les causes du stress oxydant trouve difficilement un médecin conventionnel. Mais, outre l’accompagnement par un médecin, il serait éventuellement préférable de proposer des démonstrations en groupe dans des centres comme dans les thermes de l’antiquité, car cette aventure personnelle s'amorce mieux en compagnie. Dans les maladies chroniques, le traitement est chronique et le groupe soude les malades vers la rémission. Plutôt que de tâtonner à la découverte des médecines, une personne porteuse de maladies chroniques pourrait, grâce à ces centres, gagner un temps significatif. La réussite du traitement de ces maladies sera donc confortée par un léger aménagement des différentes cultures médicales vers une synthèse collégiale. Même si la médecine conventionnelle prétend ne pas le décongestionner, il demeure possible de réduire la charge en métaux lourds et en pesticides du système nerveux central. Cela nécessite de la méthode, un encadrement demeure donc préférable sur le long terme.

r. CONCLUSION
La médecine conventionnelle connaît certes de nombreux succès éclatants. Cependant, sur le plan des maladies chroniques, environnementales et métaboliques, le défaut de référence des causes des maladies liées au stress oxydant a aplani le chemin de la dégénérescence depuis quelques décennies par pis-aller. Faute de diagnostics corporels, la Santé publique serait donc partiellement construite sur une inversion de fond entre psy et intoxication. Même si une reconnaissance n'était pas envisageable, il siérait que les bonnes pratiques du désempoisonnement, qui aboutissent à la salubrité du corps (y compris le système nerveux central), soient enfin dressées. Il conviendrait également de démocratiser les examens qui ont permis au Congrès américain de statuer. Or, en inversant la tendance d'intoxication, certains diagnostics sombres sont réversibles. Le traitement des conséquences ne traite pas les causes. De plus, sans compter les effets secondaires, le traitement des conséquences traite avec médiocrité. Mais le traitement des causes traite les conséquences avec propreté. À ce jour, par faute de diagnostics exhaustifs et parfaits, le continent conventionnel de la mise en salubrité des particules oxydantes demeure donc totalement inexploré. L’absence de référence des causes des maladies liées au stress oxydant confisque donc le patient d’une éventuelle rémission durable. Or, de nombreuses médecines, qui ont franchi la sélection naturelle depuis des millénaires, aplanissent empiriquement le chemin vers la rémission des maladies liées au stress oxydant par le traitement des causes dressées par le Collège de France. Sur la santé publique, l’assainissement des particules oxydantes pourrait donc apporter les mêmes cieux que ceux de l’assainissement urbain. En outre, une combinaison de la médecine conventionnelle et des médecines traditionnelles semble opportune pour conforter une rémission rapide et durable.

s. PERSPECTIVES
À l’image de la récente adoption de la prescription de sport-santé sur ordonnance, le médecin généraliste devrait être l'intervenant privilégié de la stratégie de traitement des particules oxydantes. Un patient, qui souhaite retrouver une salubrité de la majorité des particules oxydantes sur chaque catégorie, devrait pouvoir trouver en son médecin généraliste toutes les solutions à disposition. Ce médecin est le plus à même d'échantillonner, de hiérarchiser, d'ordonnancer, et d'échelonner une série d'actions qui couvrira au mieux la gamme de particules au regard des pathologies chroniques et au regard du volant de traitements face aux capacités du patient qu'il connaît bien. C'est justement le rôle du médecin généraliste que d'orienter ses patients vers une pratique à domicile, ou vers un centre de jour, ou le cas échéant, vers une cure sous surveillance médicale. De plus, pour que la pratique du traitement des particules oxydantes entre dans le paysage médical, si le Collège de France dédiait une chaire à ce sujet, cela élèverait cette pratique au niveau d'une médecine courante. Comme tous les savoirs existent déjà, il suffira de les présenter au Collège de France pour qu'ils apparaissent rapidement dans l’espace public. Quelques études complémentaires pourront parachever la liste des particules oxydantes à traiter, elles pourront également définir les champs d'application des techniques de décongestion existantes ou de restauration de la physiologie. Ces pratiques sont certes déjà évoquées au Collège de France, mais elles sont fragmentées dans une marée de conférences. Exemple, sur les centaines de vidéos actuelles du Collège de France, la restriction calorique est évoquée pendant 5 minutes chez tel intervenant ; dans une autre vidéo d’une heure, l'exposition au froid [31] pour traiter Parkinson est évoquée pendant 30 secondes chez tel autre intervenant ; et ainsi de suite. Elles sont certes publiées, mais ces solutions demeurent cachées comme des aiguilles dans une botte de foin. Avec une chaire dédiée, cela permettrait donc de déclarer le pré carré de la décongestion des particules oxydantes dans le cadastre de la médecine.

C. JE ME PRÉSENTE
Je suis architecte. Depuis dix ans, je suis porteur d'une intoxication chronique au mercure. J’ai dû arrêter de travailler et, depuis une poignée d’années, j’ai dû consacrer un quasi-temps plein à la désintoxication. De ce cheminement, j’en ai tiré le contenu de cet article. Voici les raisons pour lesquelles cet article a été rédigé : Porteur de diagnostics post-traitements provenant d’Allemagne, étalés sur plusieurs années, tous positifs au mercure, et en dépit de symptômes lourds et caractéristiques, le Centre antipoison français m’a raccroché au nez pendant cinq ans. Ensuite, après l’avoir menacé de porter plainte en 2020, c’est avec les Recommandations de bonne pratique de 2015 de la STC que le Centre antipoison a consigné sur le compte-rendu de consultation qu’il ne désimprégnait pas des taux inquiétants de mercure corporel qui surgissait uniquement aux analyses post-traitements. Et enfin, comme les Centres antipoison français ont fait fermer, en 2015, le seul service public de désimprégnation des métaux lourds par des menaces publiques, aucune solution conventionnelle n’était donc aisément à disposition sur le territoire français.

D. RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES
a. NOTES
[1] Aaseth J, Criponi G, Andersen O. Ch3.5, Toxicological analyses. In: Chelation therapy in the treatment of metal intoxication. London, UK ; San Diego, CA, USA: Academic Press is an imprint of Elsevier, 2016, pp. 74–75.
[2] Société Française de Toxicologie Analytique SFTA, Société de Toxicologie Clinique STC. Diagnostic des intoxications par des métaux ou des métalloïdes et mésusage des chélateurs. Toxicologie Analytique et Clinique 2015; 27: 135–137.
[3] Aaseth J, Criponi G, Andersen O. Ch4.16.2, MERCURY, Clinical Studies. In: Chelation therapy in the treatment of metal intoxication. London, UK ; San Diego, CA, USA: Academic Press is an imprint of Elsevier, 2016, p. 183.
[4] Aaseth J, Criponi G, Andersen O. Ch4.16.2, MERCURY, Clinical Studies. In: Chelation therapy in the treatment of metal intoxication. London, UK ; San Diego, CA, USA: Academic Press is an imprint of Elsevier, 2016, p. 176.
[5] Freud S. La technique psychanalytique. Paris: Presses Universitaires de France, 2005.
[6] Aaseth J, Criponi G, Andersen O. Ch4.16.2, MERCURY, Clinical Studies. In: Chelation therapy in the treatment of metal intoxication. London, UK ; San Diego, CA, USA: Academic Press is an imprint of Elsevier, 2016, p. 175.
[7] Aaseth J, Criponi G, Andersen O. Ch7.7.2, ALZHEIMER. In: Chelation therapy in the treatment of metal intoxication. London, UK ; San Diego, CA, USA: Academic Press is an imprint of Elsevier, 2016, p. 334.
[8] Léraud I, Quantin L. Les pollutions invisibles, Les mercuriens. In: LSD, La Série documentaire. France Culture: 14/11/2016.
[9] Glaizal M, Torrents R, Descamps A, et al. Dosages urinaires post-chélation des métaux lourds et pseudoscience : il faut agir ! Toxicologie Analytique et Clinique 2015; 27: S29–S30.
[10] Grosman M, Non au mercure dentaire. L’hôpital public abandonne plusieurs centaines de patients qui frappaient à ses portes. La veille des acteurs de santé.
[11] Aposhian HV, Bruce DC, Alter W, et al. Urinary mercury after administration of 2,3‐dimercaptopropane‐1‐sulfonic acid: correlation with dental amalgam score. FASEB j 1992; 6: 2472–2476.
[12] Bensefa-Colas L, Andujar P, Descatha A. Intoxication par le mercure. La Revue de Médecine Interne 2011; 32: 416–424.
[13] American College of Medical Toxicology. American College of Medical Toxicology Position Statement on Post-Chelator Challenge Urinary Metal Testing. J Med Toxicol 2010; 6: 74–75.
[14] Blaurock-Busch E. DMSA, Biodisponibilité et excrétion de métaux. In: Newsletter n°12. Microtrace Minerals Laboratoire, 2016.
[15] Aaseth J, Criponi G, Andersen O. Ch2.1, Chemical and biological principles for in vivo chelation. In: Chelation therapy in the treatment of metal intoxication. London, UK ; San Diego, CA, USA: Academic Press is an imprint of Elsevier, 2016, p. 35.
[16] Aaseth J, Criponi G, Andersen O. Ch4.1, Chelation Treatment During Acute and Chronic Metal Overexposures—Experimental and Clinical Studies ; et Table 2.1 : Grouping of Metal Ions, and of Coordinating Groups, as a Function of Their Hard, Soft, or Intermediate Nature. In: Chelation therapy in the treatment of metal intoxication. London, UK ; San Diego, CA, USA: Academic Press is an imprint of Elsevier, 2016.
[17] Aaseth J, Criponi G, Andersen O. Ch1.4 BASIS FOR METAL COMPLEX WITH ENDOGENOUS AND EXOGENOUS LIGANDS. In: Chelation therapy in the treatment of metal intoxication. London, UK ; San Diego, CA, USA: Academic Press is an imprint of Elsevier, 2016, pp. 17–18.
[18] Sanchez C. Interfaces : chimie des matériaux-biologie-médecine II, Oxydes métalliques et stress oxydant. In: Chimie des matériaux hybrides, (2010-2020). Collège de France: 28 janvier 2015 à 00:15:00.
[19] Prochiantz A. Données récentes sur l’étiologie de quelques pathologies neurologiques et psychiatriques. In: Processus morphogénétiques, (2007-2019). Collège de France: 17 décembre 2018, de 00:12:14 à 00:13:15.
[20] De Thé H. Contrôle transcriptionnel de la transformation cellulaire. In: Oncologie cellulaire et moléculaire (2014-2021). Collège de France: 25 janvier 2016 à 01:13:04.
[21] Sansonetti P. Comment les microbes pathogènes prennent le contrôle de l’hôte, La vie, la mort, le cycle. In: Microbiologie et maladies infectieuses (2008-2020). Collège de France: 05 janvier 2012, à partir de 01:14:44.
[22] Heard É. Chromatine et mémoire cellulaire, Stabilité versus plasticité chromatinienne en réponse aux stress. In: Épigénétique et mémoire cellulaire, (2012-2021). Collège de France: 02 mars 2015 à 01:02:30.
[23] Aaseth J, Criponi G, Andersen O. Ch4.4.2, ARSENIC, Clinical Studies. In: Chelation therapy in the treatment of metal intoxication. London, UK ; San Diego, CA, USA: Academic Press is an imprint of Elsevier, 2016, p. 107.
[24] APHP. Appel à la participation pour faire avancer la recherche médicale sur les malades chroniques. In: Communauté de Patients pour la Recherche de l’AP-HP. CHU d’Ile-de-France, 2018.
[25] Sanchez C. Interfaces : chimie des matériaux-biologie-médecine. In: Chimie des matériaux hybrides, (2010-2020). Collège de France: 04 décembre 2013, de 00:59:42 à 01:06:58.
[26] Buzin A. Projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2018. In: XVe législature Session ordinaire de 2017-2018. Assemblée Nationale: 27 octobre 2017.
[27] Bach J-F. La théorie hygiéniste : le rôle respectif des bactéries pathogènes et commensales ; Le « microbiome » : face cachée de la planète « microbe-homme ». In: Microbiologie et maladies infectieuses (2008-2020). Collège de France: 29 janvier 2014, de 00:05:00 à 00:05:10.
[28] De Thé H. Contrôle transcriptionnel de la transformation cellulaire. In: Oncologie cellulaire et moléculaire (2014-2021). Collège de France: 25 janvier 2016, passages dispersés.
[29] Aaseth J, Criponi G, Andersen O. Ch7.6.3, DMSA. In: Chelation therapy in the treatment of metal intoxication. London, UK ; San Diego, CA, USA: Academic Press is an imprint of Elsevier, 2016, p. 324.
[30] Fassin D. Frontières épistémiques. In: Les mondes de la santé publique : excursions anthropologiques. Collège de France: 12 mai 2021.
[31] Prochiantz A. Restriction calorique, mesure des nutriments, sirtuins. In: Processus morphogénétiques (2007-2019) ; Longévité cérébrale, suite et fin. Collège de France: 27 octobre 2014 à 01:22:58.

b. EXTRAITS
[1] "Un test de provocation CaNa2-EDTA a également été utilisé pour estimer la charge corporelle de plomb. Une dose standard de CaNa2-EDTA augmentera l'excrétion urinaire du plomb stocké. Cependant, les valeurs de référence ne sont pas définies pour ce test et la justification de l'utilisation du test EDTA a été remise en question" (traduction) ; "A CaNa2-EDTA provocation test has also been used to estimate body burden of lead. A standard CaNa2-EDTA dose will increase the urinary excretion of stored lead. However, reference values are not defined for this test, and the justification of using the EDTA-test has been questioned (Aaseth et al., 2015; Andersen, 1999)".
[2] "Sans attendre la fin des polémiques sur les effets sanitaires de telle ou telle exposition chronique, des données suffisantes existent pour évaluer dès maintenant les outils diagnostiques utilisés, notamment les métalluries provoquées" (note auteur : provoqué = post-traitement) ; "Le diagnostic de l’intoxication par un métal nécessite toujours l’association : de signes cliniques et/ou paracliniques traduisant les effets toxiques connus du métal ; et de valeurs élevées d’indicateurs biologiques validés de l’exposition ou de la dose interne du métal".
[2] "La majorité des éléments métalliques sont présents et mesurables chez la plupart des individus et l'administration d'un chélateur en augmente l'excrétion urinaire chez tous : la comparaison des concentrations mesurées dans ces circonstances aux valeurs de référence en population générale est évidemment erronée".
[3] "La maladie à changement minimal devrait être incluse comme une entité pathologique causée par une exposition au mercure ou à une intoxication" (traduction) ; "Minimal change disease should be included as a pathological entity caused by mercury exposure or intoxication".
[4] "La quantité de mercure excrété par le DMPS et les scores dans les tests neuro-comportementaux ont montré une relation inverse significative. Cela indique une valeur potentielle du test dans le diagnostic d'une exposition indésirable au mercure" (traduction) ; "The amount of mercury mobilized by DMPS and scores in neurobehavioral tests showed a significant inverse relationship. This indicates a potential value of the test in diagnosis of adverse Hg exposure".
[6] "Aposhian et coll. (1992) ont utilisé le test de provocation par le DMPS pour étudier l'exposition au mercure et la charge systémique en mercure dans des populations sans exposition professionnelle au mercure. Dans un groupe de volontaires, une corrélation statistiquement significative a été observée entre le "score d'amalgame" (nombre et taille des obturations d'amalgame dentaire) et l'excrétion urinaire de mercure provoquée par le DMPS" (traduction) ; "Aposhian et al. (1992) used the DMPS mobilization test to study Hg exposure and systemic Hg load in populations without occupational Hg exposure. In a group of volunteers a statistically significant correlation was observed between the "amalgam score" (number and size of dental amalgam fillings) and the DMPS-provoked urinary excretion of Hg".
[7] "Cependant, ici, il est particulièrement intéressant que des niveaux élevés de cuivre et de fer soient présents dans les plaques de bêta-amyloïdes insolubles dans les cerveaux post-mortem de patients atteints de la maladie d'Alzheimer" (traduction) ; "However, here it is of particular interest that high levels of copper and iron are present in the insoluble beta-amyloid plaques in post-mortem brains from patients suffering from Alzheimer’s disease (Castellani, Moreira, Perry, & Zhu, 2012; Ahuja, Dev, Tanwar, Selwal, & Tyagi, 2015)".
[13] "Currently, available scientific data do not provide adequate support for the use of post-challenge urine metal testing as an accurate or reliable means of identifying individuals who would derive therapeutic benefit from chelation."
[15] "Les propriétés essentielles d'un agent chélateur … 1. haute stabilité des complexes formés, pas moins que celle avec des ligands endogènes ; grande stabilité au pH physiologique et au pH acide de l’urine" (traduction) ; "The essential properties of a chelating agent … high stability of the formed complexes, not less than that with endogenous ligands; high stability at physiological pH and at acidic pH of urine;"
[23] "Un homme de 28 ans est décédé après avoir ingéré 75 g de trioxyde d'arsenic. Il s'est présenté avec des vomissements profonds et une diarrhée aqueuse. La radiographie a montré des radio-opacités dans l'estomac. Son intestin a été purgé avec de grandes quantités de solution saline et du charbon a été administré" (traduction) ; "A 28-year old man died after ingesting 75 g of arsenic trioxide. He presented with profuse vomiting and watery diarrhea. X-ray showed radioopacities in the stomach. His bowel was purged with extensive amounts of saline and charcoal was administered."

- Glossaire : chélation = traitement des métaux ; chélateur = médicament du traitement (Dmsa, Edta, Dmps, ...)
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Loba
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Valeurs de référence de la charge corporelle en métaux stockés en population générale

Message par Loba »

Vachement intéressant, du moins le début. Faudra que je revienne lire la suite des que mon cerveau sera à l'endroit

Merci du partage en tout cas
Sophocle
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Valeurs de référence de la charge corporelle en métaux stockés en population générale

Message par Sophocle »

Merci Loba
Quant à la longueur, je suis désolé, je suis atteint d'un cancer de la prose : les mots se divisent à l'infini sans aucun contrôle.
Mais, le premier paragraphe (le résumé) dit tout, la suite n'est qu'un développé.
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Delphine50
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Valeurs de référence de la charge corporelle en métaux stockés en population générale

Message par Delphine50 »

Qu'en est-il de la médecine orientale ?
Sophocle
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Valeurs de référence de la charge corporelle en métaux stockés en population générale

Message par Sophocle »

Salut Delphine,
J'ai traité des maux de tête grâce aux ventouses (médecine chinoise et musulmane) et grâce à l'Ayurvéda.
Je pense donc plein de bien de la médecin orientale.
Sophocle
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SIGNEZ MA PETITION

Message par Sophocle »

Les analyses biologiques validées (sang, urine, cheveux) ne sont pas représentatives de la charge corporelle en métaux lourds. Lors d'un traitement des métaux, des métaux (dont des métaux lourds) apparaissent en grand nombre dans les analyses d'urine d'après traitement chez toutes les personnes soumises au traitement (valides ou porteuses de maladies chroniques) (source). Tous les métaux qui apparaissent en excès lors d'un traitement n'apparaissent absolument pas en excès lors d'un diagnostic validé. Or, les agences de santé dressent leurs conclusions médicales à partir d'analyses biologiques validées en population générale.

Ni les populations générales, ni les personnes porteuses de maladies chroniques (Autisme, Alzheimer, Sclérose en plaque, ...), ni les personnes faisant l'objet d'un dispositif médical toxique (vaccin au mercure, vaccin à l'aluminium, prothèses, ...) ne sont donc soumises à des diagnostics qui expriment une charge corporelle fiable.

La sécurité médicale des Français est donc totalement discréditée par l'apparition d'excès de métaux par le traitement.

J'ai porté plainte contre X pour mise en danger. Je vise les Agences de santé, les Sociétés françaises de toxicologie et les Centres antipoison. J'ai été reçu deux fois par des Juges. La Juge m'a informé qu'elle disposait d'un an pour instruire ma plainte à partir d'avril 2023. La Juge m'a également informé que j'avais encore le droit de m'exprimer pour faire jaillir la vérité. Je compte donc lui remettre cette pétition afin de la conforter dans son intime conviction.

Signez cette pétition pour que le Juge ordonne que les excès de métaux qui apparaissent aux traitements des métaux soient pris en compte par les Agences de santé.

Lien pétition retiré par la modération :

Rappel de la charte :

9. Publicité

Ne publiez pas votre site, blog, chaîne, forum ou quelconque pétition. Ne faites pas de références à des œuvres que vous avez publiés. Vous devez rester anonyme. Nous n’acceptons aucune enquête pour du journalisme, des médias ou des recherches.
Sophocle
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Valeurs de référence de la charge corporelle en métaux stockés en population générale

Message par Sophocle »

Ok, désolé.
Si cela était autorisé par la charte, contactez-moi en mp pour que je fournisse le lien...
Sophocle
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Valeurs de référence de la charge corporelle en métaux stockés en population générale

Message par Sophocle »

Voici un article scientifique sur l'intoxication au mercure par les amalgames.
2000 sujets ont été analysés.
Comme j'ai de nombreux symptômes cognitifs, le mercure est une piste.
J'ai adressé mes textes au NIH, le Directeur général a répondu sur lettre a en-tête.
Fichiers joints
NIH.pdf
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AMALGAMES.pdf
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Sophocle
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Valeurs de référence de la charge corporelle en métaux stockés en population générale

Message par Sophocle »

J'ai oublié de retirer mon nom de l'image, j'étais trop pressé de publier.
Est-ce qu'un admin peut supprimer mon message du 12 février, svp.

Le Ministre américain de la santé a écrit :
Instituts nationaux de la santé
Institut national des sciences de la santé
Sciences de la santé environnementale
P. Boîte postale 12233
Research Triangle Park, NC 27709
Site web : http://www.niehs.nih.gov
12 février 2024
Courriel : (Sophocle)
Cher Monsieur :
Je vous remercie pour les courriels que vous avez adressés à Xavier Becerra, secrétaire du ministère américain de la santé et des services sociaux, et à Monica M. Bertagnolli, docteur en médecine, directrice des instituts nationaux de la santé, concernant vos préoccupations et vos points de vue sur les lacunes de la médecine conventionnelle en ce qui concerne la toxicologie des métaux lourds dans le traitement et le diagnostic des maladies chroniques. Votre courriel m'a été transmis en tant que directeur de l'Institut national des sciences de la santé environnementale (NIEHS) et du Programme national de toxicologie (NTP).
J'apprécie l'importance que vous accordez à la compréhension du rôle de l'environnement dans les causes des maladies. Le NIEHS, une composante des National Institutes of Health, et le NTP, un programme interagences dont le siège se trouve au NIEHS, soutiennent depuis longtemps la recherche visant à contribuer aux connaissances scientifiques sur la santé humaine et l'environnement, ainsi qu'au bien-être des personnes partout dans le monde. Un résumé des sujets liés à la santé et des ressources concernant le mercure, l'arsenic et le plomb est disponible sur notre site web. Dans le cadre du programme de recherche Superfund, le NIEHS finance des recherches visant à trouver des solutions réelles et pratiques pour protéger le public des substances dangereuses telles que le mercure, l'arsenic et le plomb que l'on trouve dans l'eau, le sol et l'air contaminés sur les sites de déchets dangereux aux États-Unis.
Le NTP a mené des études toxicologiques approfondies sur un large éventail de substances environnementales et prépare le rapport sur les substances cancérogènes, un document de santé publique fondé sur la science qui identifie les substances chimiques, physiques et biologiques, y compris certains métaux lourds, qui présentent un risque de cancer pour la population des États-Unis. En outre, le NTP réalise des examens systématiques sur des questions de santé publique et a publié en 2012 une monographie sur les effets sur la santé d'une exposition au plomb de faible niveau chez les enfants et les adultes.
J'apprécie votre travail sur ce sujet important.
Je vous prie d'agréer, Madame, Monsieur, l'expression de mes salutations distinguées,
Institut national des sciences de la santé environnementale

Traduit avec DeepL.com (version gratuite)
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Message par Sophocle »

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RÉPUBLIQUE DE CROATIE
MINISTÈRE DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES
AFFAIRES ÉTRANGÈRES ET EUROPÉENNES

Cher Monsieur,
Nous vous remercions vivement de votre lettre et de l'attention particulière que vous portez aux effets de l'environnement sur la santé des personnes. Nous nous ferons un plaisir de la transmettre aux autorités croates compétentes.
Dans cette optique, en République de Croatie, l'Institut pour la protection de l'environnement et de la nature du ministère de l'Économie et du Développement durable, en collaboration avec l'Institut roumain de la santé publique, le Ministère de l'Environnement et le Ministère de la Santé publique se penchent sur la question.
Le ministère de la Santé et l'Agence européenne pour l'environnement se penchent sur le thème intégré mentionné ci-dessus. Je partage votre avis selon lequel l'identification des liens complexes entre la qualité de l'environnement et les risques pour la santé humaine est l'un des plus grands défis actuels.
Je vous souhaite beaucoup de succès dans votre travail futur.
Veuillez agréer, Monsieur, l'expression de mes sentiments distingués,
Sophocle
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jordanieD.jpg
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traction d'image, cela explique la variation de la taille des phrases; original en anglais.
Sophocle
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(Traduction en ligne)
Sophocle
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Sophocle
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