Des oiseaux sans pattes qui volent toujours

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KKouette
Membre d'honneur
Messages : 314
Enregistré le : lundi 20 novembre 2006 21:56

Des oiseaux sans pattes qui volent toujours

Message par KKouette »

Vous savez qu'il existe une espèce d'oiseaux qui n'ont pas de pattes ?

Ils ne peuvent se poser nulle part et ils passent leur vie à planer en plein ciel.
Je ne sais pas si c'est vrai ?...
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Archaos
Fondateur/Administrateur
Messages : 17845
Enregistré le : mardi 06 juin 2006 21:20

Message par Archaos »

ils dorment bien sur une patte :blink:
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KKouette
Membre d'honneur
Messages : 314
Enregistré le : lundi 20 novembre 2006 21:56

Message par KKouette »

Non ils volent tout le temps, ils dorment en volant et même ils traverse le continent du pôle nord au pôle sud et inversement...

Je crois que le terme sans patte est plus poétique, j'ai lu ça sur le net je ne sais plus où, alors je sais pas, mais ils doivent quand même se poser une fois pour pondre il me semble ...? :tourne:
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Envol_toi
Messages : 29
Enregistré le : jeudi 11 janvier 2007 10:24

Comme.........

Message par Envol_toi »

Ils ont de la chance..........
Vivre..........ou revivre ?
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Mamsie
Messages : 24
Enregistré le : mardi 02 janvier 2007 11:38
Localisation : BORDEAUX

Message par Mamsie »

:oiseau Un peu comme celui-là Kkouette?

Je cois que tu veux parler du COLIBRI :oiseau

En plus, ils sont pleins de catégories différentes dans cette espèce!
Leurs plumages et leurs couleurs, leurs tailles, leurs lieux de vie, etc...Ils font tous parti d'une grande et même famille. :oiseau

Votre Mamsie... :oiseau :smile2:
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diabolo
Messages : 77
Enregistré le : mercredi 10 janvier 2007 10:45
Localisation : Morbihan

Message par diabolo »

L' Albatros

Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipage
Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers,
Qui suivent, indolents compagnons de voyage,
Le navire glissant sur les gouffres amers.

A peine les ont-ils déposés sur les planches,
Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux,
Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches
Comme des avirons traîner à côté d'eux.

Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule!
Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid!
L'un agace son bec avec un brûle-gueule,
L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait!

Le Poète est semblable au prince des nuées
Qui hante la tempête et se rit de l'archer
Exilé sur le sol au milieu des huées,
Ses ailes de géant l'empêchent de marcher.



Baudelaire, Les fleurs du mal II
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