Effets des drogues sur un depressif
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- SweeneyTodd
- Messages : 8
- Enregistré le : samedi 14 février 2009 19:18
Effets des drogues sur un depressif
Bonjour a tous.
Comme le savent certains je suis très pudique et j'ai du mal a parler de moi, alors je préfère parler d'un sujet en particulier.
Il y a un moment j'ai fais une expérience de passer une soirée avec des collègues de classe qui boivent et fument, parceque je voulais comprendre un peu ce qui motive ces jeunes a ces comportements, en meme temps je pensais cela pas mal pour montrer que je ne suis pas méprisant envers le comportement de personne.
Le fait est que le soir j'avais fumé quelques "joints" de cannabis pour tester.
Le resultat fut chez moi un presque retour à la normal de mon psychique. C'est a dire que je suis dépressif et il m'est impossible de réfléchir tant je broie du noir, mais avec cette substance, j'arrivais a réfléchir de facon presque cohérente, je me sentais sans agressivité envers mes semblables, je me sentais un peu comme avant ma depression ( sauf que bien sur une biere avec le traitement entrainaient des effets un peu paradoxaux ).
J'en ai conclu que si le Cannabis produit un état euphorique chez un sujet "normal", il peut rendre un depressif dans un état un peu plus proche de la "normale".
Comme si le dépressif était a un niveau -1.
L'individu lambda au niveau 0.
L'individu lambda prenant une substance pour planer au niveau 1.
Pour moi cela entraine que si mon cerveau est encore capable de fonctionner normalement, une guerison est possible.
Je ne sais pas si j'ai été très clair, mais je trouve le sujet interressant, de plus mon psy avait fait dans sa jeunesse des études sur les drogues utilisées par les Mayas qui permettaient de réduire le stress....
Dites moi s'il vous plais ce que vous pensez de mon raisonnement.
PS : je précise bien que ce message n'est en aucun cas une incitation a prendre des produits interdit et dangeureux pour la santé, c'est juste un témoignage a ne pas suivre.
Comme le savent certains je suis très pudique et j'ai du mal a parler de moi, alors je préfère parler d'un sujet en particulier.
Il y a un moment j'ai fais une expérience de passer une soirée avec des collègues de classe qui boivent et fument, parceque je voulais comprendre un peu ce qui motive ces jeunes a ces comportements, en meme temps je pensais cela pas mal pour montrer que je ne suis pas méprisant envers le comportement de personne.
Le fait est que le soir j'avais fumé quelques "joints" de cannabis pour tester.
Le resultat fut chez moi un presque retour à la normal de mon psychique. C'est a dire que je suis dépressif et il m'est impossible de réfléchir tant je broie du noir, mais avec cette substance, j'arrivais a réfléchir de facon presque cohérente, je me sentais sans agressivité envers mes semblables, je me sentais un peu comme avant ma depression ( sauf que bien sur une biere avec le traitement entrainaient des effets un peu paradoxaux ).
J'en ai conclu que si le Cannabis produit un état euphorique chez un sujet "normal", il peut rendre un depressif dans un état un peu plus proche de la "normale".
Comme si le dépressif était a un niveau -1.
L'individu lambda au niveau 0.
L'individu lambda prenant une substance pour planer au niveau 1.
Pour moi cela entraine que si mon cerveau est encore capable de fonctionner normalement, une guerison est possible.
Je ne sais pas si j'ai été très clair, mais je trouve le sujet interressant, de plus mon psy avait fait dans sa jeunesse des études sur les drogues utilisées par les Mayas qui permettaient de réduire le stress....
Dites moi s'il vous plais ce que vous pensez de mon raisonnement.
PS : je précise bien que ce message n'est en aucun cas une incitation a prendre des produits interdit et dangeureux pour la santé, c'est juste un témoignage a ne pas suivre.
- Archaos
- Fondateur/Administrateur
- Messages : 17864
- Enregistré le : mardi 06 juin 2006 21:20
En effet ton questionnement est légitime. N'ayant pas vécu cela je ne peux te répondre concernant le cannabis.
Tu en as visiblement parlé à ton psy, qu'en pense t'il?
Sinon je pense que si les drogues (alcool, cannabis....) peuvent sans doute sur le moment détendre et agir comme anxiolytiques, il n'en reste pas moins qu'à long terme elles occasionneront certainement beaucoup de dégâts et perdront du fait de l'accoutumance ce ressenti dont tu nous parles
Tu en as visiblement parlé à ton psy, qu'en pense t'il?
Sinon je pense que si les drogues (alcool, cannabis....) peuvent sans doute sur le moment détendre et agir comme anxiolytiques, il n'en reste pas moins qu'à long terme elles occasionneront certainement beaucoup de dégâts et perdront du fait de l'accoutumance ce ressenti dont tu nous parles
- Darkness
- Messages : 624
- Enregistré le : lundi 09 février 2009 19:49
C'est pas réellement facile de répondre à une question pareille, les drogues peuvent avoir des effets nettement différent suivant les personnes, et sans savoir ce que le canabis te ferai sans ta depression, c'est à peut-être impossible d'être fixé
Ca peut conduire à un état euphorique, c'est vrai, mais avant tout il calme, et oui, c'est certainement plutôt ce coté là qui t'as fait réfléchir "normalement"
Mais ce qui est certain, c'est que ton corp s'y habitue, à terme, et qu'il serait réellement dangereux de vouloir en fumer pour sortir d'une dépression, parce qu'il en faudrait des quantités de plus en plus conséquentes pour garder les mêmes effets que au début, et que ca te ferai rentrer dans une spirale dans laquelle il peut être très dur d'en sortir
Ca peut conduire à un état euphorique, c'est vrai, mais avant tout il calme, et oui, c'est certainement plutôt ce coté là qui t'as fait réfléchir "normalement"
Mais ce qui est certain, c'est que ton corp s'y habitue, à terme, et qu'il serait réellement dangereux de vouloir en fumer pour sortir d'une dépression, parce qu'il en faudrait des quantités de plus en plus conséquentes pour garder les mêmes effets que au début, et que ca te ferai rentrer dans une spirale dans laquelle il peut être très dur d'en sortir
- SweeneyTodd
- Messages : 8
- Enregistré le : samedi 14 février 2009 19:18
Merci de vos réponses.
J'avais bien précisé que la connsommation de stupéfiant est néfaste pour la santé, et de plus interdite. Jamais je n'ai imaginé m'en servir pour me soigner, ce serait absurde.
Mon psy m'a simplement dit que le tabac et le cannabis étaient utilisés dans le temps comme anxiolitique puissant.
J'avais bien précisé que la connsommation de stupéfiant est néfaste pour la santé, et de plus interdite. Jamais je n'ai imaginé m'en servir pour me soigner, ce serait absurde.
Mon psy m'a simplement dit que le tabac et le cannabis étaient utilisés dans le temps comme anxiolitique puissant.
- Darkness
- Messages : 624
- Enregistré le : lundi 09 février 2009 19:49
- ella
- Messages : 280
- Enregistré le : mardi 10 février 2009 23:37
Bonsoir,
Le canabis et le tabac ont été employés comme anxyolitiques, mais le tabac a aussi été employé comme remède souverain contre la migraine, le chocolat comme aphrodisiaque (et par Mme de Pompadour, pas moins !!) et la coca comme outil d'asservissement.
On a beaucoup erré sur ces substances; et il me semble bien que dans certaines colonies l'usage du chanvre était encouragé pour les indigènes comme moyen de les abrutir/satisfaire pour en tirer plus de travail;
Le chocolat, après avoir été un remède, est devenu une gourmandise et donc un péché, puis un aliment dangereux pour la santé ( fait grossir, donne des boutons, constipe ...) et maintenant c'est le retour en grâce.
Dans mon enfance tous les médecins fumaient ! C'est même la seule catégorie "chic" que j'ai vu fumer !
Pour la dépression,je me demande quel est leur effet sur le long terme; je ne connais pas grand chose sur le canabis, mais j'ai connu des junkies; le bout du rouleau, pour eux, a été terrible; j'en ai encore mal, et je suis la vieille qui radote des conseils bien pensants
Le canabis et le tabac ont été employés comme anxyolitiques, mais le tabac a aussi été employé comme remède souverain contre la migraine, le chocolat comme aphrodisiaque (et par Mme de Pompadour, pas moins !!) et la coca comme outil d'asservissement.
On a beaucoup erré sur ces substances; et il me semble bien que dans certaines colonies l'usage du chanvre était encouragé pour les indigènes comme moyen de les abrutir/satisfaire pour en tirer plus de travail;
Le chocolat, après avoir été un remède, est devenu une gourmandise et donc un péché, puis un aliment dangereux pour la santé ( fait grossir, donne des boutons, constipe ...) et maintenant c'est le retour en grâce.
Dans mon enfance tous les médecins fumaient ! C'est même la seule catégorie "chic" que j'ai vu fumer !
Pour la dépression,je me demande quel est leur effet sur le long terme; je ne connais pas grand chose sur le canabis, mais j'ai connu des junkies; le bout du rouleau, pour eux, a été terrible; j'en ai encore mal, et je suis la vieille qui radote des conseils bien pensants
- claudine
- Membre d'honneur
- Messages : 6742
- Enregistré le : mardi 05 décembre 2006 19:30
Bonjour ella,
Heureusement que les études scientifiques sont là pour réparer les erreurs de jugement commises par le passé. Il n'est plus à démontrer actuellement et grâce à elles, que le canabis et le tabac sont un danger pour la santé.
Quant au chocolat, je ne pense pas qu'on puisse le ranger dans la même catégorie que le tabac ou le canabis
Heureusement que les études scientifiques sont là pour réparer les erreurs de jugement commises par le passé. Il n'est plus à démontrer actuellement et grâce à elles, que le canabis et le tabac sont un danger pour la santé.
Quant au chocolat, je ne pense pas qu'on puisse le ranger dans la même catégorie que le tabac ou le canabis
- Sceadugenga
- Messages : 174
- Enregistré le : samedi 01 mars 2008 2:25
Salut,
Je pense pas que fumer soit d'une bonne utilité pour se sentir bien de façon chronique.
Si l'on observe notre entourage, on aperçoit plutot un effet inverse. Les gens commencent à fumer pour se sentir bien, puis au fil du temps ils finissent par fumer pour ne pas se sentir mal... Donc je pense que l'effet doit etre d'autant plus devastateur chez quelqu'un qui se sent déja mal.
De mon point de vue c'est un instant agréable accéssible immédiatement, mais un plaisir qui a un prix. On oublie ou on nie le fait que ce plaisir immédiat va nous couter un retour de flamme d'autant plus néfaste sur notre moral dès qu'il se sera dissipé.
Et meme dans l'hypothèse ou l'effet pourrais contribuer à sortir de dépression, ça reste à mon avis impossible à doser à cause de la quantité de THC qui est différente dans chaque produit, du fait que ce soit coupé à d'autres substances généralement inconnus du consomateur et surtout à cause du fait que le cannabis agit pleinement durant quelques heures seulement et non pas en continue comme un AD.
En tout cas j'adhère totalement au fait que tu dise qu'une guérison est possible. J'ai eu le même sentiment parfois à des instants ou j'arrivais à me sentir normal. Si par moment notre cerveau tourne normalement, c'est qu'une solution est possible.
Bref je pense pas que fumer soit une solution, bien au contraire. Et meme si les vrai solutions qu'on met en place ne portent pas leurs fruits pour l'instant, il ne faut pas lâcher pour autant.
Je pense pas que fumer soit d'une bonne utilité pour se sentir bien de façon chronique.
Si l'on observe notre entourage, on aperçoit plutot un effet inverse. Les gens commencent à fumer pour se sentir bien, puis au fil du temps ils finissent par fumer pour ne pas se sentir mal... Donc je pense que l'effet doit etre d'autant plus devastateur chez quelqu'un qui se sent déja mal.
De mon point de vue c'est un instant agréable accéssible immédiatement, mais un plaisir qui a un prix. On oublie ou on nie le fait que ce plaisir immédiat va nous couter un retour de flamme d'autant plus néfaste sur notre moral dès qu'il se sera dissipé.
Et meme dans l'hypothèse ou l'effet pourrais contribuer à sortir de dépression, ça reste à mon avis impossible à doser à cause de la quantité de THC qui est différente dans chaque produit, du fait que ce soit coupé à d'autres substances généralement inconnus du consomateur et surtout à cause du fait que le cannabis agit pleinement durant quelques heures seulement et non pas en continue comme un AD.
En tout cas j'adhère totalement au fait que tu dise qu'une guérison est possible. J'ai eu le même sentiment parfois à des instants ou j'arrivais à me sentir normal. Si par moment notre cerveau tourne normalement, c'est qu'une solution est possible.
Bref je pense pas que fumer soit une solution, bien au contraire. Et meme si les vrai solutions qu'on met en place ne portent pas leurs fruits pour l'instant, il ne faut pas lâcher pour autant.
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- Messages : 2
- Enregistré le : lundi 20 décembre 2010 0:16
Effets des drogues sur un depressif
Salut, désolé si j'arrive vraiment en retard.
Ton idée de niveau n'est pas bête du tout, si l'on observe au niveau neurobiologique c'est une hypothèse qui se tient.
Les neurones se transmettent des informations au niveau de la synapse, le neurone 1 envoi des neurotransmetteurs ou neuromédiateurs (sérotonine, dopamine, gaba, etc..) au neurone 2. Des enzymes vont capturer et détruire un certain nombre de ces neurotransmetteurs puis ramener les éléments chimiques de ceux-ci au neurone 1.
Chez les dépressifs, le taux de sérotonine est plus faible, le neurone 1 envoi moins de sérotonine que normalement, ce qui cause les symptômes.
L'action du THC (cannabis), c'est d'inhiber ces enzymes (mono-amine-oxydase), donc la sérotonine va se déplacer plus facilement et le taux de sérotonine va augmenter.
A titre d'exemple, si chez un dépressif la quantité de sérotonine partant du neurone 1 est d'indice 60 (au lieu de 100), il reste à 60 car il n'est pas capturé par les enzymes (alors que quelqu'un d'autre qui va bien et ne consomme rien passe de 100 à 60 une fois les enzymes à l'ouvrage).
L'utilisation du THC comme antidépresseur ou anxiolytique est faite sous prescription dans beaucoup de pays, mais c'est vraiment à éviter si ce n'est pas suivi par un médecin. Bien sûr, en phase aiguë il vaut mieux fumer un joint que faire une TS, mais le fait de justement ne plus souffrir pendant quelques temps enverrait les dépressifs bien plus rapidement vers l'addiction !!
Je pense que si une petite pilule pouvait nous rendre bien et oublier tout ce qui nous pourrit la vie au quotidien, on s'en gaverait du matin au soir..
Ton idée de niveau n'est pas bête du tout, si l'on observe au niveau neurobiologique c'est une hypothèse qui se tient.
Les neurones se transmettent des informations au niveau de la synapse, le neurone 1 envoi des neurotransmetteurs ou neuromédiateurs (sérotonine, dopamine, gaba, etc..) au neurone 2. Des enzymes vont capturer et détruire un certain nombre de ces neurotransmetteurs puis ramener les éléments chimiques de ceux-ci au neurone 1.
Chez les dépressifs, le taux de sérotonine est plus faible, le neurone 1 envoi moins de sérotonine que normalement, ce qui cause les symptômes.
L'action du THC (cannabis), c'est d'inhiber ces enzymes (mono-amine-oxydase), donc la sérotonine va se déplacer plus facilement et le taux de sérotonine va augmenter.
A titre d'exemple, si chez un dépressif la quantité de sérotonine partant du neurone 1 est d'indice 60 (au lieu de 100), il reste à 60 car il n'est pas capturé par les enzymes (alors que quelqu'un d'autre qui va bien et ne consomme rien passe de 100 à 60 une fois les enzymes à l'ouvrage).
L'utilisation du THC comme antidépresseur ou anxiolytique est faite sous prescription dans beaucoup de pays, mais c'est vraiment à éviter si ce n'est pas suivi par un médecin. Bien sûr, en phase aiguë il vaut mieux fumer un joint que faire une TS, mais le fait de justement ne plus souffrir pendant quelques temps enverrait les dépressifs bien plus rapidement vers l'addiction !!
Je pense que si une petite pilule pouvait nous rendre bien et oublier tout ce qui nous pourrit la vie au quotidien, on s'en gaverait du matin au soir..
- Bartleby
- Messages : 55
- Enregistré le : lundi 06 décembre 2010 14:38
Effets des drogues sur un depressif
D'ailleurs il est fort possible qu'en matière de drogues, chacun choisisse sont "médicament" et que c'est cette tentative de "se soigner" qui fait qu'on commence à se droguer et qu'on devient dépendant.
Perso je m'orientais plutôt vers les stimulants, vu ma léthargie (psychasthénie).
Mais le prob c'est que dès que je suis trop désinhibée, je pars en crise de paranoïa
(cannabis, amphet, coke, champi, je peux plus rien prendre c'est direct la big parano)
Raison pour laquelle par ex mon psy est prudent par rapport à mon AD --> puisque ça augmente la sérotonine
Là il m'a augmenté les doses, et j'ai des phases agressives apparemment, un peu parano.
D'ailleurs, bon à savoir, c'est pour ça qu'il n'est pas recommandé de mélanger drogues ou alcool avec les AD
car cela potentialise les effets des médocs,+ de sérotonine notamment, donc effet bénéfiques que tu as vécu,
le prob c'est le lendemain quand tout retombe.
Il y a un vieux bouquin à ce propos, bon évidemment la science a fait des progrès depuis lol
mais c'est intéressant :
Phantastica de Louis Lewin
La bio du gars : Louis Lewin
Il tente dedans une classification des drogues en fonction de leur action sur les personnes.
Perso je m'orientais plutôt vers les stimulants, vu ma léthargie (psychasthénie).
Mais le prob c'est que dès que je suis trop désinhibée, je pars en crise de paranoïa
(cannabis, amphet, coke, champi, je peux plus rien prendre c'est direct la big parano)
Raison pour laquelle par ex mon psy est prudent par rapport à mon AD --> puisque ça augmente la sérotonine
Là il m'a augmenté les doses, et j'ai des phases agressives apparemment, un peu parano.
D'ailleurs, bon à savoir, c'est pour ça qu'il n'est pas recommandé de mélanger drogues ou alcool avec les AD
car cela potentialise les effets des médocs,+ de sérotonine notamment, donc effet bénéfiques que tu as vécu,
le prob c'est le lendemain quand tout retombe.
Il y a un vieux bouquin à ce propos, bon évidemment la science a fait des progrès depuis lol
mais c'est intéressant :
Phantastica de Louis Lewin
La bio du gars : Louis Lewin
Il tente dedans une classification des drogues en fonction de leur action sur les personnes.
- Luen
- Messages : 65
- Enregistré le : jeudi 26 mars 2009 5:22
Effets des drogues sur un depressif
Pour moi, quand je fume, je redeviens celui que j'étais enfant : heureux, souriant, toujours à rire et sans le moindre problème.
Il y a des fois ou je consomme de la drogue et j'ai l'impression que c'est le jour le plus heureux de ma vie, j'oublie tous mes problèmes. C'est vrai que c'est génial, on pense que tout va bien, et tout va bien. Bien sur ce n'est que temporaire, mais certains soirs quand je suis au fond du gouffre je fume et je me sens remonter en flèche, totalement détendu. En plus, il n'est pas possible de devenir physiquement accro à la marijuana, on peux être dépendant mentalement par contre. Donc il faut savoir se gérer...
Enfin bref, c'est une lame à double-tranchant, entre les crises de paranoïa, les "bad trips", la schizophrénie, la tachycardie, enfin tout ce qui peux survenir en prenant juste un joint... Mieux vaux y réfléchir à deux fois.
Il y a des fois ou je consomme de la drogue et j'ai l'impression que c'est le jour le plus heureux de ma vie, j'oublie tous mes problèmes. C'est vrai que c'est génial, on pense que tout va bien, et tout va bien. Bien sur ce n'est que temporaire, mais certains soirs quand je suis au fond du gouffre je fume et je me sens remonter en flèche, totalement détendu. En plus, il n'est pas possible de devenir physiquement accro à la marijuana, on peux être dépendant mentalement par contre. Donc il faut savoir se gérer...
Enfin bref, c'est une lame à double-tranchant, entre les crises de paranoïa, les "bad trips", la schizophrénie, la tachycardie, enfin tout ce qui peux survenir en prenant juste un joint... Mieux vaux y réfléchir à deux fois.
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