Oui, plusieurs fois.
Les dernières en date: la machine à laver, je la déteste.
L'ancienne nous à lâché pendant le premier confinement très strict, on n'avait pas d'autre choix que d'acheter en aveugle: on disait la marge de prix, on nous livrait une machine.
Je suis sûr que cette machine va durer très, très longtemps - logique, je la déteste tellement je voudrais la voir cassé plutôt aujourd'hui que demain.
L'autre truc est l'aspirateur.
Pour une fois on a pris un assez cher.
Ben, il est pas pratique et je ne l'aime pas.
Le devant est trop large, il ne rentre pas bien dans les angles, c'est hyper-difficile à enlever, faut presque s'y mettre à deux.
En plus, l'autonomie n'est pas terrible et le filtre se bouche pour un oui ou un non.
(La femme du meilleur ami de mon compagnon avait acheté le même. Elle l'avait depuis quelque mois, le bac qui récupère la poussière s'était encore coincé. Elle est allé avec dans la cour où son mari était en train de brûler quelque feuilles mortes. Il a essayé de décoincer le truc, pour l'énième fois. Au bout de deux minutes, il était tellement énervé qu'il a jette l'aspirateur dans le feu. Je peux le comprendre. Notre cheminée serait plus grand, je serais tenté.)
@Ictavia
Non, en Autriche c'était bien plus rare.
Par contre, quand ça arrivait, c'était pire, puisque c'était systématiquement quand j'avais affaire à quelqu'un qui faisait exprès de coller - j'étais pendant un temps serveuse et pour quelque mecs la main baladeuse c'est bon enfant
Pour le truc culturel : c'est certainement une raison.
En Autriche on ne se fait pas la bise (j'étais vachement surprise de découvrir cette manie farfelu) et on se tient bien plus loin les uns aux autres.
Ce n'était pas sans avantages, des épidémies de gastro, ça n'existe pas en Autriche.
Bien sûr, parfois on chope une, mais c'est rare et en tant que épidémie je n'avais jamais entendue parler avant d'arriver en France.
La grippe aussi est beaucoup moins répandu, je ne me rappelle même pas si les campagnes de vaccination se font, pour les personnes âgées ou vulnérables.
En plus, dans ma famille on ne se touchait quasiment pas, pas d'embrassades, pas de câlins, sauf peut-être à Noël et là ça m'a mis mal à l'aise.
Moi aussi je me sens affreusement malpolie quand je demande à quelqu'un de reculer un peu, mais je suis obligée.
Si je ne le fais pas, je pété un câble et deviens désagréable, ensuite je dois m'excuser.
C'est moins gênant de demander gentiment un peu plus d'espace, l'un dans l'autre
e retourne la question pour les achats, j'aimerais bien savoir que je suis pas la seule à avoir fait des mauvaises affaires?