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). On étaient libres d'y aller quand on voulait.La journée il y avait des ateliers où l'on pouvait aller si on voulait. En fonction des affinités avec ceux qui y sont inscrits ça peut être sympa de se retrouver pour un ping pong ou autre chose.
A l'époque on avait encore le droit de fumer dans nos chambres (en tout cas on le prenait mais je pense qu'on avait bien le droit, sauf le soir) donc il n'y avait pas d'horaires juste pour sortir fumer.
On avait aussi le droit de sortir pendant la journée dans le jardin (ou c'était un parc ? je ne sais plus).
Une fois j'ai même fait le mur avec une autre patiente pour aller boire une bière.
Mais avec les médocs ça ne m'avait pas réussi du tout. 
La deuxième clinique où j'étais on était enfermés dans notre étage et on avait que nos chambres pour se voir et le salon 2H par jour, 1 après le dej et 1 après le diner... C'était plus dur qu'autre chose de voir ceux des autres étages qui étaient libres, et nous à notre étage qui avions de grosses restrictions. Je me suis bien fait chi3r dans celle-là.
Les 2 étaient contre mon gré, mais la deuxième c'était comme de la détention carcérale avec en plus l'option d'aller voir ses voisins de couloir jusqu'à 1H après le diner... Pas de sortie dans le jardin sauf lorsque j'avais une visite, et encore c'était pas tout de suite il a fallu attendre. Pas d'activité à part écouter de la musique, fumer quelques pétards quand quequ'un en avait (ça me retournaient la tête avec les médocs), regarder la télé comme un zombie et jouer à la game gear (petite console portable de l'époque). Et pas de téléphone du tout, en tout cas pour moi.
