
Le sevrage des antidépresseurs
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- lodiz
- Captain Kirk
- Messages : 9039
- Enregistré le : vendredi 19 septembre 2008 9:55
Le sevrage des antidépresseurs
5 ans sans anti-dépresseur, la sécu t'en remercie Amalya 

-
- Messages : 9
- Enregistré le : mercredi 20 septembre 2023 22:40
Le sevrage des antidépresseurs
Bonsoir
Je viens de tenter un sevrage venlafaxine.
J’ai diminuer graduellement sur 12 mois. À la fin j’en en prenais un de 37,5 tous les 3 jours.
Il y a 4 semaines j’ai tout arrêté.
Et il y a 10 jours environ j’ai commencé à ressentir à nouveau des angoisses, un mal être physique qui n’a fait que s’accentuer et une forme de découragement avec pensées noires. Je n’ai pas arrêté au bon moment, j’ai traverser une grosse période de stress et d’épuisement au boulot et à la maison (j’ai un Loulou autiste et TDAH et ce n’est pas de tout repos)
J’ai donc repris ma venlafzcine il y a 2 jours, le vivant comme un véritable échec, mais si je n’avais pas eu cette période de stress, si j’avais été patiente ça se serait mieux passer. Là je repars à la dose d’il y a un an avec en 48 h de reprise un mieux déjà sur mon angoisse.
Tout ça pour dire que le sevrage dépend aussi beaucoup de la période où on le termine.
Y en a t il parmi vous qui on été obligé de reprendre l’AD après un arrêt de quelques semaine ? Avez vous pu re arrêter rapidement ensuite ?
Bien à vous tous et toutes
Je viens de tenter un sevrage venlafaxine.
J’ai diminuer graduellement sur 12 mois. À la fin j’en en prenais un de 37,5 tous les 3 jours.
Il y a 4 semaines j’ai tout arrêté.
Et il y a 10 jours environ j’ai commencé à ressentir à nouveau des angoisses, un mal être physique qui n’a fait que s’accentuer et une forme de découragement avec pensées noires. Je n’ai pas arrêté au bon moment, j’ai traverser une grosse période de stress et d’épuisement au boulot et à la maison (j’ai un Loulou autiste et TDAH et ce n’est pas de tout repos)
J’ai donc repris ma venlafzcine il y a 2 jours, le vivant comme un véritable échec, mais si je n’avais pas eu cette période de stress, si j’avais été patiente ça se serait mieux passer. Là je repars à la dose d’il y a un an avec en 48 h de reprise un mieux déjà sur mon angoisse.
Tout ça pour dire que le sevrage dépend aussi beaucoup de la période où on le termine.
Y en a t il parmi vous qui on été obligé de reprendre l’AD après un arrêt de quelques semaine ? Avez vous pu re arrêter rapidement ensuite ?
Bien à vous tous et toutes
- Holly
- Messages : 180
- Enregistré le : lundi 10 mai 2021 11:16
Le sevrage des antidépresseurs
Salut @Chrissouu
Je vais parler de ce que je connais, la paroxetine. J'ai tenté un arrêt en août 2023, après deux ans de prise, et une période de sevrage de quelques mois en diminuant les doses selon le protocole de mon psychiatre (20mg dose de départ, puis 10 tous les jours, puis 10 un jour sur deux, puis arrêt). Je n'ai pas réussi à arrêter, dès la fin des prises toutes mes angoisses sont revenues pleines balles, du coup je suis repartie sur 20. Je suis de nouveau en protocole de sevrage, depuis le 9 février, et jusqu'en juin, je repasse a 10mg par jour. C'est encore compliqué, je recommence à stresser et être anxieuse, à pleurer, le matin depuis quelques jours je suis dans le brouillard et j'ai des vertiges, j'ai du mal a "fixer" ma vision de temps en temps. Et j'ai des nausées. Mais comme je sais que je suis en période de sevrage, je m'accroche, j'ai envie de pouvoir me passer des médocs (et surtout du psychiatre qui est totalement a la masse). J'ai vécu ma première tentative d'arrêt comme un gros échec. Mais finalement je pense que je n'étais pas prête et que je ne savais pas que le sevrage pouvait être aussi compliqué.J'espère que celle ci sera la bonne. Je vais essayer de mettre en place des choses pour me faire plaisir et passer au mieux cette période délicate. Je te souhaite bon courage et si tu veux on peut s'aider et se donner des nouvelles pour voir comment ça se passe.
Je vais parler de ce que je connais, la paroxetine. J'ai tenté un arrêt en août 2023, après deux ans de prise, et une période de sevrage de quelques mois en diminuant les doses selon le protocole de mon psychiatre (20mg dose de départ, puis 10 tous les jours, puis 10 un jour sur deux, puis arrêt). Je n'ai pas réussi à arrêter, dès la fin des prises toutes mes angoisses sont revenues pleines balles, du coup je suis repartie sur 20. Je suis de nouveau en protocole de sevrage, depuis le 9 février, et jusqu'en juin, je repasse a 10mg par jour. C'est encore compliqué, je recommence à stresser et être anxieuse, à pleurer, le matin depuis quelques jours je suis dans le brouillard et j'ai des vertiges, j'ai du mal a "fixer" ma vision de temps en temps. Et j'ai des nausées. Mais comme je sais que je suis en période de sevrage, je m'accroche, j'ai envie de pouvoir me passer des médocs (et surtout du psychiatre qui est totalement a la masse). J'ai vécu ma première tentative d'arrêt comme un gros échec. Mais finalement je pense que je n'étais pas prête et que je ne savais pas que le sevrage pouvait être aussi compliqué.J'espère que celle ci sera la bonne. Je vais essayer de mettre en place des choses pour me faire plaisir et passer au mieux cette période délicate. Je te souhaite bon courage et si tu veux on peut s'aider et se donner des nouvelles pour voir comment ça se passe.
Le sevrage des antidépresseurs
Ma réponse est à prendre avec des pincettes car les médicaments sont restés sans effet positif chez moi, peu importe le dosage.
Je n'ai eu aucune difficulté à arrêter les thymorégulateurs personnellement. Les anxios je ne me presse pas à cause de mon TAG et de toute façon ça fait tellement longtemps que je les prends qu'ils commencent à ne plus faire effet d'eux-mêmes (Ca compte comme du sevrage ou pas ?
)
C'est mon anti-dépresseur qui me donne le plus de mal. J'expérimente des symptômes très désagréables, celui qui me met la puce à l'oreille et me fait comprendre quand je dois ralentir (Et donc remonté le dosage, au moins pour la journée) c'est quand j'ai l'impression d'avoir très faim mais que la moindre bouchée me file une odieuse nausée.
J'expérimente quelques angoisses, mais m'endormir en écoutant une séance d'hypnose est plutôt efficace, sauf sur l'angoisse de "mort imminente" que me provoquent les symptômes physiques du sevrage.
N'hésite pas à parler en détail de ce que tu traverses à ton médecin/psychiatre, s'il est meilleur que le mien (et il le sera forcément, crois-moi ^^") il devrait pouvoir t'aider à ajuster le bazar.
Je n'ai eu aucune difficulté à arrêter les thymorégulateurs personnellement. Les anxios je ne me presse pas à cause de mon TAG et de toute façon ça fait tellement longtemps que je les prends qu'ils commencent à ne plus faire effet d'eux-mêmes (Ca compte comme du sevrage ou pas ?

C'est mon anti-dépresseur qui me donne le plus de mal. J'expérimente des symptômes très désagréables, celui qui me met la puce à l'oreille et me fait comprendre quand je dois ralentir (Et donc remonté le dosage, au moins pour la journée) c'est quand j'ai l'impression d'avoir très faim mais que la moindre bouchée me file une odieuse nausée.
J'expérimente quelques angoisses, mais m'endormir en écoutant une séance d'hypnose est plutôt efficace, sauf sur l'angoisse de "mort imminente" que me provoquent les symptômes physiques du sevrage.
N'hésite pas à parler en détail de ce que tu traverses à ton médecin/psychiatre, s'il est meilleur que le mien (et il le sera forcément, crois-moi ^^") il devrait pouvoir t'aider à ajuster le bazar.
- Arnica
- Messages : 173
- Enregistré le : lundi 30 avril 2018 22:33
Le sevrage des antidépresseurs
Je sais que quand je me suis sevrée de la paroxetine il y a 6,5 ans, j'avais eu des effets désagréables mais pas insurmontables. J'avais pris le traitement 6 mois avant le sevrage.
Cette année, j'entame le sevrage après 8,5 mois. C'est mon premier jour aujourd'hui et j'ai hâte d'en finir. 2 mois, ça me paraît long mais on verra bien
Cette année, j'entame le sevrage après 8,5 mois. C'est mon premier jour aujourd'hui et j'ai hâte d'en finir. 2 mois, ça me paraît long mais on verra bien
- Arnica
- Messages : 173
- Enregistré le : lundi 30 avril 2018 22:33
Le sevrage des antidépresseurs
Pour l'instant la 1ere quinzaine (alternance 20/10) s'est bien passée à part quelques nausées au bout d'une semaine. Je trouve que mon sommeil est de meilleure qualité et s'améliore.
Je viens d'entamer la seconde quinzaine à 10mg par jour. A suivre.
Je viens d'entamer la seconde quinzaine à 10mg par jour. A suivre.
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- Messages : 20
- Enregistré le : vendredi 04 avril 2025 3:18
Le sevrage des antidépresseurs
Je poste mon expérience en espérant que ça aide certain(e)s.
Crise d'angoisse invalidante (PTSD), incapacité à sortir de chez moi/ville depuis 4/5 ans environ. Pas de dépression notoire/idées suicidaires mais des phases prononcées de "mélancolie". Bref, on m'a mis sous Paroxétine pendant 4ans (20 puis 40 puis 60 soyons fou) avec complément Prazépam, pendant le traitement : sueurs nocturnes, réveil chaque 3h (cycle) impatience, problème sexuel. Tout ça pour un effet assez limité puisque ma situation s'est amélioré mais est loin d'être résolue avec une accentuation des effets secondaires.
J'ai essayé la TCC (ce qui marche le mieux selon moi), l'hypnothérapie (vraiment bien aussi mais dur de lâcher prise quand on est anxieux), la psychothérapie.
En en parlant avec la Psychiatre qui me suit, il a été décidé de faire un switch progressif avec période de wash-out. Personnellement j'ai dans l'idée de ne pas reprendre ensuite l'AD car je ne suis tout simplement pas déprimé... (j'ai de la chance sur ça au moins !). Le stress par contre invalide totalement ma vie mais il a des causes que je connais bien.
20mg 10 jours, 10mg 10 jours, 7mg 10 jours, 5mg 10-20jours (là j'ai commencé à vraiment ressentir les effets de l'arrêt), 2/3mg 10/15jours et rien.
ça fait maintenant 20jours que je ne prends plus rien, les effets indésirables de la prise de la paroxétine ont disparu quasi totalement par contre les effets de sevrages sont vraiment affreux. J'aurais aimé qu'on nous informe un peu plus sur la finalité de l'arrêt de ces traitements. Personnellement j'ai des brains-zaps dès que je bouge mes yeux qui me donne des nausées et des vertiges qui m'oblige à m'allonger et dormir. J'ai des angoisses spontanées qui n'ont aucune raisons ni aucun stimuli précurseur mettant mon corps et mon esprit en hypervigilance alors... que bien sur il n'y rien. J'ai des courbatures dans les bras et les mains avec des migraines au réveil pour la petite cerise sur le gâteau.
Concernant mon approche, j'ai réussi à mitigé mes symptômes par la prise d'un Prazépam le matin et en prenant du CBD (je n'avais jamais fumé avant alors peut-être suis-je plus sensible?) et cela atténue d'environ 80%. Pour les migraines, un doliprane et ça se règle à peu près. Ce qui est drôle finalement c'est qu'il me faut 3 produits médicamenteux pour en arrêter un. J'aimerais juste, d'un avis personnel et subjectif, vous invitez à bien questionner votre médecin de ville (toujours en première ligne pour les AD) ou votre psychiatre sur les différentes molécules et les tolérances plus ou moins prononcées recensés dans les études scientifiques. La durée de vie du médicament est aussi TRES importante (coucou xanax).
Mon temps pour le sevrage est très court malgré ce que l'on peut penser à première vue (2mois et demi) et pourtant je vous invite grandement à prendre LE TEMPS. Un arrêt brutal d'un traitement aussi lourd et surtout si il est pris depuis plusieurs mois/années est tout sauf anodin. Croyez-moi vous ne voulez pas vous retrouver dans le coin de votre chambre avec votre bassine pendant 3 semaines à faire vos besoins sur le tapis (j'exagère à peine franchement). Patience est mère de sureté, c'est notre bataille et nous gagnerons la guerre.
Soyez fier(e) de ce que vous accomplissez chaque jour dans votre processus de guérison, vous en sortirez avec une version différente et meilleure de vous même. Vous n'êtes pas seul(e), nous sommes beaucoup dans cette quête du "rétablissement" et croyez-moi si vous parlez de ça dans votre entourage vous pourriez être drôlement étonné. je finirais par : Il n'y a pas de courage sans peur. VOUS êtes la définition du courage, chaque jour où vous vous battez contre ça !
Crise d'angoisse invalidante (PTSD), incapacité à sortir de chez moi/ville depuis 4/5 ans environ. Pas de dépression notoire/idées suicidaires mais des phases prononcées de "mélancolie". Bref, on m'a mis sous Paroxétine pendant 4ans (20 puis 40 puis 60 soyons fou) avec complément Prazépam, pendant le traitement : sueurs nocturnes, réveil chaque 3h (cycle) impatience, problème sexuel. Tout ça pour un effet assez limité puisque ma situation s'est amélioré mais est loin d'être résolue avec une accentuation des effets secondaires.
J'ai essayé la TCC (ce qui marche le mieux selon moi), l'hypnothérapie (vraiment bien aussi mais dur de lâcher prise quand on est anxieux), la psychothérapie.
En en parlant avec la Psychiatre qui me suit, il a été décidé de faire un switch progressif avec période de wash-out. Personnellement j'ai dans l'idée de ne pas reprendre ensuite l'AD car je ne suis tout simplement pas déprimé... (j'ai de la chance sur ça au moins !). Le stress par contre invalide totalement ma vie mais il a des causes que je connais bien.
20mg 10 jours, 10mg 10 jours, 7mg 10 jours, 5mg 10-20jours (là j'ai commencé à vraiment ressentir les effets de l'arrêt), 2/3mg 10/15jours et rien.
ça fait maintenant 20jours que je ne prends plus rien, les effets indésirables de la prise de la paroxétine ont disparu quasi totalement par contre les effets de sevrages sont vraiment affreux. J'aurais aimé qu'on nous informe un peu plus sur la finalité de l'arrêt de ces traitements. Personnellement j'ai des brains-zaps dès que je bouge mes yeux qui me donne des nausées et des vertiges qui m'oblige à m'allonger et dormir. J'ai des angoisses spontanées qui n'ont aucune raisons ni aucun stimuli précurseur mettant mon corps et mon esprit en hypervigilance alors... que bien sur il n'y rien. J'ai des courbatures dans les bras et les mains avec des migraines au réveil pour la petite cerise sur le gâteau.
Concernant mon approche, j'ai réussi à mitigé mes symptômes par la prise d'un Prazépam le matin et en prenant du CBD (je n'avais jamais fumé avant alors peut-être suis-je plus sensible?) et cela atténue d'environ 80%. Pour les migraines, un doliprane et ça se règle à peu près. Ce qui est drôle finalement c'est qu'il me faut 3 produits médicamenteux pour en arrêter un. J'aimerais juste, d'un avis personnel et subjectif, vous invitez à bien questionner votre médecin de ville (toujours en première ligne pour les AD) ou votre psychiatre sur les différentes molécules et les tolérances plus ou moins prononcées recensés dans les études scientifiques. La durée de vie du médicament est aussi TRES importante (coucou xanax).
Mon temps pour le sevrage est très court malgré ce que l'on peut penser à première vue (2mois et demi) et pourtant je vous invite grandement à prendre LE TEMPS. Un arrêt brutal d'un traitement aussi lourd et surtout si il est pris depuis plusieurs mois/années est tout sauf anodin. Croyez-moi vous ne voulez pas vous retrouver dans le coin de votre chambre avec votre bassine pendant 3 semaines à faire vos besoins sur le tapis (j'exagère à peine franchement). Patience est mère de sureté, c'est notre bataille et nous gagnerons la guerre.
Soyez fier(e) de ce que vous accomplissez chaque jour dans votre processus de guérison, vous en sortirez avec une version différente et meilleure de vous même. Vous n'êtes pas seul(e), nous sommes beaucoup dans cette quête du "rétablissement" et croyez-moi si vous parlez de ça dans votre entourage vous pourriez être drôlement étonné. je finirais par : Il n'y a pas de courage sans peur. VOUS êtes la définition du courage, chaque jour où vous vous battez contre ça !
- Arnica
- Messages : 173
- Enregistré le : lundi 30 avril 2018 22:33
Le sevrage des antidépresseurs
C'est peut être un peu rapide de passer de 60 à 20 d'un coup... Bravo @Wayl de t'en être sorti et de ne plus être dans le traitement... Ça a été violent si tu as été malade comme un chien pendant 3 semaines.
Pour ma part, 2 mois d'arrêt pour 8 mois de traitement ça me paraît correct. J'ai eu des nausées, des fourmillements mais je retrouve vitalité + un sommeil de qualité.
Pour ma part, 2 mois d'arrêt pour 8 mois de traitement ça me paraît correct. J'ai eu des nausées, des fourmillements mais je retrouve vitalité + un sommeil de qualité.
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- Messages : 1
- Enregistré le : dimanche 13 avril 2025 16:28
Le sevrage des antidépresseurs
Bonjour, j'ai pris du Brintellix 10 mg pendant presque un an et ça fait un mois que j'ai arrêté, je m'inquiète car j'ai beaucoup de mal à me concentrer, je suis lente et surtout il y a des moments où je m'arrête et je n'arrive plus à faire les choses, est-ce que ça fait partie des symptômes de sevrage ? Je n'ai jamais eu de problème comme ça avant de prendre le medoc. Je trouve ça flippant, je me sens diminuée comme si mon cerveau avait besoin de sa drogue pour fonctionner...
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- Messages : 20
- Enregistré le : vendredi 04 avril 2025 3:18
Le sevrage des antidépresseurs
Malheureusement après un mois pile, j'ai fini par reprendre sur du Brintellix, c'était trop dur en terme de mélancolie. Le sevrage et être malade c'est très dur mais ça au bout d'un moment c'est pas tenable. Comment ça se passe ces derniers jours?Arnica a écrit : ↑vendredi 11 avril 2025 6:26C'est peut être un peu rapide de passer de 60 à 20 d'un coup... Bravo @Wayl de t'en être sorti et de ne plus être dans le traitement... Ça a été violent si tu as été malade comme un chien pendant 3 semaines.
Pour ma part, 2 mois d'arrêt pour 8 mois de traitement ça me paraît correct. J'ai eu des nausées, des fourmillements mais je retrouve vitalité + un sommeil de qualité.
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- Messages : 20
- Enregistré le : vendredi 04 avril 2025 3:18
Le sevrage des antidépresseurs
Je commence cette molécule alors je ne vais pas pouvoir trop t'aider... Mais j'ai eu plusieurs jours/semaines dans le brouillard pendant mon arrêt de la paroxétine je pense que le cerveau à besoin de se réhabituer tout simplement. Si c'est trop dur il ne faut pas hésiter à en parler avec le/la psy/médecin pour voir si tu peux prendre d'autres choses pour y palier et favoriser la transition (Je parle pas forcément de médication pure et dure, ça peut aussi être de la médecine douce). Bon courage à toi !Maeena a écrit : ↑dimanche 13 avril 2025 16:34Bonjour, j'ai pris du Brintellix 10 mg pendant presque un an et ça fait un mois que j'ai arrêté, je m'inquiète car j'ai beaucoup de mal à me concentrer, je suis lente et surtout il y a des moments où je m'arrête et je n'arrive plus à faire les choses, est-ce que ça fait partie des symptômes de sevrage ? Je n'ai jamais eu de problème comme ça avant de prendre le medoc. Je trouve ça flippant, je me sens diminuée comme si mon cerveau avait besoin de sa drogue pour fonctionner...
4 ans de paroxétine, 3 mois de sevrage, 1mois sans et je reprend une autre molécule. En effet, je me sens démotivé et énervé d'être dépendant d'un médicament. Après je me dis que c'est comme ça, certaines personnes sont diabétiques, d'autres ont des maladies bien plus graves je ne te l'apprends pas du coup alors finalement il faut savoir accepter de se soigner en s'aidant de la chimie.Chrissouu a écrit : ↑lundi 19 février 2024 18:57Bonsoir
Je viens de tenter un sevrage venlafaxine.
J’ai diminuer graduellement sur 12 mois. À la fin j’en en prenais un de 37,5 tous les 3 jours.
Il y a 4 semaines j’ai tout arrêté.
Et il y a 10 jours environ j’ai commencé à ressentir à nouveau des angoisses, un mal être physique qui n’a fait que s’accentuer et une forme de découragement avec pensées noires. Je n’ai pas arrêté au bon moment, j’ai traverser une grosse période de stress et d’épuisement au boulot et à la maison (j’ai un Loulou autiste et TDAH et ce n’est pas de tout repos)
J’ai donc repris ma venlafzcine il y a 2 jours, le vivant comme un véritable échec, mais si je n’avais pas eu cette période de stress, si j’avais été patiente ça se serait mieux passer. Là je repars à la dose d’il y a un an avec en 48 h de reprise un mieux déjà sur mon angoisse.
Tout ça pour dire que le sevrage dépend aussi beaucoup de la période où on le termine.
Y en a t il parmi vous qui on été obligé de reprendre l’AD après un arrêt de quelques semaine ? Avez vous pu re arrêter rapidement ensuite ?
Bien à vous tous et toutes

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