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Oh tu sais les gens...
Ca fait pas de mal de glandouiller de temps à autres, le tout étant de ne pas tomber dans l'abus et ça c'est déjà plus compliqué, je le concède.
Actuellement en congé de longue durée. Dans l'espoir de reprendre à moyen terme. J'en saurai plus le 28/01 (contre expertise médicale pour la reprise que je sollicite).
En formation rémunérée de réorientation et revalorisation de compétences pour travailleurs handicapés (j'ai une RTH pour dépressions et migraines), avec 2x2 semaines de stage en entreprise. Tout se passe très bien, excellente ambiance entre les 11 stagaires et les formatrices, mais je n'arrive pas trop à me fixer entre secrétariat, informatique et bibliothécaire...
Je me laisse tenter par l'informatique, mais je pense qu'il me faudrait une formation. Je vais me renseigner si les entreprises informatiques locales en proposent (à Challans en Vendée, à côté d'où j'habite, 6-7 km) en espérant que ce ne soit pas trop cher (ou que le coût soit financé par un organisme), autrement, il faudrait que je me forme soit à la Roche sur Yon (40 km de chez moi) ou à Nantes (50 km), or j'ai pas envie d'aller à Pétaouchnock (essence chère, long trajet, circulation de dingues et plus de temps pour moi). Or, comme je me vois mal faire autre chose et que de ma vie, je n'ai jamais eu de vocation vraiment bien définie, je me demande vraiment si je vais bosser enfin un jour ? Et surtout de trouver un poste adapté à ma reconnaissance TH ?
D'un côté, j'ai un peu l'impression que la pression que me mettait ma famille avant pour travailler s'est insidieusement transmise chez ma belle-famille, surtout que ma belle-soeur et encoee + mon beau-frère pensent le travail un peu à la japonaise, que si on travaille pas, qu'on ne gagne pas beaucoup d'argent, qu'on ne monte pas en grade, on est rien. On m'incite par messages subliminaux à "travailler coûte que coûte que ça me plaise ou non" et si j'ai d'autres projets, on m'en décourage ("Ca ne marchera JAMAIS !"). A 31 ans, je me pose encore des questions, je suis toujours suivie par une psychologue, et je suis obligée à cause de mes problèmes de retarder nos projets avec mon mari, ce qui me culpabilise (acheter une maison, une autre voiture, avoir des enfants), en + de la crise qui n'arrange rien...
J'ai une formatrice formidable et compréhensive (elle-même TH et ancienne harcelée au travail), mais j'aimerais avoir davantage de soutien et de compréhension dans ma propre famille que par des tierces personnes de court passage dans ma vie...
Plusieurs années dans un job alimentaire sans interet, puis arrêt maladie, puis j'ai fait un cif, une formation de libraire, dans l'idée que, quitte à vendre ou gerer qqchose, autant que ce soit des éléments et un environnement qui me plaisent. En recherche de travail.
A cause d'un patron qui a décidé que je ne faisait pas l'affaire pour ses projet de doubler son chiffre d'affaires, et ce juste avant la fin de ma période d'essai !
je te comprend c'est dure d'accepter l'aide de quelqu'un je suis comme toi j'ai beaucoup de mal mais dis toi que des fois ca fait du bien!!
Et la preuve qu'au fond tu en a besoin car tu est sur se site
je pense forrt a toi bisous
Oui, j'ai un besoin. Mais le contact virtuel, je le sens pas. Pourtant je cherche à ce qu'on s'occupe de moi. J'ai ce besoin depuis l'enfance, insatisfait.
Quelque part je suis ému que tu penses à moi comme ça, les autres aussi. Mais ce vide affectif me fait trop mal.
Oui, j'ai un besoin. Mais le contact virtuel, je le sens pas. Pourtant je cherche à ce qu'on s'occupe de moi. J'ai ce besoin depuis l'enfance, insatisfait.
Quelque part je suis ému que tu penses à moi comme ça, les autres aussi. Mais ce vide affectif me fait trop mal.