Je m'inquiète du nombre de mes nuits blanches
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- jipé
- Messages : 35
- Enregistré le : lundi 02 juin 2008 0:08
- Localisation : Bruxelles
Je m'inquiète du nombre de mes nuits blanches
A l'heure où j'écris ce message, il est 3h34 du matin (enfin de la nuit plutôt ). La nuit précédente, à la même heure, j'étais également éveillé. Ca fait donc deux nuits d'insomniaques que je passe à la suite. Evidemment, ca n'est pas encore la fin du monde, mais ce qui m'inquiète c'est le fait que ce nombre de nuits blanches pourrait encore augmenter. Depuis maintenant presque un an, je prenais des somnifères et des neuroleptiques pour dormir, ou aussi parfois des anxiolytiques. Suite à certains événements, j'ai décidé de me passer à jamais de médicaments pour dormir. Ma question, qui s'adresse à vous, est donc la suivante : pensez vous que je pourrai un jour retrouver un rythme de sommeil normal? Pensez vous que le fait d'avoir pris des médicaments pour dormir pendant des mois va me rendre dépendant à vie? D'avance merci pour vos réponses et informations.
"Il ne faut jamais briser les rêves des idéalistes"
- jipé
- Messages : 35
- Enregistré le : lundi 02 juin 2008 0:08
- Localisation : Bruxelles
- lewis
- Messages : 740
- Enregistré le : lundi 26 juin 2006 20:30
ah ok j'avais mal compris
et bien il v afalloir trouve une solution car tu ne tiendras pas si tu travailles . le fait de retravailler devrait je l'espère te fatiguer et t'aider à t'endormir
sinon pour les somnifères tu as fait un sevrage en douceur ?
de toute façon c'est normal que dans un premier temps cela soit difficile de se rendormir sans .
Après normalement, oui tu dois pouvoir t'en passer, seulement si les troubles qui t'avaient poussé à en prendre ont disparu bien sûr
et bien il v afalloir trouve une solution car tu ne tiendras pas si tu travailles . le fait de retravailler devrait je l'espère te fatiguer et t'aider à t'endormir
sinon pour les somnifères tu as fait un sevrage en douceur ?
de toute façon c'est normal que dans un premier temps cela soit difficile de se rendormir sans .
Après normalement, oui tu dois pouvoir t'en passer, seulement si les troubles qui t'avaient poussé à en prendre ont disparu bien sûr
- katesurf59
- Messages : 1028
- Enregistré le : dimanche 03 janvier 2010 2:57
- Localisation : nord
Un petit article qui pourra aider pour mieux récupérer des nuits blanches
Réveillon oblige, la nuit du 31 décembre au 1er janvier est pour beaucoup, la plus courte de l’année ! Comment se remettre d’une nuit blanche ? Quelles sont les erreurs à éviter pour récupérer au mieux ?
Eléments de réponses.
Il est bien évident que les capacités de récupération après une nuit blanche, varient d’un individu à un autre. Elles sont en fait, fonction de nombreux paramètres. L’âge, la qualité de sommeil durant les nuits précédentes ou encore les besoins personnels en sommeil en font partie.
Les spécialistes s’accordent à dire que pour être de la meilleure qualité possible, le sommeil doit respecter le rythme circadien. Car notre organisme produit des hormones qui interviennent dans le déclenchement du sommeil. A l’image par exemple de la mélatonine, produite essentiellement en fin de journée et le soir. Celle-ci par conséquent, nous aide à trouver le sommeil lorsque l’obscurité survient.
C’est pourquoi après une nuit blanche, il est souvent bien difficile de trouver un sommeil de qualité au petit matin. L’idéal reste donc de s’accorder une courte sieste (30 minutes) pour compenser (un peu) la dette de sommeil. Mais la meilleure récupération sera surtout liée à un coucher précoce le soir suivant.
Surtout, l’erreur à ne pas commettre est de prolonger la sieste. Le risque est alors d’interférer sur la qualité du sommeil de la nuit suivante. Et de conserver une « dette » conséquente.
Source : Interview du Pr Yves Dauvilliers (CHU Montpellier), 6 septembre 2011
Réveillon oblige, la nuit du 31 décembre au 1er janvier est pour beaucoup, la plus courte de l’année ! Comment se remettre d’une nuit blanche ? Quelles sont les erreurs à éviter pour récupérer au mieux ?
Eléments de réponses.
Il est bien évident que les capacités de récupération après une nuit blanche, varient d’un individu à un autre. Elles sont en fait, fonction de nombreux paramètres. L’âge, la qualité de sommeil durant les nuits précédentes ou encore les besoins personnels en sommeil en font partie.
Les spécialistes s’accordent à dire que pour être de la meilleure qualité possible, le sommeil doit respecter le rythme circadien. Car notre organisme produit des hormones qui interviennent dans le déclenchement du sommeil. A l’image par exemple de la mélatonine, produite essentiellement en fin de journée et le soir. Celle-ci par conséquent, nous aide à trouver le sommeil lorsque l’obscurité survient.
C’est pourquoi après une nuit blanche, il est souvent bien difficile de trouver un sommeil de qualité au petit matin. L’idéal reste donc de s’accorder une courte sieste (30 minutes) pour compenser (un peu) la dette de sommeil. Mais la meilleure récupération sera surtout liée à un coucher précoce le soir suivant.
Surtout, l’erreur à ne pas commettre est de prolonger la sieste. Le risque est alors d’interférer sur la qualité du sommeil de la nuit suivante. Et de conserver une « dette » conséquente.
Source : Interview du Pr Yves Dauvilliers (CHU Montpellier), 6 septembre 2011
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