Histoire pas drole mais touchante
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- Arya
- Membre d'honneur
- Messages : 548
- Enregistré le : mardi 23 janvier 2007 22:09
Histoire pas drole mais touchante
Un gérant d'une boutique clouait une pancarte au dessus de sa porte "CHIOTS A vendre"
Les affiches ont la faculté d'attirer les enfants.
Bientôt, un enfant fut séduit par l'annonce et demanda "A quel prix vendez-vous ces chiots ?"
Le propriétaire du magasin répondit "Autour de 30 à 50 €". Le petit garçon fouilla dans sa poche et en sorti de la monnaie.
"J'ai 2,37 €. Est-ce que je peux les regarder ?"
Le propriétaire du magasin sourit et siffla. Sa chienne nommée Lady, courut hors du chenil, vers l'allée de son magasin, suivie par 5 petits chiots. Mais un des chiots restait loin derrière.
Immédiatement, le garçon sélectionna le chiot boiteux resté en arrière. Il demanda : "De quoi souffre ce petit chien ?"
L'homme expliqua qu'à sa naissance, le vétérinaire lui annonça que le chiot avait une malformation de la hanche qui le laisserait boiter pour le reste de sa vie.
Le petit garçon devint vraiment enthousiasmé et s'écria "C'est le chiot que je veux acheter !"
L'homme répondit : "Non, vous ne pouvez pas acheter ce petit chien; si vous le voulez vraiment, je vous le donne."
Le petit garçon devint bouleversé. Il regarda l'homme droit dans les yeux et dit : " Je ne veux pas que vous me le donniez. Il vaut tout autant que les autres chiens et je vous paierai le prix plein. En fait, je vous donnerai $2.37 maintenant et 50 cent chaque mois jusqu'à ce que j'aie fini de le payer."
L'homme a contrecarré : "Vous voulez acheter ce chiot ! Vraiment ! Il ne sera jamais capable de courir, de sauter et de jouer. Il vous faut aimez d'autres chiots."
Alors, le petit garçon s'est penché vers le bas, il a enroulé la manche de son pantalon et montré une jambe malade, tordue, estropiée, supportée par une grande tige de métal.
Il a regardé l'homme et a dit : "Bien, je ne cours pas si bien et le petit chiot aura besoin de quelqu'un qui comprenne."
L'homme mordait sa lèvre inférieure. Des larmes lui piquaient les yeux. Il a souri et a dit : "Fils, j'espère et prie que chacun de ces chiots aura un propriétaire tel que toi."
Dans la vie, peu importe qui vous êtes, en autant que quelqu'un vous apprécie pour ce que vous êtes, vous accepte et vous aime de façon inconditionnelle, c'est ce qui importe.
Je vous envoie une recette...
Pour bien débuter la journée:Une bonne tasse de café.
Un petit compagnon peu encombrant,
De belles roses rouges,
Le tout arrosé d'une bonne dose de mon amitié,
Et mijoté durant toute la journée.
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Bientôt, un enfant fut séduit par l'annonce et demanda "A quel prix vendez-vous ces chiots ?"
Le propriétaire du magasin répondit "Autour de 30 à 50 €". Le petit garçon fouilla dans sa poche et en sorti de la monnaie.
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Le propriétaire du magasin sourit et siffla. Sa chienne nommée Lady, courut hors du chenil, vers l'allée de son magasin, suivie par 5 petits chiots. Mais un des chiots restait loin derrière.
Immédiatement, le garçon sélectionna le chiot boiteux resté en arrière. Il demanda : "De quoi souffre ce petit chien ?"
L'homme expliqua qu'à sa naissance, le vétérinaire lui annonça que le chiot avait une malformation de la hanche qui le laisserait boiter pour le reste de sa vie.
Le petit garçon devint vraiment enthousiasmé et s'écria "C'est le chiot que je veux acheter !"
L'homme répondit : "Non, vous ne pouvez pas acheter ce petit chien; si vous le voulez vraiment, je vous le donne."
Le petit garçon devint bouleversé. Il regarda l'homme droit dans les yeux et dit : " Je ne veux pas que vous me le donniez. Il vaut tout autant que les autres chiens et je vous paierai le prix plein. En fait, je vous donnerai $2.37 maintenant et 50 cent chaque mois jusqu'à ce que j'aie fini de le payer."
L'homme a contrecarré : "Vous voulez acheter ce chiot ! Vraiment ! Il ne sera jamais capable de courir, de sauter et de jouer. Il vous faut aimez d'autres chiots."
Alors, le petit garçon s'est penché vers le bas, il a enroulé la manche de son pantalon et montré une jambe malade, tordue, estropiée, supportée par une grande tige de métal.
Il a regardé l'homme et a dit : "Bien, je ne cours pas si bien et le petit chiot aura besoin de quelqu'un qui comprenne."
L'homme mordait sa lèvre inférieure. Des larmes lui piquaient les yeux. Il a souri et a dit : "Fils, j'espère et prie que chacun de ces chiots aura un propriétaire tel que toi."
Dans la vie, peu importe qui vous êtes, en autant que quelqu'un vous apprécie pour ce que vous êtes, vous accepte et vous aime de façon inconditionnelle, c'est ce qui importe.
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Et mijoté durant toute la journée.
- miracle rose
- Messages : 2393
- Enregistré le : dimanche 04 mars 2007 13:26
- Dark angel
- Messages : 23
- Enregistré le : mercredi 28 mars 2007 4:08
- Arya
- Membre d'honneur
- Messages : 548
- Enregistré le : mardi 23 janvier 2007 22:09
Les autres ne sont pas forcément des "salauds", regarde le marchand, il est touché par le petit garçon, et il est heureux.
L'histoire était une façon pour moi de dire que l'on peut apprendre de tous. Le vieil homme apprend du petit garçon. L'homme "saint" apprend de l'enfant "malade".
L'incompréhension, c'est parfois aussi de l'indiférence, ou simplement du "jem'enfoutisme". Les gens sont tellement pris dans leur vie qu'ils ne prennent pas le temps de réfléchir à se que ressentent les autres. Ils ne sont pas forcément méchants. Ils ont simplement d'autres priorités.
Le fait de souffrir fait que l'on est plus proche de ceux qui souffrent : on a pas besoin de faire d'efforts pour les comprendre car on est déjà dans le même "état d'esprit" qu'eux.
Et pour ceux qui ne souffrent pas, qui ne sont pas "handicapés", la pitié et la compassion est beaucoup plus facile à obtenir et à montrer que la compréhension. Cela explique peut-être l'incompréhension à laquelle nous faisons tous face.
L'histoire était une façon pour moi de dire que l'on peut apprendre de tous. Le vieil homme apprend du petit garçon. L'homme "saint" apprend de l'enfant "malade".
L'incompréhension, c'est parfois aussi de l'indiférence, ou simplement du "jem'enfoutisme". Les gens sont tellement pris dans leur vie qu'ils ne prennent pas le temps de réfléchir à se que ressentent les autres. Ils ne sont pas forcément méchants. Ils ont simplement d'autres priorités.
Le fait de souffrir fait que l'on est plus proche de ceux qui souffrent : on a pas besoin de faire d'efforts pour les comprendre car on est déjà dans le même "état d'esprit" qu'eux.
Et pour ceux qui ne souffrent pas, qui ne sont pas "handicapés", la pitié et la compassion est beaucoup plus facile à obtenir et à montrer que la compréhension. Cela explique peut-être l'incompréhension à laquelle nous faisons tous face.
- miracle rose
- Messages : 2393
- Enregistré le : dimanche 04 mars 2007 13:26
il n y as pas que les estroppiés qui peuvent comprendre les estropiésBricole a écrit :J'aurais préféré que le petit garçon soit "normal".
Ou que le marchand soit boiteux.
Il n'y a que les estropiés qui peuvent comprendre les estropiés ?
Tous les autres sont des salauds qui n'accordent aucune valeur aux handicapés ?
je suis vexée au plus profond de moi meme
- Arya
- Membre d'honneur
- Messages : 548
- Enregistré le : mardi 23 janvier 2007 22:09
- Bricole
- Messages : 20
- Enregistré le : mardi 17 avril 2007 0:12
Oui, tu expliques très bien le sens et la valeur de cette histoire pour toi et je comprends ce que tu veux dire.Arya a écrit :Les autres ne sont pas forcément des "salauds", regarde le marchand, il est touché par le petit garçon, et il est heureux.
L'histoire était une façon pour moi de dire que l'on peut apprendre de tous. Le vieil homme apprend du petit garçon. L'homme "saint" apprend de l'enfant "malade".
L'incompréhension, c'est parfois aussi de l'indiférence, ou simplement du "jem'enfoutisme". Les gens sont tellement pris dans leur vie qu'ils ne prennent pas le temps de réfléchir à se que ressentent les autres. Ils ne sont pas forcément méchants. Ils ont simplement d'autres priorités.
Le fait de souffrir fait que l'on est plus proche de ceux qui souffrent : on a pas besoin de faire d'efforts pour les comprendre car on est déjà dans le même "état d'esprit" qu'eux.
Et pour ceux qui ne souffrent pas, qui ne sont pas "handicapés", la pitié et la compassion est beaucoup plus facile à obtenir et à montrer que la compréhension. Cela explique peut-être l'incompréhension à laquelle nous faisons tous face.
Moi, elle m'avait laissée un peu insatisfaite dans la mesure où elle propose une certaine vision du monde qui paraît séduisante pour des gens qui se sentent fragilisés par un "moins", mais est moins valorisante qu'il n'y paraît dans la mesure où elle maintient la ligne de démarcation entre les "handicapés" et les "normaux". Cette ligne de démarcation est simplement adoucie par le fait que dans l'histoire, le petit garçon boiteux a le beau rôle, et optimisée par la compréhension du marchand, qui symbolise l'espoir que la ligne de démarcation n'est pas infranchissable.
Je crois que la ligne de démarcation existe en chacun de nous plutôt qu'entre deux populations. Regarde l'histoire de Bamban, dans "Le Petit Chose" d'Alphonse Daudet : le héros, qui est lui-même un canard boiteux, ne se reconnaît pas dans Bamban, qui traîne sur le chemin de la promenade, et accélère cruellement le pas, profitant de sa position de force de répétiteur, jusqu'à ce que la souffrance de Bamban le renvoie à sa propre cruauté envers lui-même.
C'est une histoire tout à fait différente, je suis d'accord. Mais en fait j'aurais mieux vu l'histoire que tu as racontée sous une forme "blanche", non idéologisée, comme ces tests genre Rorchach qui présententent des histoires dessinées sans paroles sur lesquelles le sujet peut projeter son vécu et son expérience, sans souci de ce qu'il voudrait de façon idéale.
Genre, le petit garçon veut acheter un chiot au marchand mais n'a pas d'argent, que se disent-ils ? Le chiot est boiteux, que dit le marchand, que dit-il ? Etc.
Bon, peut-être ce n'est pas praticable ce que je dis, mais je trouve juste que cela favoriserait une grande diversité d'opinions et d'interprétations qui seraient très intéressantes et favoriseraient peut-être le dire de l'indicible, qui est quelque chose dont nous souffrons tous il me semble.
- Arya
- Membre d'honneur
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- Arya
- Membre d'honneur
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- Enregistré le : mardi 23 janvier 2007 22:09
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