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sinon 1 mois avec 1 lexomil par jour ne devrait pas avoir provoqué une grand dépendance donc l'arrêt devrait se faire rapidement
pour les BZD à visée anxiolytique, le traitement doit être réservé aux « manifestations anxieuses sévères et/ou invalidantes »1, pas plus de 12 semaines incluant la période d’arrêt source : http://www.has-sante.fr/
Merci pour ta réponse. En fait, j'ai essayé de décaler au maximum la prise du matin ces derniers jours (je prends 1/4 matin, midi, aprem et soir environ). Mais passé 11 h (je me lève entre 8 et 9 h) je ne tiens plus : je sens ma tête très très lourde, l'anxiété remonte, etc. Quelle est la meilleure solution selon vous : 1) limer les quarts de lexo progressivement, mais en prendre toujours 4 fois par jour 2) laisser les cachets entiers, mais réduire leur nombre progressivement ?
la première solution sans hésiter car l'étalement dans la journée permet de garder une présence à peu près constante dans l'organisme de la molécule (donc de limiter les moments de manque)
Merci encore . Je vais attendre l'avis de ma psy tout de même (je la vois lundi), pour débuter le sevrage. Et si je me fais prescrire de l'atarax pour arrêter brutalement le lexo, je vais tout de même ressentir le manque dû au lexo ?
Je me souviens que pendant trois jours, j'avais remplacé le lexo par du xanax, et j'en ai chié un max... :-/
Alors, changement de programme : le Valdoxan me faisait bien dormir mais n'apaisait pas mes angoisse, c'était le lexomil qui le faisait à sa place !
Donc, passage à Deroxat + Valium (que je trouve bien mieux que lexomil, car il ne shoote pas) pour la suite...!
Oui après chacun à sa propre susceptibilité par rapport à telles ou telles benzodazépines...De mon coté ni l'un ni l'autre ne me "shoote" vraiment mais le valium ne me fait aucun effet (pas de baisse de l'angoisse).
Alors je ne sais pas si je suis dans la bonne rubrique, ni même si la question à déjà été posée, mais je voulais savoir si c'est normal, voila je m'explique
j'étais en phase plutôt nerveuses ces jours, ci parfois sans dormir durant 2nuits consécutives, nerfs à vifs, speed, faire mon ménagé à fond , la moindre poussière me rend folle
et apres je dormais tout le week end, telle une loque impossible de me lever du lit
je suis en vacances, et j'en ai ENFIN profité pour aller mon généraliste et lui exposer mon état, il m'a dit que je fesai une dépression, peut être bipolaire, mais il est pas sur, il va donc m'orienter vers un psychiatre et enfin me prendre en charge, il serai temps, ca fait des années que je traine mon mal etre sans y toucher, car je suis trop fatiguée....
donc pour le moment il m'a donné du Bromazépan
1/4 matin
1/4 matin
1/2 soir
hier j'ai pris tout bien, mais j'avais la tete qui tourné un max, c'etait trop , donc aujourd'hui j'ai fais
1/4matin
et
1/2 là maintenant pour le soir et je tourne pas mal...
je voulais savoir si on peut de sois même reduir les doses si on sent que c'est trop???, c'est la première fois que je prends des anxiolitiques, je n'y connais rien
si tu sens que ta nervosité est supportable avec moins de Bromazépam alors oui tu peux diminuer. On devient vite dépendant avec les benzodiazépines (famille du Bromazepam) donc autant en prendre le moins possible.
L'idéal serait de n'en prendre que ponctuellement en cas de crise mais ce n'est pas toujours possible.
Je viens vous demander vos avis, car je sais pas trop quoi en penser...
J'aimerai avoir la définition d'une crise de manque svp? qu'est ce qu'on ressent exactement physiquement et mentalement durant une crise de manque?
je vous explique ma situation, voila à peu prés 2 mois que je prend du Bromazepam, prescris par mon médecin généraliste , car je lui ai expliqué que je fais des crises d'angoisses, je suis nerveuse, et surtout je ne m'endors pas avant 5/6h du matin, ou sinon les week end je dors toute la journée, ...
donc au début, ce fut 1/4 le matin, 1/4 le midi et 182 le soir pendant un mois il me semble (j'étais shooter durant ce mois là, mais c'était pas désagréable de planer lol)
et puis après " c'est selon vos crises ou insomnies" il m'a dit, si j'ai des crises etc, mais il m'avait prévenu qu'on pouvait devenir très addict (moi jl'ai pas trop cru, me sentant invincible -_-" )
suite à tout ça c'était bien je pouvais dormir assez vite etc, et j'ai donc diminuer après ce mois "intensif"... et là... bah oui, les insomnies sont revenues, (logique pour moi, m'enfin c'est un autre sujet)
et donc j'ai du lui réclamer une autre boite y'a 2 semaines, qu'il a un peu rechigner à me prescrire et je pense commencer à comprendre pourquoi
Durant les 2 dernière semaines, le soir impossible de fermer l'oeil donc j'ai pris soit 1/4 (quand ça marché) ou alors 1/2 .... jamais + (sauf une fois 1/4 + 1/2 :s )
le problème c'est que samedi j'ai eu une petite surprise, mon corps a fait des siennes, j'avais l'impression qu'on me tirailler dans tout les sens à l'intérieur, je ne pensé qu'à cette boite de Bromazepam et une envie de prendre toute une barrette d'un coup n, voir + (ce que je ne n'ai jamais fais)
et j'avais mes muscles qui tiré dans tout les sens, j'etais confuse, très très tendue, nerveuse, envie de pleurer, comme si mon corps "crié" à l'intérieur, mais pas comme une crise d'angoisses que je fais habituellement, là c'était différent (plus intense au niveau musculaire)
Bref... je pense que j'ai fais une crise de manque à ce poison de Broma?
Résultat des courses pour ma part : j'arrete ce truc,(rebonjour insomnie, crise d'angoisses et co, mais je trouverai un autre moyen de regler ça que par medocs)
je vais rendre ma plaquette de Bromazepam à mon psy que je vois mardi, ca sera un geste important pour moi et je vais lui demander s'il existes des medoc qui calmes mais sans accoutumance? est ce que ça existe au moins?????? je me pose des questions sur tout ces trucs
aujourd'hui ca a ete nettement mieux qu'hier, mon corps s'est calmé, mais je pense vraiment que cette "minie crise de manque" m'a fait realiser les dangers de tout ces medocs et maintenant , j'en ai très peur....
mais bon, jpeux me tromper, c'était peut être pas une crise de manque que j'ai fais, car je ne sais pas ce qu'on ressent un "crise"? (c'était pas pareil que mes crises d'angoisses...)
Vos impressions svp?
Mon impression : tu subis peut être le manque dû à la dépendance entrainée par le Bromazépan...
Après ça ne fait que deux mois que tu en prends, donc tiens bon tu devrais arriver à t'en passer .
bonjour,
Je prend du lexomil depuis environs 6 mois
1matin
1/2 midi
et 2 le soir, à quelques heures d'intervalle.
La 1ere boite c'est mon medecin qui me l'a prescrit "exeptionnellement" il ne voulait pas .
Maintenant, j'en vole à ma belle mere qui en a un stock.
Je viens de lire ce topic et je me rend compte que j'ai peut etre un probleme. Je ressent le besoin d'en prendre chaques jours enfin c'est une habitude, j'ai des migraines horribles.
est ce trop ? je n'ai pas de notice pour me renseigner, juste la boite.
Pensez vous que je puisse etre dependante ?
Personne ne sait que je prend ça, doit on obligatoirement se faire hospitaliser pour se sevrer ?
y a t'il des risques pour ma santé si je continue comme ça ?
merci à ceux qui m'aideront...
ça fait 3.5 par jour, ce qui est beaucoup en effet, pourquoi avoir augmenté ainsi ?
Tu devrais essayer de réduire progressivement au moins jusqu'à 2 par jour, 1 serait l'idéal. Comme cela ne fait "que" 6 mois, tu devrais pouvoir y arriver. Quel est le rapport avec les migraines ? si tu n'en prends pas tu en as ?
pour info mon médecin m'en prescrit trois par jour mais ce n'est pas l'idéal et il va falloir que je réduise au mois à deux par jour.
les risques : surtout une dépendance et une accoutumance dans un premier temps
la 1ere fois que j'en ai prit je me suis sentie tellement bien, c'etait le soir et mon cerveau a arreté de tourner
j'ai dormi une vrai nuit sans reveil, sans cauchemard...
Alors j'en ai reprit de plus en plus parce que je ressentais de moins en moins les effets...
J'ai un rapport assez dangeureux avec les medocs, j'ai reussi a avoir mes lexo quand j'ai dit au doc que je me shooté à la codéine pour m'endormir le soir...
j'ai la migraine tout les matins, je me reveil dans le gaz et je pensais que ça pouvait etre à cause du lexomil ?
Je vais tenter de diminuer tout doucement mais ça va etre dur.
Alors j'en ai reprit de plus en plus parce que je ressentais de moins en moins les effets...
eh oui c'est bien ça le souci (entre autres) qui prouve que l'on doit vraiment prendre ces médicaments ponctuellement
j'ai la migraine tout les matins, je me reveil dans le gaz et je pensais que ça pouvait etre à cause du lexomil ?
tout ce que je peux te dire c'est que si je suis en "manque" de lexomil (par exemple si j'oublie de le prendre) des maux de tête commencent à arriver et me font rappeler que je dois le prendre
Je vais tenter de diminuer tout doucement mais ça va être dur.
J'ai vu la neurologue qui me suit pour mes problèmes de santé il y a une semaine et demi. Suite à ce rendez-vous elle me prescrit l'arrêt du Keppra (épilepsie) et remplacer l'Urbanyl que je prends occasionnellement par le Lexomil.
Sauf que
Si je ne prends l'Urbanyl qu'occasionnellement, c'est parce que j'ai déjà vécu l'arrêt de ce médicament après y avoir été droguée à haute dose pendant des années (quand je dis "droguée" c'est + pour marquer... c'était bien 3,5 Urbanyl 10 par jour sur l'ordonnance en + des autres médicaments alors que j'avais 17 ans). Et ça s'est traduit par des pertes de mémoire, des angoisses pas possibles... quand un professeur m'interrogeait, j'avais beau avoir appris mes cours, je perdais tout mes moyens et j'oubliais tout en quelques secondes.
Du coup c'est pour ça que je n'en ai pris que très peu ces derniers mois... je ne les prends que lorsque j'atteins mes limites.
Il y a une semaine et demi, ma neurologue m'a dit "dans ce cas, on remplace l'Urbanyl par le Lexomil"...
Sauf que je ne suis toujours pas allée chercher les médicaments parce qu'au fond de moi je n'ai pas envie de retomber dans le cercle vicieux puisqu'elle veut remplacer le Keppra par le Lexomil. Paradoxalement pas de problème pour ce qui est d'arrêter le Keppra vu que je voulais m'en débarrasser depuis un moment de celui-là ! Je suis en train de le baisser.
Ma question cruciale est donc : à terme, si un jour je peux me débarrasser du Lexomil, son arrêt sera-t-il aussi lourd de conséquences que l'Urbanyl ?
« Si un problème a une solution, alors il est inutile de s'inquiéter; s'il n'en a pas, s'inquiéter n'y changera rien. » (proverbe tibétain) Mon nouveau salon ~ Previously in Gnoss' world...
Ma question cruciale est donc : à terme, si un jour je peux me débarrasser du Lexomil, son arrêt sera-t-il aussi lourd de conséquences que l'Urbanyl ?
tu peux regarder les équivalences : viewtopic.php?p=364539#p364539
en gros plus une benzo à une durée de vie longue moins le sevrage est difficile, mais il y a de toute façon un sevrage avec toutes les benzodiazépines...
là on est en gros sur la même durée de vie...donc pour moi Urbanyl ou Lexomil ça sera sensiblement la même chose pour le sevrage ... (c'est mon avis et je ne suis pas médecin, je précise)
Merci pour ta réponse. Je n'avais pas vu le lien que tu as indiqué
D'après ce qui est dit dans le lien que tu as indiqué il faut en + faire attention lors de l'arrêt dans les cas comme l'épilepsie (j'ai des "restes" d'épilepsie)... Je suppose que ma neurologue n'a pas pu me prescrire autre chose compte tenu des médicaments que je prends déjà. Mon intolérance à certains somnifères (cauchemars en série toute la nuit) fait qu'il y a aussi peut-être un élément que je ne supporte pas.
En même temps je me dis que si je continue de faire ma tête de mule à ne rien prendre à part le tégrétol et l'antidépresseur (quand le Keppra sera stoppé), ça ne règlera pas mes problèmes d'angoisses qui me pourrissent les journées et qui sont liées à la maladie.
Mais j'ai la trouille non seulement avec le côté dépendance, mais aussi lorsque je lis
Mais ils ont des effets secondaires comme la dépendance, les troubles de la mémoire et de la concentration
car ce sont des problèmes que j'ai déjà : je ne tiens pas en place devant un film par exemple, ou dès que je ne fais plus rien je rumine même avec l'antidépresseur ! Quant à la concentration j'ai aussi des soucis (et j'ai passé des tests en vue d'être reconnue travailleuse handicapée qui le prouvent, tout comme les problèmes de mémoire).
Bref, là je commence à faire du hors-sujet, donc je vais abréger
Mais tout ça pour dire que oui, l'engrenage des médicaments... si on peut s'en passer, ce n'est pas plus mal !
« Si un problème a une solution, alors il est inutile de s'inquiéter; s'il n'en a pas, s'inquiéter n'y changera rien. » (proverbe tibétain) Mon nouveau salon ~ Previously in Gnoss' world...