Bonjour,
Dans le cadre d'une symptomatologie "Border-Line" avec donc sa cohorte dépressive associée, je suis traitée pratiquement depuis 20 ans à la fois par des neuroloeptiques, thymorégulateurs et donc AD; impossibles à citer car je crois que je les ai tous fait, et me suis arrêtée - principalement par peur de prise de poids vue que j'ai des TCA - depuis 7/8 ans sous Effexor LP 2 x 75 mg, qui soit ne servait finalement à pas grand'chose, soit convenait; toujours est-il que pour X raisons familiales cette année + abus d'alcool et de substances comme on dit "illicites" pour tenir le coup dans mon travail et face à ces pbs familiaux, je fais une dépression plus grave que d"habitude si j'ose dire (vu que je me suis habituée à l'idée d'être dépressive chronique - élevée par une mère présentant une psychose paranoïque, puis attouchée par mon père); bref, on m'a collé du séropram 10 mg en plus des 150 mg d'effexor, sans parler de la Dépakot et X calmants associés pour faire rapide. (PS - Le Deroxat après la Fluoxétine qui m'a fait un effet paradoxal) - Donc rebref, mon psy me propose aujourd'hui de faire "table rase" (je précise que j'ai accès à des ordos et fais pas mal d'automédication, ayant trop vu de psys contradictoire, pas d'accords, etc.), soit de tout arrêter, y compris les sérotoninergiques, donc DU JOUR AU LENDEMAIN, avec prise immédiate du bon vieux Moclamine - why not, au point où j'en suis mais alors, du jour au lendemain, ca me paraît plus que risqué, surtout avec l'effexor... Je sais que les IMAO ont été peu à peu abandonnés au profit des ISRS, mais chaque cas est particulier, la pression des labos y jouant aussi comme chacun sait... Y-a-il des gens qui ont été "résistants" à pleins de traitements et qui sont du coup dans mon cas, et surtout, comment sont-ils passés de l'un à l'autre ?
Merci de m'avoir lu (si tant est qu'il y ait des cas et de vos éventuelles réponses, j'avoue qu'en plus d'être dépressive, le fait de pouvoir ouvrir une pharmacie avec tout ce que j'ai avalé, et à 50 ans, de repartir sur autre chose me déprime encore plus, ca me donne l'impression d'un quitte ou double, et vu que je travaille, en plus d'être suicidaire, pas envie d'un suicide professionnel !
Passer d'un antidépresseur de type ISRS à un IMAO
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- Messages : 1
- Enregistré le : mercredi 05 décembre 2012 13:16
- lodiz
- Captain Kirk
- Messages : 8461
- Enregistré le : vendredi 19 septembre 2008 9:55
Passer d'un antidépresseur de type ISRS à un IMAO
mon humble avis:
1° Dois-tu absolument changer maintenant ? Si ta situation actuelle n'est plus tenable, tu n'as pas le choix alors BANZAI
2° Si parcontre tu juges que actuellement c'est dur mais tenable ce qui te permet de garder ton équilibre boulot, moi j'y réfléchirai à deux fois puisqu'il n'y a pas urgence. N'est-il pas mieux de faire çà au printemps avec plus de lumière,...
Quant au fait de changer du jour au lendemain, il y a évidement un risque d'avoir quelques semaines d'arrêt de travail mais qui ne tente rien... Visiblement, tu peux revenir en arrière si çà va vraiment pas donc c'est un risque calculé par ton médecin.
Bon courage en tout cas
1° Dois-tu absolument changer maintenant ? Si ta situation actuelle n'est plus tenable, tu n'as pas le choix alors BANZAI
2° Si parcontre tu juges que actuellement c'est dur mais tenable ce qui te permet de garder ton équilibre boulot, moi j'y réfléchirai à deux fois puisqu'il n'y a pas urgence. N'est-il pas mieux de faire çà au printemps avec plus de lumière,...
Quant au fait de changer du jour au lendemain, il y a évidement un risque d'avoir quelques semaines d'arrêt de travail mais qui ne tente rien... Visiblement, tu peux revenir en arrière si çà va vraiment pas donc c'est un risque calculé par ton médecin.
Bon courage en tout cas
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