Le métier de vos rêves
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- Avenir78
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Le métier de vos rêves
Gamin je voulais faire Vulcanologue ne me demandez pas pas pourquoi mais j'étais obsédé par les volcans
J'ai fait des études dans ce sens d'ailleurs mais je travaille plutôt dans le domaine de l'eau aujourd'hui
J'ai fait des études dans ce sens d'ailleurs mais je travaille plutôt dans le domaine de l'eau aujourd'hui
- incarmal
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Le métier de vos rêves
Aheum...alors véridique aussi, j'ai toujours été morbide, et ce précocement. Ainsi, à l'âge de 5 ans je voulais devenir plus tard un tueur en série qui tuerait les gens comme ils tuent les animaux (un chasseur d'un coup de fusil, empaler un pêcheur sur un crochet etc...). J'étais très sensible à la cause animale .Aujourd'hui finalement le métier de mes rêves serait bibliothécaire mais je bosse en tant que soignant en psychiatrie.
- redblackrose
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Le métier de vos rêves
J adore ."Vacanciers
Je voulais être archéologue, enfant je passais mon temps à chercher des os de dinosaures dans notre jardin .
Le métier de vos rêves
Après m'être pas mal cherchée et avoir du mal à trouver ma place, tout comme Nours. Peu importe que ce soit dans la production, être scénariste ou tenir un petit cinéma de quartier... Être écrivaine, en parallèle. Hélas, mon perfectionnisme accru me coupe souvent l'inspiration... (oui je sais, un véritable paradoxe).
- Nours
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Le métier de vos rêves
Et pourtant je comprend tout à fait : tu as plein d'idées, tu les notes, tu veux que ce soit parfait, et au final tu as l'impression de ne pas avancer et de remettre sans cesse la finalisation du projet. On ne sait pas "se simplifier" les choses d'une certaine façon.Naturally a écrit : ↑mercredi 29 août 2018 19:29Après m'être pas mal cherchée et avoir du mal à trouver ma place, tout comme Nours. Peu importe que ce soit dans la production, être scénariste ou tenir un petit cinéma de quartier... Être écrivaine, en parallèle. Hélas, mon perfectionnisme accru me coupe souvent l'inspiration... (oui je sais, un véritable paradoxe).
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Tout à faitNours a écrit : ↑jeudi 30 août 2018 13:29Et pourtant je comprend tout à fait : tu as plein d'idées, tu les notes, tu veux que ce soit parfait, et au final tu as l'impression de ne pas avancer et de remettre sans cesse la finalisation du projet. On ne sait pas "se simplifier" les choses d'une certaine façon.Naturally a écrit : ↑mercredi 29 août 2018 19:29Après m'être pas mal cherchée et avoir du mal à trouver ma place, tout comme Nours. Peu importe que ce soit dans la production, être scénariste ou tenir un petit cinéma de quartier... Être écrivaine, en parallèle. Hélas, mon perfectionnisme accru me coupe souvent l'inspiration... (oui je sais, un véritable paradoxe).
- Nours
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Le métier de vos rêves
Il faut se faire un peu violence. Mais bon le cerveau ne veut pas toujours... Pas si facile le métier de scénariste.Naturally a écrit : ↑jeudi 30 août 2018 16:03Tout à faitNours a écrit : ↑jeudi 30 août 2018 13:29
Et pourtant je comprend tout à fait : tu as plein d'idées, tu les notes, tu veux que ce soit parfait, et au final tu as l'impression de ne pas avancer et de remettre sans cesse la finalisation du projet. On ne sait pas "se simplifier" les choses d'une certaine façon.
- Ostinato
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Le métier de vos rêves
Moi j'aimerais bien faire Bernard Arnault comme métier.
https://www.forbes.fr/classements/class ... reloaded=1
Ou alors fabriquer des banderoles avec des slogans pour les black blocs.
J'hésite ...
https://www.forbes.fr/classements/class ... reloaded=1
Ou alors fabriquer des banderoles avec des slogans pour les black blocs.
J'hésite ...
Le métier de vos rêves
Quand j'étais petite, j'avais le rêve mégalomane de devenir chef d'orchestre (alors que je suis incompétente au possible). Ce rêve a duré longtemps, de quatre ans jusqu'à l'âge de onze ans, quand j'ai finallement admis que j'étais incapable de comprendre la musique et que j'ai regardé des "vraies" partitions pour la première fois.
Et une période météorologue / designer industriel (pour faire les modes d'emploi) , qui ont duré je dirais, sept ans.
Puis j'ai eu une courte période criminologue / médiatrice culturelle de deux ans.
Maintenant, j'ai trente ans et le métier que je fais me plaît mais un autre me plaît plus encore : être botaniste (ce faible est constant depuis l'âge de sept ans).
Un jour, ce rêve résistant me quittera peut-être, comme tous les autres.
Et une période météorologue / designer industriel (pour faire les modes d'emploi) , qui ont duré je dirais, sept ans.
Puis j'ai eu une courte période criminologue / médiatrice culturelle de deux ans.
Maintenant, j'ai trente ans et le métier que je fais me plaît mais un autre me plaît plus encore : être botaniste (ce faible est constant depuis l'âge de sept ans).
Un jour, ce rêve résistant me quittera peut-être, comme tous les autres.
- Miet
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Le métier de vos rêves
Ou alors, tu le réaliseras ...
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Le métier de vos rêves
incarmal a écrit : ↑vendredi 27 juillet 2018 21:47Aheum...alors véridique aussi, j'ai toujours été morbide, et ce précocement. Ainsi, à l'âge de 5 ans je voulais devenir plus tard un tueur en série qui tuerait les gens comme ils tuent les animaux (un chasseur d'un coup de fusil, empaler un pêcheur sur un crochet etc...). J'étais très sensible à la cause animale .Aujourd'hui finalement le métier de mes rêves serait bibliothécaire mais je bosse en tant que soignant en psychiatrie.
- Nours
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Le métier de vos rêves
Je reprends ton message pour essayer de t'apporter un peu de mon "expérience".Naturally a écrit : ↑mercredi 29 août 2018 19:29Après m'être pas mal cherchée et avoir du mal à trouver ma place, tout comme Nours. Peu importe que ce soit dans la production, être scénariste ou tenir un petit cinéma de quartier... Être écrivaine, en parallèle. Hélas, mon perfectionnisme accru me coupe souvent l'inspiration... (oui je sais, un véritable paradoxe).
J'ignore où tu habites, mais du peu que je sais les écoles de cinéma demeurent assez rares et surtout concentré à Paris. Et j'imagine que si tu es "comme moi", la perspective de vivre à Paris ne te réjouis certainement pas (ni dans aucune grande/grosse ville). De plus, l'apprentissage du scénario n'est clairement pas ce qu'il y a de plus développé en France, ou même dans le monde. Certes ça existe, l'école de Besson le fait par ailleurs, mais pour avoir croisé quelques "sortants" de cette école, j'ai eu la sensation que ces "scénaristes" étaient trop "refermé" sur ce qu'on l'a enseigné, genre "c'est comme ça et pas autrement". Enfin bon, cela ne m'a pas laissé une bonne impression.
Quoiqu'il en soit, que ce soit au cinéma ou dans le domaine artistique en général, ce qui compte c'est surtout le résultat plus que les diplômes. Certes il est important de se former, mais même un réalisateur avec un diplôme d'une prestigieuse école de cinéma n'est pas grand chose tant qu'il n'aura pas ses preuves. Ceci étant dit, cela restent tout de même plus facile pour eux, d'une part parce qu'en école on dispose de tout ce qu'il faut pour tourner des courts métrages, les jeunes réalisateurs ont donc déjà un certains bagages à la sorti de ces écoles (et c'est tant mieux pour eux). De même que certaines écoles ont une certaine réputation. Reste que cela ne fait pas pour autant d'eux de futurs grands réalisateurs.
Pour la petite anecdote, j'ai croisé deux jeunes réalisateurs : l'un a fait le choix d'une formation de réalisateur, avec un court au bout, l'autre à choisi une voie plus technique en suivant une formation audiovisuel avec un court au bout. Les deux courts étaient de qualité, mais le second était bien meilleur à mon goût que le premier. La raison était simple : le premier à écrit et tourné son court en fonction de son apprentissage, le résultat était sympathique, simple, mais "sans plus" et surtout classique à mon goût (mais pas mauvais, j'insiste). Le second lui s'est lié à une scénariste, résultat aussi bien du point de vue technique que de l'histoire, ce court était nettement plus frais, original et intéressant.
Bref, je suis en train d'écrire un roman, il serait tant d'aller dans le vif du sujet. Je te conseil donc :
- De te renseigner sur le Cinécours, c'est une école canadienne qui propose de vrais formations à distance. Certes ce n'est pas une "grande école renommé", l'attestation n'est pas reconnue en France (et de toute façon en France... 'bref), mais ce sont de vraies formations, avec des tests de fin de cours, tu es suivi par un correcteur (professionnel dans son domaine) et tu as un examen de fin de formation (écriture d'un scénario dans le cas de la formation de scénariste). Enfin, c'est pas cher en comparaison d'une formation d'une grande école. Perso j'ai fait trois formations chez eux : recherchiste documentaliste avec examen, scénariste avec examen, réalisateur sans examen (juste la théorie). J'envisage, plus tard, suivre celle d'acteur uniquement de façon théorique.
- Bien entendu cette formation ne t'apprend que les bases, il te faudra donc continuer à apprendre par la suite. Pour cela rien de mieux que les livres. Je te conseille donc d'aller faire un tour chez l'éditeur Dixit pour trouver des livres qui pourront être intéressant, et ensuite voir sur le net si tu ne peux pas les trouver moins cher. La bibliothèque est également une source précieuse de livres, moi même ici j'ai liste plusieurs livres à lire, malheureusement j'en ai déjà plein à lire (et je suis un lecteur assez lent). A titre perso j'ai trois livres à conseiller : Story (en deux tomes) de McKee (une référence dans le milieu), Comment identifier et résoudre les problèmes de scénario de Syd Fiel, et enfin L'écriture de scénario de Jean-Marie Roth. Pour tous il y a du bon et du moins bon, surtout dans le dernier, mais ça reste des livres utiles pour continuer à se former.
- Enfin essai de voir si tu peux trouver une association, une coopérative, ou autre, qui pourrait t'aider. Personnellement j'ai eu la chance de découvrir "PIAF" par chez moi. J'ai également découvert une association basé à Lyon : L'accroche scénariste, qui propose notamment la lecture de scénario (très intéressant pour s'améliorer).
Voilà, voilà, à défaut de pouvoir communiquer avec toi en privé, j'espère que ces humbles conseils t'aideront. J'en ai d'autres, mais ils sont plutôt pour "l'après formation".
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Je te remercie vivement de tes conseils, Nours. Je n'envisage pas de vivre à Paris en effet, par contre j'envisage de remonter du côté de Lyon, très proche de ma région natale. Je souhaite rentrer en licence cinéma pour avoir quelques bases "théoriques", mais cela fait déjà un moment que je "documente" par moi-même, à travers les bouquins justement. J'avais "entendu parler" de cette école à distance au Canada et en lisant les avis sur le net, j'avais laissé tomber l'idée, car ils étaient très mauvais. Mais je vois qu'apparemment, tu as fait certaines formations dans cette école, c'est qu'apparemment ça a l'air fiable... C'est vraiment le cas alors ? Tu me le conseillerais vraiment ? Je garde donc l'idée sous le coude.
J'ai plusieurs pistes:
- tout d'abord, la licence pour laquelle j'ai postulé par correspondance, par le biais du CNED en partenariat avec la Sorbonne. Si je suis admise, j'irai bien évidemment et j'espère décrocher la licence et continuer vers un Master, mais si ça ne marche pas, je peux tout de même faire l'année "comme ça", sans stage et sans passer l'examen, juste les cours et les devoirs;
- J'ai vu une association sur Marseille ("proche" d'où je suis actuellement), où j'aimerais faire mon stage si je suis en licence, et que je pense contacter quoi qu'il arrive si je ne la fais pas, car j'aime beaucoup ce qu'ils font (tu peux aller visiter le site ici: https://cinetilt.org/index.php.
- J'ai également la piste, mais là par contre, ce sera seulement quand je pourrais remonter chez moi: Claude Lelouch a crée à Beaune, là où se tient le festival du film policier, les "Ateliers du Cinéma". Ce qui est bien là-bas, c'est qu'il n'y a pas de limite d'âge, d'expérience dans le domaine (je ne pourrais, de toute façon, pas rentrer dans les écoles de cinéma dont tu parles, bien trop cher, et en plus, j'ai dépassé la limite d'âge des 25 ans... complètement débile, en quel honneur après 25 ans on ne pourrait pas se lancer dans le cinéma ?). Il lance un thème et chacun a les mêmes chances: il faut tourner un très court métrage en rapport avec le dit thème sur son téléphone, et ils sélectionnent les apprentis qui rentreront à l'Atelier et apprendront à tourner un film avec l'équipe de A à Z dans toutes les étapes de la préparation... Après bien sûr, il faut faire un film qui soit suffisamment bon et fort afin de l'attention... Mais pour dire que, comme quoi, il n'y a pas qu'à Paris qu'il y a des "structures" et qu'il se passe des choses !
- Concernant " L'accroche scénariste" à Lyon, je l'avais déjà trouvé lors de mes recherches, et je l'avais gardé en mémoire. Merci du tuyau en tout cas.
Il est vrai qu'en France, certains diplômes venus de l'étranger ne sont pas reconnus... Mais bien évidemment, les formations dispensées à la fac sont peut-être trop "bornées" et "fermées", et il faut soi-même s'ouvrir en dehors. Je ne sais pas encore ce qu'il adviendra de mon parcours à moyen ou long terme et je ne veux pas voir jusque là de toute façon...
J'ai lu, dans un magazine sur mon département, l'histoire d'un homme originaire du sud de la France, passionné de cinéma depuis petit, qui n'a pas du tout fait ses études dans ce domaine (lycée agricole + études de com"), mais il a fait les bonnes rencontres et a bossé à la radio (rien à avoir avec le cinéma pourtant, mais bon...), et aujourd'hui il est... vice-président de la Fox à Los Angeles ! Tu pourras peut-être trouver son histoire sur le net, il s'appelle Julien Noble.
Je ne parle pas à grand monde de mon projet, car de toute manière, peu y croient et beaucoup disent "il faut connaitre du beau monde pour pouvoir rentrer dans ce milieu fermé". Il y a beaucoup de rabat-joie dans un entourage, et dans le mien tout particulièrement. J'ai toujours eu du mal à me dire que choses heureuses pouvaient m'arriver (professionnellement parlant surtout), mais de toute façon, comme je l'ai dit, si je monte une association, que je tiens un cinéma de quartier ou autre... Je serais déjà heureuse. Beaucoup disent que j'écris bien, que je sais faire passer beaucoup par l'écrit; mais je n'arrive pas à écrire un début de scénario, je ne sais pas pourquoi, pas d'inspiration pour l'instant, alors que j'écris pour mon blog, pour ceux des autres, etc... Ça me frustre car j'aimerais pouvoir combiner mon "talent" et ma passion. Peut-être est-ce lié à mon état, à mon perfectionnisme ? Je ne sais pas... On verra bien ce qu'il en sera.
Merci beaucoup en tout cas Nours, pour tes précieux conseils
J'ai plusieurs pistes:
- tout d'abord, la licence pour laquelle j'ai postulé par correspondance, par le biais du CNED en partenariat avec la Sorbonne. Si je suis admise, j'irai bien évidemment et j'espère décrocher la licence et continuer vers un Master, mais si ça ne marche pas, je peux tout de même faire l'année "comme ça", sans stage et sans passer l'examen, juste les cours et les devoirs;
- J'ai vu une association sur Marseille ("proche" d'où je suis actuellement), où j'aimerais faire mon stage si je suis en licence, et que je pense contacter quoi qu'il arrive si je ne la fais pas, car j'aime beaucoup ce qu'ils font (tu peux aller visiter le site ici: https://cinetilt.org/index.php.
- J'ai également la piste, mais là par contre, ce sera seulement quand je pourrais remonter chez moi: Claude Lelouch a crée à Beaune, là où se tient le festival du film policier, les "Ateliers du Cinéma". Ce qui est bien là-bas, c'est qu'il n'y a pas de limite d'âge, d'expérience dans le domaine (je ne pourrais, de toute façon, pas rentrer dans les écoles de cinéma dont tu parles, bien trop cher, et en plus, j'ai dépassé la limite d'âge des 25 ans... complètement débile, en quel honneur après 25 ans on ne pourrait pas se lancer dans le cinéma ?). Il lance un thème et chacun a les mêmes chances: il faut tourner un très court métrage en rapport avec le dit thème sur son téléphone, et ils sélectionnent les apprentis qui rentreront à l'Atelier et apprendront à tourner un film avec l'équipe de A à Z dans toutes les étapes de la préparation... Après bien sûr, il faut faire un film qui soit suffisamment bon et fort afin de l'attention... Mais pour dire que, comme quoi, il n'y a pas qu'à Paris qu'il y a des "structures" et qu'il se passe des choses !
- Concernant " L'accroche scénariste" à Lyon, je l'avais déjà trouvé lors de mes recherches, et je l'avais gardé en mémoire. Merci du tuyau en tout cas.
Il est vrai qu'en France, certains diplômes venus de l'étranger ne sont pas reconnus... Mais bien évidemment, les formations dispensées à la fac sont peut-être trop "bornées" et "fermées", et il faut soi-même s'ouvrir en dehors. Je ne sais pas encore ce qu'il adviendra de mon parcours à moyen ou long terme et je ne veux pas voir jusque là de toute façon...
J'ai lu, dans un magazine sur mon département, l'histoire d'un homme originaire du sud de la France, passionné de cinéma depuis petit, qui n'a pas du tout fait ses études dans ce domaine (lycée agricole + études de com"), mais il a fait les bonnes rencontres et a bossé à la radio (rien à avoir avec le cinéma pourtant, mais bon...), et aujourd'hui il est... vice-président de la Fox à Los Angeles ! Tu pourras peut-être trouver son histoire sur le net, il s'appelle Julien Noble.
Je ne parle pas à grand monde de mon projet, car de toute manière, peu y croient et beaucoup disent "il faut connaitre du beau monde pour pouvoir rentrer dans ce milieu fermé". Il y a beaucoup de rabat-joie dans un entourage, et dans le mien tout particulièrement. J'ai toujours eu du mal à me dire que choses heureuses pouvaient m'arriver (professionnellement parlant surtout), mais de toute façon, comme je l'ai dit, si je monte une association, que je tiens un cinéma de quartier ou autre... Je serais déjà heureuse. Beaucoup disent que j'écris bien, que je sais faire passer beaucoup par l'écrit; mais je n'arrive pas à écrire un début de scénario, je ne sais pas pourquoi, pas d'inspiration pour l'instant, alors que j'écris pour mon blog, pour ceux des autres, etc... Ça me frustre car j'aimerais pouvoir combiner mon "talent" et ma passion. Peut-être est-ce lié à mon état, à mon perfectionnisme ? Je ne sais pas... On verra bien ce qu'il en sera.
Merci beaucoup en tout cas Nours, pour tes précieux conseils
- Nours
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Le métier de vos rêves
Tu apprends les bases, ça vaut pas une véritable école ceci dit on est d'accord. De plus, tout le monde n'est pas apte à étudier/travailler seul.Naturally a écrit : ↑vendredi 31 août 2018 8:36Je te remercie vivement de tes conseils, Nours. Je n'envisage pas de vivre à Paris en effet, par contre j'envisage de remonter du côté de Lyon, très proche de ma région natale. Je souhaite rentrer en licence cinéma pour avoir quelques bases "théoriques", mais cela fait déjà un moment que je "documente" par moi-même, à travers les bouquins justement. J'avais "entendu parler" de cette école à distance au Canada et en lisant les avis sur le net, j'avais laissé tomber l'idée, car ils étaient très mauvais. Mais je vois qu'apparemment, tu as fait certaines formations dans cette école, c'est qu'apparemment ça a l'air fiable... Je garde donc l'idée sous le coude.
J'ignorais son existence au CNED, faudra que je regarde (ça peut toujours faire une "licence" à ajouter).J'ai plusieurs pistes:
- tout d'abord, la licence pour laquelle j'ai postulé par correspondance, par le biais du CNED en partenariat avec la Sorbonne. Si je suis admise, j'irai bien évidemment et j'espère décrocher la licence et continuer vers un Master, mais si ça ne marche pas, je peux tout de même faire l'année "comme ça", sans stage et sans passer l'examen, juste les cours et les devoirs;
Je note pour plus tard, merci.- J'ai vu une association sur Marseille ("proche" d'où je suis actuellement), où j'aimerais faire mon stage si je suis en licence, et que je pense contacter quoi qu'il arrive si je ne la fais pas, car j'aime beaucoup ce qu'ils font (tu peux aller visiter le site ici: https://cinetilt.org/index.php.
Oui les régions réagissent beaucoup, et c'est tant mieux. Ici en Bretagne il y a pas mal de chose, et même des maisons de scénaristes ! Ceci étant, pour ma part, je ne vise pas la réalisation, même si j'ai des connaissances dans le domaine.- J'ai également la piste, mais là par contre, ce sera seulement quand je pourrais remonter chez moi: Claude Lelouch a crée à Beaune, là où se tient le festival du film policier, les "Ateliers du Cinéma". Ce qui est bien là-bas, c'est qu'il n'y a pas de limite d'âge, d'expérience dans le domaine (je ne pourrais, de toute façon, pas rentrer dans les écoles de cinéma dont tu parles, bien trop cher, et en plus, j'ai dépassé la limite d'âge des 25 ans... complètement débile, en quel honneur après 25 ans on ne pourrait pas se lancer dans le cinéma ?). Il lance un thème et chacun a les mêmes chances: il faut tourner un très court métrage en rapport avec le dit thème sur son téléphone, et ils sélectionnent les apprentis qui rentreront à l'Atelier et apprendront à tourner un film avec l'équipe de A à Z dans toutes les étapes de la préparation... Après bien sûr, il faut faire un film qui soit suffisamment bon et fort afin de l'attention... Mais pour dire que, comme quoi, il n'y a pas qu'à Paris qu'il y a des "structures" et qu'il se passe des choses !
J'ai rencontré un scénariste de série TV, il a commencé comme régisseur plateau...Il est vrai qu'en France, certains diplômes venus de l'étranger ne sont pas reconnus... Mais bien évidemment, les formations dispensées à la fac sont peut-être trop "bornées" et "fermées", et il faut soi-même s'ouvrir en dehors. Je ne sais pas encore ce qu'il adviendra de mon parcours à moyen ou long terme et je ne veux pas voir jusque là de toute façon...
J'ai lu, dans un magazine sur mon département, l'histoire d'un homme originaire du sud de la France, passionné de cinéma depuis petit, qui n'a pas du tout fait ses études dans ce domaine (lycée agricole + études de com"), mais il a fait les bonnes rencontres et a bossé à la radio (rien à avoir avec le cinéma pourtant, mais bon...), et aujourd'hui il est... vice-président de la Fox à Los Angeles ! Tu pourras peut-être trouver son histoire sur le net, il s'appelle Julien Noble.
Si c'est ton envie : fait le. Si je peux t'y aider ce sera avec plaisir (bah oui première que je rencontre quelqu'un dans le même cas que moi, donc si je peux aider). Tu trouveras ta voie au fil du temps, peut-être que tu n'as pas la fibre "scénaristique", car écrire un scénario c'est différent d'un roman, mais que tu as la fibre de réalisatrice. Mais ça demande de te mettre en avant, c'est en grande parti pour ça que je préfère ne pas être réalisateur, le métier de scénariste est un métier de "l'ombre".Je ne parle pas à grand monde de mon projet, car de toute manière, peu y croient et beaucoup disent "il faut connaitre du beau monde pour pouvoir rentrer dans ce milieu fermé". J'ai toujours eu du mal à me dire que choses heureuses pouvaient m'arriver (professionnellement parlant surtout), mais de toute façon, comme je l'ai dit, si je monde une association, que je tiens un cinéma de quartier ou autre... Je serais déjà heureuse. Beaucoup disent que j'écris bien, que je sais faire passer beaucoup par l'écrit; mais je n'arrive pas à écrire un début de scénario, je ne sais pas pourquoi, pas d'inspiration pour l'instant, alors que j'écris pour mon blog, pour ceux des autres, etc... Ça me frustre car j'aimerais pouvoir combiner mon "talent" et ma passion. Peut-être est-ce lié à mon état, à mon perfectionnisme ? Je ne sais pas... On verra bien ce qu'il en sera.
Avoir comment tu vas évoluer, en tout cas tient moi au courant, je suis très curieux de savoir comment tu vas évoluer. En attendant, même si tu le fais sans doute déjà, hésite pas à noter toutes tes idées pour plus tard.
Côté association, j'envisage l'année prochaine de discuter avec l'accroche scénariste pour voir si je pourrais pas faire une sorte "d'annexe" ici en Bretagne (je n'ai trouvé aucune association du genre). Bien entendu comme toi, si je pouvais me trouver un ti boulot dans un ciné, j'en serais content.
Merci à toi également, je vais me renseigner pour la Sorbonne ! Car ça ferait une "vraie" formation qui ferait fermer sa gueule à Pôle Emploi, et même à ma mère, et puis là au moins la licence sera reconnu. Reste le soucis du stage etc... Et du prix, il va falloir que je me renseigne, mais c'est un truc dont je vais discuter.Merci beaucoup en tout cas Nours, pour tes précieux conseils
Le métier de vos rêves
Je ne sais pas si ça sera reconnu par Pôle Emploi, je l'espère pour toi, ça dépend des conseillers... J'ai été convoquée au printemps après m'être inscrite car je devais toucher le chômage après mes contrats intérims de l'année dernière. Et bien, mon "conseiller" m'a pris de haut, m'a dit que ça sera dur de se reconvertir là-dedans, que j'allais encore me casser les dents... Bref, un rabat-joie de plus qui dit avoir plus de 20 ans de métier, quoi. Bien entendu, je n'ai même pas eu le temps de discuter que je savais déjà qu'ils ne financeraient pas ma licence. Heureusement, j'ai mis de côté et je vais pouvoir la financer moi-même... Il faut par contre avoir Bac+2 c'est c'est la troisième année de licence, pour ma part j'ai un BTS pas du tout dans le domaine mais j'ai tenté ma chance quand même... Les candidatures ferment le 11 septembre. Il y a possibilité d'être convoqué à un examen d'entrée fin septembre, s'ils l'estiment nécessaire, mais ce n'est pas obligatoire... Toutes les infos sont ici: http://www.cned.fr/etudiant/cursus-univ ... e/licence# et ici: http://www.pantheonsorbonne.fr/ufr/ufr0 ... einscrire/Merci à toi également, je vais me renseigner pour la Sorbonne ! Car ça ferait une "vraie" formation qui ferait fermer sa gueule à Pôle Emploi, et même à ma mère, et puis là au moins la licence sera reconnu. Reste le soucis du stage etc... Et du prix, il va falloir que je me renseigne, mais c'est un truc dont je vais discuter.
Oui, on se tient au courant
- Nours
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Le métier de vos rêves
Ah zut c'est juste la troisième année ! Je suis niveau BTS, mais je n'ai pas le diplôme, chiotte...
Par conséquent je doute que ça passe pour moi, dommage... Je vais néanmoins me renseigner, on ne sait jamais. Merci pour les liens en tout cas.
Mais c'est complètement con de proposer qu'une troisième année d'une formation... Faut proposer la formation complète ! Pfff
Par conséquent je doute que ça passe pour moi, dommage... Je vais néanmoins me renseigner, on ne sait jamais. Merci pour les liens en tout cas.
Mais c'est complètement con de proposer qu'une troisième année d'une formation... Faut proposer la formation complète ! Pfff
Le métier de vos rêves
Oui c'est sûr ! J'avais demandé au CNED pourquoi ils n'avaient pas les 3 années... Ils m'ont répondu... On ne peut pas tout faire ! Tu parles d'une réponse
Ah zut c'est juste la troisième année ! Je suis niveau BTS, mais je n'ai pas le diplôme, chiotte...
Par conséquent je doute que ça passe pour moi, dommage... Je vais néanmoins me renseigner, on ne sait jamais. Merci pour les liens en tout cas.
Mais c'est complètement con de proposer qu'une troisième année d'une formation... Faut proposer la formation complète ! Pfff
Surtout que pour arts plastiques par exemple, je crois qu'il y a les 3 années il me semble, c'est aussi une formation proposée en partenariat avec la Sorbonne... Enfin bon, pas sûr que ça passe pour moi non plus, BTS sans doute trop éloigné du domaine du cinéma... Mais j'espère avoir une petite chance quand même, je verrai bien.
- Nours
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Ah le CNED... Sont toujours aussi cons visiblement.
- Léna Smilov
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Chanteuse
Le métier de vos rêves
J'oubliais.
Ce que vous ne savez pas aussi, c'est que j'ai eu une époque où je voulais travailler en bio-info.
Mais j'étais devenue allergique à la Faculté où l'on me répétait qu'on "deviendrait les élites de la nation" , alors qu'on ne forme que des fonctionnaires (j'aurais certainement plus "changé le monde" en faisant autre chose).
C'est un peu un regret aujourd'hui, mais je continue de m'intéresser aux bactéries ^^.
J'ai toujours aimé l'ambiance laboratoire.
Ce que vous ne savez pas aussi, c'est que j'ai eu une époque où je voulais travailler en bio-info.
Mais j'étais devenue allergique à la Faculté où l'on me répétait qu'on "deviendrait les élites de la nation" , alors qu'on ne forme que des fonctionnaires (j'aurais certainement plus "changé le monde" en faisant autre chose).
C'est un peu un regret aujourd'hui, mais je continue de m'intéresser aux bactéries ^^.
J'ai toujours aimé l'ambiance laboratoire.
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