Depuis quand êtes-vous en dépression ?
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- christic
- Messages : 299
- Enregistré le : lundi 02 juillet 2007 16:58
Depuis quand êtes-vous en dépression ?
Depuis quand êtes-vous dépressifs ?
Je me lance ; environ 3 ans et de façon sévère depuis 1 an.
Je me lance ; environ 3 ans et de façon sévère depuis 1 an.
- miracle rose
- Messages : 2393
- Enregistré le : dimanche 04 mars 2007 13:26
- barbapapa
- Messages : 206
- Enregistré le : vendredi 03 août 2007 11:45
- claudine
- Membre d'honneur
- Messages : 6742
- Enregistré le : mardi 05 décembre 2006 19:30
Je n'ose pas dire depuis 20 ans car j'ai peur Christic de t'enlever tout ton moral
Je dois préciser tout de même que je suis l'exemple de ce qu'il ne faut pas faire . En effet, j'ai très longtemps refusé le diagnostic de dépression et également tout traitement. Je le regrette énormément aujourd'hui
De plus, nous sommes tous différents et n'essaie donc pas de tirer des conclusions de ton enquête
Je dois préciser tout de même que je suis l'exemple de ce qu'il ne faut pas faire . En effet, j'ai très longtemps refusé le diagnostic de dépression et également tout traitement. Je le regrette énormément aujourd'hui
De plus, nous sommes tous différents et n'essaie donc pas de tirer des conclusions de ton enquête
- christic
- Messages : 299
- Enregistré le : lundi 02 juillet 2007 16:58
il s'agit plus d'une quête que d'une enquête. Plus sérieusement, je viens de me rendre compte grâce à ton message que je l'étais certainement avant, sans me l'avouer. Quant à l'hérédité, je suis dubitatif.
Modifié en dernier par christic le lundi 03 septembre 2007 21:15, modifié 1 fois.
- Shadowcat
- Messages : 17
- Enregistré le : samedi 25 août 2007 17:00
Je ne suis pas une partisane de la thèse "hérédité", en tout cas pas pour la dépression ; ma (vaste) famille compte une tante schizophrène et un cousin (neveu de la tante, côté paternel, rien du côté maternel) dépressif à tendance schizophrène.
Phobie sociale depuis toujours, dépression depuis que j'ai environ 19 ans, ça fait huit ans (je commencerai à m'inquiéter dans onze ans).
Phobie sociale depuis toujours, dépression depuis que j'ai environ 19 ans, ça fait huit ans (je commencerai à m'inquiéter dans onze ans).
- claudine
- Membre d'honneur
- Messages : 6742
- Enregistré le : mardi 05 décembre 2006 19:30
-
- Messages : 4
- Enregistré le : jeudi 30 août 2007 2:16
pour ma part, eh bien j'étais assez 'fragile' depuis tout le temps je dirais.........mais première grosse 'attaque dépressive' une saleté de journée de mai 2001...........avec la perte de ma compagne de l'époque........... aprés 3 années d'enfer en étant en permanence sur le fil du rasoir.............
Ensuite eh bien........ que du bonheur jusqu'a il y a environ 4 mois................
Ensuite eh bien........ que du bonheur jusqu'a il y a environ 4 mois................
- lincendie
- Messages : 68
- Enregistré le : lundi 03 septembre 2007 12:15
Il me semble que j'ai commencé à être dépressive à l'âge de 16 ans, je commencais a me rendre compte que la vie et la société qu'on me proposait ne me convenait pas du tout! Ma mère m'a envoyé voir un psychiatre qui m'a dégouté encore plus! Et de là ça ne c'est plus jamais arrêté... J'ai 39 ans. Désolée, je ne suis pas très encourageante, pourtant j'aimerais l'être.
-
- Messages : 9
- Enregistré le : mardi 21 août 2007 13:55
moi j'ai commencé a aller chez le psy a l'age de 17 ans pour des attouchements... ; aujourd'hui j'en ai 25...oula ca commence a faire!
en 8 ans j'ai fait une grosse depression en 2004 avec hospitalisation et compagnie (mon psy de l'epoque avait bcp minimisé les attouchements subi)...cachet pendant un an ...apres mieux pendant un an ....re cachet depuis avril 2006... moi je pense que c latent et qu'effectivement certaine personne ont des predispositions....quant a l'heredité... je pense que c un facteur non negligeable....une de mes tante en souffre aussi!
courage a tout le monde
en 8 ans j'ai fait une grosse depression en 2004 avec hospitalisation et compagnie (mon psy de l'epoque avait bcp minimisé les attouchements subi)...cachet pendant un an ...apres mieux pendant un an ....re cachet depuis avril 2006... moi je pense que c latent et qu'effectivement certaine personne ont des predispositions....quant a l'heredité... je pense que c un facteur non negligeable....une de mes tante en souffre aussi!
courage a tout le monde
- barbapapa
- Messages : 206
- Enregistré le : vendredi 03 août 2007 11:45
c moi qui ai lancé le débat sur l'hérédité
en tout cas, je pense que certaines personnes ont plus de prédispositions que d'autres
j'ai toujours eu des phases mélancoliques, mais qui ne duraient jamais très longtemps
après, j'ai eu des périodes de déprimes, liées à des évênements douloureux
et puis de la déprime, je suis passé à la dépression en 2005, mais elle s'est installée très lentement, sournoisement
jusqu'en 2005, la dépression m'était étrangère, je la percevait comme une maladie grave, mais je pensais que çà n'arrivait qu'aux autres
même dans un état depressif, j'ai mis du temps avant d'ouvrir les yeux, je me croyais simplement déprimé
et puis j'ai fini par craquer psychiquement, et là j'ai du me rendre à l'évidence, il fallait que je sois soigné
puis, j'ai ressenti un mieux, je recommençait à faire des projets, je pensais que le pire était derrière
nouveau boulot, nouveau logement, c'était reparti
et puis le mal est revenu tout aussi sournoisement: j'ai voulu contrer cette nouvelle rechute, en allant voir mon médecin traitant, qui m'a prescrit des médocs, mais je freinais des 4 fers pour retourner voir un psy
ce qui devait arriver, arriva, j'ai redecompensé: j'avais l'impression que tout s'écroulait, que le cauchemard recommençait
j'ai du renoncer à ma colocation, c'est avec bcp de peine que j'ai terminé mon contrat
lors de ma première phase dépressive, je pensais avoir connu le pire, et bien j'ai eu tord, on peut tjs tomber plus bas
c'est bien çà le plus terrible, c'est que peersonne n'est à l'abri d'une rechute, et que les conséquences peuvent être parfois socialement désastreuses
j'en ai tiré les conclusions qui s'imposaient, je recommence un suivi psy, quitte à en "prendre pour longtemps", mais j'ai tellement perdu dans l'histoire, que je suis obligé de repartir à zéro
alors quitte à repartir, autant le faire sur des bases solides, pour ne pas connaitre de nouvelles désillusion
c'est un peu long, je crois que je me suis un peu enflammé
tout çà pour dire, qu'il ne faut pas se fier aux apparences, elles sont parfois trompeuses
j'aurai envie de rajouter qu'il ne faut jamais tarder à réagir
parfois on se sent fort pour affronter seul la maladie, et puis notre orgueil nous "pète" en pleine poire
en tout cas, je pense que certaines personnes ont plus de prédispositions que d'autres
j'ai toujours eu des phases mélancoliques, mais qui ne duraient jamais très longtemps
après, j'ai eu des périodes de déprimes, liées à des évênements douloureux
et puis de la déprime, je suis passé à la dépression en 2005, mais elle s'est installée très lentement, sournoisement
jusqu'en 2005, la dépression m'était étrangère, je la percevait comme une maladie grave, mais je pensais que çà n'arrivait qu'aux autres
même dans un état depressif, j'ai mis du temps avant d'ouvrir les yeux, je me croyais simplement déprimé
et puis j'ai fini par craquer psychiquement, et là j'ai du me rendre à l'évidence, il fallait que je sois soigné
puis, j'ai ressenti un mieux, je recommençait à faire des projets, je pensais que le pire était derrière
nouveau boulot, nouveau logement, c'était reparti
et puis le mal est revenu tout aussi sournoisement: j'ai voulu contrer cette nouvelle rechute, en allant voir mon médecin traitant, qui m'a prescrit des médocs, mais je freinais des 4 fers pour retourner voir un psy
ce qui devait arriver, arriva, j'ai redecompensé: j'avais l'impression que tout s'écroulait, que le cauchemard recommençait
j'ai du renoncer à ma colocation, c'est avec bcp de peine que j'ai terminé mon contrat
lors de ma première phase dépressive, je pensais avoir connu le pire, et bien j'ai eu tord, on peut tjs tomber plus bas
c'est bien çà le plus terrible, c'est que peersonne n'est à l'abri d'une rechute, et que les conséquences peuvent être parfois socialement désastreuses
j'en ai tiré les conclusions qui s'imposaient, je recommence un suivi psy, quitte à en "prendre pour longtemps", mais j'ai tellement perdu dans l'histoire, que je suis obligé de repartir à zéro
alors quitte à repartir, autant le faire sur des bases solides, pour ne pas connaitre de nouvelles désillusion
c'est un peu long, je crois que je me suis un peu enflammé
tout çà pour dire, qu'il ne faut pas se fier aux apparences, elles sont parfois trompeuses
j'aurai envie de rajouter qu'il ne faut jamais tarder à réagir
parfois on se sent fort pour affronter seul la maladie, et puis notre orgueil nous "pète" en pleine poire
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