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Mais j'en suis à ma 8ème année de psychothérapie, à mon 5ème psy.
Pour eux, (pour moi aussi peut-être), je ne veux pas m'en sortir, ni guérir.
Je me suicide peu à peu.
A mon niveau, ce n'est plus du ressort de l'appel au secours, comme certains jeunes sur ce forum, auxquels je souhaite de tout coeur que quelqu'un leurs tende la main.
Comment t'expliquer, c'est comme si je me maintenais moi même la tête sous l'eau, mais sans avoir la force de la maintenir suffisament longtemps.
Je prends une petite respiration et je replonge...
Je me deteste d'écrire de pareilles choses. Ne prends pas mes problèmes trop à coeur. Portes-toi bien.
Il est évident que toutes ces années d'analyse sans vraiment de résultats, ce n'est pas très encourageant mais, je ne peux pas croire que tu ne veuilles pas t'en sortir.
Pourquoi serais-tu venue sur le forum si tu n'avais pas l'espoir de trouver une solution à tes problèmes ?
As-tu essayé d'autres méthodes, comme l'hypnose médicale, par exemple ?
Courage, il doit bien y avoir un moyen d'y arriver
apres le rien d'avant les exam... apres la perte de poids...
les crises d'angoisses d'aujourdhui, on fais que...
j'ai énormement mangé.
nimporte quoi en plus.
mais cest horrible.
je me sens tres mal.
envi de pleurer.
et je culpabilise.
On dirais que ton probleme vien beaucoup de la motivation a ne pas lacher..pour cela il faut un point de repere dans notre vie, quelque chose en quoi on crois fermement qui nous donne le courage de continuer. Par exemple prennons un catholique pratiquant (bien que je ne sois pas religieux du tout ce n'est qu'un exemple) ils croient que il ya autres choses la haut qui les atends et ne se posent aucune question et on remarque souvent que ces gens sont heureux car ils n'ont pas a se questionner ils avancent tout simplement. il te faut seulement quelque chose en quoi tu crois qui te motiverais sans meme difficulté
eh bien... je n'avais jamais lu encore ce post... Je me retrouve complètement dans tout ce que vous décrivez... Toutes ces années à bouffer du chocolat / nutella / biscuits ou autres en énorme quantité et en très peu de temps, quasi tous les jours, sans arriver à me contrôler et me retrouver le ventre hyper rempli, mal au cœur mais sans pouvoir vomir le trop-plein... Tous ces kilos pris, je suis un vrai hippopotame...
Et puis ma dépression... Depuis que je vais mieux, je ne sens plus ce besoin de me remplir, alors oui on peut s'en sortir ! Depuis mon entrée à l'hosto, j'ai bien été obligée de prendre 3 repas normaux dans la journée, et rien entre deux. Et les anxiolytiques me font me sentir tellement mieux que mes angoisses ont disparu, du coup je n'ai plus ce besoin de bouffer... Car j'ai enfin trouvé pourquoi je me goinfrais comme ça : juste des crises d'angoisse...
Depuis peu, sans en avoir conscience, j'ai perdu un peu des 30kg que j'avais pris en 9 ans et ça fait du bien de se sentir "dégonfler", lentement mais sûrement... Je suis encore loin d'être mince, ou même juste un peu enrobée, mais ce n'est pas grave, j'y vais à mon rythme, sans me priver, naturellement...
Enfin c est aussi grâce aux effets secondaires de mon médoc.
Ce qui m'inquiête c'est de ne pas avoir faim du tout et c'est en général quand je suis comme ça que les crises reviennent de plus belle
J'en suis à mon 4 ieme jour sans crise.
J'ai la trouille : je crois que je suis en train de replonger dans l'hyperphagie.
J'ai fait de l'hyperphagie et de la boulimie/anorexie pendant des années, avec ma première dépression. Ça s'était arrêté à peu près en même temps que ma dépression, il y a environ 4 ans...
Depuis deux semaines, après environ deux mois d'anorexie, j'ai fait plusieurs crises de bouffe (une à deux par jour). Je me déteste et, comme toujours, je me sens très seule.
L'anorexie et la boulimie sont très connues, il y a beaucoup d'endroits où en parler mais l'hyperphagie...
Personne ne s'inquiète pour vous car vous n'êtes pas proche de la mort ou vous ne vous blessez pas pour évacuer le trop-plein de bouffe : pourtant, c'est autant de l'auto-destruction que les autres TCA et ça fait autant souffrir.
Je viens écrire dans ce post pour parler avec d'autres hyperphages : briser ce sentiment de solitude et d'abandon qui accompagne les crises.
Personne ne s'inquiète pour vous car vous n'êtes pas proche de la mort ou vous ne vous blessez pas pour évacuer le trop-plein de bouffe : pourtant, c'est autant de l'auto-destruction que les autres TCA et ça fait autant souffrir.
oui moi aussi j'ai toujours eu la profonde conviction que c'était de l'auto-mutilation.
je comprends trop ce que tu veux dire.
moi je n'ai pas vraiment de répit. anorexie-hyperphagie chez moi cest le quotidien (ou presque) soit cest rien, soit tout.
perso je hai ce comportemenr, il me dégoute, je suis capable de manger une quantitée énorme de nourriture en si peu de temp
et de faire des mélanges que jamais je n'aurais eu l'idée en temps normal ...
la perte de control pendant ce genre de crise me fait peur pas vous ?
Lisant ce sujet, je viens d'apprendre que, ce que je fais, c'est de l'hyperphagie. Lire les différents posts me fait mal, parce que je croyais être soignée, et je me reconnais dans ceux-ci. Il y a 6 ans, j'ai suivi plusieurs mois de thérapie qui ont abouti à cette idée: "je mange parce que je suis en colère". A partir du moment où je l'ai dit, je n'ai plus eu de compulsions alimentaires, sans que ma volonté intervienne. 6 ans. Aujourd'hui, je vis une dépression, et je dois me rendre à l'évidence: l'hyperphagie est revenue. Un symptôme de plus à affronter.
Oui, je suis suivie. Mais c'est encore le début, depuis 1 mois seulement. Mais je sais déjà que l'hyperphagie fera partie des sujets à aborder même si je pensais en être débarrassée.
Je souffre d'hyperphagie même si depuis quelques semaines, je n'ai pas eu de crises, mais je crois que les effets secondaires de mon traitement y sont pour beaucoup.
J'en souffre au moins depuis mes 9 ans, car j'ai des souvenirs précis de cette période.
Je n'ai jamais été boulimique.
Je pèse actuellement 96 kg pour 1,65 m, je pesais 110 kg il y a 9 mois.
Je vous copie un texte que j'avais écrit ailleurs en mai derniers à des amies avec qui nous parlions de surpoids en général:
"(...)
Et puis, à propos de surpoids, y'a un truc qui est terrible. Je pense spécialement à ceux et celles qui sont juste un peu en surpoids (selon les normes IMC):
Il y a quelques temps, je suis tombée, en faisant du tri, sur une photo de moi qui date de 2001. Mon copain, qui me connaît depuis deux ans, était chez moi et en voyant la photo, il me dit:
- Tu m'avais dit que t'avait toujours été trop grosse!
- Bah, oui, j'ai toujours été trop grosse.
- Tu déconnes? sur la photo, là, t'es pas mince, ok, mais t'es pas "trop" grosse, t'as l'air de bien les porter, tes kilos.
Au début, me suis dit que ça venait de l'angle de prise de vue, de la lumière, etc... Puis, j'ai trouvé d'autre photos, et j'ai essayé de les regarder "objectivement", de prendre du recul, sans me dire "encore une photo de la grosse moche Knokke".
et bah, pu.... de surprise: J'ai toujours été ronde, très ronde, mais il est clair que ça m'allait plutôt bien, en fait, la fille sur la photo était pas si affreuse que ça.
Mais le hic, c'est que d'aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours été "beaucoup trop grosse" pour tout un tas de personne.
A commencer par mon cher père, mes camarades de classe, mon instit de CM2, puis certains profs de sport, la gynéco, certains médecins, puis mes collègues et évidemment, par un effet miroir très basique, par moi.
Alors je sais que plein de gens se trouvent des kilos à perdre alors que ce n'est pas le cas, et là où le bas blesse, c'est que quand on se définit comme gros - et j'emploie le verbe définir consciemment, je suis une grosse, c'est ma nature, le premier indice pour me reconnaître - et qu'on prend 3 kilos, c'est pas grave, c'est même logique puisqu'on est un(e) gros(se). en plus, sur déjà 10 kg de trop, ça se voit pas tant que ça, sur 20, encore moins, sur 40 c'est un détail. On est déjà gros, on continue à l'être, rien de neuf sous le soleil.
Et de 2 kilos en 3 kilos, en atteint le quintal, et vraiment, même si le nombre sur la balance est assez choquant, on ne se sent pas si différent qu'avant, on a toujours été gros, pourquoi ça changerait?
Je ne veux pas dire que tout est dans la tête, mais sincèrement, je pense que quand on se sent avant tout blonde (ne riez pas), ou brune, grande, voire même des trucs négatifs genre un trop grand nez, trop de tâches de rousseur, trop petite, etc... on a moins de risque de se jeter sur la bouffe quand on a le blues, et si on le fait et qu'on prend quelques kilos, tant qu'on ne se voit pas comme "un(e) gros(se)", on entre pas dans le cercle vicieux. Si on complexe sur sa petite taille, ça nous fait pas rapetisser, si je trouve mon nez trop long , qu'on me le fasse remarquer ne va pas le faire s'allonger.
Je crois que les personnes "trop maigres" ont un peu le même problème, dans le sens ou les reflexions sur le fait de "se remplumer" ou leur appétit ont tendance, justement, à le leur couper. J'ai une amie dans ce cas. Objectivement, elle était (là, ça va mieux) trop maigre, dans le sens où sa santé, sa fatigue, sa résistance aux microbes, s'en ressentait. elle souffre de colopathie et de diverses intolérances alimentaires qui n'arrangent pas son appétit, mais elle grignote des saloperies en permanence. Elle a bouffé des reflexions du genre "tas d'os" et "squelette ambulant" pendant des années.
Mais jamais personne n'a remis en cause sa volonté.
Une personne maigre, on va la chambrer, eventuellement lui dire de finir son assiette, mais j'imagine mal quelqu'un lui dire:
"fais un effort, c'est une question de volonté, tu devrais pas te laisser aller"
Prenez 5 kilos alors que vous étiez pile "dans la norme" et vous y aurez droit.
La plupart des personnes, lorsqu'elles croisent quelqu'un de maigre (dans notre société, je ne parle évidemment pas des contrées ou la malnutrition sévit), vont penser maladie, anorexie, depression. En croisant quelqu'un de trop gros, elles vont penser laisser aller, manque de volonté, éventuellement boulimie (ce qui n'est pas très juste, puisque les boulimique, contrairement aux hyperphages, se font vomir, donc sont moins enclins à grossir), mais même ce terme de "boulimique", même si c'est une maladie reconnue, n'est pas aussi "compatissant" (je trouve pas le mot juste) qu'anorexique. rien que le "boule" dans boulimie, ça a un coté rigolo, comme mot, ça rappelle un tas de surnoms sympas: boulette, boulotte, bouboule...
L'anorexie, ça a un coté tragique (et c'est vraiment le cas, j'ai perdu une camarade de classe ainsi, et mon grand père, c'est une maladie épouvantable), mais l'hyperphagie (la boulimie, par extension), c'est pathétique, pas tragique.
Si je claque parce que je bouffe trop et mal, parce que mes 40 kg de trop ont raison de la résistance de mon coeur, personne ne pensera que l'hyperphagie est une maladie terrible, en revanche, je suis sûre qu'en toute bonne foi, certains penseront, diront, que quand même, j'aurais du faire attention à mon poids, manger moins, bouger plus, me prendre en main, faire un effort.
Et je ne parle pas que du regard des autres, c'est ce que je ressens moi même, même si je lutte contre ce sentiment, j'ai toujours cette impression que les troubles alimentaires ne sont pas sur le même tableau.
que si je suis obèse, c'est avant tout parce que je manque de volonté, que je suis gourmande (ho la vilaine), feignasse (ho la vilaine), faible.
Si un voisin me demande après un coup dur comment je vais, je vais facilement dire que j'ai perdu l'appétit (si, si, ça m'est déjà arrivé), mais dire:
- cette nuit, à deux heures, j'ai mangé tout ce qui était directement consommable dans le frigo, y compris le pot de mayonnaise, à la petite cuillère, après, j'ai vidé les boîtes de thons et j'ai fini les croquettes des chats (je déconne pour les croquettes, contrairement à celles de chevaux, celles pour chats sont dégueulasses).
Même pas en rêve, j'aurais trop honte.
Bref, j'ai un peu dérivé de mon propos de départ.
Le regard, les paroles des autres, nous font culpabiliser. et si nous culpabilisons, c'est parce que nous-même, nous pensons que nous avons quelque chose à nous reprocher. Je ne vois que d'un oeil, si on me chambre la dessus, au mieux, ça va me faire marrer, au pire, ça me fâche, mais en aucun cas je ne vais culpabiliser. Un reflexion, même innocente, sur mon obésité (une camarade d'école de mon fils m'a demandé quand j'allais accoucher ), je culpabilise, parce qu'après tout, si je suis comme ça, c'est parce que j'ai pas la volonté de changer.
Alors j'essaye, mais c'est pas facile, d'appliquer la phrase de Gandhi "Soyez le changement que vous voulez voir dans le monde." J'essaye de ne pas me sentir coupable, de rationaliser, de décrypter mes pulsions alimentaires, de voir mon surpoids comme une conséquence de mon trouble alimentaire, pas comme un signe de ma faiblesse.
Et là, j'ai une saloperie de petite voix qui me chuchotte:
" Genre, t'es en train de trouver des excuses à ton manque de volonté, t'es dans le déni total, grosse vache!"
Parfois, je lui mets mon poing sur la tronche, à la petite voix, mais parfois, je me roule en boule (j'ai pas trop d'efforts à faire...) et je me traite de tous les noms, avant d'ouvrir le frigo.
_________________ "
Donc ça, c'était en mai dernier, parallèlement, j'ai commencé à suivre un traitement pour l'hypertension, et j'ai travaillé sur "le décryptage" de mes pulsions.
J'ai remarqué qu'en général, je n'avais pas faim de la journée (sauf au petit déj), donc, bien souvent, je ne mangeais pas au déjeuner ni au dîner.
En plus, je n'ai jamais "grignoté, et (désolée), j'aime pas trop le chocolat, donc les en-cas type "mars", je connais pas.
En revanche, la nuit, je me réveille vers deux trois heures et là... (cf plus haut). Puis je me rendormais.
Alors je me suis astreinte à manger un peu à chaque repas, des trucs pas trop lourds, mais aussi choisis pour leur apport en fer (je suis sujette à l'anémie).
Au bout de quelques jours, lors de mes réveils précoces, les pulsions étaient moins violentes, tout simplement, je pense, car au delà de la pulsion, je n'avais pas l'estomac qui tournait à vide depuis la veille au matin.
Puis petit à petit, j'ai recommencé à avoir faim au dîner, puis au déjeuner, et à reconnaitre également le sentiment de satiété.
Jusqu'à novembre dernier, j'arrivais même à ne plus me réveiller la nuit, puis c'est à ce moment là, je pense, que la dépression m'a attrapée, et j'ai recommencé à me réveiller, puis ne pas me rendormir, puis me jeter sur le frigo, puis sauter les repas...
j'avais perdu 13 kg, j'en ai repris 3 en un mois.
Ca fait un mois que je suis traitée pour dépression, et là, je n'ai plus d'appétit du tout, plus de pulsions alimentaires, j'ai reperdu 4 kg, je me force à manger aux repas, un peu.
Je prends un somnifère et un anxiolytique pour m'endormir (depuis décembre je me "soignais" à l'alcool") le soir et depuis lundi, le psychiatre m'a dit de reprendre un 1/2 anxio lors de mes réveils précoces, car je suis épuisée par le traitement et mes nuits de 4h. Il a doublé ma dose d'AD aussi.
J'espère que mon témoignage pourra apporter quelques pistes à certains d'entre vous.
Oh mon dieu... J'ai lu ces post, j'ai regarder sur internet... je me reconnait tellement maintenant...
Comment peut-on contrer une de ses crises ?
...Quand je suis seule...Quand je m'ennuie... Je me lance sur le frigo... mange, mange, mange... Tout ce que je peux, le plus vite possible... Oui, avant que quelqu'un ne me voit. Encore mieux, se cacher dans les toilettes pour manger... Parce que la porte se verrouille... Manger, manger, manger... Puis il y a les remords. Le mal de ventre. Mal de coeur. Je me sens ballonner. Je m'en veux... Quand je suis seule... Je suis seule et je m'ennuie. J'ai mal au ventre. Brioche, Camembert, Crêpes, confiture, pain, jus d'ananas... Tout ce que j'ai trouver.
J'ai pris du poids très vite ces dernières années... Quand j'y repense c'est quand j'avais 13 ans que ça a commencer... 15 kg en 6 mois... Je me sentait très seule et mal à l'époque... Puis maintenant... J'ai la honte. Et puis qui comprendras dans mon entourage si je parle ? Quand je me sens bien, je n'ai pas un gros appétit en fait... Mais quand ça me prend...
Je me sens mal, je mange, sans contrôle, sans limite, très rapidement. Une vrai goinfre... Je ne veux pas me tuer à petit feu, mettre en péril ma santé... mon bien-être.
J'ai tellement peur quand j'entre dans une épicerie... Je tremble intérieurement, j'ai peur de céder... Alors je cède...
Manger, manger, manger... quand on mange, on ne pense à rien d'autre. On oublis l'ennuie, la solitude. Puis je finie mon plat... ma 2e ou 3e portion... et je me deteste...
Marie-Lys et tous les autres en fait, vous n'êtes pas dutout seul.
Je ne vous compterai pas mon histoire car en fait on a environ tous et toutes la même. Il faut rester positif (facile à dire mais pas à faire!) et se dire qu'on est sur la bonne voie puisqu'on a franchi la première étape, soit l'acceptation du problème.
Personnellement, je crois avoir franchi les autres étapes, par exemple je sais pourquoi je fait des crises (solitude, tristesse, etc.). Ce que je n'arrive pas à faire, c'est comment changer. Comment arrêter ce cycle vicieux? J'ai essayé plusieurs trucs, comme me mettre à la diet car dès que je mange un peu trop je fais une crise, aller à des cours de yoga mais après quelques temps je me trouve des excuses (manque de temps, coute trop cher, etc.) Bref, rien ne marche jusqu'à présent. Je sais qu'il n'y a pas de recette miracle ou d'équation à la solution et il ne faut surtout pas attendre cela car cela n'arrivera jamais, mais je crois avoir besoin d'aide, de conseil et surtout de support.
Il serait bien si à chaque jour quelqu'un ou plusieurs d'entre vous voudriez correspondre avec moi, on pourrait s'écrire et se dire comment s'est déroulé notre journée. Aussi, en période de crise, venir sur le forum pour trouver du support... Bref, il sera beaucoup plus facile de vaincre cela avec des gens et non pas seul. Malheureusement, je ne suis pas capable d'en parler à ma famille ou mes amis et ce n'est pas vraiment une option pour moi.
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mais, je ne peux pas croire que tu ne veuilles pas t'en sortir.
et ça fait du bien de se sentir "dégonfler", lentement mais sûrement... Je suis encore loin d'être mince, ou même juste un peu enrobée, mais ce n'est pas grave, j'y vais à mon rythme, sans me priver, naturellement...
