Blessure de l'âme :
Une ombre plane sur mon cœur,
Une blessure de l’intérieur,
La lune elle-même se voile,
La nuit aussi tisse sa toile.
Tout est calme, plus rien ne bouge,
De mon cœur coule un liquide rouge,
Même le vent retient son souffle
Devant cette peine dont je souffre.
Que cette douleur ineffable,
Qui hante mon cœur et l’accable,
Qu’elle disparaisse à jamais
Pour qu’à jamais je sois en paix.
Cette nuit tout est silencieux,
Dans ce noir, tout est ténébreux,
Adieu Ô vie, adieu Ô peine,
Il suffit de viser les veines…
Lumilune