Le sommeil pendant la dépression est il moins réparateur ?
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- Sceadugenga
- Messages : 174
- Enregistré le : samedi 01 mars 2008 2:25
Le sommeil pendant la dépression est il moins réparateur ?
Je ne savait pas trop ou poster, j'espere ne pas me tromper.
Voila je me pose des question quand au sommeil pendant la dépression. Personellement j'ai besoin de dormir plus, ce qui est accentuer encore plus dans les périodes ou j'ai vraiment le cafard. Le sommeil pendant la dépression est il moins réparateur ?
J'ai remarquer aussi, que l'orsque je me lève tot le matin, je me sent un peu mieux dans ma peau pendant le reste de la journée. Pourtant le quota d'heures de sommeil et d'heures éveillé reste le meme, seulement le fait d'etre debout le matin permet peut etre de se sentir mieux ?
Voila je me pose des question quand au sommeil pendant la dépression. Personellement j'ai besoin de dormir plus, ce qui est accentuer encore plus dans les périodes ou j'ai vraiment le cafard. Le sommeil pendant la dépression est il moins réparateur ?
J'ai remarquer aussi, que l'orsque je me lève tot le matin, je me sent un peu mieux dans ma peau pendant le reste de la journée. Pourtant le quota d'heures de sommeil et d'heures éveillé reste le meme, seulement le fait d'etre debout le matin permet peut etre de se sentir mieux ?
- small
- Messages : 666
- Enregistré le : dimanche 14 octobre 2007 15:41
Le sommeil pendant la dépression est il moins réparateur ?
Bonsoir Sceadugenga.
Concernant le sommeil, je sais que les symptômes dépressifs peuvent agir en accentuant le besoin de sommeil (hypersomnie) ou au contraire en réduisant les périodes de sommeil (insomnie).
A priori c'est lié à l'angoisse : l'angoisse peut empêcher de dormir mais elle peut aussi agir en sens inverse, à savoir que pour protéger le corps de ce sentiment d'angoisse, le cerveau provoque de l'hypersomnie (quand on dort, le corps se détend et l'angoisse lâche prise... sauf lorsqu'on cauchemarde, bien sûr).
Concernant le sommeil, je sais que les symptômes dépressifs peuvent agir en accentuant le besoin de sommeil (hypersomnie) ou au contraire en réduisant les périodes de sommeil (insomnie).
A priori c'est lié à l'angoisse : l'angoisse peut empêcher de dormir mais elle peut aussi agir en sens inverse, à savoir que pour protéger le corps de ce sentiment d'angoisse, le cerveau provoque de l'hypersomnie (quand on dort, le corps se détend et l'angoisse lâche prise... sauf lorsqu'on cauchemarde, bien sûr).
- Sceadugenga
- Messages : 174
- Enregistré le : samedi 01 mars 2008 2:25
Le sommeil pendant la dépression est il moins réparateur ?
Merci pour toutes ces infos.
Je doit surement souffrir d'hypersomnie. Parfois je dort 8h et je suis tellement fatiguer la journée que j'ai l'impression de ne pas avoir dormit du tout. D'ailleur mon sommeil est toujours submerger de cauchermards.
Je doit surement souffrir d'hypersomnie. Parfois je dort 8h et je suis tellement fatiguer la journée que j'ai l'impression de ne pas avoir dormit du tout. D'ailleur mon sommeil est toujours submerger de cauchermards.
- louna13
- Messages : 91
- Enregistré le : mardi 12 février 2008 16:32
Le sommeil pendant la dépression est il moins réparateur ?
Juste une petite précision :
Le fait que le sommeil ne soit pas réparateur est un des symtômes qui permet de diagnostiquer une dépression.
Rêver ou plutôt te souvenir de tes rêves ou cauchemards est plutôt positif car tu peux en parler à ton thérapeute. Ils sont souvent révélateurs des problèmes qui t'obsèdent. Pour t'en souvenir plus précisément tu peux les noter sur un petit carnet dès que tu te réveille car souvent on les oublie dans les heures qui suivent.
Le fait que le sommeil ne soit pas réparateur est un des symtômes qui permet de diagnostiquer une dépression.
Rêver ou plutôt te souvenir de tes rêves ou cauchemards est plutôt positif car tu peux en parler à ton thérapeute. Ils sont souvent révélateurs des problèmes qui t'obsèdent. Pour t'en souvenir plus précisément tu peux les noter sur un petit carnet dès que tu te réveille car souvent on les oublie dans les heures qui suivent.
- Sceadugenga
- Messages : 174
- Enregistré le : samedi 01 mars 2008 2:25
Le sommeil pendant la dépression est il moins réparateur ?
Oui je les notes depuis 2 ou 3 ans, mais je ne consulte plus donc je ne peut pas les analyser. En plus je me souvient très rarement de mes rêves le matin, j'arrive seulement à les saisirs quand je me réveil dans la nuit.
Récement je me souviens que dans mon rêve, on me poussait du haut d'un immeuble. J'en ai des biens pire mais ils seraient trop long à raconter.
Récement je me souviens que dans mon rêve, on me poussait du haut d'un immeuble. J'en ai des biens pire mais ils seraient trop long à raconter.
- nalyne
- Messages : 30
- Enregistré le : dimanche 09 mars 2008 18:16
Le sommeil pendant la dépression est il moins réparateur ?
moi aussi besoin de dormir plus, malheuresement ce sont les symptomes de la dépression... Repose toi.....
- Sceadugenga
- Messages : 174
- Enregistré le : samedi 01 mars 2008 2:25
Le sommeil pendant la dépression est il moins réparateur ?
Encore levé a 14h, couché depuis 3h sa fait donc 11H de sommeil... Et encore je me suis levé avec difficulté.
- Procrastina
- Membre d'honneur
- Messages : 1606
- Enregistré le : lundi 07 janvier 2008 17:06
Le sommeil pendant la dépression est il moins réparateur ?
couchée à 6 heures du mat et levée à 18h30...
c'est presque tous les jours pareils, et j'ai également du mal à me lever malgré le nombre d'heures passées au lit, dès fois je dors moins mais n'arrive pas à me lever, ça peut prendre jusqu'à 4 h avant que j'arrive à sortir du lit
c'est presque tous les jours pareils, et j'ai également du mal à me lever malgré le nombre d'heures passées au lit, dès fois je dors moins mais n'arrive pas à me lever, ça peut prendre jusqu'à 4 h avant que j'arrive à sortir du lit
- Sceadugenga
- Messages : 174
- Enregistré le : samedi 01 mars 2008 2:25
Le sommeil pendant la dépression est il moins réparateur ?
Meme problème, je repousse toujours le reveil d'un quart d'heure ou d'une heure... Je le repousse au moins 10 fois tout les jours. Et encore quand je suis sortit du lit il me faut plusieurs heures pour bien émerger.
- Arya
- Membre d'honneur
- Messages : 548
- Enregistré le : mardi 23 janvier 2007 22:09
Le sommeil pendant la dépression est il moins réparateur ?
J'ai souvent entendu dire aussi que de décaler les heures de sommeil dans la journée n'était pas forcément une bonne chose.Procrastina a écrit :couchée à 6 heures du mat et levée à 18h30...
Je sais qu'il n'est pas toujours facile de remédier au problème ...
- l'autruche
- Messages : 51
- Enregistré le : jeudi 27 mars 2008 6:37
Le sommeil pendant la dépression est il moins réparateur ?
bon ben je crois que je fais de l'hypersomnie , je dors 20h par nuit 3 jours sur 7
- Sceadugenga
- Messages : 174
- Enregistré le : samedi 01 mars 2008 2:25
Le sommeil pendant la dépression est il moins réparateur ?
Grosse nuit, 2h du mat > 15h de l'aprem. J'avait plein de trucs a faire aujourd'hui et du coup je n'ai rien fait. J'ai emmener un grosse bouteille de dark dog 1 litre dans mon lit pendant mon sommeil, pour essayer de me lever plus tot. Sa n'a rien changer.
Bon par contre je pete le feu, j'ai l'impression de ne pas avoir dormit aussi bien depuis des années.
Bon par contre je pete le feu, j'ai l'impression de ne pas avoir dormit aussi bien depuis des années.
- Azurys
- Messages : 19
- Enregistré le : lundi 18 novembre 2013 12:10
Le sommeil pendant la dépression est il moins réparateur ?
Bonsoir,
Cela va faire un an, voire plus, que je n'ai aucun sommeil réparateur. Avant j'aimais dormir puisque ça me permettait de faire "table rase" avec ma tristesse, de repartir à zéro le lendemain. Mais maintenant, je n'aime pas aller dormir, je ne fais aucun rêves, je mets du temps à m'endormir, je me réveille toujours fatiguée le lendemain, parfois avec des maux de tête, je n'ai aucune énergie le lendemain, et ai souvent envie de faire une sieste vu que je suis fatiguée (et même après la sieste je n'ai plus d'énergie). Je suis allée voir un médecin à un centre du sommeil qui m'a dit que c'était simplement que je dormais mal et que je devais me coucher en étant fatiguée et me réveiller tous les matins à la même heures, régulant mon sommeil et me faisant mieux dormir. Soit, mais pas d'améliorations.
Est-ce que ça viendrait seulement de ma dépression ? On m'a dit de réfléchir à quoi je le rattachais : il y a deux ans, un adolescent que je connaissais, fils d'amis de mes parents, s'est défenestré (et moi et les histoires de suicide, ça me parle, vu qu'en plus je culpabilise ensuite de ne rien avoir pu faire/rien dit qui aurait pu l'aider même si personne n'était au courant) L'année dernière, à la même époque, une de mes tantes est morte d'un cancer assez rapidement. Et je sens que cette année, ce sera la même chose, vu que le père de mon ami d'enfance va très mal (cancer aussi)...
Mais une ORL me disait que mon nez allait très bien (je pensais que ce serait dû à mon nez puisque une narine se bouche dès que je m'allonge et rien n'y fait), mais que mes amygdlaes semblaient grosses, que je devais perdre du poids et peut-être me faire opérer des amygdales si ça ne va toujours pas mieux. (Je faisais 52/55 mais maintenant 61 à cause de ma dépression et des décès). Mais ma mère médecin trouve que mes amygdales ne sont pas grosses.
Tout ce que je sais, c'est que je n'ai aucun sommeil réparateur, même en prenant plusieurs dispositions, médicaments, remèdes, tisanes...
(J'avais été sous antidépresseurs et somnifères mais rien à faire. J'ai arrêté les traitements maintenant)
Si l'un de vous traverserait la même chose et/ou aurait une idée...
.
Cela va faire un an, voire plus, que je n'ai aucun sommeil réparateur. Avant j'aimais dormir puisque ça me permettait de faire "table rase" avec ma tristesse, de repartir à zéro le lendemain. Mais maintenant, je n'aime pas aller dormir, je ne fais aucun rêves, je mets du temps à m'endormir, je me réveille toujours fatiguée le lendemain, parfois avec des maux de tête, je n'ai aucune énergie le lendemain, et ai souvent envie de faire une sieste vu que je suis fatiguée (et même après la sieste je n'ai plus d'énergie). Je suis allée voir un médecin à un centre du sommeil qui m'a dit que c'était simplement que je dormais mal et que je devais me coucher en étant fatiguée et me réveiller tous les matins à la même heures, régulant mon sommeil et me faisant mieux dormir. Soit, mais pas d'améliorations.
Est-ce que ça viendrait seulement de ma dépression ? On m'a dit de réfléchir à quoi je le rattachais : il y a deux ans, un adolescent que je connaissais, fils d'amis de mes parents, s'est défenestré (et moi et les histoires de suicide, ça me parle, vu qu'en plus je culpabilise ensuite de ne rien avoir pu faire/rien dit qui aurait pu l'aider même si personne n'était au courant) L'année dernière, à la même époque, une de mes tantes est morte d'un cancer assez rapidement. Et je sens que cette année, ce sera la même chose, vu que le père de mon ami d'enfance va très mal (cancer aussi)...
Mais une ORL me disait que mon nez allait très bien (je pensais que ce serait dû à mon nez puisque une narine se bouche dès que je m'allonge et rien n'y fait), mais que mes amygdlaes semblaient grosses, que je devais perdre du poids et peut-être me faire opérer des amygdales si ça ne va toujours pas mieux. (Je faisais 52/55 mais maintenant 61 à cause de ma dépression et des décès). Mais ma mère médecin trouve que mes amygdales ne sont pas grosses.
Tout ce que je sais, c'est que je n'ai aucun sommeil réparateur, même en prenant plusieurs dispositions, médicaments, remèdes, tisanes...
(J'avais été sous antidépresseurs et somnifères mais rien à faire. J'ai arrêté les traitements maintenant)
Si l'un de vous traverserait la même chose et/ou aurait une idée...
.
- Gnossienne n°1
- Membre d'honneur
- Messages : 1218
- Enregistré le : dimanche 01 mai 2011 19:34
Le sommeil pendant la dépression est il moins réparateur ?
Bonsoir Azurys,
Le problème vient peut-être déjà du fait que tu dois avoir une certaine appréhension à l'idée d'aller te coucher (peut-être sans t'en rendre compte).
Est-ce que tu te dis des choses comme "ça ne va pas me reposer, je vais mal dormir" ?
Si c'est le cas, il faudrait réussir à trouver un moyen pour que cette petite phrase très casse-pieds aille se balader ailleurs.
Je n'ai pas la solution miracle. J'apprends encore en ce qui me concerne, à essayer le + souvent possible de voir le "verre à moitié plein" plutôt que le "verre à moitié vide".
Mais tu peux essayer de "retourner" cette phrase, en te disant par exemple "j'aimerais pouvoir vraiment me reposer et dormir tranquillement". Les phrases, tournées de cette façon, ont une certaine force d'auto-persuasion. Par contre, il est déconseillé de se dire "il faut que... ", car là, en cas d'échec, on le vit mal vu que cette phrase est en quelque sorte une "obligation" que l'on n'a pas respectée...
La méditation, avant le sommeil, peut aussi être une bonne façon d'apaiser l'esprit. Tu peux aussi, une fois allongée dans ton lit, poser ton attention sur ta respiration, la sensation de tes mains, tes bras, tes jambes, ta tête, ton corps en général qui peu à peu sont de plus en plus lourds. Poser l'attention du contact du corps avec le matelas, le bien que ça fait.
De cette façon, en posant l'attention sur le corps, ça permet d'éviter les pensées "parasites" qui peuvent empêcher de dormir.
Ca ne chassera pas complètement les cogitations, mais si tu sens que l'une d'entre elles revient, tu lui dis d'aller voir ailleurs et continue de te concentrer.
Ensuite, ton esprit va finir par se déconnecter (car à un moment, le cerveau finit par "saturer" de devoir se concentrer sur plein de choses) et là du coup, tu vas, peut-être sans t'en rendre compte, laisser l'esprit vagabonder comme il veut, et t'endormir tranquillement.
Bon allez, d'ailleurs, il est 1h46 et je ferais bien d'aller en faire autant !
J'espère que mon blabla aura pu t'aider
Le problème vient peut-être déjà du fait que tu dois avoir une certaine appréhension à l'idée d'aller te coucher (peut-être sans t'en rendre compte).
Est-ce que tu te dis des choses comme "ça ne va pas me reposer, je vais mal dormir" ?
Si c'est le cas, il faudrait réussir à trouver un moyen pour que cette petite phrase très casse-pieds aille se balader ailleurs.
Je n'ai pas la solution miracle. J'apprends encore en ce qui me concerne, à essayer le + souvent possible de voir le "verre à moitié plein" plutôt que le "verre à moitié vide".
Mais tu peux essayer de "retourner" cette phrase, en te disant par exemple "j'aimerais pouvoir vraiment me reposer et dormir tranquillement". Les phrases, tournées de cette façon, ont une certaine force d'auto-persuasion. Par contre, il est déconseillé de se dire "il faut que... ", car là, en cas d'échec, on le vit mal vu que cette phrase est en quelque sorte une "obligation" que l'on n'a pas respectée...
La méditation, avant le sommeil, peut aussi être une bonne façon d'apaiser l'esprit. Tu peux aussi, une fois allongée dans ton lit, poser ton attention sur ta respiration, la sensation de tes mains, tes bras, tes jambes, ta tête, ton corps en général qui peu à peu sont de plus en plus lourds. Poser l'attention du contact du corps avec le matelas, le bien que ça fait.
De cette façon, en posant l'attention sur le corps, ça permet d'éviter les pensées "parasites" qui peuvent empêcher de dormir.
Ca ne chassera pas complètement les cogitations, mais si tu sens que l'une d'entre elles revient, tu lui dis d'aller voir ailleurs et continue de te concentrer.
Ensuite, ton esprit va finir par se déconnecter (car à un moment, le cerveau finit par "saturer" de devoir se concentrer sur plein de choses) et là du coup, tu vas, peut-être sans t'en rendre compte, laisser l'esprit vagabonder comme il veut, et t'endormir tranquillement.
Bon allez, d'ailleurs, il est 1h46 et je ferais bien d'aller en faire autant !
J'espère que mon blabla aura pu t'aider
- Azurys
- Messages : 19
- Enregistré le : lundi 18 novembre 2013 12:10
Le sommeil pendant la dépression est il moins réparateur ?
Je vais essayer, merci à toi !
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