Comment être sûr que l'on est avec le bon psy ?
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- persiflore
- Messages : 5
- Enregistré le : mercredi 14 février 2007 12:36
Comment être sûr que l'on est avec le bon psy ?
Bonjour !
Je me demandais: êtes vous en thérapie ? Analyse, psychothérapie ?
Les médicaments, c'est une chose, une aide souvent indispensable, mais la thérapie, ce devrait être la reconstruction, non ?
Pour ma part, cela fait des années et des années que je suis en analyse ou en face à face, ça dépend des périodes, et, en fait de reconstruction, j'ai plutôt le sentiment d'être en déconstruction constante: Je tourne et retourne autour des mêmes choses, des mêmes pensées, angoisses, souvenirs (réels ou fantasmés) et parfois, un "truc" nouveau jaillit et s'ajoute... Alors encore quelque chose à creuser et à essayer de "comprendre", accepter, etc... ça ne finira donc jamais ?
De toute façon, je n"ai jamais compris comment ça marchait une analyse...
Et comment être sûr que l'on "tire sur le bon fil", que le "problème "vient bien de là et non d'ailleurs ? Que l'on est pas en train de perdre un temps précieux ? Et avoir réellement confiance en son psy ?
Je me force d'y croire, à la psychanalyse, me donne bien souvent des coups de pieds pour aller le voir, le psy, parce que si je ne fais pas ça, que faire d'autre pour espérer en sortir un jour ?... ça ne se fera pas tout seul par miracle... Sinon, autant tout arrêter tout de suite...
Pour moi, c'est le seul espoir même si parfois j'en ai plus que marre... Du reste, à la rentrée dernière, bien décidée à arrêter, j'avais diminué et espacés les scéances... Mais, c'est drôle, je ne sais même plus vraiment pourquoi, j'ai repris...
Àh ! le nombre de fois où j'ai eu le sentiment que ça y était ! j'étais "guérie" ! J'étais sortie du marasme !... Et à chaque fois, plof, ça retombe...
Bon, sur cette conclusion pas très optimiste, j'en conviens, bonne journée à tous, tout de même !
Persiflore
Je me demandais: êtes vous en thérapie ? Analyse, psychothérapie ?
Les médicaments, c'est une chose, une aide souvent indispensable, mais la thérapie, ce devrait être la reconstruction, non ?
Pour ma part, cela fait des années et des années que je suis en analyse ou en face à face, ça dépend des périodes, et, en fait de reconstruction, j'ai plutôt le sentiment d'être en déconstruction constante: Je tourne et retourne autour des mêmes choses, des mêmes pensées, angoisses, souvenirs (réels ou fantasmés) et parfois, un "truc" nouveau jaillit et s'ajoute... Alors encore quelque chose à creuser et à essayer de "comprendre", accepter, etc... ça ne finira donc jamais ?
De toute façon, je n"ai jamais compris comment ça marchait une analyse...
Et comment être sûr que l'on "tire sur le bon fil", que le "problème "vient bien de là et non d'ailleurs ? Que l'on est pas en train de perdre un temps précieux ? Et avoir réellement confiance en son psy ?
Je me force d'y croire, à la psychanalyse, me donne bien souvent des coups de pieds pour aller le voir, le psy, parce que si je ne fais pas ça, que faire d'autre pour espérer en sortir un jour ?... ça ne se fera pas tout seul par miracle... Sinon, autant tout arrêter tout de suite...
Pour moi, c'est le seul espoir même si parfois j'en ai plus que marre... Du reste, à la rentrée dernière, bien décidée à arrêter, j'avais diminué et espacés les scéances... Mais, c'est drôle, je ne sais même plus vraiment pourquoi, j'ai repris...
Àh ! le nombre de fois où j'ai eu le sentiment que ça y était ! j'étais "guérie" ! J'étais sortie du marasme !... Et à chaque fois, plof, ça retombe...
Bon, sur cette conclusion pas très optimiste, j'en conviens, bonne journée à tous, tout de même !
Persiflore
Coucou,
je pense que la thérapie dépende de trois choses: le psy, le patient et le temps.
Il y a des psys meilleurs que d'autres, des patients qui sont plus actifs que d'autres, puis il y a un certain temps pour reconstruire sa personnalité, selon les problèmes de chacun.
J'ai mis deux ans par exemple à "régler" ma relation avec ma mère, le problème lié à ma naissance, et je travaille encore sur l'absence totale de mon père et mon affectivité.
Je crois qu'il faut être patient, même dans la douleur: des choses aussi profondes ne s'arrangent pas en quelques mois.
Mais quand je vois ce que ma psy a pu faire de ma mère et moi, je dis que oui, c'est possible, bien plus que les médicaments parfois, en tout cas bien plus pour moi, à qui les AD ne faisaient pas d'effet et que la psychothérapie a sans doute sauvée.
Quant aux rechutes: cela dépend aussi de la thérapie. En théorie, le psy devrait savoir "freiner" le travail de ton inconscient. Le guider. Parfois, le passé, ton inconscient, les émotions sont trop forts et là, en effet, on peut rechuter.
D'où l'importance d'une bonne thérapie
je pense que la thérapie dépende de trois choses: le psy, le patient et le temps.
Il y a des psys meilleurs que d'autres, des patients qui sont plus actifs que d'autres, puis il y a un certain temps pour reconstruire sa personnalité, selon les problèmes de chacun.
J'ai mis deux ans par exemple à "régler" ma relation avec ma mère, le problème lié à ma naissance, et je travaille encore sur l'absence totale de mon père et mon affectivité.
Je crois qu'il faut être patient, même dans la douleur: des choses aussi profondes ne s'arrangent pas en quelques mois.
Mais quand je vois ce que ma psy a pu faire de ma mère et moi, je dis que oui, c'est possible, bien plus que les médicaments parfois, en tout cas bien plus pour moi, à qui les AD ne faisaient pas d'effet et que la psychothérapie a sans doute sauvée.
Quant aux rechutes: cela dépend aussi de la thérapie. En théorie, le psy devrait savoir "freiner" le travail de ton inconscient. Le guider. Parfois, le passé, ton inconscient, les émotions sont trop forts et là, en effet, on peut rechuter.
D'où l'importance d'une bonne thérapie
- KKouette
- Membre d'honneur
- Messages : 314
- Enregistré le : lundi 20 novembre 2006 21:56
- claudine
- Membre d'honneur
- Messages : 5872
- Enregistré le : mardi 05 décembre 2006 19:30
Persiflore,
J'ai fais le même bilan que toi de mes deux années de séances chez un psy (l'impression de rabâcher mes problèmes sans jamais qu'il en sorte une solution). J'ai tout arrêté et je suis passée à autre chose (l'hypnose) car je pense également qu'un traitement médical n'est pas suffisant.
Tout cela pour te dire que je comprends tes doutes.
Par contre, tu vas avoir des réponses de membres qui sont satisfaits de leur psychothérapie. Cela doit, à mon avis, dépendre aussi du psy qui est en face de nous.
Tu peux toujours envisager de changer de médecin.
Bonne journée
CLaudine
J'ai fais le même bilan que toi de mes deux années de séances chez un psy (l'impression de rabâcher mes problèmes sans jamais qu'il en sorte une solution). J'ai tout arrêté et je suis passée à autre chose (l'hypnose) car je pense également qu'un traitement médical n'est pas suffisant.
Tout cela pour te dire que je comprends tes doutes.
Par contre, tu vas avoir des réponses de membres qui sont satisfaits de leur psychothérapie. Cela doit, à mon avis, dépendre aussi du psy qui est en face de nous.
Tu peux toujours envisager de changer de médecin.
Bonne journée
CLaudine
- Aragatz
- Messages : 336
- Enregistré le : jeudi 28 décembre 2006 17:09
- Séances de déballage chez 4 psychiatres différents depuis l'âge de 15 ans qui n'ont pas donné grand-chose (psys freudiens qui ne me convenaient pas : trop silencieux donc stagnation au bout de quelques séances)
- Séances chez une psychologue du CIDF pendant un peu + d'1 an, en 2004-2005, toutes les 2 à 3 semaines (très bien, elle expliquait et aidait à comprendre. Mais trop demandée...)
- Psychothérapie familiale dans un CMP depuis Juin 2006 toutes les 2 à 3 semaines (excellent, elle questionne, explique, enchaîne, respecte)
- Parallèllement, écoute dans une association semblable à SOS-Amitié (mais dépendante du Diocèse de Poitiers), mais en face-à-face, tous les mois, avec une charmante grand-mère qui elle aussi guide, explique, écoute, tout en respectant mes goûts, idées et croyances
- Et bientôt une nouvelle psychiatre, recommandée par 3 personnes : une amie de ma mère, ma prof d'anglais et mon écoutante, car elle n'est pas silencieuse, parle aussi, fait faire des sortes d'exercices et d'après le bouche-à-oreille, tout le monde en est satisfait !
- Le tout saupoudré ponctuellement de médicaments (j'ai connu, depuis mes 15 ans : Melleril, Anafranil, Tranxen, Lexomil, Stablon, Deroxat > ne supportais pas, nausées, vertiges..., Xanax, et bien sûr Prozac !)
Une vie compliquée de + avec ses hauts et ses bas pourtant je fais des efforts pour m'en sortir... Malgré mes échecs au début, même si je semble me disperser, j'ai besoin de familial pour que mes parents comprennent d'un côté (là, ça marche très bien maintenant) et individuel de l'autre, + intime... Mais globalement, depuis quelques mois, ça semble être enfin en bonne voie...
- Séances chez une psychologue du CIDF pendant un peu + d'1 an, en 2004-2005, toutes les 2 à 3 semaines (très bien, elle expliquait et aidait à comprendre. Mais trop demandée...)
- Psychothérapie familiale dans un CMP depuis Juin 2006 toutes les 2 à 3 semaines (excellent, elle questionne, explique, enchaîne, respecte)
- Parallèllement, écoute dans une association semblable à SOS-Amitié (mais dépendante du Diocèse de Poitiers), mais en face-à-face, tous les mois, avec une charmante grand-mère qui elle aussi guide, explique, écoute, tout en respectant mes goûts, idées et croyances
- Et bientôt une nouvelle psychiatre, recommandée par 3 personnes : une amie de ma mère, ma prof d'anglais et mon écoutante, car elle n'est pas silencieuse, parle aussi, fait faire des sortes d'exercices et d'après le bouche-à-oreille, tout le monde en est satisfait !
- Le tout saupoudré ponctuellement de médicaments (j'ai connu, depuis mes 15 ans : Melleril, Anafranil, Tranxen, Lexomil, Stablon, Deroxat > ne supportais pas, nausées, vertiges..., Xanax, et bien sûr Prozac !)
Une vie compliquée de + avec ses hauts et ses bas pourtant je fais des efforts pour m'en sortir... Malgré mes échecs au début, même si je semble me disperser, j'ai besoin de familial pour que mes parents comprennent d'un côté (là, ça marche très bien maintenant) et individuel de l'autre, + intime... Mais globalement, depuis quelques mois, ça semble être enfin en bonne voie...
Bonjour, Kkouette,KKouette a écrit :Vous avez une chance sio on peut dire : vous siavez quoi combattre dans la dépression et qeulle thérapie... enfin vous cernez le plus gros du problème quoi.
Moi je ne sais pas...
Donc en thérapie je n'ai RIEN à adire !
je ne crois pas qu'on sache, enfin je parle pour moi, je ne savais pas exactement, tout comme toi, où était mon mal. Certes, il y avait ma mère, mais apparemment ce n'est pas le seul problème puisque je suis encore malade.
La thérapie prend du temps et parfois elle arrive, au bout de ce temps, à te laisser percevoir quelque chose.
Mais je ne dirai pas que ça vient tout seul et rapidement. Si on savait se soigner seul, on n'en aurait pas besoin. Je pense que cet exercice est là pour justement nous faire trouver "où" et "en quoi" consiste ce mal.
Ca en vaut la peine, car ça vaut la peine de guérir.
Bonne journée à toi, je te fais de grosses bises,
Diana
- aiolos
- Messages : 33
- Enregistré le : mardi 13 février 2007 22:54
Bonjour Diana, je rebondis sur le sujet car je me pose également beaucoup de questions sur les thérapies. Je vais essayer de résumer mon cas. Je souffre de symptomes dépressifs depuis assez longtemps mais la fréquence des crises d'angoisse et l'intensité du mal etre s'est accru depuis 2 ans.
Il y a quelques mois, j'ai parlé de mes problèmes a un généraliste qui m'a orienté vers un premier psy. J'y suis allé en me faisant violence car j'ai depuis toujours une espece de phobie des médecins, enfin disons que j'ai du mal a leur faire confiance. Ce premier psy m'a posé pas mal de questions, ce qui était plutot positif car j'ai du mal a parler de moi meme, et m'a aussi prescris des AD ce qui m'a un peu dérouté car beaucoup de gens de mon entourage m'ont déconseillé d'accepter d'en prendre. Bref, a cela s'est ajouté le fait que ce psy etait assez cher (80 euros la séance) et que ma mutuelle ne remboursait pas les dépassements d'honoraires, donc 60 euros la semaine je ne pouvais pas me le permettre. Premier échec, apres ca j'ai fait l'annuaire pour en trouver un autre en me renseignant a l'avance sur les tarifs, j'en trouve un second je prends rdv, et la par contre ca s'est tres mal passé. Il ne m'a posé aucune question et m'a fixé de maniere tres déstabilisante ce qui fait que je suis ressorti plus mal que qu'avant d'entrer. Ce dernier épisode m'a un peu refroidi et je n'ai pas retenté depuis meme si je ne sais pas quoi faire d'autre. Est ce que la psy qui t'as permis d'avancer sur tes problemes etait la premiere que tu voyais? est ce un généraliste qui te l'a conseillé? En gros je me demandes comment faire pour trouver un bon psy, tout du moins le psy qui nous convienne.
Il y a quelques mois, j'ai parlé de mes problèmes a un généraliste qui m'a orienté vers un premier psy. J'y suis allé en me faisant violence car j'ai depuis toujours une espece de phobie des médecins, enfin disons que j'ai du mal a leur faire confiance. Ce premier psy m'a posé pas mal de questions, ce qui était plutot positif car j'ai du mal a parler de moi meme, et m'a aussi prescris des AD ce qui m'a un peu dérouté car beaucoup de gens de mon entourage m'ont déconseillé d'accepter d'en prendre. Bref, a cela s'est ajouté le fait que ce psy etait assez cher (80 euros la séance) et que ma mutuelle ne remboursait pas les dépassements d'honoraires, donc 60 euros la semaine je ne pouvais pas me le permettre. Premier échec, apres ca j'ai fait l'annuaire pour en trouver un autre en me renseignant a l'avance sur les tarifs, j'en trouve un second je prends rdv, et la par contre ca s'est tres mal passé. Il ne m'a posé aucune question et m'a fixé de maniere tres déstabilisante ce qui fait que je suis ressorti plus mal que qu'avant d'entrer. Ce dernier épisode m'a un peu refroidi et je n'ai pas retenté depuis meme si je ne sais pas quoi faire d'autre. Est ce que la psy qui t'as permis d'avancer sur tes problemes etait la premiere que tu voyais? est ce un généraliste qui te l'a conseillé? En gros je me demandes comment faire pour trouver un bon psy, tout du moins le psy qui nous convienne.
Bonjoir, aiolos
Trouver un bon psy, ça peut être le parcours du combattant, j'en suis consciente....
Pour moi, cela s'est passé ainsi: je faisais des vomissements à longueur de journée, cela a duré des semaines, m'a valu une fibroscopie sous anesthésie générale qui n'a rien donné...c'est là, après maintes recherches qui n'ont pas montré de maladie, que mon médecin généraliste m'a conseillé un psy. J'ai accepté car je constatais que je craquais, soit par le stress cumulé après mon accouchement, soit après ces semaines de vomissements (en tout ça a duré 3 mois
).
Bref, j'ai pris RDV et j'ai choisi, sous conseil de mon médecin généraliste qui m'a donné l'adresse, une psychologue clinicienne et non pas un psychiatre.
Au premier RDV, ça s'est bien passé (ptet aussi qu'il faut être prêt à certaines démarches), elle m'a demandé combien j'estimais pouvoir payer ses séances par rapport à mon problème et à mes revenus, dans une fourchette entre 20 et 60 euros. J'ai dit 30 euros et c'est ce que je paye (non remboursé, s'agissant d'une psychologue et non pas d'un psychiatre qui est médecin).
Ca fait désormais deux ans. On a énormement avancé. Il y a certes eu des moments plus déstabilisants que d'autres, une thérapie n'est pas une partie de plaisir non plus, car "on creuse". Au début, j'ai eu par exemple, énormement de mal à accepter que mes nausées soient "psychiques"...mais elle a été patiente et j'ai fini par accepter.
Si tu préfères donc une psychologue au lieu d'un psychiatre, je te conseille soit un CMP (là les séances sont gratuites je pense) soit alors contacter un psychologue privé, mais en discutant sur son honoraire (certains le font).
Bon courage
Trouver un bon psy, ça peut être le parcours du combattant, j'en suis consciente....
Pour moi, cela s'est passé ainsi: je faisais des vomissements à longueur de journée, cela a duré des semaines, m'a valu une fibroscopie sous anesthésie générale qui n'a rien donné...c'est là, après maintes recherches qui n'ont pas montré de maladie, que mon médecin généraliste m'a conseillé un psy. J'ai accepté car je constatais que je craquais, soit par le stress cumulé après mon accouchement, soit après ces semaines de vomissements (en tout ça a duré 3 mois

Bref, j'ai pris RDV et j'ai choisi, sous conseil de mon médecin généraliste qui m'a donné l'adresse, une psychologue clinicienne et non pas un psychiatre.
Au premier RDV, ça s'est bien passé (ptet aussi qu'il faut être prêt à certaines démarches), elle m'a demandé combien j'estimais pouvoir payer ses séances par rapport à mon problème et à mes revenus, dans une fourchette entre 20 et 60 euros. J'ai dit 30 euros et c'est ce que je paye (non remboursé, s'agissant d'une psychologue et non pas d'un psychiatre qui est médecin).
Ca fait désormais deux ans. On a énormement avancé. Il y a certes eu des moments plus déstabilisants que d'autres, une thérapie n'est pas une partie de plaisir non plus, car "on creuse". Au début, j'ai eu par exemple, énormement de mal à accepter que mes nausées soient "psychiques"...mais elle a été patiente et j'ai fini par accepter.
Si tu préfères donc une psychologue au lieu d'un psychiatre, je te conseille soit un CMP (là les séances sont gratuites je pense) soit alors contacter un psychologue privé, mais en discutant sur son honoraire (certains le font).
Bon courage
- Dysthymie
- Messages : 53
- Enregistré le : samedi 11 décembre 2010 13:52
Bonjour,
Jusqu'ici j'avais plus confiance en un psychiatre. J'ai eu une mauvaise expérience avec une psychologue en analyse transactionnelle. C'est peut-être le prix, le fait que ce soit en partie remboursé.
j'ai un psychiatre psychanalyste qui me demande 55€ et sur lequel je suis remboursé 25 à peu près.
Jusqu'ici j'avais plus confiance en un psychiatre. J'ai eu une mauvaise expérience avec une psychologue en analyse transactionnelle. C'est peut-être le prix, le fait que ce soit en partie remboursé.
j'ai un psychiatre psychanalyste qui me demande 55€ et sur lequel je suis remboursé 25 à peu près.
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