Remboursement mutuelles et clinique psychiatriques
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- small
- Messages : 504
- Enregistré le : dimanche 14 octobre 2007 15:41
Remboursement mutuelles et clinique psychiatriques
bonjour à tous. quelqu'un sait-il comment les mutuelles santé prennent en charge les hospitalisations en clinique privée? Peuvent-elles carrément refuser tout remboursement de soins?
Quelle est le taux ou le plafond de prise en charge par la sécurité sociale?
je précise que je parle du système de santé français.
Quelle est le taux ou le plafond de prise en charge par la sécurité sociale?
je précise que je parle du système de santé français.
- small
- Messages : 504
- Enregistré le : dimanche 14 octobre 2007 15:41
- Archaos
- Fondateur/Administrateur
- Messages : 17892
- Enregistré le : mardi 06 juin 2006 21:20
- small
- Messages : 504
- Enregistré le : dimanche 14 octobre 2007 15:41
de toute façon ma psy n°1 a changé son fusil d'épaule : elle pense que tourner en rond avec d'autres dépressifs pendant des semaines ne m'aidera pas... Ben qu'est-ce qui peut m'aider alors? Elle m'a dit que si j'avais à nouveau des pensées suicidaires je l'appelle et elle fera une demande d'admission à ce moment là. Donc faut que j'attende d'avoir à nouveau une irrépressible envie de foutre le camp de ce p.... de monde pour me faire soignée... Pourquoi n'a-t-elle pas carrément ouvert la fenêtre en me disant "allez-y, sautez!".
je crois que j'arrive au bout du bout du bout... comment je vais faire pour retourner au boulot lundi, j'y arriverai jamais. Si : samedi je vais me racheter une bouteille de whisky et reprendre la fabrication de ma cirrhose là où je l'avais laissé... au moins ça me donnera du courage et un peu de soulagement.
je crois que j'arrive au bout du bout du bout... comment je vais faire pour retourner au boulot lundi, j'y arriverai jamais. Si : samedi je vais me racheter une bouteille de whisky et reprendre la fabrication de ma cirrhose là où je l'avais laissé... au moins ça me donnera du courage et un peu de soulagement.
- small
- Messages : 504
- Enregistré le : dimanche 14 octobre 2007 15:41
Non il s'agit de psys indépendants mais j'en ai deux : une pour les prescritions médicales, l'autre pour la thérapie. d'après elles c'est important de séparer les deux.
Avant d'en avoir deux j'étais plutôt contente... Je pense plutôt que le problème vient de moi : personne n'a de solution parce qu'il n'existe aucune solution pour moi... Je n'ai plus qu'à accepter la situation, comme je le disais sur un autre post.
le problème est en moi, la solution j'en suis moins sûre... je pleure à l'idée d'aller au club cet après-midi et je pleure à l'idée de travailler lundi. quand je suis sortie de chez la psy hier soir j'ai attendu d'être dans ma voiture et j'ai ouvert les vannes. En arrivant devant chez ma mère je me suis retenue de continuer à pleurer (toujours faire semblant pour ne pas inquiéter ou énerver les proches : ). Là, j'ai toujours envie de pleurer mais je suis hébergée chez elle et elle peut rentrer d'un instant à l'autre, donc je me retiens pour ne pas qu'elle me trouve avec les yeux rouges.
mon prochain rdv c'est avec ma psy n°2 vendredi soir prochain. en attendant, j'ai toute une semaine de boulot avec un programme chargé à assurer. ça y est, je pleure, vite le paquet de kleenex pour nettoyer tout ça.
J'ai vraiment l'impression de tourner en rond. Hier ma psy n°1 m'a dit que le but du traitement n'était pas de me "booster" (parce que je lui ai reparlé du seroplex qui m'avait si bien "boostée") mais de pouvoir accepter... elle n'a pas fini sa phrase. Je l'ai finie pour elle : accepter de n'être jamais heureuse, d'être légalement droguée, de mal travailler, d'avoir mal partout et d'être un déchet de l'humanité...
Ce serait tellement plus simple de ne plus avoir à supporter tout ça
Avant d'en avoir deux j'étais plutôt contente... Je pense plutôt que le problème vient de moi : personne n'a de solution parce qu'il n'existe aucune solution pour moi... Je n'ai plus qu'à accepter la situation, comme je le disais sur un autre post.
le problème est en moi, la solution j'en suis moins sûre... je pleure à l'idée d'aller au club cet après-midi et je pleure à l'idée de travailler lundi. quand je suis sortie de chez la psy hier soir j'ai attendu d'être dans ma voiture et j'ai ouvert les vannes. En arrivant devant chez ma mère je me suis retenue de continuer à pleurer (toujours faire semblant pour ne pas inquiéter ou énerver les proches : ). Là, j'ai toujours envie de pleurer mais je suis hébergée chez elle et elle peut rentrer d'un instant à l'autre, donc je me retiens pour ne pas qu'elle me trouve avec les yeux rouges.
mon prochain rdv c'est avec ma psy n°2 vendredi soir prochain. en attendant, j'ai toute une semaine de boulot avec un programme chargé à assurer. ça y est, je pleure, vite le paquet de kleenex pour nettoyer tout ça.
J'ai vraiment l'impression de tourner en rond. Hier ma psy n°1 m'a dit que le but du traitement n'était pas de me "booster" (parce que je lui ai reparlé du seroplex qui m'avait si bien "boostée") mais de pouvoir accepter... elle n'a pas fini sa phrase. Je l'ai finie pour elle : accepter de n'être jamais heureuse, d'être légalement droguée, de mal travailler, d'avoir mal partout et d'être un déchet de l'humanité...
Ce serait tellement plus simple de ne plus avoir à supporter tout ça
- small
- Messages : 504
- Enregistré le : dimanche 14 octobre 2007 15:41
je me suis appuyée sur ma collègue, qui a assuré la moitié des cours à ma place. après j'ai regardé "errer" mes anciens élèves sur le terrain : depuis deux semaines j'ai arrêté les cours de compétition, je les avais prévenus mais j'ai quand même l'impression de les avoir laissé tomber. On est en pleine période de concours.
Je suis crevée et je me sens minable. Mon président de club n'est même pas venu me voir, il doit me faire la gueule parce que j'ai laissé tombé l'animation des cours de compétition et que j'ai aussi laissé tomber les concours pour le moment... J'essaie juste de me ménager mais il y a forcément des retombées, je ne peux m'en prendre qu'à moi-même
Je suis crevée et je me sens minable. Mon président de club n'est même pas venu me voir, il doit me faire la gueule parce que j'ai laissé tombé l'animation des cours de compétition et que j'ai aussi laissé tomber les concours pour le moment... J'essaie juste de me ménager mais il y a forcément des retombées, je ne peux m'en prendre qu'à moi-même

- dolly
- Messages : 107
- Enregistré le : vendredi 21 décembre 2007 18:58
- small
- Messages : 504
- Enregistré le : dimanche 14 octobre 2007 15:41
Ben de toute façon ma psy n°1 pense après réflexion que de "tourner en rond" dans une clinique avec d'autres dépressifs ne me ferait aucun bien, donc ça règle la question. Elle pense qu'un arrêt de travail en étant hébergée chez quelqu'un et avec des activités à faire me serait plus bénéfique (pour autant elle ne m'a pas fait d'arrêt de travail).
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