Toc du couple ou ROCD et dépression - Part 2
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- Chloé
- Messages : 114
- Enregistré le : dimanche 11 mai 2014 18:27
Toc du couple ou ROCD et dépression - Part 2
Merci pour ton message Feeborah, ça me "rassure" : je crois que tu as raison sur le fait que l'on conscientise tout, qu'on sait très bien qu'à tel moment on ne ressentira pas les choses, c'est vraiment vicieux.
Mais quand je suis vide de sentiments a son égard, quelque chose me fait rester, je pense que c'est comme tu dis, le fait qu'on aime au fond de nous.
Courage !! On va tous et toutes y arriver !
--edit--
Merci pour ton message Feeborah, ça me "rassure" : je crois que tu as raison sur le fait que l'on conscientise tout, qu'on sait très bien qu'à tel moment on ne ressentira pas les choses, c'est vraiment vicieux.
Mais quand je suis vide de sentiments a son égard, quelque chose me fait rester, je pense que c'est comme tu dis, le fait qu'on aime au fond de nous.
Courage !! On va tous et toutes y arriver !
Mais quand je suis vide de sentiments a son égard, quelque chose me fait rester, je pense que c'est comme tu dis, le fait qu'on aime au fond de nous.
Courage !! On va tous et toutes y arriver !
--edit--
Merci pour ton message Feeborah, ça me "rassure" : je crois que tu as raison sur le fait que l'on conscientise tout, qu'on sait très bien qu'à tel moment on ne ressentira pas les choses, c'est vraiment vicieux.
Mais quand je suis vide de sentiments a son égard, quelque chose me fait rester, je pense que c'est comme tu dis, le fait qu'on aime au fond de nous.
Courage !! On va tous et toutes y arriver !
- féeborah
- Messages : 103
- Enregistré le : lundi 13 janvier 2014 20:50
Toc du couple ou ROCD et dépression - Part 2
Oui je le pense et l espère. .. courage et merci!!!!
Restons confiants...
Restons confiants...
- Ecila51
- Messages : 188
- Enregistré le : dimanche 30 décembre 2012 20:30
Toc du couple ou ROCD et dépression - Part 2
Bonsoir à tous et à toutes
Cela fait environ une semaine que je n'ai pas écrit, j'étais chez ma tante près d'Amiens. Vendredi de la semaine dernière, je suis allée voir le psy et il m'a confirmé de nouveau que je souffrais de tocs. Comme d'habitude, cela m'a rassuré, samedi je suis partie pleine d'espoir chez ma tante que j'adore. J'ai passé quelques jours où je me sentais plutôt bien, je gardais contact avec mon copain par sms ou par appel. Progressivement, les peurs, l'angoisse sont revenus, surtout quand je recevais ou engageais un appel téléphonique. Toujours la même chose, peur d'être fausse et même impression d'être fausse. Réflexion sur les mots doux que j'ose prononcer, sentiment inauthenticité et angoisse, toujours cette crainte de reproduire ce qui s'est passé il y a des années avec un homme que je n'aime plus. Les trois ou quatre jours qui ont précédé celui-ci, j'ai même pris un demi hypnotique pour dormir. Il faut dire qu'un de ces soirs, je me suis un peu disputée avec mon copain, il me reprochait de trop critiquer le Havre (il y vit depuis quelques mois) de ne pas assez s'intéresser à lui et d'être égoïste. Cela m'a bien énervé! Il ose me dire cela à moi qui pense à lui tous les jours, qui toque comme une forcenée sur notre couple, qui préférerais mourir que de ne plus l'aimer et qui me bas au quotidien en essayant de le préserver!
Le dernier soir, j'ai pleuré énormément, croyant à la fin de mon histoire, ayant l'impression de vouloir sauver l'amour à tout prix, ayant le sentiment de se raccrocher au moindre sentiment à la moindre chose qui se rattacherait à mon copain. Horrible... J'ai même eu une pensée suicidaire bien que je ne serais pas passée à l'acte. J'ai eu besoin de me confronter au suicide. J'ai ôté la ceinture de mon peignoir, j'ai fait un nœud coulant avec et j'ai cherché un endroit où j'aurais pu m'accrocher pour voir... Dans une pièce voisine, j'ai trouvé une poutre apparente et une chaise. Je me suis mise en situation en pleurs, malheureuse et sans refuge contre mon désespoir et mon angoisse. J'ai pensé à ma tante qui dormait en bas et à la situation, je me suis dit que je ne pouvais pas infliger cela à ma tante avec qui je riais encore la journée. Puis, je n'avais pas réellement envie de mourir, c''était une sorte de compulsion. J'ai pris un demi somnifère et je me suis endormie d'un sommeil décousu, entre cauchemars et réveils furtifs.
Le lendemain, c'est-à-dire aujourd'hui, j'ai pris le train vers midi. J'appréhendais beaucoup les retrouvailles avec mon copain, comme d'habitude, peur de me rendre compte que je ne l'aime plus, qu'il ne me plaît plus voire qu'il me dégoûte. Je l'attends sur le quai de la gare près de chez moi, le malaise s'empare de mon corps, mon crâne pèse une tonne, mon esprit se dédouble, envie de le revoir et terreur du désamour inavoué. Il arrive en voiture, cela se passe plutôt bien, je discute beaucoup, en moi je me dis "tu fais cela pour te rassurer, pour meubler le vide, pour te convaincre que tu l'aimes encore" mais ce commentaire reste une suggestion que je repousse relativement aisément. Au restaurant, je ressens des moments de mal-être, toujours cette idée que je suis fausse, que je joue avec ses sentiments, que je suis lâche et que je me voile la face. En l'espace d'un instant, cette idée gagne une telle intensité que je n'arrive même plus à raconté un livre que j'ai lu, je bafouille, je perds le fil de mon récit. Mon copain me dit qu'il est souvent mal à l'aise quand il me revoit car il a l'impression que je le suis également. En rentrant chez moi, nous couchons ensemble, je ressens du plaisir et j'adore l'embrasser, mais en bruit de fond, toujours la peur de me forcer et de ne pas être vraie. Nous allons nous promener en forêt, alternance de minutes calmes et de conscientisation "Eh, là tu te sens bien, attention aux faux semblants" du coup, compulsion, je le serre dans les bras et l'embrasse. Nous allons dans notre librairie favorite, même scénario. Il me ramène chez moi car il dîne avec un ami, je ne veux pas qu'il parte alors que dans l'après-midi, par moments, je ne pensais qu'à rentrer chez moi et dormir. En rentrant, ça allait puis là, seule à la maison (mes parents sont partis en vacances et ma tante garde le chien) je souffre de nouveau. J'ai vraiment le sentiment de me cacher la vérité, de ne plus l'aimer. J'aimerais tellement que ce soit un toc, mais je n'y crois plus, c'est terrible...
Désolée pour le pavé, désolée d'épancher encore ma douleur sur ce forum que je transforme en mur des lamentations.
Je vois que ça ne va pas fort pour la plupart d'entre vous également. Féeborah, je suis navrée de constater que les tocs s'invitent de nouveau dans ton esprit malgré les médicaments. Moi, sous traitement depuis un mois et demi, je ne constate pas d'amélioration durable. Parfois je me sens sauvé (pendant une minute, une heure, une soirée, une journée) puis je rechute plus bas que je n'étais tombée. C'est comme si, progressivement, tout ce qui me rassurait, tout ce qui m'attachait à lui se dérobait comme une punition atroce et injuste... Comme si mon amour pour lui s'effritait et que vainement je cherchais à éviter cette décrépitude inévitable. Horrible.
Cela fait environ une semaine que je n'ai pas écrit, j'étais chez ma tante près d'Amiens. Vendredi de la semaine dernière, je suis allée voir le psy et il m'a confirmé de nouveau que je souffrais de tocs. Comme d'habitude, cela m'a rassuré, samedi je suis partie pleine d'espoir chez ma tante que j'adore. J'ai passé quelques jours où je me sentais plutôt bien, je gardais contact avec mon copain par sms ou par appel. Progressivement, les peurs, l'angoisse sont revenus, surtout quand je recevais ou engageais un appel téléphonique. Toujours la même chose, peur d'être fausse et même impression d'être fausse. Réflexion sur les mots doux que j'ose prononcer, sentiment inauthenticité et angoisse, toujours cette crainte de reproduire ce qui s'est passé il y a des années avec un homme que je n'aime plus. Les trois ou quatre jours qui ont précédé celui-ci, j'ai même pris un demi hypnotique pour dormir. Il faut dire qu'un de ces soirs, je me suis un peu disputée avec mon copain, il me reprochait de trop critiquer le Havre (il y vit depuis quelques mois) de ne pas assez s'intéresser à lui et d'être égoïste. Cela m'a bien énervé! Il ose me dire cela à moi qui pense à lui tous les jours, qui toque comme une forcenée sur notre couple, qui préférerais mourir que de ne plus l'aimer et qui me bas au quotidien en essayant de le préserver!
Le dernier soir, j'ai pleuré énormément, croyant à la fin de mon histoire, ayant l'impression de vouloir sauver l'amour à tout prix, ayant le sentiment de se raccrocher au moindre sentiment à la moindre chose qui se rattacherait à mon copain. Horrible... J'ai même eu une pensée suicidaire bien que je ne serais pas passée à l'acte. J'ai eu besoin de me confronter au suicide. J'ai ôté la ceinture de mon peignoir, j'ai fait un nœud coulant avec et j'ai cherché un endroit où j'aurais pu m'accrocher pour voir... Dans une pièce voisine, j'ai trouvé une poutre apparente et une chaise. Je me suis mise en situation en pleurs, malheureuse et sans refuge contre mon désespoir et mon angoisse. J'ai pensé à ma tante qui dormait en bas et à la situation, je me suis dit que je ne pouvais pas infliger cela à ma tante avec qui je riais encore la journée. Puis, je n'avais pas réellement envie de mourir, c''était une sorte de compulsion. J'ai pris un demi somnifère et je me suis endormie d'un sommeil décousu, entre cauchemars et réveils furtifs.
Le lendemain, c'est-à-dire aujourd'hui, j'ai pris le train vers midi. J'appréhendais beaucoup les retrouvailles avec mon copain, comme d'habitude, peur de me rendre compte que je ne l'aime plus, qu'il ne me plaît plus voire qu'il me dégoûte. Je l'attends sur le quai de la gare près de chez moi, le malaise s'empare de mon corps, mon crâne pèse une tonne, mon esprit se dédouble, envie de le revoir et terreur du désamour inavoué. Il arrive en voiture, cela se passe plutôt bien, je discute beaucoup, en moi je me dis "tu fais cela pour te rassurer, pour meubler le vide, pour te convaincre que tu l'aimes encore" mais ce commentaire reste une suggestion que je repousse relativement aisément. Au restaurant, je ressens des moments de mal-être, toujours cette idée que je suis fausse, que je joue avec ses sentiments, que je suis lâche et que je me voile la face. En l'espace d'un instant, cette idée gagne une telle intensité que je n'arrive même plus à raconté un livre que j'ai lu, je bafouille, je perds le fil de mon récit. Mon copain me dit qu'il est souvent mal à l'aise quand il me revoit car il a l'impression que je le suis également. En rentrant chez moi, nous couchons ensemble, je ressens du plaisir et j'adore l'embrasser, mais en bruit de fond, toujours la peur de me forcer et de ne pas être vraie. Nous allons nous promener en forêt, alternance de minutes calmes et de conscientisation "Eh, là tu te sens bien, attention aux faux semblants" du coup, compulsion, je le serre dans les bras et l'embrasse. Nous allons dans notre librairie favorite, même scénario. Il me ramène chez moi car il dîne avec un ami, je ne veux pas qu'il parte alors que dans l'après-midi, par moments, je ne pensais qu'à rentrer chez moi et dormir. En rentrant, ça allait puis là, seule à la maison (mes parents sont partis en vacances et ma tante garde le chien) je souffre de nouveau. J'ai vraiment le sentiment de me cacher la vérité, de ne plus l'aimer. J'aimerais tellement que ce soit un toc, mais je n'y crois plus, c'est terrible...
Désolée pour le pavé, désolée d'épancher encore ma douleur sur ce forum que je transforme en mur des lamentations.
Je vois que ça ne va pas fort pour la plupart d'entre vous également. Féeborah, je suis navrée de constater que les tocs s'invitent de nouveau dans ton esprit malgré les médicaments. Moi, sous traitement depuis un mois et demi, je ne constate pas d'amélioration durable. Parfois je me sens sauvé (pendant une minute, une heure, une soirée, une journée) puis je rechute plus bas que je n'étais tombée. C'est comme si, progressivement, tout ce qui me rassurait, tout ce qui m'attachait à lui se dérobait comme une punition atroce et injuste... Comme si mon amour pour lui s'effritait et que vainement je cherchais à éviter cette décrépitude inévitable. Horrible.
- Cassandra1824
- Messages : 815
- Enregistré le : dimanche 10 août 2014 13:42
Toc du couple ou ROCD et dépression - Part 2
Désoler il y a tellement de gens sur le forum que je me perd . Pour le gars de la station c'était pour Féeborah
- Ariel21
- Messages : 29
- Enregistré le : lundi 19 mai 2014 1:10
Toc du couple ou ROCD et dépression - Part 2
Moi j'ai une question, comment sais-t-on que ce que l'on ressens, ce n'est finalement pas le TOC ? Je veux dire, en fait, que ce ne l'est plus ? Parce que en ce moment, je reviens d'un séjour de 3 jours avec deux amies et j'ai pensé à lui pendant tout le voyage et maintenant que je suis revenu et que je vais le voir, j'appréhende la soirée, j'appréhende qu'il va faire des choses qui me déplait et ces pensées ne me dérange pas plus que ça mais elles me font quand meme peur ... Où est la limite à tous ça ? J'ai peur de l'avoir atteinte et maintenant ce n'est plus que réalité tout ce malheur ...
P.S : Là je pars demain pour un 3 jours de camping avec mon copain et un couple d'amis, j'ai peur de lui être désagréable et de faire de ce séjour un enfer. Surtout que ma mère m'a dit que ce séjour est un bon test pour voir comment c'est vraiment de vivre avec quelqu'un. Donc là, j'ai peur d'avoir le déclic que ça ne marche pas tout compte fait ...
Bonne semaine à vous, gardez force, courage et espoir xxx
P.S : Là je pars demain pour un 3 jours de camping avec mon copain et un couple d'amis, j'ai peur de lui être désagréable et de faire de ce séjour un enfer. Surtout que ma mère m'a dit que ce séjour est un bon test pour voir comment c'est vraiment de vivre avec quelqu'un. Donc là, j'ai peur d'avoir le déclic que ça ne marche pas tout compte fait ...
Bonne semaine à vous, gardez force, courage et espoir xxx
- Cassandra1824
- Messages : 815
- Enregistré le : dimanche 10 août 2014 13:42
Toc du couple ou ROCD et dépression - Part 2
Je vous écris aujourd'hui parce que j'ai étais chercher mon copain hier.
Quand il est parti le lendemain ça faisait bizarre . Tous les jours je parlais de lui à mes parents mais la deuxième semaine je pleurais plus mais j'ai préparé mes affaires le Mardi pour Dimanche, le jour j jarretée pas de me tordre les doigts, je regardais si son avion était déjà arriver, une fois arrivé ça ne m'a rien fait c'est comme ci je n'avais plus besoin de lui, comme ci c'était une certitude que les sentiments n'étaient plus là.
Pourtant on était tellement bien, j'étais accro à lui mais la c'est comme ci je m'en fichais totalement alors qu'il est beau et tout.
Vous en pensez quoi ?
Quand il est parti le lendemain ça faisait bizarre . Tous les jours je parlais de lui à mes parents mais la deuxième semaine je pleurais plus mais j'ai préparé mes affaires le Mardi pour Dimanche, le jour j jarretée pas de me tordre les doigts, je regardais si son avion était déjà arriver, une fois arrivé ça ne m'a rien fait c'est comme ci je n'avais plus besoin de lui, comme ci c'était une certitude que les sentiments n'étaient plus là.
Pourtant on était tellement bien, j'étais accro à lui mais la c'est comme ci je m'en fichais totalement alors qu'il est beau et tout.
Vous en pensez quoi ?
- Chloé
- Messages : 114
- Enregistré le : dimanche 11 mai 2014 18:27
Toc du couple ou ROCD et dépression - Part 2
@Ecila : je suis navrée de constater que ça ne va pas du tout pour toi mais moi je n'aurais qu'une chose a dire : tu ne te caches en aucun cas une quelconque vérité, ça crève les yeux que tu aimes ton compagnon mais sache que la distance peut aggraver le toc, moi même je vis a une relation a distance et ce n'est pas évident, dans ce cas la, le toc fera tout pour te faire croire que tout est vérité et que tu ne l'aimes pas. Puis dire "j'aimerais tellement que ce soit un toc" ne sort pas de la bouche de n'importe qui, ça n'appartient qu'au monde des tocques ça, crois moi car moi aussi je me dis ça souvent. L'impression d'effritement de tes sentiments et souvenirs n'est qu'une impression engendrée par le toc a mon sens, je vis moi même la même chose et ça me tue. Tu as besoin de repos et tu as surtout besoin d'être épaulée par ton compagnon. Courage.
@Ariel : la question que tu te poses est souvent une question abordée par les autres personnes atteintes et ce toc. Ne crois pas que tu atteins des limites ou quoi que ce soit, c'est le toc qui te fait te poser des questions de ce type, question s'avérant douloureuse. N'aie pas peur d'être désagréable avec ton copain car plus tu appréhenderas plus tu entraîneras le processus, j'ai moi aussi souvent cette crainte quand je vois mon copain mais honnêtement, c'est assez torture comme raisonnement pour en conclure que ça fait bien partie du rocd.
@Cassandra : je comprends ce que tu vis : je suis passée par de nombreuses phases dans ce toc mais cette impression d'indifférence face a lui est un piège. Regarde, tu n'arrêtais pas de parler de lui, c'est un signe, crois moi. Tu te concentres trop sur tes ressentis ce qui peut engendrer ce genre de ressentis.
@Ariel : la question que tu te poses est souvent une question abordée par les autres personnes atteintes et ce toc. Ne crois pas que tu atteins des limites ou quoi que ce soit, c'est le toc qui te fait te poser des questions de ce type, question s'avérant douloureuse. N'aie pas peur d'être désagréable avec ton copain car plus tu appréhenderas plus tu entraîneras le processus, j'ai moi aussi souvent cette crainte quand je vois mon copain mais honnêtement, c'est assez torture comme raisonnement pour en conclure que ça fait bien partie du rocd.
@Cassandra : je comprends ce que tu vis : je suis passée par de nombreuses phases dans ce toc mais cette impression d'indifférence face a lui est un piège. Regarde, tu n'arrêtais pas de parler de lui, c'est un signe, crois moi. Tu te concentres trop sur tes ressentis ce qui peut engendrer ce genre de ressentis.
- Cassandra1824
- Messages : 815
- Enregistré le : dimanche 10 août 2014 13:42
Toc du couple ou ROCD et dépression - Part 2
Je t'assure que c'est comme ci je devais l'oublier pour passer à autre chose. Comme ci avant tu étais bien mais ça c'était avant que ça te dérangerais plus de ne plus l'aimer. Je doute que ce soit le toc mais une simple vérité .
Ça t'es déjà arriver cette "phase" d'avoir rien a faire de ton copain ? De plus être jalouse de même pas réagir si il te trompait?
Ça t'es déjà arriver cette "phase" d'avoir rien a faire de ton copain ? De plus être jalouse de même pas réagir si il te trompait?
- Chloé
- Messages : 114
- Enregistré le : dimanche 11 mai 2014 18:27
Toc du couple ou ROCD et dépression - Part 2
J'ai déjà vécu cette soit disant phase d'indifférence, on a l'impression de s'en foutre, que rien ne pourrait nous toucher alors que c'est faux, tout va te laisser penser que oui tu ne ressens plus rien mais en réalité tout est en enfoui au plus profond de toi, c'est extrêmement pénible comme ressenti, c'est le pire de tous je crois. Je n'ai pas vraiment de conseil a te donner a part ne pas te mettre de pression, en parler avec lui, et essayer de ne pas te concentrer sur tes ressentis même si c'est dur
- Cassandra1824
- Messages : 815
- Enregistré le : dimanche 10 août 2014 13:42
Toc du couple ou ROCD et dépression - Part 2
Est ce que dans cette phase tu t'es dis que c'était sûrement pas lui et qu'au plus profond de toi tu le savais , que pour aller mieux tu devais le quitter et que ça te déranger pas ?
Je sais que tu t'en souviens peut-être pas parce que les phases font dire n'importe quoi qu'après on ne s'en souviens même pas.
Je sais que tu t'en souviens peut-être pas parce que les phases font dire n'importe quoi qu'après on ne s'en souviens même pas.
- Chloé
- Messages : 114
- Enregistré le : dimanche 11 mai 2014 18:27
Toc du couple ou ROCD et dépression - Part 2
Dans cette phase tu ne t'en rends peut être pas compte mais il y a énormément de frustration ce qui fait qu'on est lassé de se battre, on se dit que tout est foutu, on en marre donc tu peux te dire plein de choses de ce genre, ça ne m'étonne pas ce que tu ressens
- Cassandra1824
- Messages : 815
- Enregistré le : dimanche 10 août 2014 13:42
Toc du couple ou ROCD et dépression - Part 2
A tu fais une dépression ? Et depuis combien de temps tu te bas ?
- Chloé
- Messages : 114
- Enregistré le : dimanche 11 mai 2014 18:27
Toc du couple ou ROCD et dépression - Part 2
Au début oui je commençais a être en dépression, plus envie de rien, je ne comprenais pas, je pleurais tout le temps puis quelques semaines après avoir eu ce toc (je ne le savais pas encore) j'ai été atteinte du toc homo et ce toc m'a fait sombrer, j'avais perdu du poids, etc... J'ai donc pris des AD et anxiolytiques. Ça fait un peu plus d'un an que j'ai le rocd.
- Cassandra1824
- Messages : 815
- Enregistré le : dimanche 10 août 2014 13:42
Toc du couple ou ROCD et dépression - Part 2
D'accord & pendant ta dépression tu l'avais déjà plus de dépression pour ton copain ou c'est seulement depuis l'apparition du toc ?
- Chloé
- Messages : 114
- Enregistré le : dimanche 11 mai 2014 18:27
Toc du couple ou ROCD et dépression - Part 2
Ça justement ça avait été un grand débat dans ma tête car mon toc est apparu a un moment éprouvant psychologiquement, je m'étais donnée a fonds pour passer des rattrapages afin de réussir ma deuxième année de fac, donc je m'étais demandée si cela n'avait pas provoque la dépression. Je pense que dans mon cas ça a fait comme un burn out faisant apparaître mes tocs sachant que j'ai des tocs depuis mes 7 ans avec des années d'accalmie, enfin mon parcours émotionnel est compliqué. Mais tout ce que je peux dire c'est que le fait d'avoir l'impression de ne plus aimer mon copain m'a énormément fragilisée au début.
- Cassandra1824
- Messages : 815
- Enregistré le : dimanche 10 août 2014 13:42
Toc du couple ou ROCD et dépression - Part 2
T'es toujours avec aujourd'hui ? Et ça t'arriver de le voir comme un simple Ami? Moi je ressens ça souvent .
Désoler je dois être chiante avec toute mes questions ^^
Désoler je dois être chiante avec toute mes questions ^^
- Chloé
- Messages : 114
- Enregistré le : dimanche 11 mai 2014 18:27
Toc du couple ou ROCD et dépression - Part 2
Mon toc s'est declenche après 7 ou 8 mois de relation, je suis toujours avec lui aujourd'hui et ta question m'a déjà traversée l'esprit, c'est assez angoissant d'ailleurs mais ta question fait partie des nombreuses questions du toc. Non non je comprends, tu as besoin de réponses a tes questions c'est normal
- Cassandra1824
- Messages : 815
- Enregistré le : dimanche 10 août 2014 13:42
Toc du couple ou ROCD et dépression - Part 2
Peut-être que ça fait pareil étant donné que j'ai connu des relations courtes grand max 6 mois et c'est tellement quelqu'un de bien que j'ai peut-être commencer a chercher une faille et à partir de 5 mois je me suis posée cette question et depuis j'ai fais une dépression mais si ça ta seulement traversé l'esprit ça va moi c'est constamment /: c'est pour ça que je me dis que c'est sûrement un simple Ami et que je serais toujours la pour lui et a chaque fois je me dis que c'est pas de l'amour ça juste une amitié tu vois.
Ce toc est chiant sérieusement
Ce toc est chiant sérieusement
- Chloé
- Messages : 114
- Enregistré le : dimanche 11 mai 2014 18:27
Toc du couple ou ROCD et dépression - Part 2
En fait a chaque personne sa crainte, pour toi c'est avoir peur qu'il ne soit qu'un simple ami, pour une autre, ce sera la fixation sur les défauts physiques, je ne sais pas si tu comprends. Et justement peut être qu'inconsciemment tu t'es rendu que ta relation devenait sérieuse et la le toc est apparu
- Cassandra1824
- Messages : 815
- Enregistré le : dimanche 10 août 2014 13:42
Toc du couple ou ROCD et dépression - Part 2
Mais j'ai eu ces phases là sur les défauts physiques mais a chaque fois je me dis ça ce fait pas pour lui de le voir comme un simple ami donc c'est pas de l'amour ou c'est le toc qui cache ça ?
Mon copain me dit que je partirais pas parce que je tiens à lui, qui le sait
Mon copain me dit que je partirais pas parce que je tiens à lui, qui le sait
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