Pour celles et ceux qui ne connaissent pas "DJ Kicks", ce n'est pas une personne. C'est le nom donné à une série de compilations mixées par divers artistes (surtout basés en Allemagne, vu que le label est allemand mais accepte aussi bien tout autre artiste répondant à leur critères), sur le fameux label !K7. Les genres musicaux sont assez variés, mais surtout tournent autour de ce qu'on appelle l'"éléctronique" (pas éléctronique dans le sens populaire techno/dance super commerciale/tube de l'été, hein). Certains morceaux sont déjà des remix contenant des samples crées/modifiés par d'autres artistes, à leur tour remixés par l'auteur de la compilation (ici, DJ Koze). Bref, les joies de l'échantillonage.
Je suis assez fan des "DJ Kicks", et des artistes de !K7 mais certains ne sont pas du tout mon genre de musique. En plus de "DJ Kicks: DJ Koze" que je ne connaissais pas avant de fouiller sur leur page bandcamp, je possède déjà sous forme de CD physique DJ Kicks: Andrea Parker, Kruder & Dorfmeister, Thievery Corporation, Tiga (house/synthpop-like), Kemistry & Storm (drum 'n bass pure et dure) et en vinyl, DJ Cam, Kid Loco, et Terranova. Tous que j'aime tout particulièrement.
J'ai découvert récemment Pvris.
C'est un groupe récent américain. Ils ont commencé à jouer en 2012.
À la base, j'écoute rarement des musiques connues actuelles.
Salut chak,comment vas tu ? Paris semblait difficile en lisant ta galérie.
Tu n'as plus de salon ?
N'hésites pas de venir faire la causette chez moi ..... Fait toujours plaisir ......
Portes toi bien
Musique electro noire qui fait un clin d'oeil au cinéma du genre italien des années 70 & 80 de cinéaste comme Lamberto Bava (fils de Mario Bava), Dario Argento mais aussi
des classiques du cinéma du genre italienne comme Deliria (Bloody Bird), E tu vivrai nel terrore! L'aldila .........
Sur Bruxelles, nous avions un cinéma spécialisé dans ce genre de production de série Z italienne, britannique et américain mais à moindre échelle ....
Le cinéma s'appelait ''Le Styx'' et dans la période fin des années 80 et une partie des années 90 cette salle de cinéma ne proposait que ce type de film,
j'avais bien connu le styx dans les années 90 et vu de ces trucs de ouf : dont un film complétement délire ''Killer Klowns from Outer Space'' mais seulement; il y avait
aussi Basket Case du cinéaste Frank Henenlotter (un type totalement à la reverse) ou encore Eraserhead de David Lynch ...... Bref ce sont, ce qu'on appelle le cinéma de minuit ...... dans des salles quasiments vide où sont diffusés des nanars, nanars mais très artistiques ...... où souvent un message engagé est exprimé sur des sujets graves ......
Le styx a continué d'exister après cette période d'âge d'or mais qui a perdu toutes ses splendeurs d'un cinéma autre et indépendant pour se tourner plus vers un
cinéma classique de quartier où l'affiche proposée sur des films plus consensuels et familiaux dont le dernier en date était était amélie Poulain de Jean-Pierre Jeunet avant
de fermer les portes définitivements ..... (changement de propriétaire du lieux .....) ...... enfin bref ..... j'ignore si le styx à repris mais certainement plus pour cette
approche du cinéma de minuit décalé, utopique et parfois choquant ......
c'est triste que tous ces cinémas aient disparus…
je crois malheureusement qu'il n'en existe plus nulle part…
il en va de même pour les petites salles de concerts de quartier… disparues peu à peu…
j'envie les générations du dessus… nous… on est maudits !!!!
on n'a pas de guerre, mais on a un écrasement psychologique assez puissant qui nous tue…
m'enfin… c'est ainsi !
heureusement, y'a encore des gens créatifs et beaux sur la planète ! faut profiter d'eux et sourire… pour eux et pour la terre
bisous à toi V
une copine m'a prêté récemment un DVD "Searching for Sugar Man", un documentaire musical pour le moins original.
une très belle découverte, une histoire émouvante et unique, magique…
un des titres de l'album de Rodriguez "Coming from reality" :
Très beau! Aucun succés aux USA. Après 2 albums fin 60, il dû reprendre son métier d'ouvrier-maçon et on n'entendit plus parler de lui. Pendant ce temps là il devenait une idole en Afrique du sud sans le savoir. Là-bas ses chansons étaient un symbole de la lutte contre l’Apartheid.
Je regrette ne ne pas être aller voir le documentaire sur son histoire qui « loin de dissiper le mystère, l'alimente plutôt »