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Bonsoir.
Je suis suivi par mon psy depuis quelques années, à raison d'une séance tout les 15 jours trois semaines, je pensais (vu ma grosse baisse de moral) me diriger vers un autre spécialiste mais j'ignore ce qu'est le mieux entre psychologue et psychanalyste ou autre
Bien sûr il n'est en aucun cas question que j'arrête avec mon psychiatre.
Tu peux regarder les types de thérapies sur le net et voir celle qeu tu as envie d'essayer et donc trouver le thérapeute qui l'applique par après.
Un psychanalyste pratique la psychanalyse, c'est une sorte de thérapie.
D'après ce que j'ai compris, les psychiatres sont remboursés par la déçu, les psychologues non peut être certaines mutuelles prennent en charge qq séances ?.. Pas la mienne en tout cas.
D'après ce que j'ai compris, les psychiatres sont remboursés
Oui comme tout autre médecin.
Somebody59 a écrit :
les psychologues non peut être certaines mutuelles prennent en charge qq séances ?.. Pas la mienne en tout cas.
Non. Ils n'ont pas fait d'études de médecine, ne sont pas médecins, donc pas remboursés.
Néanmoins il y a un moyen d'avoir accès aux services d'un ou d'une psychologue gratuitement c'est en allant dans un CMP ( Centre médico-psychologique ). C'est par secteur géographique. On obtient d'abord un ou des rdv avec une infirmière psy, puis éventuellement avec un(e) psychologue ou/et un(e) psychiatre. Tout y est gratuit. Il y a aussi éventuellement des assistant(e)s sociaux, psychomotricien(ne)s ...
Commentdire a écrit : ↑jeudi 15 novembre 2018 20:21
Est ce qu' on peut demandé à changer de psychiatre? Comme je suis suivie dans un cmp, l infirmière qui me suit m a dit que Non?
Je pense que si. J'ai eu plusieurs psychiatres moi. Bon en même temps, je n'ai pas vraiment eu le choix non plus : le premier a dû arrêter cause de soucis de santé, et le dernier, s'en va ailleurs.
Mais si ça ne passe pas avec ton psychiatre, faut pas continuer avec lui. Il faut qu'il y ait un minimum de feeling que ce soit avec un psychiatre ou un psychologue.
Oui! Je tel a l hôpital d ou dépend mon cmp. Celui de l accueil me dit d aller au urgences ou voir mon médecin traitant.. Je voulais parler avec un infirmier psy.
Bien sûr que tu peux changer de psy. Je vais en changer dès que j'aurais terminer l'analyse en cours.
Ils sont tous au courant au CMP, plusieurs psy à qui j'ai demandé et jusqu'à la secrétaire.
Ils n'ont pas tous de temps dispo, c'est tout
Tu as même le droit de changer de secteur.
Nous sommes libres et il est vraiment préférable que ça le fasse question entente. Ils apprennent ça à l'école, infirmiers ou psy. ça ne pose aucun problème.
Et tu n'es pas obligée de te justifier. Tu peux commencer par le dire à ton inf psy, si t'a peur du psy. Là aussi, aucun problème.
Sinon, tu peux aussi demander à voir un psychologue en plus, c'est très fréquent qu'un psychiatre donne les traitements et un psychologue te suive pour parler. C'est comme ça de nos jours.
J'espère t'avoir aidée.
Je me pose pas mal de questions auxquelles j'essaie de réfléchir et entre psychiatre et psychologue j'aurais tendance à dire que le psychologue est "mieux" que le psychiatre.
Pourquoi ? Déjà parce que des psychiatres il y en a des plus "pro médicaments" et d'autres plus axés sur la thérapie donc quand on est à la recherche d'un psychiatre plus axé l'un ou l'autre il faut déjà éliminer les uns pour ensuite en rechercher un qui nous convient ( je ne sais pas si je suis claire).
Un psychologue, vu qu'il ne peut pas prescrire de médicaments, on est sur qu'il va chercher à résoudre les problèmes autrement. Chercher et traiter le fond du problème plutôt qu'en cacher les symptômes.
Et là on fait quand même son choix parce que TOUS les psychologues ne peuvent pas nous convenir il faut que ça passe entre le patient et son thérapeute pour que la thérapie avance.
Et pourquoi psychologue plutôt que psychiatre ? Parce que je trouve qu'on a un rôle plus actif avec le psychologue, on se prend en charge et le psychologue nous aide mais on réfléchit pour faire son chemin, le travail passe beaucoup par la réflexion du patient sur lui même.
Tandis qu'avec le psychiatre, on peut avoir tendance à être dans un rôle plus passif en comptant trop sur les médicaments, voire en ne comptant que sur les médicaments et le danger c'est laisser le fond du problème nous détruire tout en "soignant" les symptômes à la surface mais QUE à la surface.
Après un traitement médicamenteux peut aider le travail psychothérapeutique quand le patient n'en est pas où plus capable seule mais ce n'est qu'une aide, ça ne peut pas tout faire.
Et après le gros, gros problème c'est qu'on peut parfois choisir un psychiatre car c'est remboursé alors qu'un psychologue c'est minimum 45 euros la séance.
Alors après c'est justifiable, avec le psychologue on reste une heure avec le psychiatre beaucoup moins longtemps.
Mais je trouve que c'est un frein même si on peut en trouver des pris en charge complètement sans débourser d'argent par exemple dans les C.M.P, H.D.J ou associations ça limite le choix du thérapeute.
Psychologue et psychiatre sont des psychothérapeutes, c'est à toi de voir, c'est au feeling et aux propositions du thérapeute et de ce que l'on cherche.
Il faut les faire parler et être à l'aise pour leur parler.
Cela se passe différemment quelquefois, du style : 1 h avec le psychiatre qui est très orienté thérapie ou analyse et très peu médicaments et diagnostic, ça existe etc...
C'est comme ça, perso ça s'est arrangé différemment de Line, cela me convenait avec une psychiatre femme analyste et spécialisée aussi en TCC, auprès des adultes et des enfants et qui donnait très peu de médocs.
ce sujet a l'air de dater un peu... Pourtant, j'aurais besoin de voir un psychothérapeute. Mais ce n'est pas possible en raison des tarifs... Alors le CMP, c'est pour les nuls comme moi ?
Bonjour @RAYMOND ,
Quelle idée, quel sont ces préjugés ? le CMP c'est bon pour les gens bien comme toi et moi , même si c'est remboursé par la SS mais il faut avoir un diagnostic qui peut être établi en CMP.
Je connais le CMP. La prise en charge des patients en difficulté sociale me pose question. personnellement, mon cas requiert l'intervention d'un psychotraumatologue dont l tarif est d'environ 100 euros la séance. Impossible pour une personne au RSA. j'étais vraiment naif : certains intervenant s du CMP éprouvent du mépris pour les pauvres gens qu'ils soignent. j'en ai fait l'expérience.
pour ma part, j'ai rencontré ma psychologue via une collègue qui boss en psychiatrie il y a quelques années, je devais avoir 25 ans environ. Elle m'a aidé à libérer la parole et a identifier mon mal être. Puis les choses sont rentrée dans l'ordre. Mais depuis janvier 2021, j'ai du retourner la voir (sous mon initiative) suite à une succession d'évènements compliqué.
Dès qu'elle a senti que je déraillais, elle m'a conseillée de voir un psychiatre pour peut être bénéficié d'un traitement. Blasé et sans réaction je n'ai pas dis non.
J'ai donc rencontré ma psychiatre en mai.
La confiance s'est installée rapidement, et les entretiens comportent très peu de blanc. Elle laisse place à l'émotion (si elle se présente) et tente de la comprendre. Alors évidemment on parle de traitement, mais pas que. c'est ça que j'apprécie beaucoup.
mais je suis d'accord avec vous, parler avec un inconnu de choses tellement intime n'est pas une tâche facile!
j'ai de la chance qu'avec ma psychiatre, dès le premier rendez vous c'est elle qui a mené la danse, qui a guidé l'entretien en me posant des questions. ce qui m'a permis de me détendre et de me laissée guider par la trame qu'elle proposait.
Et leurs manière de fonctionné me convient Plutôt bien. je suis contente.
Mais bon malheureusement pour moi, ma psychiatre est en congé de maternité, et pas de remplaçant en attendant (je n'ai pas voulu rencontrer une nouvelle personne) c'est donc mon médecin généraliste qui prend le relais pour les prescriptions de médicaments et les prolongations d'incapacité de travail.
Enfin bref, tout ça pour dire, que je crois que pour que les choses avancent au mieux, on parle vraiment de rencontre humaine avec nos thérapeutes. Je ne parle pas d'affectif, de transfert ou de contre transfert. Non, juste un humain qui a envie d'aider et de guider un autre humain... Faut juste réussir à lâcher prise et a faire tomber le masque devant ces personnes la...
ce qui n'est pas un exercice facile.