coucou les beautés
(oui allez, j'ai le droit !!!)
ben dis donc, y'a de la vie ici, c'était vraiment une belle idée que de lancer ce topic ! super
miet et
lisbeth, génial, merci !
pjlove, "sous la glace" ? qui voudrait dire… ? (pardon, j'ai pas compris…

et puis j'ai tenté de voir un éventuel lien avec la plongée sous glace (que j'ai pratiquée)… mais j'ai pas vu le lien… bouhou… comprends pas…
pjlove l'aérienne, la petite fée légère… et moi, le mamouth !
mais c'est bien comme ça ! merci à toi
pourquoi dis-tu que c'est old-fashion et hors-sujet ?
tu as bien fait de ne pas effacer, car au contraire, je trouve que tu es tout à fait au bon endroit pour écrire cela.
miet, super idée ton atelier d'écriture !!! j'adore !
en plus, mon chéri dit toujours qu'il se fie aux premiers paragraphes pour acheter un livre.
des fois, il lui arrive de lire les premiers paragraphes de tous les chapitres… et des fois, ça donne des histoires assez amusantes…
j'aime beaucoup le premier extrait que tu as posé. le second aussi, mais il est plus angoissant, lorsque l'on arrive à cette terrible conclusion…
lisbeth, j'espère que tu arriveras à poser ici un ou plusieurs début(s) de chapitres…
et
miet et
pj aussi d'ailleurs !
concernant l'inspiration, pour moi, ce sont les rêves ou les cauchemars qui m'aident, et certains extraits de vie étranges, ou des trucs bizarres que je n'arrive pas à exprimer par oral.
la mélancolie et la dépression parfois, mais pas vraiment… enfin, c'est lié bien sur… mes histoires sont souvent assez sombres… mais c'est pour la plupart des fictions.
je n'arrive pas à me mettre en scène, parce que des fois, c'est vraiment trop bizarre, alors la fiction m'aide à sortir ce que je ne peux pas dire.
et pour la poésie, j'en suis tout à fait incapable.
bien, alors, je vais me lancer dans ton exercice miet…
top indulgence les filles ok ?

vous êtes mes premières lectrices !
comme je n'ai jamais de titre… ce sont des chiffres…
et puis comme je n'ai pas de paragraphes non plus (en plus je pars de mes écrits scripts sur cahier…), alors, je m'arrêterai où je pense que c'est bien.
alors, courage moi ! et be kind you !
1
En haut de la colline, il y avait cette petite maison.
Elle y était allée.
- Simon, prêtes-moi tes chaussures, celles de la boîte, s'il te plait.
- Oui, mais tu sais qu'il faut les rapporter avant minuit samedi, sinon, mon père te tuera.
- Oui, je sais.
Simon avait une totale confiance en elle, elle était très soigneuse, demandait peu et rarement.
Elle partit avec la boîte.
4
Quand elle ouvrit les yeux, elle sentit que quelque chose avait changé.
Elle se trouvait dans un champs, bordé d'un côté d'une forêt, de l'autre d'un chemin de terre, et du troisième côté, d'une ferme.
Elle était immobile, ne pouvait pas se mouvoir.
Elle se sentait puissante et forte, immense, touffue, volumineuse.
Elle était "devenue" un chêne, centenaire probablement, vigoureux, en excellente santé.
7
- Tu ne m'as jamais aimée n'est-ce pas ?
- Non
- Je ne suis "qu'un bon pote" pour toi en quelque sorte ?
- Oui
- C'est bête hein ?
- Quoi ?
- Ben l'amour ! Je suis amoureuse de toi qui n'est pas amoureux de moi, et tu es amoureux de Marie qui ne t'aime déjà plus. Tu trouves pas ça bête toi ?
- Si, je trouve ça c0n que Marie en aime déjà un autre. Et pour toi, ben je suis désolé.
- Tu peux !
- Je dois acheter des plantes du désert, tu veux venir avec moi ? C'est loin et planqué, parce que le mec fait un business de plantes et de pierres illégal.
- Ok
- T'es toujours ok pour tout toi !
- Ben oui, puisque je t'aime et que je suis ton bon pote, je n'ai pas tout ce que je veux, mais j'ai le principal que tes chéries n'auront pas : ta présence.
14
La terre l'absorbait et le rejetait, selon un certain rythme.
Il était tout noir avec une tête rouge, plate, pourvue d'une dizaine d'orifices.
Le grand maître qui faisait les programmes avait créé le rituel, la sortie, la grande danse.
Il avait 3 autres compagnons, comme lui, identiques, que le grand maître avait placés sur sa scène comme il lui semblait bon, correct, idéal.
Eux n'étaient là que pour cracher, créer l'élan, inicier la danse, avec leur puissance et leur force.
Quand c'était le moment, d'un coup immédiat, il sortait de terre avec ses 3 camarades, et comme un tir de mitraillette, ils commençaient tous les quatre.
Soudainement les formes autour se mettaient à danser, à bouger, jamais de la même manière, et les formes parfois changeaient, ça n'était pas toujours les mêmes, ni les mêmes couleurs d'ailleurs non plus.
15
Elle avait décidé de mordre son père.
Au sang. Il en était ainsi.
Cet espèce de veau immense, défonçant ses propres barrières à elle tout le temps.
Elle y arriverait, ah ça, oui !
Une fois de plus, elle avait mis du temps et de l'énergie pour façonner une barrière costaude et bien conçue, pour des gens respectueux et normaux. Elle était même presque belle sa barrière.
Et paf ! Il avait surgit, cet empafé, avançant en faisant mine de ne rien voir, la force tranquille, vers sa jolie barrière toute neuve, contre sa jolie barrière toute neuve, et après un fracas intolérable, au-travers de sa jolie barrière toute neuve, et toute foutue maintenant.
Elle était furieuse.
17
Je me demande si tu utilises toujours ta technique du "doigt mouillé" pour récupérer tes cendres de cigarettes que tu laissais systématiquement tomber à côté du cendrier.
D'ailleurs, peut-être tu ne fumes plus ?
Moi, je fume toujours, et je pense à toi chaque fois que ma cendre tombe à côté. T u aurais du faire breveter ta méthode, elle est imparable.
voilà, 6 débuts d'histoires…
ce sont toutes des histoire courtes.
bon ben, je sais plus quoi dire maintenant… je vous laisse la plume…
bisous
ah, et ps
lisbeth : tes lectures sont ce dont tu as besoin en ce moment. ne désespères pas, déjà, tu lis
