C'est comme une vigilance qui m'empêche de dormir
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- nuiclaire
- Messages : 16
- Enregistré le : jeudi 26 avril 2007 11:23
C'est comme une vigilance qui m'empêche de dormir
Bonjour,
C'est une anxiété permanente (moins forte quand je fais du sport ou prends un tranquillisant) qui m'empêche de dormir.
Et j'en ai vraiment marre.
En fait, dès que je commence à somnoler, c'est comme si mon estomac se serrait sous l'effet d'une peur (parfois on ressent cela le jour, quand on a peur); ou à ce même moment (de la somnolence), je "sursaute" sous l'effet d'une sensation de peur et parfois je crie.
J'ai eu des examens il y a longtemps: ce n'est pas physique. C'est comme une vigilance qui m'empêche de lâcher prise.
Je n'arrive pas à mettre cela sur le compte de la dépression, car une dépression ça se guérit. Pas ça, pour l'instant.
La psychothérapie me rassure un peu, mais n'a pas agi sur le sommeil.
Ado. j'étais comme ça...et cela a empiré.
Et les antidépresseurs agissent un temps, jusqu'à ce que je m'y habitue.
Dans tous les cas, je ne peux arrêter les médics. et même avec cela, c'est très difficile.
Il y a des moments j'ai envie de hurler, car le jour cela me rend vaseuse, mal de crâne, plus d'angoisses, fatigue.
Je ne comprends pas comment j'ai pu étudier, travailler, vivre, quoi!
C'est une anxiété permanente (moins forte quand je fais du sport ou prends un tranquillisant) qui m'empêche de dormir.
Et j'en ai vraiment marre.
En fait, dès que je commence à somnoler, c'est comme si mon estomac se serrait sous l'effet d'une peur (parfois on ressent cela le jour, quand on a peur); ou à ce même moment (de la somnolence), je "sursaute" sous l'effet d'une sensation de peur et parfois je crie.
J'ai eu des examens il y a longtemps: ce n'est pas physique. C'est comme une vigilance qui m'empêche de lâcher prise.
Je n'arrive pas à mettre cela sur le compte de la dépression, car une dépression ça se guérit. Pas ça, pour l'instant.
La psychothérapie me rassure un peu, mais n'a pas agi sur le sommeil.
Ado. j'étais comme ça...et cela a empiré.
Et les antidépresseurs agissent un temps, jusqu'à ce que je m'y habitue.
Dans tous les cas, je ne peux arrêter les médics. et même avec cela, c'est très difficile.
Il y a des moments j'ai envie de hurler, car le jour cela me rend vaseuse, mal de crâne, plus d'angoisses, fatigue.
Je ne comprends pas comment j'ai pu étudier, travailler, vivre, quoi!
- claudine
- Membre d'honneur
- Messages : 6087
- Enregistré le : mardi 05 décembre 2006 19:30
-
- Messages : 60
- Enregistré le : mardi 06 mars 2007 22:15
Bonsoir Nuiclaire et Claudine,
Moi au niveau sommeil c'est plutôt l'inverse : je me couche très tard (vers les 01 ou 02h00), je dors bien, mais je me lêve tôt, de manière automatique, vers les 06h30.
Ca ne fait pas beaucoup de sommeil finalement, même s'il a l'avantage d'être ininterrompu. Je ne suis jamais parvenu à expliquer cela, même quand je dois me lever très tôt (3/4h00 par exemple) je ne me couche au mieux qu'à 23h30... Même les horaires irréguliers du boulot n'ont pas modifié ça.
Par contre, là où je dormais le plus mal, c'était pendant mon arrêt. Insomnies permanentes, prise de somnifères toujours plus forts, mais inutiles (il n'y a que le Noctamide qui avait un petit effet). Avec le recul, je me rends compte que c'est à cause de l'absence totale d'activité pendant mon arrêt
Moi au niveau sommeil c'est plutôt l'inverse : je me couche très tard (vers les 01 ou 02h00), je dors bien, mais je me lêve tôt, de manière automatique, vers les 06h30.
Ca ne fait pas beaucoup de sommeil finalement, même s'il a l'avantage d'être ininterrompu. Je ne suis jamais parvenu à expliquer cela, même quand je dois me lever très tôt (3/4h00 par exemple) je ne me couche au mieux qu'à 23h30... Même les horaires irréguliers du boulot n'ont pas modifié ça.
Par contre, là où je dormais le plus mal, c'était pendant mon arrêt. Insomnies permanentes, prise de somnifères toujours plus forts, mais inutiles (il n'y a que le Noctamide qui avait un petit effet). Avec le recul, je me rends compte que c'est à cause de l'absence totale d'activité pendant mon arrêt
- stardust
- Membre d'honneur
- Messages : 128
- Enregistré le : samedi 07 avril 2007 0:47
- nuiclaire
- Messages : 16
- Enregistré le : jeudi 26 avril 2007 11:23
Bonsoir,
Je vois que le sommeil n'est pas quelque chose de très...naturel (j'ai tout faux en disant cela).
En fait, pour moi, c'est un quotidien trop triste, une vie à deux sans amour...qui m'empêche de m'endormir sereinement.
j'aurais besoin de me sentir complice, solidaire, aimée, aimante.
C'est très dur.
Je vois que le sommeil n'est pas quelque chose de très...naturel (j'ai tout faux en disant cela).
En fait, pour moi, c'est un quotidien trop triste, une vie à deux sans amour...qui m'empêche de m'endormir sereinement.
j'aurais besoin de me sentir complice, solidaire, aimée, aimante.
C'est très dur.
- fripouille
- Messages : 59
- Enregistré le : vendredi 15 juin 2012 19:23
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