J'adore lire vos messages, ça me donne envie de dévorer une bibliothèque entière.
En ce moment je lis La Mort du Roi Tsongor de Laurent Gaudé. J'aime beaucoup l'histoire bien que je n'accroche pas à son écriture parfois trop saccadée. Mais le récit reste génial, les images saisissantes, alors je suis quand-même dedans!
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Urszula
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Bonjour
En ce moment je lis Martin Eden, de Jack London, sur ma petite Kindle (j'adore les livres physiques, mais c'est un cadeau d'anniversaire et je dois reconnaître que j'ai fini par m'y faire et que c'est une invention extrêmement pratique et assez fabuleuse - et d'en voir si peu dans les mains des usagers des transports en commun, contrairement au sacro-saint smartphone, en dit long sur cette triste société je trouve...)
En ce moment je lis Martin Eden, de Jack London, sur ma petite Kindle (j'adore les livres physiques, mais c'est un cadeau d'anniversaire et je dois reconnaître que j'ai fini par m'y faire et que c'est une invention extrêmement pratique et assez fabuleuse - et d'en voir si peu dans les mains des usagers des transports en commun, contrairement au sacro-saint smartphone, en dit long sur cette triste société je trouve...)
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Lisbeth Salander
- La cousine
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J'adore Martin Eden, c'est l'un de mes livres préférés, que c'est beau ! Et j'adore le tableau de Böcklin que tu as choisi comme photo de profil.
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Urszula
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Ah c'est gentil merci Lisbeth ! J'ai bien accroché en effet, j'en suis au dixième chapitre.
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Thx91
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en ce moment je relis le livre "Les 4 accords toltèques"...un rafraichissement sur ses theories que j'ai du mal a mettre en pratique..
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Lisbeth Salander
- La cousine
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Dans le jardin de l'ogre, de Leïla Slimani, sur l'addiction sexuelle féminine.
C'est typiquement le genre de roman français que je n'aime pas, c'est froid, ça décortique de manière clinique, c'est impersonnel, à aucun moment je n'ai ressenti de l'empathie pour ce personnage, contrairement à celui du film Shame, sur le même thème mais au masculin.
C'est typiquement le genre de roman français que je n'aime pas, c'est froid, ça décortique de manière clinique, c'est impersonnel, à aucun moment je n'ai ressenti de l'empathie pour ce personnage, contrairement à celui du film Shame, sur le même thème mais au masculin.
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Thx91
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Prochaine lecture.. "Certains cœurs lâchent pour 3 fois rien" de Gilles Paris, sur la dépression ..."Une dépression ne ressemble pas à une autre. Gilles Paris est tombé huit fois et, huit fois, s'est relevé."
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Marty McFly
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J'adore ! Je l'ai lu au lycée dans le cadre d'un exposé (il y a 13 ou 17 ans) et j'en garde un souvenir vivace. Je me souviens très bien de l'ambiance générale de cette antiquité africaine. Un vrai moment d'évasion.Zéphaïre a écrit : ↑mercredi 03 février 2021 9:49J'adore lire vos messages, ça me donne envie de dévorer une bibliothèque entière.
En ce moment je lis La Mort du Roi Tsongor de Laurent Gaudé. J'aime beaucoup l'histoire bien que je n'accroche pas à son écriture parfois trop saccadée. Mais le récit reste génial, les images saisissantes, alors je suis quand-même dedans!
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Urszula
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- Enregistré le : jeudi 11 février 2021 18:27
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Parallèlement à Martin Eden dont j'attaque le 31e chapitre (68% du livre d'après ma petite Kindle), j'ai lu la semaine dernière en une heure ou pas beaucoup plus L'homme-joie, de Christian Bobin (le livre papier). Son écriture est simple et poétique en même temps, très imagée, nostalgique et espérante.
Je veux juste citer quelques jolis passages :
Écrire, c'est dessiner une porte sur un mur infranchissable, et puis l'ouvrir.
La nuit, la mort et les gardiens de musée ont la même façon de venir vers nous et nous dire qu'on va bientôt fermer.
Nous ne somme ques rarement à la hauteur de cette vie. Elle ne s'en soucie pas. Elle ne cesse pas une seconde de combler de ses bienfaits les assassins que nous sommes.
Le récit "Trésors vivants" sur les malades d'Alzheimer.
"Mon dieu, mon dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ?" Ce cri qui s'en va exploser contre la gueule de marbre d'un Dieu muet, fait de celui qui le jette notre intime, le plus proche d'entre les proches : nous-même quand la confiance s'en va de nous comme le sang par une veine coupée et que nous continuons à parler amoureusement à ce qui nous tue.
Bach est un enfant dont l'angoisse est si grande qu'il fait venir l'éternel à son chevet.
La beauté a puissance de résurrection. Il suffit de voir et d'entendre. C'est par distraction que nous n'entrons pas au paradis de notre vivant, uniquement par distraction.
Je sais ce que c'est maintenant, un chat : c'est quelqu'un qui ressemble à un chat, qui vient et qui vous prend le coeur.
Je veux juste citer quelques jolis passages :
Écrire, c'est dessiner une porte sur un mur infranchissable, et puis l'ouvrir.
La nuit, la mort et les gardiens de musée ont la même façon de venir vers nous et nous dire qu'on va bientôt fermer.
Nous ne somme ques rarement à la hauteur de cette vie. Elle ne s'en soucie pas. Elle ne cesse pas une seconde de combler de ses bienfaits les assassins que nous sommes.
Le récit "Trésors vivants" sur les malades d'Alzheimer.
"Mon dieu, mon dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ?" Ce cri qui s'en va exploser contre la gueule de marbre d'un Dieu muet, fait de celui qui le jette notre intime, le plus proche d'entre les proches : nous-même quand la confiance s'en va de nous comme le sang par une veine coupée et que nous continuons à parler amoureusement à ce qui nous tue.
Bach est un enfant dont l'angoisse est si grande qu'il fait venir l'éternel à son chevet.
La beauté a puissance de résurrection. Il suffit de voir et d'entendre. C'est par distraction que nous n'entrons pas au paradis de notre vivant, uniquement par distraction.
Je sais ce que c'est maintenant, un chat : c'est quelqu'un qui ressemble à un chat, qui vient et qui vous prend le coeur.
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Frodon Sacquet
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Après avoir lu L'histoire de la Virilité tome 1, 2 et 3, sous la direction de Georges Vigarello et Alain Corbin notamment, le mythe de la virilité d'Olivia Gazalé, j'ai commencé à lire Virilité de Harvey Mansfield.
C'est très intéressant car cela permet de savoir ce qu'est la virilité (la puissance physique associée à des attitudes comme le courage) Dans l'Histoire de la Virilité, on peut voir que la virilité est constamment associée à la guerre (même s'il y a d'autres formes de virilité, comme la puissance sexuelle par exemple). Cela ne concernait quasiment que les guerriers, bien souvent issus des élites (César, Napoléon...). Ce modèle n'aimait pas les faibles, et l'entraînement était une forme de dressage, ce qui est logique étant donné que le guerrier doit accepter de tuer et d'être tué.
Si la virilité s'est démocratisée au XIXe siècle, quand les armées se sont massifiées et où l'on considérait un certain nombre d'ouvriers comme virils, les élites ont changé radicalement: de guerriers propriétaires terriens jusqu'au XVIIIe siècle, ils ont été en grande remplacés par des marchands dont le but est de vendre des produits (au niveau des élites économiques).
Ainsi, il y eut un écart de plus plus grand entre l'idéal antique du soldat-citoyen de la la cité-Etat d'Athènes (ayant besoin de la force pour protéger sa cité) ou du hoplite spartiate et la réalité des rapports de force où les puissants étaient des bourgeois (où l'intellect est plus important que la force).
Par la suite, Les fascismes italiens et allemands tentèrent de ressusciter l'idéal de virilité antique furent vaincus, et tout ce qui y fut associé (dont la virilité) eut mauvaise presse.
Ce facteur associé à la modification importante de l'économie (beaucoup d'emplois occidentaux sont des emplois du tertiaire dont la caractéristique est qu'il nécessite des compétences sociales et relationnelles plutôt que physiques) corrélée à la montée en puissance du féminisme (qui remet théoriquement en cause toute forme d'inégalité hommes-femmes, notamment dans les cercles de pouvoir, or la virilité était également une forme de domination des hommes sur les femmes en ce que les hommes virils dominaient la cité) remirent en cause l'idéal monolithique de virilité.
C'est très intéressant car cela permet de savoir ce qu'est la virilité (la puissance physique associée à des attitudes comme le courage) Dans l'Histoire de la Virilité, on peut voir que la virilité est constamment associée à la guerre (même s'il y a d'autres formes de virilité, comme la puissance sexuelle par exemple). Cela ne concernait quasiment que les guerriers, bien souvent issus des élites (César, Napoléon...). Ce modèle n'aimait pas les faibles, et l'entraînement était une forme de dressage, ce qui est logique étant donné que le guerrier doit accepter de tuer et d'être tué.
Si la virilité s'est démocratisée au XIXe siècle, quand les armées se sont massifiées et où l'on considérait un certain nombre d'ouvriers comme virils, les élites ont changé radicalement: de guerriers propriétaires terriens jusqu'au XVIIIe siècle, ils ont été en grande remplacés par des marchands dont le but est de vendre des produits (au niveau des élites économiques).
Ainsi, il y eut un écart de plus plus grand entre l'idéal antique du soldat-citoyen de la la cité-Etat d'Athènes (ayant besoin de la force pour protéger sa cité) ou du hoplite spartiate et la réalité des rapports de force où les puissants étaient des bourgeois (où l'intellect est plus important que la force).
Par la suite, Les fascismes italiens et allemands tentèrent de ressusciter l'idéal de virilité antique furent vaincus, et tout ce qui y fut associé (dont la virilité) eut mauvaise presse.
Ce facteur associé à la modification importante de l'économie (beaucoup d'emplois occidentaux sont des emplois du tertiaire dont la caractéristique est qu'il nécessite des compétences sociales et relationnelles plutôt que physiques) corrélée à la montée en puissance du féminisme (qui remet théoriquement en cause toute forme d'inégalité hommes-femmes, notamment dans les cercles de pouvoir, or la virilité était également une forme de domination des hommes sur les femmes en ce que les hommes virils dominaient la cité) remirent en cause l'idéal monolithique de virilité.
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Soga2603
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@Thx91
hello,
as tu commencé le bouquin de Gilles Paris ? Si oui, dirais tu que c'est un bon livre ?
j'ai hésité à l'acheter. J'ai lu il y a quelques années celui de Labro, "tomber 7 fois, se relever 8", que j'avais trouvé intéressant, comme histoire de vie et note d'espoir.
bon après midi
hello,
as tu commencé le bouquin de Gilles Paris ? Si oui, dirais tu que c'est un bon livre ?
j'ai hésité à l'acheter. J'ai lu il y a quelques années celui de Labro, "tomber 7 fois, se relever 8", que j'avais trouvé intéressant, comme histoire de vie et note d'espoir.
bon après midi
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Soga2603
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La peur d'avoir peur, qui décrypte les mécanismes qui conduisent notamment à l'agoraphobie.
Émotions : enquête et mode d'emploi, BD d'Art Mella sur la construction des émotions. J'ai commencé par le tome 3 prête par ma psychologue, j'ai acheté les 1 et 2 car j'ai trouvé ça pointu et intéressant
Je relis Delphine de Vigan, "à la lumière du petit matin" car je suis en panne de polars, ma passion. On m'a offert des Manuel Vazquez Montalban, je n'arrive pas à accrocher.
Et en revues, j'ai toujours le numéro spécial de psychologies magazine sur la résilience, un Elle (mon père nous les achète toutes les semaines pour ma sœur et moi !)
Émotions : enquête et mode d'emploi, BD d'Art Mella sur la construction des émotions. J'ai commencé par le tome 3 prête par ma psychologue, j'ai acheté les 1 et 2 car j'ai trouvé ça pointu et intéressant
Je relis Delphine de Vigan, "à la lumière du petit matin" car je suis en panne de polars, ma passion. On m'a offert des Manuel Vazquez Montalban, je n'arrive pas à accrocher.
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Love<3
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Je vais lire "le gai savoir" de Nietzsche.
Quelqu'un l'a déjà lu?
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Soga2603
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Pas moi, tu nous feras la fiche de lecture ?
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Romy
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Bonjour, je lis pas mal pour oublier mon quotidien et mes angoisses et je suis passionnée de polars également! Quel genre de polars lis tu Soga ? J’aime bien les polars nordiques (Mankell, Indridason, Jussi Adler-Olsen), il y a une ambiance particulière, je ne sais pas comment décrire ça, mais on s’y sent bien.Soga2603 a écrit : ↑dimanche 28 mars 2021 15:51La peur d'avoir peur, qui décrypte les mécanismes qui conduisent notamment à l'agoraphobie.
Émotions : enquête et mode d'emploi, BD d'Art Mella sur la construction des émotions. J'ai commencé par le tome 3 prête par ma psychologue, j'ai acheté les 1 et 2 car j'ai trouvé ça pointu et intéressant
Je relis Delphine de Vigan, "à la lumière du petit matin" car je suis en panne de polars, ma passion. On m'a offert des Manuel Vazquez Montalban, je n'arrive pas à accrocher.
Et en revues, j'ai toujours le numéro spécial de psychologies magazine sur la résilience, un Elle (mon père nous les achète toutes les semaines pour ma sœur et moi !)
J’ai une grande admiration pour le talent de Pierre Lemaître (la trilogie Verhoeven), c’est trash mais brillant !
Autres auteurs de polars que je chéries : Thomas H Cook, George Pelecanos, Craig Johnson, Thomas Mullen, Ed Mcbain, Donald Westlake, Zygmunt Miloszewski, Simenon, William McIlvanney....
Je viens de commencer Watership Down de Richard Adams. Paru dans les années 70, c’est une histoire dont les protagonistes sont des lapins !! J’en suis au tout début, c’est déconcertant et en même l’auteur crée une atmosphère, un univers ... on se croirait dans un conte.
Quelqu’un connait il ce roman ?
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Love<3
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Soga2603
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@Romy
coucou,
aprés avoir lu dans ma jeunesse tous les Cornwell, Higgings Clarck (ceux de la mère), j'ai épuisé le polar français : Franck Thilliez, Olivier Descosses, Bernard Minier, Fred Vargas, et P Lemaitre également, Michel Bussy, Norek, Chattam. J'ai adoré la série Sérum (Henri Loevenbruck et Fabrice Mazza), qui devait avoir une suite que l'on attend toujours.
Je suis passée aussi aux polars nordiques, qui sont des pépites pour moi, avec ce climat effectivement très spécial. Je ferai un tous sur tous ceux que tu cites, je ne les connais pas tous.
Pas trés fantasy ou irréèl, je ne suis pas sûre d'adhérer à Watership Down.
Tous les 3 ou 4 polars, je me fais une petit roman, histoire de calmer un peu le jeu de la violence. Et tous les bouquins de psycho, actu, développement personnel.
Tu sembles passionnée. Pour ma part, la lecture fait partie des activités qui me sauvent.
Si je trouve un bon polar, en poche (je me suis calmée, je patiente maintenant), je te le dirai.
des bisous
coucou,
aprés avoir lu dans ma jeunesse tous les Cornwell, Higgings Clarck (ceux de la mère), j'ai épuisé le polar français : Franck Thilliez, Olivier Descosses, Bernard Minier, Fred Vargas, et P Lemaitre également, Michel Bussy, Norek, Chattam. J'ai adoré la série Sérum (Henri Loevenbruck et Fabrice Mazza), qui devait avoir une suite que l'on attend toujours.
Je suis passée aussi aux polars nordiques, qui sont des pépites pour moi, avec ce climat effectivement très spécial. Je ferai un tous sur tous ceux que tu cites, je ne les connais pas tous.
Pas trés fantasy ou irréèl, je ne suis pas sûre d'adhérer à Watership Down.
Tous les 3 ou 4 polars, je me fais une petit roman, histoire de calmer un peu le jeu de la violence. Et tous les bouquins de psycho, actu, développement personnel.
Tu sembles passionnée. Pour ma part, la lecture fait partie des activités qui me sauvent.
Si je trouve un bon polar, en poche (je me suis calmée, je patiente maintenant), je te le dirai.
des bisous
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AnnaKarenine
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@Soga2603 si tu aimes Norek tu peux aimer Nicolas Lebel, il y a une tétralogie qui commence par "L'heure des fous". C'est super bien. Moi je l'ai préféré à Thilliez mais c'est très personnel. Mais tu connais peut-être déjà car c'est le meilleur pote de Norek (ils s'envoient des vannes par livres interposés).
J'ai découvert le théâtre de Wajdi Mouawad ("Incendies") et de Jean-Luc Lagarce, j'ai lu et vu l'adaptation ciné de "Juste la fin du monde". J'ai adoré. C'est à la fois horrible et sublime, tragique en un mot, enfin surtout le premier. Des écritures exigeantes, mais extraordinaires.
J'ai découvert le théâtre de Wajdi Mouawad ("Incendies") et de Jean-Luc Lagarce, j'ai lu et vu l'adaptation ciné de "Juste la fin du monde". J'ai adoré. C'est à la fois horrible et sublime, tragique en un mot, enfin surtout le premier. Des écritures exigeantes, mais extraordinaires.
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Lisbeth Salander
- La cousine
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@AnnaKarenine Si tu aimes Wajdi Mouawad, je te conseille son roman "Anima". Un chef-d'oeuvre. Je trouve le mot galvaudé mais là, je n'ai pas d'autre mot.
As-tu vu le film "Incendies" ? Je n'ai pas lu la pièce mais ce film m'a énormément marquée.
As-tu vu le film "Incendies" ? Je n'ai pas lu la pièce mais ce film m'a énormément marquée.
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Soga2603
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- Enregistré le : vendredi 26 février 2021 9:32
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@Romy @Lisbeth Salander
je vais aller voir vos suggestions de lectures. J'avoue ne pas être fan de nouvelles, de théâtre non plus, mais peut être faudrait il que je tente, cela reste basé sur les souvenirs scolaires.
Un peu de poésie de temps en temps, mais je la trouve finalement dans le Slam.
je vais aller voir vos suggestions de lectures. J'avoue ne pas être fan de nouvelles, de théâtre non plus, mais peut être faudrait il que je tente, cela reste basé sur les souvenirs scolaires.
Un peu de poésie de temps en temps, mais je la trouve finalement dans le Slam.