Valeurs de référence de la charge corporelle en métaux stockés en population générale

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Sophocle
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Résumé : L’exposition aux métaux lourds est un phénomène
courant en raison de leur prévalence dans l’alimentation et
dans l’environnement; leur toxicité demeure une préoccupation
importante pour la santé publique. Les agents chélateurs
sont des substances chimiques utilisées pour augmenter l’élimination
de certains métaux présents à des concentrations
anormalement élevées dans l’organisme. Leurs indications
cliniques approuvées sont limitées, particulièrement en raison
des effets indésirables qu’ils peuvent induire. Malheureusement,
trop souvent, les agents chélateurs sont utilisés avec
pour objectif de vérifier le niveau d’imprégnation de l’organisme
par les métaux lourds. Il s’agit d’un usage inapproprié
et abusif. Afin d’attirer l’attention des praticiens sur cette
problématique, les bons et les mauvais usages des chélateurs
de métaux sont passés en revue.
V.-Mistretta_2016_71_12_0.pdf
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Voici la première étude qui affirme que les amalgames intoxiquent le corps...
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Voici le rapport de l'ANSM qui déclare que les amalgames n'intoxiquent pas ...
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Voici mon traité de désintoxication de toutes les particules oxydantes de tous les organes y compris le cerveau.
TRAITE.pdf
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Voici un mini traité scientifique de désintoxification.
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En réponse, j' a écrit :
A Monsieur X
Directeur Général de la Santé


Monsieur le Directeur général,

Je vous remercie pour votre deuxième courrier daté du 17 juillet 2024.
J'apprécie que vous répondiez encore de votre main.
Avec Madame Janet Woodcock, Commissaire de la F.D.A., vous êtes le seul a répondre de votre main.

Cependant,
votre réponse fait trop d'honneur au million de Français qui portent la maladie d'Alzheimer et qui ne bénéficient pas des références biologiques adéquates pour déceler de leur vivant les excès massifs de métaux que l'on découvre lors des autopsies des cerveaux.

SOURCES :
- Collège de France : https://www.college-de-france.fr/fr/age ... -alzheimer
- Traité de toxicologie CHELATION THERAPY, Page 334. https://www.forum-melodie.fr/phpBB3/dow ... php?id=972

Votre courrier date du 17 juillet. Mais, je vous ai encore adressé un nouveau courrier le 18 juillet concernant les complications des substances organiques. Si vous ne donniez pas suite à mes alertes, faites-moi la grâce d'une réponse, s'il vous plaît.

Cependant, je confirme que j'imposerai la salubrité des particules oxydantes quitte à ce que le système médical actuel y trouve sa perte.

Je vous prie, Monsieur le Directeur général, d'accepter l'expression de mes salutations respectueuses.

Sophocle
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Réponse de l'Anses.
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PLAINTE CONTRE LES AGENCES DE SANTE

Message par Sophocle »

Au : Tribunal judiciaire de Paris
Parvis du Tribunal de Paris
75 859 PARIS CEDEX 17



Objet : Dépôt de plainte auprès du Procureur

Madame ou Monsieur le Procureur de la République,


j’ai l’honneur de vous informer des négligences organisées par les Agences françaises de santé. Les conséquences de ces négligences peuvent avoir mené à des millions de victimes pendant des décennies.

Pour évaluer la charge cérébrale et corporelle toxique en mercure, les Agences françaises de santé auraient pu établir les références d'une analyse d'urine après traitement des métaux lourds car le traitement élimine tous les métaux stockés en masse dans le cerveau et dans tous les autres organes. Comme les stocks massifs et excessifs de métaux lourds dans les organes passent totalement inaperçus dans les analyses validées (sang, urine, cheveux), des filières de toxicologie dans le monde ont mis en place la généralisation des analyses après traitement en Allemagne et aux Etats-Unis. En dépit que les polémiques mondiales s'enflamment à répétition depuis trente ans à propos des résultats stupéfiants des analyses après traitement chez les personnes portant des amalgames dentaires, les Agences françaises de santé (ANSES) n'ont pas réalisé les références des analyses corporelles et cérébrales via les analyses après traitement. Les preuves biologiques de mon intoxication ne sont donc pas reconnues par les autorités françaises car les Agences de santé n'ont mystérieusement pas placé le cerveau et le reste du corps dans leur agenda de priorité. L'ANSES dissimule que le sang n'est pas fiable et qu'il ne représente pas le corps. Or, de nombreux pays, y compris européens, ont interdit les amalgames dentaires au mercure suite à ces analyses. En France, les autorités se veulent rassurantes à répétition suite à chaque polémique mondiale au motif que les rares analyses validées (sang, urine, cheveux), qui nient factuellement 95% du corps, demeurent négatives. Afin de tromper les Français, les autorités nient les cohortes d’analyses après traitement. Loin devant le reste du monde, je rappelle que la France possède le record de mercure en bouche. Seuls 5% du corps sont surveillés par les analyses validés, le reste du corps s'intoxique et dégénère donc lentement comme une épave à la dérive.

Mon diagnostic d’intoxication a été établi par un médecin toxicologue à Paris en 2014 qui m'a affirmé que mes analyses biologiques conformes aux protocoles toxicologiques Allemands confirment que l'ensemble de mon corps est lourdement intoxiqué par le mercure de mes amalgames dentaires. Pour établir son diagnostic, il a effectué une simple analyse sur un échantillon d’urine 1H30 après avoir administré le traitement des métaux de façon à extraire le mercure cérébral et du reste du corps dans les urines. Selon ce toxicologue, ce mercure est la cause de mes lourds et nombreux symptômes chroniques caractéristiques d'une intoxication au mercure. Mes analyses corporelles présentent des taux jusqu'à 70 fois supérieurs à la norme allemande sur 10 ans. Mais, comme le nuage de Tchernobyl, les intoxications au mercure s'arrêtent à la frontière entre l'Allemagne et la France car les souveraines Agences françaises de santé ont décidé que le cerveau et le corps ne faisaient pas partie du rayon d'exploration de leur validation. Pour extraire sciemment le cerveau et le corps de la validation, l’Agence de Santé ANSES et les Centres antipoison ont délibérément interdit les analyses d’urine lorsqu’elles sont pratiquées pendant les trois jours suivants une administration du traitement des métaux. En effet, c’est uniquement à ce moment-là que le mercure cérébral et corporel apparaît aux analyses.

J'ajoute que, en dépit des mes symptômes caractéristiques, les Centres antipoison français m'ont informé qu'il refusaient de prendre en charge les taux inquiétants de mon mercure dans mon cerveau en m'expliquant qu'il leur manquait les références officielles pour traiter le cerveau et pour traiter tout le reste du corps (sauf le sang). Faute de référence biologique en population générale des analyses après traitement, les Centres antipoison ne savent pas dire factuellement si un kilo de mercure dans le cerveau chez un patient est toxique car la comparaison en population saine est manquante. Dans le doute administratif et scientifique, les Centres antipoison refusent donc de prendre en charge les nombreux intoxiqués qui, lourdement malades, se traînent jusqu’à leur porte après des années d’errance. Tant de sérieux des toxicologues pour les procédures au risque d'écarter des milliers d'intoxications possibles est épatant, et cela est tout à leur honneur car les Centres antipoison ont opté pour la retraite spirituelle secrète lorsqu’il y a un balancement philosophique entre l’humain et la science. Leur honneur et leur sérieux est même redoublé car les Centres antipoison n'ont absolument pas alerté les Agences de santé du besoin impérieux de réaliser les références et de validations adéquates (analyses après traitement) pour traiter les métaux lourds dans le cerveau et dans le corps des malades. Le raffinement ultime de leur honneur s'élève à des sommets car les Centres antipoison profèrent même des menaces publiques en 2015 contre les services hospitaliers français à Orléans qui traitent les métaux lourds de façon à faire cranter l’interdit des analyses après traitement sur tout le territoire jusqu'aux confins de l’empire des esprits de chaque médecin et de chaque malade. Par ces menaces, les Centres antipoison ont fait avorter l’installation de la filière alternative de toxicologie en France car le service visé a fermé dans la précipitation suite à ces menaces. Les Centres antipoison ont donc confisqué les guérisons par des moyens certes non conventionnels mais efficaces et éprouvés. Cachons donc ce mercure que l’on ne saurait voir et vivons avec une médecine orwellienne. C’est comme si on interdisait les textes de Victor HUGO au motif que seuls les textes de loi ont le droit de cité. En effet, la guérison des métaux lourds des amalgames dentaires par des analyses d’urines non validées est un danger scélérat car elle est une goutte homéopathique de vérité pure qui risquerait de dévoiler tout un océan de mercure dentaire dans le cerveau de la société française. Comme la défaillance générale des analyses validées craque sous toutes les coutures, les failles béantes de la science sont donc délibérément exploitées au maximum par les fonctionnaires des Agences françaises de santé et des Centres antipoison français afin d’effacer toute trace compromettante. Comble de l’ironie, le Centre antipoison prétend que les excès de métaux qui apparaissent chez tous les analysés sains faussent les résultats chez les malades ; les analyses après traitement de ces derniers deviennent donc officiellement ininterprétables car les valeurs de référence changent. C’est donc un seul atome de mercure chez une personne saine qui prive de traitement de toutes les personnes qui portent des charges massives de mercure. Comme les chevaliers de l'apocalypse, les toxicologues volent donc de crime en crime et de forfaits en forfaits afin de masquer leur incurie. Plus les victimes sont nombreuses, plus les Agences de santé savourent leur réussite dans l’entreprise de la dissimulation de la contamination par les amalgames. En effet, autour duquel gravite toute une population de médecins, les maladies chroniques sont un marché juteux. De plus, le traité de toxicologie CHELATION THERAPY annonce que les excès massifs de métaux (cuivre, fer) se retrouvent à l'autopsie des cerveaux Alzheimer ; le sacrifice de la santé des Français sur le prétendu autel du doute philosophique secret peut donc s'élever jusqu'au million de Français Alzheimer dans un fleuve tumultueux de larmes de sang au bord duquel nos toxicologues caressent le bon respect de leurs validations délibérément défaillantes aussi cruelles soient-elles. Aux Alzheimer, il faut ajouter toutes les maladies intermédiaires, scléroses, arthroses, épilepsies, ... Le nombre de malades chroniques s'élève à 20 millions. Bien sûr, les rigoureuses Agences françaises de santé n'ont pas encore pris la peine de vérifier l'état d'intoxication aux autopsies des cerveaux des personnes Alzheimer car, à nouveau, ces autopsies dévoilent la défaillance générale et massive des analyses validées (sang, urine, cheveux). En effet, ces dernières ne présentent pas d'anomalie chez les Alzheimer de leur vivant.

En consultation, les yeux dans les yeux, mes analyses dans ma main, son dédouanement juridique dans la sienne, sourire carnassier aux lèvres, la FRANCE m’a exigé à répétition ces références cérébrales qui lui incombent. De qui se moque-t-on ? Comme la science sans conscience n'est que ruine de l'âme, les toxicologues sans référence sont un caniveau et le reste de la médecine est relégué à un service après vente qui profite du fruit du crime (cancers, arthrites, inflammations chroniques, ….). En niant le cerveau et 95% du corps, l’ANSES s’est donc transformée en une gueule rotative d’une machine à broyer.

Dans sa réponse à mon alerte, le Directeur Général de la Santé annonce que les personnes particulièrement imprégnées en métaux lourds ne sont pas prises en charge correctement par la médecine conventionnelle et qu'il compte lancer des études pour remédier à cela. Je rappelle que les alertes scientifiques datent d’il y a trente ans et qu'elles ont été éclatantes. Le Ministre américain de la santé a également accusé réception de mon plaidoyer pour la confection des références biologiques cérébrales et corporelles depuis son Agence Nationale de Toxicologie (NIEHS).

Si vous désiriez approfondir la question dans le détail, je vous adresse des pièces jointes.
A) Réponse du Julien PERRIN à l’ANSES
B) Plaidoyer pour la confection des références après traitement

Dans sa réponse à mon alerte, l’ANSES nie tout défaut. J’accuse donc l’ANSES d’empoisonnement délibéré des Français en empêchant les études adéquates pour évaluer correctement tous les dispositifs médicaux. J’accuse également l’ANSES de privation délibérée de chances de guérir en empêchant les références adéquates. J'accuse l'ANSES de dire des choses qui sont fausses en prétendant que leurs validations sont satisfaisantes.
J’accuse également les Centres antipoison de privation assidue et répétée de chance de guérir de la population française.
Dans la réponse de l’ANSES, j’ai également reçu des menaces voilées de poursuites pour diffamation car je demande que la prise en compte du corps passe de 5% à 100%.

Le scandale ne s'arrête pas au mercure, il s'étend à tous les métaux. Par exemple, même le cuivre et les 100 autres métaux (Arsenic, cadmium,...) sont également niés. Le cuivre est essentiel à faible dose mais il devient toxique à haute dose, c'est la dose qui fait le poison. Le scandale s'étend également aux particules organiques toxiques (PCB, bisphénols, la liste est longue,... ). Contrairement aux métaux, il n'existe pas de traitement contemporain pour décorporer les particules organiques. Il faut donc passer par des médecines traditionnelles (Ayurvéda, ventouses, jeûne) pour décorporer ces particules. J’accuse donc l’ANSES de nier les médecines traditionnelles afin d’augmenter délibérément l’intoxication des Français et afin d’augmenter le travail des médecins. Au mépris de la santé des Français, l’ANSES cherche délibérément à dissimuler sa défaillance générale. Les évaluation des organes post-mortem n’ont également pas été réalisées. Tous les compartiments qui permettent d’explorer 100% du corps sont donc niés. Tout ce qui dévoile la défaillances des analyses actuellement validées est balayé d’un revers de la main. Selon l’ANSES, l’exploration doit absolument se limiter à 5% (sang) du corps sous peine de recevoir ses foudres.

En conséquence, je souhaite, pour ces faits, porter plainte contre l’Agence de santé ANSES et contre les Centres antipoison.

En 2022, j’ai déjà porté plainte sur le même thème mais le contenu du texte de ma première plainte de 2022 se cantonnait à décrire mon parcours médical chaotique. Ce texte présent est plus général et beaucoup plus précis. L'appel a lieu en novembre 2024.

Je vous remercie de considérer ce courrier comme un dépôt de plainte.

Dans l’attente des suites que vous donnerez à ce courrier, je vous prie d’agréer, Madame ou Monsieur le Procureur de la République, l’expression de ma plus haute considération.

Paris, le 15 novembre 2024.

Sophocle

Pièces attachées complémentaire :
- C) Accusé de réception du Ministre américain de la santé
- D) Réponse du Directeur général de la santé
- E) Réponse de l’ANSES à mon alerte. Cette réponse nie tout défaut.
- F) Première étude après traitement. Date : 1992. Cette étude a fait une polémique mondiale suite à un reportage sur la BBC en dévoilant que du mercure était caché dans le corps chez les personnes qui portent des amalgames. Titre : Urinary mercury after administration of (DMPS) : correlation with dental amalgam score.
- G) Cohorte après traitement sur 2000 personnes portant des amalgames. Date : 2003. La moyenne après traitement est à 47 alors que la moyenne sans traitement est à 1,7. La référence sans traitement est à 4. Titre : Evaluation of the exposure of dental amalgam patients by the Mercury Triple Test.
- H) Article scientifique donné par le Centre antipoison de Paris pour expliquer le refus de traiter les taux inquiétants de mercure dans le cerveau. Titre : Diagnostic des intoxications par des métaux ou des métalloïdes et mésusage des chélateurs. Auteur : Sociétés françaises de toxicologie. Le refus est motivé par l’absence de comparaison faute de référence disponible
- I) Menaces des Centres antipoison : Dosages urinaires post-chélation des métaux lourds et
pseudoscience : il faut agir ! Date : 2015.
- J) Fermeture du service hospitalier visé par les menaces : Titre : « L’hôpital public abandonne plusieurs centaines de patients qui frappaient à ses portes ». Date : 2015.
- K) Traité de toxicologie CHELATION THERAPY, excès de métaux chez les Alzheimer : Page 334. Date 2016.
- L) Carte Nationale d’Identité


Sophocle
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Message par Sophocle »

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Sophocle
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Message par Sophocle »

Il ne me manque plus que la réponse de la Ministre,
Quand cette réponse parviendra, je la posterai ici, promis...
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Antonio
Gruyère
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Message par Antonio »

C'est au sujet du plomb, du mercure, du cadmium, de l'arsenic et du nickel ?

De toute façon, elles varient en fonction de la région, il peut y en avoir trop à Paris et moins à Lille.

Tu cherches dans une région en particulier ou une moyenne nationale ?
Sophocle
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Message par Sophocle »

je recherche une réponse du ministre au texte du premier post.
cela concerne tous les métaux de toutes les régions
Sophocle
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Message par Sophocle »

Voici un petit récapitulatif des réponses que j'ai reçues.
PIECES ATTACHEES.pdf
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Sophocle
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Message par Sophocle »

Voici le texte complété de l'Alerte
PLAIDOYER

Une étude scientifique sur 2000 personnes portant des amalgames dentaires indique que les taux urinaires moyen après traitement du mercure sont à 47 microgrammes de mercure par gramme de créatinine et que le taux urinaire moyen sans traitement est à 1,7 microgrammes de mercure par gramme de créatinine. La référence sans traitement en population générale est à 4 microgrammes de mercure par gramme de créatinine. L'étude complète se trouve à la page suivante : download/file.php?id=10668. L'en-tête est disponible à la page suivante : https://oem.bmj.com/content/61/6/535.full. Les taux après traitement sont donc très inquiétants alors que les taux sans traitement sont rassurants.

Or, tout le système médical occidental officiel est basé sur des études sans traitement. Toutes les études toxicologiques officielles sont donc faussement rassurantes. Les dispositifs médicaux (amalgames dentaires, vaccins à l'aluminium, vaccins au mercure, ...) sont donc mal évalués. Toutes les maladies chroniques (Alzheimer, cancer, arthrite, autisme, sclérose en plaque, ...) sont donc mal évaluées. Les maladies chroniques ne sont donc ni diagnostiquées ni traitées. L'état des malades s'aggrave donc.

Selon le traité de toxicologie CHELATION THERAPY (page 334) (https://www.forum-melodie.fr/phpBB3/dow ... php?id=972 ) :
"il est particulièrement intéressant de noter que des niveaux élevés de cuivre et de fer sont présents dans les plaques bêta-amyloïdes insolubles dans les cerveaux post-mortem de patients souffrant de la maladie d'Alzheimer." Or, les profils toxicologiques validés des Alzheimer ne présentent pas d'excès de fer et de cuivre. Cela illustre l'illusion générale d'une absence d'intoxication par les analyses validées. Les sociétés françaises de toxicologie ont interdit le traitement des métaux. Les Alzheimer ne seront donc jamais traités pour les excès de métaux. Un million de Français sont porteurs de la maladie d'Alzheimer. 20% des Français sont susceptibles de déclencher un Alzheimer. Le nombre de victimes de la filière française de toxicologie est donc extrêmement élevé. Cela suggère que les Français devraient être traités des maladies chroniques avant qu'ils ne tombent malades. Cela est la même démarche qu'un vaccin. Devant l'importance du problème de santé publique, seul le Politique peut agir par-dessus les Agences de santé. Le système de santé est paralysé devant son système de validation défaillant. La dépendance et sa prise en charge seront significativement diminuées par la prévention.

Selon le traité de toxicologie CHELATION THERAPY (page 324) :
"Une faible exposition au mercure chez les enfants pourrait résulter de l'ajout de l'agent antiseptique thiomersal dans les vaccins. Le thiomersal est métabolisé en éthylmercure dans le corps humain. On a prétendu que ce mercure, même à des doses infimes, pouvait entraîner l'autisme, une maladie grave. Cette hypothèse a conduit à proposer la chélation du mercure par le DMPS ou le DMSA comme thérapie de l'autisme. Cependant, aucun article évalué par des pairs n'a fait état d'un excès de mercure dans le sang, l'urine ou les cheveux de sujets souffrant d'autisme. Des examens critiques ont conclu que le soutien scientifique de la chélation du mercure dans l'autisme est insuffisant." Cet extrait illustre que l'autisme n'a pas encore fait l'objet d'étude de la charge corporelle en mercure. Selon cet extrait, les scientifiques contestent les analyses biologiques validées. Ils déclarent que ces études sont insuffisantes pour exprimer un avis définitif. Ils ajoutent que les études de la charge corporelle par le traitement des métaux lourds font défaut. Or, les parents qui déclarent que le vaccin a rendu leur enfant autiste sont contestés par la médecine conventionnelle. Cependant, scientifiquement et en l'état de la littérature, lorsqu'il vaccine un enfant avec du mercure ou de l'aluminium, un médecin doit officiellement annoncer aux parents qu'il ne sait pas ce qu'il fait.

Je cite un article "Mercury Toxicity and Treatment: A Review of the Literature" sous la forme d'une revue de littérature scientifique qui se présente ainsi dans son introduction : "(...) les techniques d'évaluation clinique de la charge en mercure ne font pas l'unanimité. Le présent document a pour but d'examiner les données publiées sur ces questions et d'évaluer l'expérience clinique publiée concernant l'utilisation du DMPS pour éliminer le mercure du corps humain". Il existe donc des controverses sur les analyses validées entre scientifiques. Selon cet article : "Il est difficile de diagnostiquer une surcharge en mercure. Les modalités couramment utilisées (concentrations dans le sang, l'urine et/ou les cheveux) ne sont pas en corrélation avec la charge corporelle totale et n'offrent que peu d'informations utiles au diagnostic. La provocation par le DMPS semble offrir une évaluation plus précise de la charge corporelle". Cet article est disponible gratuitement à la page suivante : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3253456/. Selon cet article, les analyses validées (sang, urine, cheveux sans traitement) ne donnent pas d'information utile au diagnostic d'intoxication au mercure et les analyses après traitement donnent une meilleure indication. Cet article sous-tend donc que les nombreuses enquêtes publiques en population générale par les analyses biologiques validées sont totalement défaillantes. Cet article indique que le diagnostic après traitement (test de provocation) permet de mieux évaluer la véritable charge corporelle.

Les agences françaises de toxicologie ont publié un article scientifique dans lequel il est écrit que seuls les diagnostics sans traitement sont validés pour l'extrême majorité des métaux, y compris pour les métaux lourds. Cet article est disponible à la page suivante : https://www.forum-melodie.fr/phpBB3/dow ... hp?id=1017. La page officielle est la suivante : https://www.em-consulte.com/article/100 ... aux-ou-des. Cet article stipule que seules les analyses biologiques validées (prise de sang, échantillon d'urine, cheveux) doivent être utilisées pour établir une intoxication. Il ajoute que le traitement est abusif. Il laisse entendre que les références en population générale après traitement n'ont pas été dressées et que, dans ce cadre, les analyses après traitement sont non interprétables. Selon les Sociétés françaises de toxicologie, faute d'interprétation, le traitement ne devrait pas être donné même si les diagnostics après traitement sont très inquiétants.

Les filières de toxicologie nationales et internationales n'ont donc pas réalisé leur travail. Elles n'ont pas établi les références en population générale ni de la charge corporelle ni des analyses biologiques après traitement. La confection de ces références permet de valider une analyse biologique en établissant une valeur pour laquelle la population générale qui est en bonne santé. Pour masquer leurs défaillances, ces filières ont donc passé un consensus général entre agences internationales de santé qui consiste à faire passer des analyses non fiables (prise de sang, échantillon d'urine, cheveux) et faussement rassurantes pour une vérité absolue. Or, toute la filière française de toxicologie exige que les évaluations des intoxications se fassent uniquement avec les analyses validées et non fiables. Les taux inquiétants de métaux lourds exprimés par les analyses après traitement sont donc systématiquement écartés par les Agences de santé en population générale.

Le sang est finement filtré en permanence par les reins, le foie, les intestins, les poumons et la peau. L'urine est le reflet du sang. Les métaux lourds n'ont donc pas le temps de s'accumuler dans le sang ni dans l'urine ni dans les cheveux. Les cheveux et les ongles gardent très provisoirement l'historique du sang car ils sont rapidement renouvelés. L'intoxication du sang et de l'urine s'appelle une intoxication aiguë. Par exemple: une tentative de suicide par ingestion d'arsenic ou un ouvrier qui travaille dans une usine de recyclage du plomb. Cette intoxication se traite par l'arrêt de l'exposition et par le traitement des métaux lourds car le traitement neutralise les effets néfastes des métaux lourds dans le corps. Or, les métaux lourds s'accumulent peu à peu dans les autres organes (cerveau, muscles, articulation, os, moelle, ...). L'intoxication de ces tissus s'appelle une intoxication chronique car l'intoxication se réalise dans le temps avec une lente intoxication continue. Le traitement des métaux lourds circule dans les organes dont le cerveau. Il se lie aux métaux lourds fixés dans les organes. Il circule ensuite de nouveau dans le corps avec les métaux lourds et il est intercepté par les reins. Les analyses d'urine après traitement dévoilent donc si des stocks de métaux lourds existent dans le corps. Les analyses d'urine et de sang sans traitement dissimulent donc les stocks fixes en excès de métaux lourds dans les tissus.

Pour établir des charges corporelles totalement fiables, il faut dissoudre un corps post-mortem. Comme cela n'est pas éthiquement faisable, les références corporelles fiables ne seront jamais dressées. Les liens entre maladies chroniques et métaux ne pourront donc jamais être dressés. Faute de liens, les filières de toxicologie imposent qu'il ne faut pas traiter. De plus, il ne sera donc jamais possible de dire si une analyse biologique du vivant du patient est fiable car elles ne peuvent pas être comparées à la charge corporelle. Les analyses biologiques validées sont donc validées par les agences nationales et internationales de santé sans vérifier si ces analyses étaient fiables ou représentatives de la charge corporelle. Or, ces analyses validées sont exclusivement utilisées pour toute étude officielle. Toutes les conclusions des filières nationales et internationales de toxicologie sont donc frappées de nullité. Le seul recours qui existe, c'est de traiter les excès de métaux avec des analyses après traitement. Le traitement ne donne pas une charge corporelle fiable mais il indique s'il existe des excès de métaux dans les tissus. Selon l'association allemande de toxicologie, la durée moyenne des traitements s'élève à deux ans environs avec une injection par mois, mais certains cas peuvent dépasser six ans. Mon protocole est plus efficace que les injections, la durée moyenne de traitement sera peut-être plus courte.

Dans le traité de toxicologie CHELATION THERAPY, au début du chapitre 4, il y est écrit :
"Les surexpositions aux métaux, allant des niveaux corporels élevés non symptomatiques aux empoisonnements aigus ou chroniques mettant en danger la vie du patient, devraient généralement être traitées en éliminant la source d'exposition, par diverses procédures de décontamination et par un traitement symptomatique. Cependant, dans un nombre assez important de cas, divers programmes de traitement par chélation offrent un moyen efficace de gérer les effets néfastes de la surexposition aux métaux, soit en réduisant la toxicité du métal en formant un complexe moins toxique, en modifiant la toxicodynamique du métal, réduisant ainsi l'interaction du métal avec une cible vulnérable et / ou en modifiant la toxicocinétique du métal, réduisant ainsi son absorption et / ou améliorant son excrétion." Le nombre de pages de ce traité s'élève à 370 pages. Le chapitre 4 s'intitule : Traitement par chélation lors de surexpositions aiguës et chroniques aux métaux - études expérimentales et cliniques. 122 pages sont consacrées aux intoxications chroniques au chapitre 4. Or, les intoxications chroniques sont totalement niées par la filière française de toxicologie car la filière française de toxicologie n'a pas réalisé les références en population générale des diagnostics après traitement. La filière française de toxicologie est donc en contradiction totale avec la littérature scientifique.
Au chapitre 3.5 du traité de toxicologie CHELATION THERAPY, il y est écrit :
"Dans le diagnostic de l'intoxication par le plomb, des difficultés peuvent survenir lorsque l'exposition a cessé il y a quelque temps et qu'une grande partie du plomb a été transférée du sang vers les os. Dans de tels cas, les concentrations de plomb dans le sang peuvent être revenues à l'intervalle de référence lors de la tentative de diagnostic. La détermination in vivo du plomb dans l'os, de préférence dans l'os du doigt, par fluorescence X, a été utilisée pour le suivi biologique du plomb déposé (Skerfving, Gerhardsson, Schutz et Stromberg, 1998). Un test de provocation CaNa2-EDTA a également été utilisé pour estimer la charge corporelle en plomb. Une dose standard de CaNa2-EDTA augmentera l'excrétion urinaire du plomb stocké." Ce traité confirme qu'il existe des intoxications aux métaux lourds en dépit du fait que le sang ne présente pas de métaux lourds. Ce traité confirme que le traitement des métaux lourds élimine les métaux lourds qui sont présents dans le corps au delà du sang. En dépit de l'absence de références, ce traité confirme que les intoxications chroniques s'évaluent dans la pratique par des analyses après traitement (test de provocation).

Au chapitre 2.2.5, il y est écrit : "L'Edétate de calcium disodique (CaNa2EDTA ) est indiqué dans l'intoxication aiguë et chronique au plomb et dans l'encéphalopathie au plomb pour réduire les concentrations sanguines et les réserves de l'ion métallique toxique, chez les enfants comme chez les adultes." Selon ce traité de toxicologie, le traitement des réserves corporelles de métaux lourds dans les tissus dans le cadre d'une intoxication chronique aux métaux lourds est explicitement indiqué. En effet, ces excès ne s'éliminent pas naturellement, il faut donc forcer leur excrétion. Or, les Centre antipoison refusent que des médecins français diagnostiquent et traitent les poisons et les intoxications chroniques sur le territoire français. Sur le territoire français, la salubrité en métaux lourds ne prime pas. Ce qui prime, c'est le respect d'un consensus lourdement défaillant.

De plus, selon les Sociétés françaises de toxicologie : " La majorité des éléments métalliques sont présents et mesurables chez la plupart des individus et l’administration d’un chélateur en augmente l’excrétion urinaire chez tous" (voir https://www.forum-melodie.fr/phpBB3/dow ... hp?id=1017). Cela indique que les excès de métaux concernent toutes les personnes symptomatiques ou non. Cela indique que, selon les sociétés françaises de toxicologie, les analyses biologiques validées ne sont pas représentatives de la charge corporelle en population générale. Cela indique que les Sociétés françaises de toxicologie sont informées que les analyses biologiques validées sont défaillantes. Leur manque de réaction est donc délibéré. Cependant cet article ajoute que les références sans traitement ne peuvent pas être récupérées pour les analyses après traitement car les conditions d'analyses sont différentes. Cela permet aux Centres antipoison de rejeter une analyse après traitement. J'ai porté plainte contre les Centres antipoison mais la Justice a confirmé que les Centres antipoison ne devaient pas traiter les poisons. Pour que les Centres antipoison échappent juridiquement à leur mission, les Sociétés françaises de toxicologie ont déclaré à l'insu de tout le monde que les métaux lourds dans le corps sont hors consensus. Comme il n'y a pas de consensus international pour traiter les métaux lourds dans le corps, aucun pays ne traite les métaux lourds à l'insu de leur gouvernement. Je rappelle que les Centres antipoison sont un service public en charge de la bonne santé des Français. Ce ne sont ni des considérations médicales ni scientifiques qui motivent les Sociétés françaises de toxicologie ; c'est uniquement une disposition administrative. L'absence de références permet également aux Agences de santé de nier les métaux lourds corporels en population générale. Or, il est extrêmement choquant que les références après traitement n'aient pas encore été établies par la filière de toxicologie. Les références sont les valeurs en population générale en bonne santé. Grâce à ces valeurs en population générale, une analyse biologique individuelle peut être comparée à une population en bonne santé. L'établissement de ces valeurs de référence en population générale permet donc de valider une analyse biologique. L'établissement des références après chélation permettront d'améliorer significativement la santé des Français.

Selon le Collège de France https://www.college-de-france.fr/fr/age ... ommensales à 00:05:00, les maladies auto-immunes sont en nette augmentation depuis l'après-guerre. Le cocktail de pollutions serait un cofacteur de cette augmentation. Ce qui est choquant, c'est que les filières de toxicologie n'ont installé aucune mesure de prévention ni de traitement contre les pollutions. Selon l'article D6141-41 du code de la Santé publique, les Centres antipoison participent à la prévention des intoxications et à l'éducation sanitaire de la population. Faute de références corporelles, les Centres antipoison ne peuvent pas réaliser leur mission de santé publique. La santé des populations est donc mise en danger par les Centres antipoison.

CHASSE AUX SORCIERES
Les Centres antipoison français ont proféré des menaces publiques envers un médecin hospitalier à Orléans qui traitait les intoxications chroniques avec des diagnostics après traitement. Ces menaces se trouvent à la page suivante : https://www.sciencedirect.com/science/a ... 7815000645#. En dépit que la littérature scientifique rapporte que le diagnostic après traitement est couramment pratiqué par les médecins pour évaluer une intoxication chronique, les Centres antipoison y affirment que le diagnostic après traitement est une "escroquerie en bande organisée". Les Centres antipoison dissimulent que les filières internationales et nationales n'ont pas fait leur travail de références corporelles ni après traitement, et que c'est à ce titre qu'elles refusent que les diagnostics des intoxications chroniques par les analyses après traitement soient réalisés. Les Centres antipoison reprochent une faute qui leur incombe. Les Centres antipoison dissimulent également que leurs protocoles validés sont totalement défaillants. Suite à ces menaces, l'hôpital a fermé le service de traitement des intoxications chroniques : https://toute-la.veille-acteurs-sante.f ... ommunique/. Il est donc impossible de se faire traiter les métaux lourds sur le territoire français par la médecine conventionnelle. J'ai porté plainte mais la Justice n'a pas souhaité examiner ce point. Il faut savoir que la Justice française ne souhaite pas que les services de l'Etat soient traduits en Justice. Le diagnostic, le traitement et la guérison sont des affronts au consensus. Ils ridiculisent les Centres antipoison. Les Centres antipoison se sont donc érigés en autocrate qui mate les thérapeutes et les malades. Les Centres antipoison ont décidé de tuer la contestation dans l'œuf avant qu'elle se généralise car les Centres antipoison savent que leurs défaillances mènent au scandale. Il en va de même avec la médecine générale, les médecines traditionnelles ridiculisent la médecine conventionnelle.

Depuis trente ans, la toxicologie française viole la Constitution à répétition car l'article 10 stipule : "La Nation assure à l’individu et à la famille les conditions nécessaires à leur développement". Je rappelle que la première étude après traitement a été publiée en 1992 : download/file.php?id=11708. Cette étude annonce que les taux après traitement chez les personnes porteuses d'amalgames sont trois fois supérieurs aux personnes sans amalgames. Elle montre également que des taux inquiétants de mercure chez les personnes sans amalgames apparaissent après traitement alors que ces taux sont minimaux sans traitement. Les polémiques mondiales s'enflamment à chaque publication.

Les diagnostics après traitement sont certes imparfaits car ils ne disposent pas de références, mais les protocoles de la filière française de toxicologie sont bien plus défaillants. La filière française nie le corps et elle menace tout spécialiste qui ne nie pas le corps. Les enjeux sont graves car il ne s'agit pas de quelques cas. La défaillance des protocoles validés concerne tous les Français car la défaillance se situe au niveau de la prise de sang. Selon l'Aphp, 20 millions de Français sont porteurs de maladies chroniques. Les malades français se multiplient comme un cancer. Une forte part de ces malades peut être imputée à la défaillance généralisée des analyses biologiques validées (prise de sang, échantillon d'urine, cheveux). Le sang ne représente que 5% du corps. Ce sont donc 95% du corps qui échappent délibérément à la toxicologie française et à la science. Aucune cause n'est traitée par la médecine conventionnelle car les références corporelle de chaque cause est manquante. Quand une cause est traitée de façon non conventionnelle, l'Ordre des médecins et les Centres antipoison pourchassent les thérapeutes.

L'oncologue Hugues de Thé, Professeur titulaire de la Chaire Oncologie au Collège de France, affirme au Collège de France que le métabolisme supprime les tumeurs cancéreuses.
source : https://www.college-de-france.fr/fr/age ... llulaire-3 à partir de 00:05:26 et Or, Catherine Picard, Présidente de l'Unadfi (Union nationale des Associations de Défense des Familles et de l’Individu victimes de sectes) déclare que le métabolisme ne guérit pas du cancer. Elle déclare sur une radio à grande écoute que les personnes qui prônent le métabolisme sont sectaires : . L'Etat considère donc comme sectaire des personnes qui prônent des techniques que le Collège de France qualifie comme efficaces. Ni l'Etat ni les Institutions de santé n'ont donc vérifié l'état de la science. De plus, les vertus du métabolisme sont connues depuis des millénaires.

Le Docteur Melet a affirmé que les amalgames dentaires créaient des intoxications au mercure. En dépit que la littérature scientifique confirme cela, il a donc été pourchassé par l'Ordre des médecins car les institutions médicales françaises ont déclaré que les amalgames ne provoquaient aucune intoxication https://www.non-au-mercure-dentaire.org ... -melet.php. Pervertis par la filière française de toxicologie, l'Etat et les Institutions médicales françaises se sont donc lancés dans une chasse aux sorcières sans vérifier l'état de la science. La Justice est également saisie par l'Ordre des Médecins et l'Etat. A son tour, la Justice est pervertie.

GUERISON DE MALADIES CHRONIQUES
Les témoignages de patients qui prétendent avoir guéri de maladies chroniques (Cancer, autisme, ...) correspondent aux traitements des causes rapportées par le Collège de France. https://www.college-de-france.fr/fr/age ... ss-oxydant à 00:14:55 + https://www.forum-melodie.fr/phpBB3/dow ... hp?id=1056 + voir pièce attachée STRESS OXYDANT.png. Le traitement de l'exposition et des la charge corporelle des pollutions, des infections et du métabolisme aurait guéri du cancer, de l'autisme et d'autres maladies. Or, les causes, les traitements et les témoignages des guéris sont totalement niées par la médecine conventionnelle et par la filière française de toxicologie. Les maladies ne sont donc ni prévenues ni guéries en population générale. Les témoignages rapportent que les médecins de famille ont déclaré à ces patients qu'il n'y avait aucune chance de guérir. La filière nationale de toxicologie n'écoute donc ni la littérature scientifique ni le Collège de France ni les malades qui ont guéri avec des solutions alternatives aux médecins. Les intoxiqués et les personnes qui ont guéri de maladies chroniques par le traitement des causes listées par le Collège de France seront qualifiés comme délirants ou sectaires par l'Ordre des médecins et par l'Etat https://www.conseil-national.medecin.fr ... m_psnc.pdf. Dans ce rapport, l'Ordre des médecins déclare : "Ainsi, on parle de dérive thérapeutique lorsque les médecins font des prescriptions qui ne sont pas conformes aux données acquises de la science" (Page 27). Or, une médecine conventionnelle et une science qui nient 95% du corps ne sont ni de la médecine ni de la science. Pour réutiliser le vocabulaire de l'Ordre des médecins dans son rapport, cela est une dérive charlatanesque et sectaire. Cependant, dans ce cadre, la position de monopole de l'Ordre des médecins lui confère un aspect totalitaire. L'Ordre des médecins n'a ni consulté le Collège de France ni la littérature scientifique. Par exemple, dans son rapport, l'Ordre des médecins conteste les vertus du jeûne sans citer ses sources. Or, une multiplicité d'Ordres des médecins aurait été un garde-fous. La page 35 de ce rapport indique que l'Ordre des médecins souhaite faire cesser les pratiques non conventionnelles. Après avoir négligé la santé chronique dans les pratiques conventionnelles, l'Ordre des médecins impose cette négligence sur le territoire. Ce qui compte, ce n'est pas la bonne santé, c'est que l'Ordre des médecins ne perde pas une miette de son monopole juteux en maximisant son économie. Les patients qui consultent les thérapeutes non conventionnels préféreraient obtenir des réponses des médecins conventionnels car la consultation et la thérapie sont remboursées. Si les pratiques non conventionnelles connaissent un essor, c'est parce que l'Ordre des médecins nie le Collège de France. Au lieu de pourchasser les thérapeutes qui traitent la charge corporelle, l'Ordre devrait revenir sur les bancs du Collège de France. L'Ordre des médecins sera trop fier pour reconnaître ses erreurs. Il faudra que l'Etat impose l'entrée des médecines traditionnelles dans la médecine conventionnelle.

La littérature scientifique rapporte certes que le traitement des métaux lourds ne guérit pas une majorité d'autistes, mais ce n'est pas une raison pour confisquer le traitement des excès de métaux. Il est sain d'éliminer les métaux lourds même si cela ne guérit pas de la pathologie. Les métaux lourds ont des effets à retardement. Des maladies apparaissent après leur disparition. Les cellules disposent d'un certain nombre de cycles. Les métaux lourds accélèrent le rythme des cycles pour pallier à la disparition des cellules. Puis les métaux lourds sont éliminés au bout de 20 ans mais les cellules dégénèrent car elles sont en fin de cycle. Selon la littérature scientifique, les métaux lourds impactent le développement du fœtus. La maladie est donc gravée dans le marbre au niveau du développement. La médecine conventionnelle devrait donc prévenir et traiter les causes des maladies chroniques dressées par le Collège de France. Ce sont des techniques de santé qui sont toutes confisquées par la filière française de toxicologie car cette dernière n'a pas réalisé son travail de référence. Les urines sont une mixture homogène. Il est donc facile d'extraire des analyses et des références des métaux lourds inorganiques. Mais les selles ne sont pas homogènes. Les analyses et les références des particules oxydantes organiques sont donc très aléatoires. Il faut donc traiter sans analyse et sans référence. La science est à 95% défaillante, elle ne peut être un prétexte pour confisquer des techniques de santé (ventouses, Ayurvéda, jeûne). De nombreuses maladies chroniques sont gravées dans le marbre, il est donc pertinent de les prévenir avec le traitement des causes dressées par le Collège de France. De plus, certaines maladies chroniques sont réversibles, il est donc pertinent de traiter les causes dressées par le Collège de France (exposition et charge corporelle). Or, dans les faits, la médecine conventionnelle et expérimentale ne traite uniquement l'exposition.

Dans son PNSE3 (Plan National Santé Environnement) 2015-2019, le Gouvernement a demandé à la STC (Société de Toxicologie Clinique) d'élaborer des recommandations de bonnes pratiques pour la prise en charge des personnes fortement imprégnées au mercure chez les femmes enceintes. Action 21 https://sante.gouv.fr/IMG/pdf/pnse3_v_finale.pdf. La réponse de la STC est placée à la page suivante : https://www.toxicologie-clinique.org/re ... -a-naitre/. Cette réponse de la STC nie le mercure corporel chez la mère et chez le bébé. Elle nie également les diagnostics après traitement. Elle se base sur les analyses validées qui sont faussement rassurantes. La STC ne désimprègne donc pas le corps, elle ne répond donc pas aux demandes du Gouvernement. De plus, après avoir appliqué le protocole défaillant de la STC, le praticien affirmera à tort à la patiente qu'elle sera totalement débarrassée de son mercure. La démarche pertinente est de diagnostiquer les femmes en âge de procréer avec un diagnostic après traitement. De plus, le PNSE3 a été ratifié par le Parlement, la STC n'écoute donc pas le Peuple français. Chez les toxicologues français, c'est l'absence de consensus à l'international qui prime sur le Parlement. A la STC, les normes défaillantes à 95% priment sur la santé des français.

Selon le Gouvernement, les troubles du neuro-développement touchent 5 % de la population, soit environ 35 000 naissances par an, https://handicap.gouv.fr/la-strategie-n ... -2018-2022 .

De plus, il existe des particules oxydantes organiques (pesticides, vaccin au squalène) dont les analyses corporelles n'ont jamais été réalisées. Les particules oxydantes organiques dans le cerveau ne peuvent pas être analysées du vivant du patient avec les protocoles officiels. La filière de toxicologie nie donc l'existence de ces particules oxydantes. Or, l'Ayurveda, les ventouses et le jeûne traitent ces particules. L'Ayurveda est une médecine pratiquée à l'hôpital en Inde. Le traitement consiste en l'ingestion d'une forte quantité d'huile végétale. L'huile circule dans le corps et elle draine les particules oxydantes organiques. Les particules oxydantes se retrouvent dans les émonctoires (intestins,...). Elles sont ensuite éliminées. Les analyses n'ont jamais été réalisées par les filières nationales et internationales de toxicologie. Cependant, faute de références corporelles, ces filières se permettront de déclarer que des composés organiques toxiques sont non toxiques. Quant aux références en population générale, on peut compter sur les filières internationales et nationales de toxicologie pour ne jamais les réaliser. La défaillance de la filière nationale de toxicologie est extrêmement large. Or, cette filière devrait s'intéresser à toutes les particules oxydantes listées par le Collège de France. La seule chose qui compte pour les filières de toxicologie, ce sont ses consensus défaillants quitte à laisser les populations générales en mauvaise santé. Selon ces filières, personne ne doit ni être diagnostiqué ni être guéri hors de leur consensus. Les populations sont donc mises en danger par les filières de toxicologie.

HYPER ELECTROSENSIBILITE (EHS)
Voici un autre exemple. L'Anses a publié un rapport qui totalise 350 pages sur l'électrosensibilité https://www.anses.fr/fr/system/files/AP2011SA0150Ra.pdf. La conclusion du rapport affirme que la littérature scientifique n'a pas trouvé les causes de l'électrosensibilité (sensibilité aux ondes). Le rapport principal indique page 203 : "Il n’existe actuellement aucune étude scientifique sur les concentrations tissulaires des métaux lourds et leur élimination urinaire chez les personnes se déclarant EHS. Les résultats de la seule étude analysée sur les concentrations sanguines en métaux lourds ne sont pas suffisants pour conclure à une association (ou pas) entre une intoxication aux métaux lourds et la survenue de l’EHS". Les métaux lourds dans le corps n'ont donc pas été étudiés et les conclusions se basent sur le sang dans lequel il n'apparait pas de métaux lourds. Cependant, à l'annexe 1 page 100 https://www.anses.fr/fr/system/files/AP ... a-Anx1.pdf, un sociologue qui a enquêté auprès des électrosensibles a témoigné : "Pour entrer dans une démarche de guérison, les EHS doivent s’emparer d’autres diagnostics, comme l’intoxication aux métaux lourds ou la maladie de Lyme." Les électrosensibles se traitent donc par eux-mêmes des métaux lourds et des infections et guérissent de maladies que les agences de santé déclarent comme ne pas savoir guérir. L'ANSES n'écoute donc pas les témoignages des guéris ni des sociologues et néglige officiellement la charge corporelle. De plus, le Collège de France sait provoquer des désagréments aux patients en appliquant des ondes. Pour cela, il affirme qu'il faut intoxiquer les patients avec des métaux lourds Cela prouve que l'ANSES n'écoute pas le Collège de France. L'Anses n'écoute que les articles qui ne mènent à rien.

Il en est de même avec les vaccins au mercure et à l'aluminium. Il en est de même avec les maladies chroniques. La Ministre de la Santé a déclaré au Sénat que toute la chaîne médicale (OMS, Académies françaises de médecine, Haut conseil de santé publique, FDA, Agence Européenne du médicament) a conclu à l'innocuité de l'aluminium dans les vaccins Elle ajoute que des centaines de millions de doses ont été injectées dans le monde. Or, sans référence corporelle, il est rigoureusement impossible de conclure à l'innocuité de l'aluminium dans les vaccins. La faille est structurelle, toute la chaîne institutionnelle est donc dans l'erreur. Le calcul bénéfice/risque ne prend pas en compte ni les réactions violentes (troubles psy, autisme, mort) ni les maladies chroniques ni l'ensemble des doses de métaux lourds administrés dans tous les vaccins. Avec 20 millions de malades chroniques, la prise en compte de ces facteurs renversera éventuellement le calcul bénéfice risque. Cependant, il est déjà choquant que le traitement de métaux lourds soit interdit. De plus, les métaux lourds peuvent infliger des dégâts irréversibles et être ensuite éliminés par l'organisme. Les diagnostics et les traitements seront donc vains. C'est-à-dire que le lien entre maladie chronique et métaux lourds ne pourra pas être établi y compris lors des analyses post-mortem. Ces maladies chroniques échapperont donc à la balance bénéfice/risque. Les références ne sont donc pas un indicateur totalement fiable en population générale. De plus, des maladies peuvent apparaître à retardement (Alzheimer) car les tissus auront été précocement usés. Ces maladies devraient donc être intégrées au calcul bénéfice/risque car le corps est quelque chose de dynamique qui ne peut pas être enfermé dans la science et car la survenue des maux surgit à distance de l'injection ou de la pose de l'amalgame. Dans son rapport, la science est le leitmotiv de l'Ordre des médecins mais la science n'est qu'un prétexte pour marcher sur la tête et augmenter les revenus des médecins. "Tous les vices à la mode passent pour vertus", Molière. Pour une parfaite information, il faut prendre en compte l'ensemble des vaccins et des amalgames. La médecine est la plus grande source d'exposition des populations à la toxicité. Suite à mes messages, le Président de la commission vaccins de la HAS m'a informé que la grande majorité des vaccins était sans mercure. Ce n'est pas l'Etat qui a pris cette initiative, ce sont les antivax qui ont eu gain de cause. Cela indique qu'il faut se battre pour sa santé. Aujourd'hui, seuls 5% du corps sont pris en compte par l'Etat. Il faut donc se battre pour que 100% du corps soit pris en compte dans les études. La seule chose que souhaite l'Etat, c'est ne pas se contredire. 95% du corps seront donc niés tant que personne ne conteste.

Il existe des témoignages de guérison de l'autisme par le traitement des pollutions et/ou par le traitement des infections et/ou par le traitement du métabolisme. Il existe des témoignages de guérison du cancer par le régime alimentaire, ou par le métabolisme ou par les bains froids. Pour se donner le maximum de chance de guérir d'une maladie chronique, il faut donc traiter toutes les causes listées par le Collège de France. Par exemple, les pesticides créent des inflammations, à leur tour, les inflammations créent le cancer. Il faut donc traiter la tumeur et les pesticides. Les pollutions se traitent par les chélateurs et par l'Ayurveda (ingestion d'huile végétale). La tumeur se traite par la chimiothérapie et par le jeûne. Ces techniques traitent également le cerveau. La restriction calorique et les ventouses éliminent également les particules oxydantes. Les infections se traitent par des produits anti micro-organismes (huiles essentielles, médicaments, ...). Le métabolisme se traite par la restriction calorique et par une exposition au froid. Les thermes romaines disposaient de bains froids. L'exposition au froid était donc une politique de santé publique. Le métabolisme est la réunion du catabolisme et de l'anabolisme. Autrement dit, le métabolisme est la réunion du noyau (production de protéines) de la cellule et de la mitochondrie (destruction de chaînes carbonées) de la cellule. Selon le Collège de France, il faut que le noyau et la mitochondrie discutent. Il faut donc que le noyau soit dans des disposition favorables pour produire des protéines et il faut que les mitochondries soient jeunes et fraîches pour éliminer toutes les chaînes carbonées sinon elle est oxydante. Or, il n'existe pas de diagnostic ni de référence en population générale sur l'état du noyau et sur l'état des mitochondries. Les causes et les remèdes des maladies sont donc niés par la médecine conventionnelle. Les Youtubeurs qui ne nient pas les causes et les remèdes des maladies chroniques connaissent un succès éclatant car la médecine conventionnelle a créé un vide sidéral. Le rejet des médecines traditionnelles par la médecine conventionnelle est une faute lourde car le Collège de France et les malades donnent raison aux médecines traditionnelles. Comme les rémissions des maladies chroniques sont faibles, il est préférable d'investir dans la prévention.

Selon le Collège de France, la restriction calorique et le régime cétogène déplie l'ADN et il permet la transcription des protéines La cellule peut enfin répondre aux agressions. Selon la diapositive à l'écran, les neurones survivants à la maladie d'Alzheimer sont protégés par ce régime. Avec le régime cétogène et la restriction calorique, le noyau exprime les gènes anticancer. Le métabolisme traite donc le cancer. Cela permet parfois de réduire les traitements conventionnels toxiques et les chirurgies. Les traitements conventionnels sont onéreux (plusieurs dizaines de milliers d'euros) et les patients sont charcutés comme des blessés de guerre. Le métabolisme est gratuit. Le traitement de toutes les causes des maladies chroniques est peu onéreux mais il nécessite une application chronique. Cela explique le succès des thérapeutes sur Youtube car le terrain favorable aux maladies chroniques n'est pas borné par la médecine conventionnelle. Cela nourrit à juste titre la théorie du complot car les médecins favoriseraient la survenue des maladies chroniques. Preuve médicale à l'appui, la restriction calorique a guéri une personne en phase terminale à qui les oncologues ont affirmé qu'elle était condamnée sous 3 mois. Je n'ai jamais trouvé de statistiques décisives sur les rémissions. Selon le Docteur Laurent Schwartz, les cancéreux rapportent que le métabolisme améliore mais qu'il est limité. Aucune technique ne peut donc prétendre à évincer une autre. Un cancéreux a mixé les techniques rapportées par le Collège de France (restriction calorique, métabolisme, chimiothérapie, bains froids). Son oncologue était étonné par sa rémission totale. Cependant, son oncologue a affirmé qu'il n'était pas intéressé par les techniques rapportées par le Collège de France. Ce médecin nie la science, il est donc placé dans une dérive thérapeutique susceptible d'être sanctionnée par l'Ordre des médecins. Laurent Schwartz a été exclu de l'APHP pour son audace. Cela indique que le traitement des causes des maladies sera considéré comme un affront à la médecine. Seul le Politique pourra imposer le traitement des causes.

Le cancer parviendrait d'une dysfonction de la mitochondrie ( Mais il existerait une spirale de causes. Faute de mitochondrie fonctionnelle, des molécules de sucre sont cassées en deux morceaux dans la cellule de façon à créer l’énergie dont la cellule a besoin. Cependant, ces deux morceaux de demi-sucre demeurent dans la cellule et s'accumulent. La cellule augmente donc anormalement en taille. Dès que sa taille double, elle se divise. Le cancer est donc un emballement de ce processus. Pour empêcher la cellule de grossir et de se diviser, il convient certes de cesser le sucre. Selon le Collège de France, l'autophagie par restriction calorique élimine les mitochondries défaillantes ( il aiderait donc à la résolution des cancers dans la durée. De plus, selon le Collège de France, avec des bains froids, il est possible de relancer la biogenèse mitochondriale. Cela permettrait d'opérer une combustion complète du sucre. La cellule n'augmentera donc pas en taille et elle n'aura pas besoin de se diviser y compris en présence de sucre. Avec les bains froids, la chute et la rechute seraient mieux prévenues. Cependant, il n'est pas inutile de traiter les autres catégories de particules oxydantes (métaux lourds, pesticides, angoisses,...) car selon le Collège de France, toutes les particules oxydantes participent au cancer. Avec la restriction calorique, certains patients guérissent et ne font pas de rechute car les causes du cancer sont traitées. Avec la chimiothérapie seule, le Collège de France affirme que les patients font des rechutes car ce traitement ne traite que les symptômes https://www.college-de-france.fr/fr/age ... -moderne-5 à 00:40:20. Tant qu'une seule cause demeure négligée, le risque de récidive n'est pas réduit au minimum. Les maladies chroniques sont une synergie de facteurs, or la médecine conventionnelle est un mille-feuille. C'est donc au médecin généraliste qu'il revient de traiter toutes les causes unes à unes. Pour traiter toutes les causes, il faut combiner de nombreuses médecines (contemporaines et traditionnelles). Par son aspect pluridisciplinaire, seul le Collège de France pourra décortiquer la panoplie de techniques à mettre en œuvre et sélectionner avec justesse les démarches à réaliser pour éliminer toutes les catégories de particules oxydantes.

Les métaux radioactifs (Uranium,...) peuvent également être éliminés par le traitement des métaux. Et, la défaillance de la toxicologie explique la lente et massive hécatombe de soldats suite au cocktail de d'éléments toxiques (vaccins, uranium, ...) de guerre du golfe de 1991. Depuis 30 ans, aucun soldat de la coalition n'a reçu de traitement contre les éléments toxiques. Or, 35% des centaines de milliers de soldats américains ont été considérés comme intoxiqués après une décennie de combats politiques et scientifique par des Irm des cerveaux atrophiés.

A la page suivante se trouvent tous les traitements conventionnels de l'Institut du cancer : https://web.archive.org/web/20230306170 ... raitements. Aucun de ces traitements ne traite les causes du cancer dressées par le Collège de France. De plus, dans la rubrique "Traitements Miracles", l'Institut du cancer dissuade d'appliquer tout autre traitement (dont les causes) (https://web.archive.org/web/20230306170 ... s-miracles).

Je rappelle que le Collège de France est la plus haute université française. Les professeurs sont choisis pour leurs travaux et non pour répéter bêtement le consensus. L'anarchie possède une petite part de vérité que l'Etat doit prendre en compte. Or, le Collège de France est missionné pour filtrer les vérités car la science n'est qu'un capharnaüm. Selon le Collège de France, les métaux lourds et la dysfonction mitochondriale font parti des traits communs des maladies neurodégénératives : Or, selon le Collège de France, le bain froid et la diète favorisent l'activité et la biogénèse massive de mitochondries : La mitochondrie est le lieu de la production de la chaleur et de la destruction des chaînes carbonées : la mitochondrie régule les protéines. Les bains froids multiplient également les capillaires. Cela rétablit la tension. Cela permet d'amener l'oxygène au plus près des cellules. Cela permet d'accélérer massivement la cicatrisation et la guérison. Une série de bains froids permet de régénérer durablement les tissus. La gamme de maladies améliorées par les bains froids est large (paralysie, arthrose, dépression, SEP, arythmie, ..). Voir les témoignages de guérisons miracles de WIM HOF (https://www.youtube.com/@wimhof1, 2,6 millions d'abonnés). Bien mené, un bain froid ne présente pas d'effets secondaires.

Au Collège de France le Professeur invité du CNRS Bernard Meunier affirme que les traitements actuels d'Alzheimer sont toxiques et qu'ils n'influent pas sur la course de la maladie mais, selon ce Professeur, il serait impossible de laisser les Alzheimer sans traitement. Les traitements coûtent plusieurs milliers d'euros par mois. Pour très cher et aux frais de l'Etat, on empoisonne des gens gravement malades sans aucun bénéfice. Cela est une dérive thérapeutique susceptible d'être sanctionnée par l'Ordre des médecins et la Cour des comptes devrait également examiner cette situation. La Diapositive à l'écran affiche que le sang n'est ni représentatif des cerveaux sains ni des cerveaux des personnes porteuses de la maladie d'Alzheimer. Le sang ne dit donc rien des organes. Le Professeur ajoute que les cerveaux des Alzheimer post-mortem présentent des anomalies graves au niveau du taux de cuivre, de fer et de zinc par rapport à un cerveau sain. Il préconise le traitement des métaux. Or, les filières internationales et nationales de santé n'ont pas relevé que les analyses validées (sang, urine, cheveux) des Alzheimer présentaient des analyses anormales. Ces filières devront donc se dédire. Au vu leurs pratiques extrêmement agressives à l'encontre des médecins qui pratiquent le diagnostic après traitement, ces filières refuseront de se dédire. Elles préfèreront laisser les très nombreux malades sans le traitement des excès de métaux. La Justice devrait statuer sur leur responsabilité. La médecine conventionnelle est perdue devant les maladies chroniques et elle refuse de tenir compte du Collège de France ni de la littérature scientifique. Sa déperdition n'est donc pas justifiée. L'Etat français est généreux car il prend en charge le million d'Alzheimer, mais le retrait des excès de métaux ne coûte que 30 euros par personne, il est donc préférable de retirer les excès de métaux à tout le monde que de prendre en charge une forte minorité lourdement handicapée.

Selon le traité de toxicologie CHELATION THERAPY (page 176) :
"Gonzales-Ramirez et al. (1995) ont utilisé le test de mobilisation du DMPS pour étudier l'exposition au mercure chez les dentistes et les techniciens dentaires. L'excrétion urinaire de mercure après provocation par le DMPS était largement supérieure à celle des témoins non exposés au mercure, et plus élevée chez les dentistes. Les excrétions de mercure post-DMPS et pré-DMPS étaient fortement corrélées. La quantité de mercure mobilisée par le DMPS et les résultats des tests neurocomportementaux ont montré une relation inverse significative. Cela indique une valeur potentielle du test dans le diagnostic d'une exposition indésirable au mercure." Ce traité de toxicologie rapporte donc que les analyses après traitement sont un diagnostic potentiel d'une intoxication au mercure. Or, la filière française de toxicologie refuse ce diagnostic.

Selon le traité de toxicologie CHELATION THERAPY (page 175) :
"Aposhian et al. (1992) ont utilisé le test de mobilisation du DMPS pour étudier l'exposition au mercure et la charge systémique en mercure dans des populations non exposées au mercure dans le cadre professionnel. Dans un groupe de volontaires, une corrélation statistiquement significative a été observée entre le "score d'amalgame" (nombre et taille des amalgames dentaires) et l'excrétion urinaire de mercure provoquée par le DMPS." Cependant, les autorités sanitaires françaises ont déclaré que les amalgames ne présentent pas de risque car leurs analyses biologiques sont sans traitement. Or, cet extrait indique que les analyses après traitement en mercure sont corrélées au nombre d'amalgames présents en bouche. Autrement dit, en dépit des déclarations des agences françaises de santé, les amalgames dentaires intoxiquent les porteurs d'amalgames dentaires. Cela fait trente ans que les études après traitement accusent les amalgames. Les filières de toxicologie n'ont jamais répondu à ces accusations. Leurs seules réponses, c'est d'asséner leurs protocoles défaillants auprès de l'Etat et c'est de dénigrer les protocoles efficaces. Selon le Ministère de la Santé (https://sante.gouv.fr/soins-et-maladies ... erv%C3%A9s) :"A ce jour, aucune étude scientifique rigoureuse n’a pu mettre en évidence d’effets néfastes des obturations par amalgame sur l’état de santé général des patients." 95% du corps et les études après traitement sont donc rigoureusement et systématiquement écartés car les références n'ont pas été établies par les Intuitions en charge de ces références. Or, ce sont ces mêmes Institutions qui écartent les études après traitement. Le doute n'est pas levé car la levée du doute compromet la filière française de toxicologie. L'Etat a relayé la parole de la filière française de toxicologie, l'Etat devra donc se dédire. Seul le Président de la République prendra l'initiative de dédire l'Etat. Un Ministre de la santé ne prendra jamais l'initiative de contredire le Ministère de la santé.

Selon l'article scientifique "LES AGENTS CHÉLATEURS :ALERTE À L’ABUS !" https://orbi.uliege.be/handle/2268/205505, :"Les concentrations mesurées dans ces circonstances ne peuvent donc être comparées aux valeurs de référence en population générale, rendant ainsi les résultats ininterprétables." Les conclusions des études après traitement qui mettent en évidence l'intoxication chronique sont donc évincées systématiquement et automatiquement au motif que les références n'ont pas été dressées.

Or, les sociétés françaises de toxicologie déclarent : "Contrairement à ce qu’affirment certaines publications para-scientifiques (et avec elles, certains praticiens), il n’y a pas de preuve suffisante d’une association causale entre une contamination par un élément métallique et certaines affections, telles que l’autisme, la sclérose en plaques, la maladie de Parkinson, le syndrome de fatigue chronique, la goutte, les maladies cardiovasculaires, la dégénérescence maculaire ou la myofascite à macrophages." Source : https://www.forum-melodie.fr/phpBB3/dow ... hp?id=1017. Devant l'absence de preuve, les sociétés françaises de toxicologie interdisent le traitement des métaux lourds sur le territoire français. Or, la méthodologie de la confection de la preuve est officiellement défaillante. Les Sociétés françaises de toxicologie dissimulent donc que les études officielles sur lesquelles elles basent leurs conclusions sont défaillantes. La filière française de toxicologie est arc boutée sur ces diagnostics validés et défaillants. Elle dissimule donc que ses démarches et ses conclusions sont lourdement contestées par les scientifiques dans la littérature. La filière française de toxicologie refuse de prendre en compte le corps de toute part :Gouvernement, scientifiques, littérature scientifique, Collège de France, patients, Peuple français. Elle est placée dans une dérive sectaire susceptible d'être sanctionnée par l'Ordre des médecins. La science est devenue un prétexte pour augmenter systématiquement l'activité économique des médecins. La filière française de toxicologie a adopté une politique de communication qui veut empêcher que les bonnes questions soient posées car ces questions contestent le consensus général défaillant passé entre les agences nationales et internationales de santé. La médecine exploite au maximum la confiance que lui accorde l'Etat et les Français. Les failles béantes de la science ne sont donc pas prise en compte par les Agences de santé. Ces failles sont donc exploitées pour confisquer le traitement des causes des maladies chroniques.

De plus, selon le traité de toxicologie CHELATION THERAPY (pages 74-75) :
"Un test de provocation CaNa2-EDTA a également été utilisé pour estimer la charge corporelle de plomb. Une dose standard de CaNa2-EDTA augmente l'excrétion urinaire du plomb stocké. Cependant, les valeurs de référence ne sont pas définies pour ce test, et la justification de l'utilisation du test EDTA a été remise en question." L'évaluation de la charge corporelle est donc contestée pour un motif administratif : les filières nationales et internationales de toxicologie n'ont pas fait le travail de référence. Selon cet extrait, le fait de rechercher des métaux lourds dans le corps est contesté. Les métaux lourds sont donc un tabou dans les filières de toxicologie. Le consensus international des Agences de santé consiste donc à se reporter aveuglément sur des analyses biologiques sans traitement quitte à sacrifier l'étude de la charge corporelle et quitte à sacrifier la santé des populations. Aux Etats-Unis et en Allemagne, il existe différents courants de Sociétés de toxicologie, certaines sociétés sont pour le traitement, d'autres sont contre le traitement. C'est l'absence de référence qui a fait émerger cette confusion. L'établissement des références instaurera une situation claire pour tout le monde. Or, en France, les Centres antipoison mènent une chasse contre les traitements avec les méthodes les plus cavalières.

Aucune population générale, ni en bonne santé ni souffrant de maladies chroniques n'a encore fait l'objet d'étude de la charge corporelle ni en mercure, ni de tout autre métal, ni de tout autre particule oxydante organique ni de toute pollution. Le défaut de charges corporelles est extrêmement large. De plus, selon l'APHP, 20 millions de Français sont porteurs de maladies chroniques. Ce nombre très élevé de patients est donc peut-être partiellement explicable par la défaillance des prises de sang ou des échantillons d'urine sans traitement. Tout le monde croit à tort que les toxicologues examinent l'entièreté du corps. Or, dans les faits, les Centres antipoison imposent à l'ensemble de filière que seuls 5% non représentatifs soient pris en compte.

La filière française de toxicologie est enferrée dans le mensonge. De plus, elle s'est lancée dans une chasse aux sorcières. De plus, elle a perverti l'Etat et la Justice. Il est donc impossible de revenir en arrière. Au contact des patients, la mission des Centres antipoison était de prévenir la défaillance des filières internationales de santé. De plus, la filière française de toxicologie empêchera de réaliser les références des analyses après traitement car ces références révéleront que les amalgames dentaires intoxiquent. Avec ces références, la filière française de toxicologie devra se dédire. Avec ces références, il ne sera plus possible de faire confiance dans la filière française de toxicologie. Pour couvrir leur défaillance, elle empêchera le progrès. Elle continuera donc son travail de menaces publiques envers les médecins qui traitent les malades. Et elle continuera à nier la littérature scientifique. Pour sortir de l'impasse, il faut que le Politique force la filière française de toxicologie à faire son travail de référence. De plus, il est extrêmement choquant que la filière de toxicologie confisque le traitement des métaux lourds sur le territoire français. Le Ministère de la Santé devrait ouvrir des Centres de soins qui traitent toutes les particules oxydantes même s'il n'existe pas de références en population générale. Les métaux lourds usent les tissus. Les métaux lourds sont éventuellement éliminés. Dix ans après, les tissus dégénèrent. Il est très difficile de revenir en arrière sur la dégénérescence. Quelqu'un qui a des excès de métaux doit être traité même s'il n'a pas de symptômes car les excès de métaux ont des effets à retardement (cancer, maladies neuro-dégénératives, arthrose, vieillissement). Il existe une alternative aux références, c'est de traiter tant que les analyses après traitement rejoignent les valeurs sans traitement, cela indique que les molécules ont traité ce qu'elles pouvaient traiter.

Selon les Sociétés françaises de toxicologie, le traitement des métaux lourds provoquent de rares incidents de traitement. Les sociétés françaises de toxicologie jouent donc sur la peur des patients. Or, selon l'Association allemande de toxicologie KMT, ses protocoles sont sans incidents, voir FAQ n°2 https://www.metallausleitung.de/f%C3%BCr-patienten/faq/. Contrairement à ce qu'affirment les sociétés françaises de toxicologie, il est donc possible de traiter en toute sérénité. Les protocoles de traitement des Centres antipoison français sont donc également défaillants.

J'ai été traité en milieu médical par un médecin qui été formé aux Etats-Unis et qui travaillait en France dans la clandestinité. Le médecin injectait par intraveineuse une ampoule de 5 cl tous les mois. Seul ce conditionnement est disponible sur le marché. Le principe actif était donc fortement concentré dans un petit volume. De très faibles soulagement de mes symptômes (maux de tête) sont apparus après six mois de traitement. Je me voyais donc guéri en plusieurs décennies. De plus, le médecin a affirmé que les patients déclaraient qu'ils leur restaient des symptômes après que les analyses étaient devenues négatives car le traitement ne circule pas dans le cerveau. J'ai donc acheté des traitements en poudre sur internet dont le coût s'élevait à 30 euros. Je les ai mixés à une grande quantité de l'eau et à de l'huile. La dilution dans un fort volume d'eau est le protocole en vigueur chez les herboristeries. J'ai guéri de l'entièreté mon électrosensibilité et de mes maux de tête que je portais depuis 15 ans en 3 mois. La forte dilution percole profondément dans le cerveau comme du vin. Cela n'est pas le cas des procédés des médecins. La dose fortement concentrée ne percole pas dans le corps, elle est donc peu efficace. Les métaux lourds sont disposés en nuage, les principes actifs doivent donc être administrés en nuage. Les modes d'administration en cours dans le milieu médical ont donc des progrès significatifs à réaliser. Mon protocole complet est disponible à la page suivante : https://www.forum-melodie.fr/phpBB3/vie ... 14#p121814. J'ai ajouté une synthèse du traitement de toutes les catégories de particules oxydantes. Avec mon protocole, la complexité des traitements des métaux lourds est significativement simplifiée. Mon protocole est cent fois plus efficace que les protocoles pratiqués chez les médecins. Avec mon protocole, les références seront cent fois plus fines. De plus, il est possible de fractionner les doses avec une prise quotidienne à domicile. Cela permettra d'éviter les accidents cardiaques par décalcification liés aux fortes doses mensuelles fortement concentrées pratiquées en milieu médical et brandies par les Centres antipoison pour faire peur aux malades. Il faudrait inventer un cachet effervescent à acheter en pharmacie sur prescription. Un cachet effervescent est à cheval sur l'industrie et l'herboristerie. Au domicile, il n'est pas nécessaire de déranger un médecin des dizaines ou une centaine de fois pour faire une intraveineuse. Cela simplifie considérablement la prise en charge d'un patient. A jeun, les principes actifs dilués dans l'eau ou de l'huile pénètrent directement dans le sang et montent directement au cerveau. Une intraveineuse n'est donc pas indispensable. Les os stockent les métaux lourds mais le traitement ne pénètre pas dans les os. Après un premier cycle de traitements, les os déstockent lentement leurs métaux lourds et réintoxiquent les tissus mous par rééquilibrage des concentrations. Il faudra donc répéter annuellement les campagnes de traitement. Le traitement est donc une labeur. C'est pourquoi une intoxication chronique devrait être traitée par un médecin généraliste. Les intoxications aiguës demeurent du ressort du Centre antipoison car il s'agit d'interventions spécifiques et ponctuelles. Je rappelle que mon traité est disponible gratuitement, le lien est donné en début de message.

Selon le traité de toxicologie CHELATION THERAPY (page 35), les traitements sont sensibles à l'acidité. Après avoir capté des métaux lourds dans le corps, ils relarguent les métaux lourds en masse dans un organe acide (reins). L'organe est donc lourdement et durablement blessé. En milieu alcalin, les traitements captent et fixent les métaux lourds. L'acidité crée donc des incidents insidieux de traitement. Ces incidents sont rares mais ils sont minimisés par les médecins. Avec mon protocole, il est possible d'ajouter une forte dose de bicarbonate de soude alimentaire (pH8) à la solution à boire. Cela permet de baisser le risque d'incident et d'augmenter l'efficacité du traitement. J'ai exprimé toutes mes préconisations aux incidents au chapitre 2.3 de mon protocole. Avec mon protocole, les Centres antipoison français ne pourront plus faire peur aux malades. L'urine du matin est acide (pH 5.5) car les acidités migrent la nuit jusqu'à la vessie. L'estomac en digestion est également acide, il faut donc prendre le traitement a jeun. Le corps est donc le plus alcalin après la première urine du matin. Il est donc préférable de prendre le traitement à ce moment-là.

Selon les experts miniers invités au Collège de France, il existe plusieurs dizaines de paramètres qui régissent les interactions entre atomes https://www.college-de-france.fr/fr/age ... xtractives. Ces experts miniers sont missionnés par l'Etat. Ils gèrent la stabilité des mines abandonnées en France afin d'éviter la propagation des métaux lourds dans l'environnement par le ruissellement en jetant de la chaux (pH13) sur les terrils. Les pluies acides libèrent les métaux lourds. Il semble que le pH soit un paramètre dominant sur les autres paramètres. Mais, ces experts devraient être consultés par les toxicologues pour consolider finement l'efficacité et la sécurité des traitements des métaux lourds.

Les Allemands ont installé une industrie des traitements des métaux. Cent médecins exercent sur le territoire allemand https://www.metallausleitung.de/. Ils se sont regroupés dans l'association KMT. Le Centre antipoison belge m'a répondu que les intoxications chroniques étaient un problème complexe sans solution simple. Chez les Allemands, une intoxication chronique est un problème simple avec un traitement simple.

Depuis 2021, j'ai déjà contacté 10.000 responsables. J'ai reçu plusieurs centaines de réponses. Le Ministre américain de la santé a accusé réception depuis sa filiale de toxicologie nationale. Les Sociétés françaises et américaines de toxicologie ne répondent pas. Les Centres antipoison français et américains ne répondent pas. Santé Publique France a accusé réception de mes textes mais elle n'a pas donné de suite. La Direction Générale de la Santé (DGS) a répondu, mais sa réponse est une courtoisie à cheval entre l'amour pour la santé des Français et à cheval sur la possibilité d'éviter le scandale. La Directrice d'une Agence française de santé m'a répondu, elle laisse entendre qu'elle se contente des analyses validées internationalement quitte à laisser des millions de Français sans les soins appropriés. Cela indique que la validation est une loi d'airain au dessus de la bonne santé. Le Président de la HAS a botté en touche en me renvoyant vers l'ANSES. Il se lave donc les mains de la défaillance généralisée de ses avis basés sur les protocoles défaillants de l'Anses. J'ai contacté l'Etude ComPare de l'APHP sur 50.000 malades de maladies chroniques. Sans vergogne, elle m'a répondu que les causes des maladies chroniques étaient hors du champ de l'étude. J'ai contacté les Agences américaines de Santé qui établissent les références que le reste du monde récupère. Le Directeur général du NIH (National Institute of Health, 20.000 salariés) a répondu sur lettre a en-tête (Voir pièces attachées) depuis sa filiale de toxicologie. La Direction générale du CDC (Centre de contrôle des maladies, 20.000 salariés) a écrit que je soulevais un problème important. La Directrice de la FDA a validé la réponse du NIH. Deux présidents de région français ont demandé à leur ARS que je reçoive des réponses.


Le taux sanguin officiel du plomb (sans traitement) est extrêmement élevé, 50 µg/L. Ce taux n'est pas issu des populations générales, mais il est issu d'un consensus. Les consensus sont donc établis pour déroger à la science et pour se débarrasser de la majorité des intoxications. Selon l'Inserm, : https://web.archive.org/web/20240106192 ... aturnisme/ : "Il s’agit d’un seuil d’intervention, déclenchant une déclaration obligatoire auprès des autorités sanitaires, une enquête environnementale et des mesures de protection. Mais, des concentrations bien plus faibles sont largement répandues et délétères, en particulier chez les enfants." Les filières de toxicologie trafiquent donc les chiffres donc dans tous les coins. L'Etat devra donc appliquer un contrôle qualité préventif à chaque rouage de la régularisation. Je rappelle que les références doivent être établies dans une population en bonne santé qui n'a jamais été exposées aux particules oxydantes. Les personnes fumeuses, porteuses d'amalgames et vaccinées devront toutes être exclues du processus de confection des références. Il ne reste donc plus personne de sain. Pour retrouver la santé, les consensus devront tous être annulés. A défaut, les analyses biologiques devraient annoncer la valeur en population générale et le consensus afin de permettre aux analysés de juger le rôle des filières de toxicologie. Si les médecins généralistes traitaient les intoxications, les Agences de santé ne seraient pas tentées de manipuler les références.

Les laboratoires allemands proposent des analyses biologiques à 100 euros environ pour 30 métaux. Les laboratoires français proposent des analyses métal par métal entre 10 et 50 euros l’unité. Le prix de 30 métaux dans un laboratoire français s'élève donc à 1500 euros environ. Les laboratoires allemands sont donc bien plus économiques et pertinents.

Placés entre la théorie et la pratique, les Centres antipoison ont exécuté la sale besogne avec zèle. Les intoxiqués chroniques ont été refoulés en masse. Les porteurs d'amalgames ont été refoulés en masse et ils sont exclus des populations à risque. Les intoxiqués sont redirigés vers la psy par les Centres antipoison. Les Centres antipoison ont donc exprimé des faux diagnostics en masse. Les médecins qui traitent ont été menacés par les Centres antipoison. Et la prévention a été confisquée par les Centres antipoison en dépit qu'ils sont en charge de la prévention. Les Centres antipoison sont officiellement au début de la chaine d'alerte https://web.archive.org/web/20240106194 ... ovigilance. Les Centres antipoison se sont donc voués à étouffer les alertes. Voici la question du Député Nicolin : "M. Yves Nicolin interroge Mme la ministre des affaires sociales et de la santé sur l'intoxication chronique aux métaux lourds qui, contrairement à la forme aiguë, n'est pas reconnue en France. Phénomène de plus en plus fréquent, l'intoxication aux métaux lourds se manifeste par une cohorte de pathologies en recrudescence. Dans la plupart des cas, le lien entre toxiques et morbidité est insoupçonné et les victimes, ni diagnostiquées ni soignées, errent dans le monde médical, avec un coût dramatique pour la société. L'effet cumulatif des métaux toxiques à faibles doses se conjugue au mélange des nombreux toxiques environnementaux qui s'accumulent au fil du temps dans nos cellules et se potentialisent les uns les autres. Si l'on persiste à écarter ces deux paramètres, la France risque fort de détenir encore longtemps son record d'utilisation de psychotropes et du nombre de maladies étiquetées « psy ». Dans ce contexte, il aimerait savoir pourquoi ces intoxications chroniques ne sont pas encore reconnues officiellement et si, par ailleurs, le remboursement partiel ou total des soins n'est pas envisageable à terme." http://questions.assemblee-nationale.fr ... 6233QE.htm. La réponse de la Ministre revoie vers le PNSE3 qui ne dénoue pas la situation.

DESCARTES
Les toxicologues à l'international n'ont pas appliqué le Discours de la méthode de Descartes car ils n'ont pas suivi la consigne des revues générales en autant de fois que nécessaire. Les toxicologues se sont contentés des analyses disponibles très partielles car le corps vivant ne se prête pas aux exigences scientifiques (dissolution d'organes) et car les analyses validées se cantonnent à 5% non représentatifs du corps. Ensuite, ces toxicologues ont fait passer les analyses massivement défaillantes pour une vérité absolue. Depuis toujours, toute la littérature scientifique tourne en rond sur trois petites analyses validées du sang, de l'urine, des cheveux et massivement défaillantes. Les toxicologues n'exercent donc aucune vigilance sur les 95% restants du corps concernant les métaux. Les maladies chroniques ont donc complètement échappé à leurs causes. Cependant, les traités de toxicologie rapportent la parole de scientifiques qui contestent les protocoles officiels vains (voir références du plaidoyer) et qui constatent des excès massifs de métaux aux autopsies des personnes qui portaient des maladies chroniques. Les traités de toxicologie rapportent des pratiques de médecins qui sont bien plus efficaces que les diagnostics validés.

Nier 95% du corps est un acabit à craquer la voûte des cieux. Comme les tours jumelles, les superstructures neuro et psy vacillent sous la liquéfaction des infrastructures toxicologiques. Selon Victor Hugo, les malades meurent et les médecins ont le délire. Nier 95% du corps est une politique médicale qui à mené à l’hécatombe des maladies chroniques.

RESUME DES ACTIONS
- Former les médecins généralistes à la toxicologie.
- Cesser d'interdire le traitement au motif que les références n'ont pas été établies.
- Etablir les valeurs de référence après traitement en population générale pour les métaux.
- Autoriser les toxicologues français actuels qui traitent dans la clandestinité.
- Annuler tous les consensus toxicologiques et revenir aux références en population générale.
- Réaliser des bilans complets et économiques dans les laboratoires français. Ex : un bilan de 30 métaux pour 100 euros.
- Etablir un bilan toxicologie pour chaque maladie chronique et pour chaque dispositif médical (vaccins,...).
- Inventer le traitement des métaux avec un cachet effervescent.
- Etablir par le Collège de France un traité officiel gratuit de déstockage de toutes les particules oxydantes dans tous les organes.
- Etablir les références post-mortem en métaux des organes un a un et comparer avec les maladies chroniques (diabète, SEP, ....)
- Promouvoir les techniques de santé qui éliminent les substances organiques (Ayurveda, ventouses, jeûne) même si les analyses sont impossibles.


CONCLUSION
Des millions de Français sont les victimes d'un problème de normes médicales défaillantes à 95%.
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Sophocle
Messages : 42
Enregistré le : vendredi 23 mars 2018 14:09

TRAITE DE DETOX

Message par Sophocle »

Je place ici mon traité de désintoxication.
Ce traité évoque de nombreuses techniques sur le déstockage de toutes les particules oxydantes (métaux lourds, pesticides, ...) dans tous les organes y compris le cerveau.

J'ai mis plusieurs années à l'écrire.
J'avais une neurasthénie qui parvenait de mes amalgames dentaires.
J'ai donc fortement réduit mes symptômes grâce aux techniques rapportées.

Par exemple : voici un remède contre l'électrogalvanisme en retirant par osmose tout le mercure qui a migré vers les muqueuses buccales. Il s'agit d'une technique par solution saline hypertonique qui est rapportée dans le traité de toxicologie CHELATION THERAPY (p.107, ch.4.4.2). Les médecins toxicologue s'en servent pour traiter les personnes qui ont ingéré de l'arsenic.

REMEDE :
Préparer une bouteille d'un litre d'eau avec 100 g à 200 g de sel de cuisine et mixer
Placer 5cl de la solution dans la bouche
Faire circuler l'eau pendant 10 minutes (le temps de la douche)
Recracher (surtout ne pas avaler), rincer à l'eau claire
Répéter le bain salin tous les jours pendant un mois
Afin d’éliminer le mercure en cours de diffusion, cette cure est opportune en cas d’amalgames dentaires y compris s'ils ont déjà été ôtés des années auparavant.

L'osmose est un phénomène de transfert d'eau au travers de la paroi cellulaire. En plaçant de l'eau hautement saline sur une cellule, la cellule va se vider en cinq minutes de son eau et de ses minéraux. Les métaux lourds vont donc sortir de la cellule. En plaçant de l'eau saline sur les muqueuses, il est donc possible de les désintoxiquer de leurs métaux lourds. Il est également possible de recueillir l'eau qui sort et de l'analyser.

J’ai réalisé des bains de bouche à 200g/l pendant 16 jours mais la peau des muqueuses a été un peu brulée vers la fin du traitement. En 10 jours, la peau s'est reconstruite. Cependant, j’ai effacé tout mon électro-galvanisme (courants électriques dans la bouche). Lors des 15 premiers jours, des picotements se sont fait ressentir au niveau de la bouche. Le seizième jour, ces picotements ont cessé. Je suppose donc que le mercure qui était extrait provoquait ces picotements.


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