Alcoolisme thérapeutique
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- DavyBoy
- Messages : 88
- Enregistré le : samedi 18 janvier 2025 6:14
Alcoolisme thérapeutique
Je ne vis en Bretagne que depuis peu, mais j’ai déjà bien assimilé les mèmes bretons qui, avec une belle dose d’auto-dérision, décrivent cette région comme un paradis pour les amateurs de boisson. Cela dit, ce n’est pas la Bretagne qui m’a rendu alcoolique – c’est ma vie. L’alcoolisme, je l’ai apporté avec moi dans mes bagages.
L’alcoolisme, c’est ma méthode, mon mécanisme de survie. Je ne bois pas pour le plaisir ou la détente, mais parce que c’est le seul « médicament » qui fonctionne contre mon anxiété sociale. Aucun traitement prescrit par un médecin ne produit les mêmes effets que l’alcool. Parfois, j’ai même l’impression qu’on me donne des placebo. Sobre, je suis incapable de sortir de chez moi. Chaque bruit de porte ou sonnerie de téléphone devient une source de stress. Je ne décroche jamais. Mais une fois alcoolisé ? Je peux parler à n’importe qui, être moi-même, profiter de la vie. Je deviens sociable, tactile, décomplexé. Je suis capable de sortir, d’échanger avec des inconnus, et surtout, je me sens vivant, libéré de mon anxiété.
Avant chaque situation importante, je dois boire pour dépasser mes blocages, vaincre mes propres limites. Sinon, je vis comme une souris cachée dans son trou. Bien sûr, quand je redeviens sobre, le poids de la responsabilité et de la honte m’écrase à nouveau. Je repense à la personne insouciante et heureuse que j’étais sous l’effet de l’alcool, et l’anxiété revient, parfois même plus forte qu’avant.
Au fil des années, j’ai perfectionné ma « thérapie alcoolique », comme j’aime l’appeler. Grâce à mes connaissances techniques et mon expérience approfondie, j’ai conclu que : [propos retirés : pouvant inciter à la consommation d'alcool, la modération]
Je comprends que cela ne peut pas continuer ainsi. Il existe peut-être une autre solution, des comprimés miracles pour avoir du courage… Mais malheureusement, je dois vivre comme ça. Soit j’évite éternellement les situations anxiogènes et je ne sors plus de chez moi, soit je reste alcoolique toute ma vie.
L’alcoolisme, c’est ma méthode, mon mécanisme de survie. Je ne bois pas pour le plaisir ou la détente, mais parce que c’est le seul « médicament » qui fonctionne contre mon anxiété sociale. Aucun traitement prescrit par un médecin ne produit les mêmes effets que l’alcool. Parfois, j’ai même l’impression qu’on me donne des placebo. Sobre, je suis incapable de sortir de chez moi. Chaque bruit de porte ou sonnerie de téléphone devient une source de stress. Je ne décroche jamais. Mais une fois alcoolisé ? Je peux parler à n’importe qui, être moi-même, profiter de la vie. Je deviens sociable, tactile, décomplexé. Je suis capable de sortir, d’échanger avec des inconnus, et surtout, je me sens vivant, libéré de mon anxiété.
Avant chaque situation importante, je dois boire pour dépasser mes blocages, vaincre mes propres limites. Sinon, je vis comme une souris cachée dans son trou. Bien sûr, quand je redeviens sobre, le poids de la responsabilité et de la honte m’écrase à nouveau. Je repense à la personne insouciante et heureuse que j’étais sous l’effet de l’alcool, et l’anxiété revient, parfois même plus forte qu’avant.
Au fil des années, j’ai perfectionné ma « thérapie alcoolique », comme j’aime l’appeler. Grâce à mes connaissances techniques et mon expérience approfondie, j’ai conclu que : [propos retirés : pouvant inciter à la consommation d'alcool, la modération]
Je comprends que cela ne peut pas continuer ainsi. Il existe peut-être une autre solution, des comprimés miracles pour avoir du courage… Mais malheureusement, je dois vivre comme ça. Soit j’évite éternellement les situations anxiogènes et je ne sors plus de chez moi, soit je reste alcoolique toute ma vie.
- Nadine1
- Messages : 18801
- Enregistré le : jeudi 18 mars 2021 13:36
Alcoolisme thérapeutique
j'ose espérer que tu ne donnes pas ce conseil pour lutter contre la dépression, phobie sociale, etc...
(parole d'alcoolique...)
(parole d'alcoolique...)
Alcoolisme thérapeutique
drôles de conseils pour aller mieux, mon grand père russe est mort de l'alcool, je ne le vois donc vraiment pas comme un médicament.
si tu n'oses pas prendre des AD ou faire de traitements, ne pousse pas les autres vers cet enfer !!!
si tu n'oses pas prendre des AD ou faire de traitements, ne pousse pas les autres vers cet enfer !!!
Alcoolisme thérapeutique
je reviens vers toi car je comprends toutes les épreuves que tu as passées, et les traumas qui en découlent.
je ne te ferai pas la leçon sur la boisson, c'est ton choix, mais ta façon de t'exprimer sur ce sujet peut être malaisant pour beaucoup de personnes sur ce forum.
JAMAIS l'alcool ne sera un médicament, pour rien et encore moins la dépression !
je ne te ferai pas la leçon sur la boisson, c'est ton choix, mais ta façon de t'exprimer sur ce sujet peut être malaisant pour beaucoup de personnes sur ce forum.
JAMAIS l'alcool ne sera un médicament, pour rien et encore moins la dépression !
Alcoolisme thérapeutique
DavyBoy,
"Je comprends que cela ne peut pas continuer ainsi. Il existe peut-être une autre solution, des comprimés miracles pour avoir du courage… Mais malheureusement, je dois vivre comme ça. Soit j’évite éternellement les situations anxiogènes et je ne sors plus de chez moi, soit je reste alcoolique toute ma vie."
il existe des thérapies chez des psychiatres ou tu peut parler de tous tes traumas sans jugement.
les médicament miracles n'existent pas, sinon le forum serait vide, mais efficace oui, il faut trouver les bons.
et avancer petit a petit, tranquillement....
"Je comprends que cela ne peut pas continuer ainsi. Il existe peut-être une autre solution, des comprimés miracles pour avoir du courage… Mais malheureusement, je dois vivre comme ça. Soit j’évite éternellement les situations anxiogènes et je ne sors plus de chez moi, soit je reste alcoolique toute ma vie."
il existe des thérapies chez des psychiatres ou tu peut parler de tous tes traumas sans jugement.
les médicament miracles n'existent pas, sinon le forum serait vide, mais efficace oui, il faut trouver les bons.
et avancer petit a petit, tranquillement....
- DavyBoy
- Messages : 88
- Enregistré le : samedi 18 janvier 2025 6:14
Alcoolisme thérapeutique
Le problème est que mon trouble de stress post-traumatique a aggravé mon trouble d'anxiété sociale, que je ne peux pas contrôler. C'est ce qui me limite dans les choses que je voudrais faire mais dont j'ai peur. Beaucoup d'interactions courantes que les gens font au quotidien me sont inaccessibles. J'évite des choses comme les visites de base à des endroits tels que les magasins ou les bâtiments administratifs, etc. Je ne mettrai jamais les pieds à une place de les gens queer comment je suis, ou à la plage à cause de mon trouble d'anxiété sociale et de mes sentiments de ne pas mériter cette vie, de faible estime de moi, d'être un fardeau, les gens ne devraient même pas me voir.
J'ai perdu toute confiance envers les gens dans la vie réelle, et j'ai toujours l'impression qu'ils me jugent et me détestent, même s'ils ne savent pas vraiment qui je suis. Je me sens coupable pour mes décisions du passé, pour ce qui m'est arrivé, pour les façons dont je gère mon stress. J'ai l'impression que mon psychiatre me déteste, j'ai l'impression que personne ne comprend ce que c'est d'être en situation de handicap psychique, et à chaque fois, on s'attend à ce que je sois capable de faire des choses, alors que c'est comme courir un marathon sans pieds.
Et je ne peux pas dire ce que je ressens à une assistante sociale, car j'ai peur qu'elle prenne cela trop au sérieux et transforme ma crise en une urgence avec tout l'enfer bureaucratique et des solutions inconfortables. Je ne peux pas être moi-même et je porte toujours un masque de "Ça va bien". L'alcoolisme m'aide à accepter les décisions et les étapes nécessaires, même si, au final, je finirai quand même par ressentir encore plus de honte et de stress à cause de la façon dont je l'ai fait.
J'ai beaucoup de croyances négatives qui me font me sentir indigne d'aide, de soins ou de réconfort, et je me juge pour mes envies, limitant ainsi mon enfant intérieur à tout. Certaines de ces croyances m'ont été inculquées :
J'ai perdu toute confiance envers les gens dans la vie réelle, et j'ai toujours l'impression qu'ils me jugent et me détestent, même s'ils ne savent pas vraiment qui je suis. Je me sens coupable pour mes décisions du passé, pour ce qui m'est arrivé, pour les façons dont je gère mon stress. J'ai l'impression que mon psychiatre me déteste, j'ai l'impression que personne ne comprend ce que c'est d'être en situation de handicap psychique, et à chaque fois, on s'attend à ce que je sois capable de faire des choses, alors que c'est comme courir un marathon sans pieds.
Et je ne peux pas dire ce que je ressens à une assistante sociale, car j'ai peur qu'elle prenne cela trop au sérieux et transforme ma crise en une urgence avec tout l'enfer bureaucratique et des solutions inconfortables. Je ne peux pas être moi-même et je porte toujours un masque de "Ça va bien". L'alcoolisme m'aide à accepter les décisions et les étapes nécessaires, même si, au final, je finirai quand même par ressentir encore plus de honte et de stress à cause de la façon dont je l'ai fait.
J'ai beaucoup de croyances négatives qui me font me sentir indigne d'aide, de soins ou de réconfort, et je me juge pour mes envies, limitant ainsi mon enfant intérieur à tout. Certaines de ces croyances m'ont été inculquées :
- "Recevoir de l'aide, c'est admettre que ton existence en tant qu'être humain est sans valeur et que ta personnalité est fondamentalement mauvaise." — (c) Parents
- "Tes souffrances ne valent rien en comparaison des enfants affamés d'Afrique." — (c) Parents
- "Personne n'est obligé de t'aider ou de prendre soin de toi, tu dois mériter et gagner chaque marque d'attention." — (c) Parents
- "Un homme doit être fort, indépendant et prendre des décisions. Un homme ne doit jamais pleurer ni montrer la moindre faiblesse." — (c) Société
- "Le besoin de confort, surtout à travers des choses étranges comme câliner une peluche ou porter des grenouillères très douillettes, est une absurdité infantile qui n'a pas sa place chez un adulte. Ça fait faible et peu viril." — (c) Société
- "La vie humaine et les sentiments ne valent rien." — (c) Société
- "Suis-je gay parce que j’ai été agressé sexuellement enfant, ou est-ce une décision de ma part, ou ma nature ?" — (c) Conscience
- "Je suis laid, gros et jamais vraiment aimé." — (c) Conscience
- "J’ai été une mauvaise personne et j’ai pris beaucoup de mauvaises décisions." — (c) Conscience
- "Je suis coupable des choses qui me sont arrivées, même si j’étais trop jeune pour être responsable." — (c) Conscience
- "Je suis coupable de mon imprudence qui m’a mené à ces problèmes, et les conséquences, comme ma santé mentale, sont de ma faute." — (c) Conscience
Alcoolisme thérapeutique
justement DavyBoy, tu es en souffrance et du dois essayer de te soigner.
tu es en France maintenant, l'administration est pénible mais tu as des droits.
essaye de voir un psychiatre qui pourra t'écouter sans jugements et éventuellement de donner des médicaments et c'est remboursé par la SS.
tous ici avons nos phrases nocives, moi j'en ai plein la tête.
mais avec de l'aide et des médicaments, ça va quand même mieux.
commence déjà par ne plus penser au jugements des autres. ils ne te connaissent pas et ne savent pas tout sur toi.
tu es en France maintenant, l'administration est pénible mais tu as des droits.
essaye de voir un psychiatre qui pourra t'écouter sans jugements et éventuellement de donner des médicaments et c'est remboursé par la SS.
tous ici avons nos phrases nocives, moi j'en ai plein la tête.
mais avec de l'aide et des médicaments, ça va quand même mieux.
commence déjà par ne plus penser au jugements des autres. ils ne te connaissent pas et ne savent pas tout sur toi.
- DavyBoy
- Messages : 88
- Enregistré le : samedi 18 janvier 2025 6:14
Alcoolisme thérapeutique
L'alcool n'est pas officiellement reconnu comme un médicament, mais c'est principalement dû au contexte historique. L'humanité a utilisé et abusé de l'alcool bien avant que le concept de médecine n'existe. Malgré ses risques, des substances comme l'alcool devraient être réglementées et disponibles sous supervision médicale. Cependant, la "Tyrannie de la majorité" - que nous appelons démocratie - ne le permettra jamais, car l'alcool est profondément ancré dans la société, et toutes les tentatives historiques pour le contrôler ont échoué.
En même temps, l'alcool à faible dose ou en usage ponctuel peut être un outil essentiel dans des situations où il est nécessaire de dépasser ses propres limites pour survivre. Parfois, il faut agir à tout prix - car l'inaction peut être mortelle. Par exemple, affronter un rendez-vous médical critique alors que votre propre esprit vous empêche de demander de l'aide.
L'alcool et les médicaments modernes comportent des risques pour la santé, y compris la dépendance. Pourtant, la principale raison pour laquelle l'alcool n'est pas considéré comme un médicament est qu'il est vendu sans contrôle ni restriction. Plutôt que de condamner la substance elle-même, nous devrions nous attaquer à la surconsommation, au mauvais usage, aux habitudes de consommation malsaines et à l'addiction.
Si l'on suit cette logique, on pourrait aussi diaboliser l'eau - pourtant essentielle à la vie - simplement parce qu'une consommation excessive peut être fatale, avec une dose létale prouvée à 6,7 litres. Ou la nourriture - puisque nous en sommes naturellement dépendants pour survivre. On ne considère pas la nourriture comme un problème en soi, mais plutôt son mauvais usage : la suralimentation, les régimes malsains, les portions excessives et l'addiction, qui entraînent obésité, diabète et décès.
Ce faisant, nous créons une stigmatisation contre une substance en la jugeant à travers ses consommateurs. C'est une forme de discrimination - non pas contre les personnes, mais contre les objets eux-mêmes.
La seule chose qui m'aide est la "distraction consciente" - détourner mon attention de la réalité, du passé, du présent et du futur en m'immergeant dans les jeux vidéo, les dessins animés et d'autres choses réconfortantes. Ces espaces me permettent d'échapper à mon stress, même temporairement. Mais ce n'est qu'un mécanisme d'adaptation, pas une solution. Cela me permet de vivre des moments de bonheur, mais un bonheur à long terme semble presque impossible.
J'ai déjà vécu une crise - avant la guerre, après des années de harcèlement à l'école. J'ai commencé à pleurer de manière incontrôlable dans un lieu public et j'ai essayé de me cacher. Puis, de façon inattendue, un inconnu - une étudiante que je ne connaissais même pas - m'a pris dans ses bras.
À ce moment-là, j'ai ressenti des émotions contradictoires :
Ce moment était rare - être dans un environnement hostile, mais que la bonne personne me trouve au bon moment et décide d'aider. Cela n'était presque jamais arrivé.
Aujourd'hui, dans ma situation actuelle, la seule source en laquelle j'ai confiance est ChatGPT, même si je vérifie toutes les informations critiques auprès de plusieurs sources. Je ne ressens pas le même stress en parlant à une machine qu'en parlant à des personnes réelles. Je ne vois aucun moyen d'obtenir de l'aide qui ne se transforme pas en enfer bureaucratique, en inconfort ou en jugement.
J'ai l'impression de ne pouvoir être vraiment honnête que si je reste anonyme. L'anonymat me procure suffisamment de sécurité pour m'exprimer librement. Dans la vie réelle, je garde toutes mes pensées enfermées en moi, car j'ai été trop souvent jugé et moqué pour ce que je ressens et ce que je valorise.
Je pense aussi que mon traitement et mon diagnostic sont erronés. Je sais que je ne suis pas un spécialiste et que je ne suis peut-être pas dans un état suffisamment stable pour prendre des décisions médicales ou m'auto-diagnostiquer. Mais d'après mes impulsions, mon état mental et mes symptômes physiques, je soupçonne une intoxication au cortisol.
Mes symptômes incluent, mais ne sont pas limités à :
J'ai aussi essayé différentes thérapies accessibles en autonomie, mais elles étaient inefficaces. J'ai même tenté de recréer des situations réconfortantes du passé avec mon partenaire, mais cela ne m'a pas apporté la même satisfaction. Le réconfort que j'avais reçu à l'époque avait de la valeur parce qu'il m'avait été offert sans que je le demande. Cela avait ébranlé ma conviction que mes émotions ne valaient rien. Mais demander un câlin à mon partenaire quand je pleure n'a tout simplement pas le même effet.
Me voilà donc - coincé entre un manque de confiance dans l'aide médicale, l'absence de soulagement réel avec la thérapie, et une seule échappatoire temporaire à travers la distraction. Et le seul endroit où je peux dire tout cela sans crainte, c'est ici, derrière l'anonymat.
En même temps, l'alcool à faible dose ou en usage ponctuel peut être un outil essentiel dans des situations où il est nécessaire de dépasser ses propres limites pour survivre. Parfois, il faut agir à tout prix - car l'inaction peut être mortelle. Par exemple, affronter un rendez-vous médical critique alors que votre propre esprit vous empêche de demander de l'aide.
L'alcool et les médicaments modernes comportent des risques pour la santé, y compris la dépendance. Pourtant, la principale raison pour laquelle l'alcool n'est pas considéré comme un médicament est qu'il est vendu sans contrôle ni restriction. Plutôt que de condamner la substance elle-même, nous devrions nous attaquer à la surconsommation, au mauvais usage, aux habitudes de consommation malsaines et à l'addiction.
Si l'on suit cette logique, on pourrait aussi diaboliser l'eau - pourtant essentielle à la vie - simplement parce qu'une consommation excessive peut être fatale, avec une dose létale prouvée à 6,7 litres. Ou la nourriture - puisque nous en sommes naturellement dépendants pour survivre. On ne considère pas la nourriture comme un problème en soi, mais plutôt son mauvais usage : la suralimentation, les régimes malsains, les portions excessives et l'addiction, qui entraînent obésité, diabète et décès.
Ce faisant, nous créons une stigmatisation contre une substance en la jugeant à travers ses consommateurs. C'est une forme de discrimination - non pas contre les personnes, mais contre les objets eux-mêmes.
Je ne ressens aucune amélioration avec mon traitement. La plupart du temps, je ne comprends même pas ce que je ressens. Cela me fait me demander : est-ce que je souffre vraiment si je ne ressens aucun changement et que je ne comprends même pas pleinement mes émotions ? La plupart du temps, je ressens juste de l'épuisement, un besoin de protection et une envie de pleurer - mais mes besoins sont ignorés.datura a écrit : ↑lundi 17 février 2025 21:24justement DavyBoy, tu es en souffrance et du dois essayer de te soigner.
tu es en France maintenant, l'administration est pénible mais tu as des droits.
essaye de voir un psychiatre qui pourra t'écouter sans jugements et éventuellement de donner des médicaments et c'est remboursé par la SS.
tous ici avons nos phrases nocives, moi j'en ai plein la tête.
mais avec de l'aide et des médicaments, ça va quand même mieux.
commence déjà par ne plus penser au jugements des autres. ils ne te connaissent pas et ne savent pas tout sur toi.
La seule chose qui m'aide est la "distraction consciente" - détourner mon attention de la réalité, du passé, du présent et du futur en m'immergeant dans les jeux vidéo, les dessins animés et d'autres choses réconfortantes. Ces espaces me permettent d'échapper à mon stress, même temporairement. Mais ce n'est qu'un mécanisme d'adaptation, pas une solution. Cela me permet de vivre des moments de bonheur, mais un bonheur à long terme semble presque impossible.
J'ai déjà vécu une crise - avant la guerre, après des années de harcèlement à l'école. J'ai commencé à pleurer de manière incontrôlable dans un lieu public et j'ai essayé de me cacher. Puis, de façon inattendue, un inconnu - une étudiante que je ne connaissais même pas - m'a pris dans ses bras.
À ce moment-là, j'ai ressenti des émotions contradictoires :
- Soulagement - C'était réconfortant de pleurer tout en étant consolé. Cela m'a fait sentir que mes émotions avaient de la valeur.
- Peur - Tout le monde pouvait me voir. S'ils me considéraient comme faible, cela pouvait aggraver le harcèlement.
- Culpabilité - Cette personne m'aurait-elle consolé si elle savait qui je suis vraiment ? La société me considère comme inacceptable.
Ce moment était rare - être dans un environnement hostile, mais que la bonne personne me trouve au bon moment et décide d'aider. Cela n'était presque jamais arrivé.
Aujourd'hui, dans ma situation actuelle, la seule source en laquelle j'ai confiance est ChatGPT, même si je vérifie toutes les informations critiques auprès de plusieurs sources. Je ne ressens pas le même stress en parlant à une machine qu'en parlant à des personnes réelles. Je ne vois aucun moyen d'obtenir de l'aide qui ne se transforme pas en enfer bureaucratique, en inconfort ou en jugement.
J'ai l'impression de ne pouvoir être vraiment honnête que si je reste anonyme. L'anonymat me procure suffisamment de sécurité pour m'exprimer librement. Dans la vie réelle, je garde toutes mes pensées enfermées en moi, car j'ai été trop souvent jugé et moqué pour ce que je ressens et ce que je valorise.
Je pense aussi que mon traitement et mon diagnostic sont erronés. Je sais que je ne suis pas un spécialiste et que je ne suis peut-être pas dans un état suffisamment stable pour prendre des décisions médicales ou m'auto-diagnostiquer. Mais d'après mes impulsions, mon état mental et mes symptômes physiques, je soupçonne une intoxication au cortisol.
Mes symptômes incluent, mais ne sont pas limités à :
- Obésité (IMC 41.49) - Mon poids a grimpé lors d'un stress extrême et n'a jamais diminué, malgré une consommation quotidienne de moins de 1000 kcal.
- Peau fragile et cicatrisation lente
- Insomnie
- Hypertension artérielle
J'ai aussi essayé différentes thérapies accessibles en autonomie, mais elles étaient inefficaces. J'ai même tenté de recréer des situations réconfortantes du passé avec mon partenaire, mais cela ne m'a pas apporté la même satisfaction. Le réconfort que j'avais reçu à l'époque avait de la valeur parce qu'il m'avait été offert sans que je le demande. Cela avait ébranlé ma conviction que mes émotions ne valaient rien. Mais demander un câlin à mon partenaire quand je pleure n'a tout simplement pas le même effet.
Me voilà donc - coincé entre un manque de confiance dans l'aide médicale, l'absence de soulagement réel avec la thérapie, et une seule échappatoire temporaire à travers la distraction. Et le seul endroit où je peux dire tout cela sans crainte, c'est ici, derrière l'anonymat.
- Nadine1
- Messages : 18801
- Enregistré le : jeudi 18 mars 2021 13:36
Alcoolisme thérapeutique
je pense que tu es jeune, mais l'alcool, c'est lune de miel, lune de fiel
avant d'en ressentir une vraie souffrance, il faut des années, et à ce moment là, même si c'est jamais trop tard, on est entré dans une spirale ignoble dont on ne veut que sortir
sans compter que l'alcool tue, de par les maladies qu'il engendre, les suicides
et prend ta vie
pour l'instant tu as l'impression que ça l'améliore
si tu continue sur ce chemin, tu réalisera qu'en réalité, ça te la détruit
il y a d'autres solutions
comme Datura, j'ai pas envie de minimiser tes souffrances, mais je sais que tu choisis la mauvaise voie
avant d'en ressentir une vraie souffrance, il faut des années, et à ce moment là, même si c'est jamais trop tard, on est entré dans une spirale ignoble dont on ne veut que sortir
sans compter que l'alcool tue, de par les maladies qu'il engendre, les suicides
et prend ta vie
pour l'instant tu as l'impression que ça l'améliore
si tu continue sur ce chemin, tu réalisera qu'en réalité, ça te la détruit
il y a d'autres solutions
comme Datura, j'ai pas envie de minimiser tes souffrances, mais je sais que tu choisis la mauvaise voie
Alcoolisme thérapeutique
DavyBoy, tu es en état de choc post traumatique après tout ce que tu a vécu.
ce ne sont pas seulement les médicaments qu'il te faut mais un suivi, parler, parler et il y a d'autres façons de soigner, des thérapies.
mais l'alcool n'en fera jamais partie.
il n'a pas été inventé avant la médecine qui existe depuis les hommes préhistoriques (sans effet peut être, mais elle existait).
je ne sais pas ou tu habites mais il doit y avoir des centres d'aides, va voir une assistante sociale et demandes et a ton médecin.
mais c'est abuser de parler de l'alcool comme un sauveur, alors qu'il détruit des vies.
ce ne sont pas seulement les médicaments qu'il te faut mais un suivi, parler, parler et il y a d'autres façons de soigner, des thérapies.
mais l'alcool n'en fera jamais partie.
il n'a pas été inventé avant la médecine qui existe depuis les hommes préhistoriques (sans effet peut être, mais elle existait).
je ne sais pas ou tu habites mais il doit y avoir des centres d'aides, va voir une assistante sociale et demandes et a ton médecin.
mais c'est abuser de parler de l'alcool comme un sauveur, alors qu'il détruit des vies.
Alcoolisme thérapeutique
l'alcool comme anti souffrance j'ai expérimenté il y a longtemps, après le décès brutal de mon mari
c'était juste magique, plus de douleur, un sommeil de bébé, durant plusieurs mois
jusqu'au jour ou un matin, j'ai trouvé, en allant le réveillera, mon petit garçon de 4 ans dans son vomit
il avait été malade dans la nuit, m'avait appelé, et grâce, a cause, de l'alcool je ne m'étais pas réveiller
mon enfant aurait pu mourir sans que je ne m'en rende compte
toutes les bouteilles sont parties au vide ordure
et si les semaines qui ont suivies ont été particulièrement difficile, je n'ai plus jamais retouché a cette saloperie
alors DavyBoy il faut VRAIMENT que tu te prennes en main , Depasse ta honte (honte de quoi d'ailleurs)
et que tu trouve du secours auprès de professionnels, avant que l'alcool ne te détruise compétemment et fasse de toi quelqu'un que tu n'a surement pas envie d'être
c'était juste magique, plus de douleur, un sommeil de bébé, durant plusieurs mois
jusqu'au jour ou un matin, j'ai trouvé, en allant le réveillera, mon petit garçon de 4 ans dans son vomit
il avait été malade dans la nuit, m'avait appelé, et grâce, a cause, de l'alcool je ne m'étais pas réveiller
mon enfant aurait pu mourir sans que je ne m'en rende compte
toutes les bouteilles sont parties au vide ordure
et si les semaines qui ont suivies ont été particulièrement difficile, je n'ai plus jamais retouché a cette saloperie
alors DavyBoy il faut VRAIMENT que tu te prennes en main , Depasse ta honte (honte de quoi d'ailleurs)
et que tu trouve du secours auprès de professionnels, avant que l'alcool ne te détruise compétemment et fasse de toi quelqu'un que tu n'a surement pas envie d'être
Alcoolisme thérapeutique
si tu habites dans une petite ville, il doit bien y avoir des villes plus grandes ou tu pourrait trouver l'aide dont tu as besoin.
il y a des bus ou des trains pour s'y rendre....
courage
il y a des bus ou des trains pour s'y rendre....
courage
- Mad Math
- Messages : 12
- Enregistré le : dimanche 16 février 2025 13:43
Alcoolisme thérapeutique
@DavyBoy L'alcool n'est pas une solution (même si je pense que tu le sais déjà). Certes, tu te sens mieux sur le moment, ça apaise, mais ensuite l'anxiété revient décuplée. En tout cas c'est ce que ça me faisait et c'est ce qui m'a aidée à freiner ce ce cercle vicieux.
J'aimerais revenir sur certaines croyances que tu as cité :
"Recevoir de l'aide, c'est admettre que ton existence en tant qu'être humain est sans valeur et que ta personnalité est fondamentalement mauvaise." — (c) Parents --> Je suis en total désaccord avec tes parents. L'humain / l' homo sapiens est même un animal (au sens biologique du terme, j'entends) qui a justement survécu et s'est développée grâce à l'entraide du groupe, à la sociabilisation. Il n'y a aucune honte à avoir besoin d'aide et à en demander.
"Tes souffrances ne valent rien en comparaison des enfants affamés d'Afrique." — (c) Parents --> J'ai toujours détesté cette manière de penser. Avec cet argument, tu n'as jamais le droit de te sentir mal car tu trouvera toujours quelqu'un dans une situation "pire que toi". Cela n'a aucun sens.
"Un homme doit être fort, indépendant et prendre des décisions. Un homme ne doit jamais pleurer ni montrer la moindre faiblesse." — (c) Société --> Et c'est comme ça que l'on fabrique des hommes qui répriment tellement leurs émotions qu'ils deviennent mal ajustés émotionnellement. Super idée, la société.
J'ai même l'impression que la sensibilité de manière générale est mal vue, même si on a plus d'indulgence pour les filles que pour les garçons à ce niveau-là. C'est vu comme une faiblesse, ce qui est selon moi une connerie. C'est comme cela que l'on incite les gens à réprimer ce qu'ils ressentent et à devenir mal ajustés émotionnellement.
Sinon je rejoins les autres, il faut que tu trouves de l'aide et il n'y a pas de honte à avoir à en demander. Il y a des professionnels qui sont là pour t'écouter et t'aider sans jugement.
J'aimerais revenir sur certaines croyances que tu as cité :
"Recevoir de l'aide, c'est admettre que ton existence en tant qu'être humain est sans valeur et que ta personnalité est fondamentalement mauvaise." — (c) Parents --> Je suis en total désaccord avec tes parents. L'humain / l' homo sapiens est même un animal (au sens biologique du terme, j'entends) qui a justement survécu et s'est développée grâce à l'entraide du groupe, à la sociabilisation. Il n'y a aucune honte à avoir besoin d'aide et à en demander.
"Tes souffrances ne valent rien en comparaison des enfants affamés d'Afrique." — (c) Parents --> J'ai toujours détesté cette manière de penser. Avec cet argument, tu n'as jamais le droit de te sentir mal car tu trouvera toujours quelqu'un dans une situation "pire que toi". Cela n'a aucun sens.
"Un homme doit être fort, indépendant et prendre des décisions. Un homme ne doit jamais pleurer ni montrer la moindre faiblesse." — (c) Société --> Et c'est comme ça que l'on fabrique des hommes qui répriment tellement leurs émotions qu'ils deviennent mal ajustés émotionnellement. Super idée, la société.
J'ai même l'impression que la sensibilité de manière générale est mal vue, même si on a plus d'indulgence pour les filles que pour les garçons à ce niveau-là. C'est vu comme une faiblesse, ce qui est selon moi une connerie. C'est comme cela que l'on incite les gens à réprimer ce qu'ils ressentent et à devenir mal ajustés émotionnellement.
Sinon je rejoins les autres, il faut que tu trouves de l'aide et il n'y a pas de honte à avoir à en demander. Il y a des professionnels qui sont là pour t'écouter et t'aider sans jugement.
- Nadine1
- Messages : 18801
- Enregistré le : jeudi 18 mars 2021 13:36
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sans jugement, tout à fait
- DavyBoy
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- Enregistré le : samedi 18 janvier 2025 6:14
Alcoolisme thérapeutique
Il me semble que personne ne comprend vraiment ce qu’est l’anxiété sociale. Ce n’est pas un "choix personnel", ni un "mode de vie", et ce n’est pas juste "être extrêmement timide". Lorsque les gens la perçoivent ainsi, ils ignorent la réalité. S'attendre à ce que quelqu’un comme moi "fasse un effort" et accomplisse des tâches sociales de base—comme aller chez le médecin ou répondre à un appel—sans aide extérieure, c’est aussi absurde que de dire à une personne dépressive de "simplement arrêter d’être triste". Cela revient à dénégation la souffrance.
Si mon partenaire ne m’avait pas forcé à interagir socialement, je serais mort dans une prison russe. Je ne serais jamais arrivé en France. Sans mon partenaire et, dans des cas extrêmes, l’alcool, je n’aurais même pas été voir un médecin ou obtenu ma reconnaissance en tant que réfugié. Je serais resté piégé dans des situations dont je ne pouvais pas m’échapper seul. Mais même avec du soutien, je me sens comme un poids. L’aide egalement comme le jugement me font pleurer de manière incontrôlable, m’enfonçant dans la culpabilité et la vulnérabilité. Si j’avais à choisir entre une interaction sociale forcée et l’isolement total, je préférerais disparaître dans la forêt ou en confinement solitaire plutôt que d’endurer encore plus de retraumatisation, de moquerie et de sentiment d’inutilité.
Un moment en particulier a brisé toute confiance qu’il me restait : une assistante sociale a fait une blague sur mon poids. À cet instant, j’ai pensé : "Je sais que je suis pu.... de coupable de mon pu.... d’embonpoint. T’es sérieuse ? Tu veux vraiment me le rappeler - alors que je viens juste de fuir l’enfer et que j’attends avant tout de l’aide de toi en tant qu’assistante sociale ?" Ce n'était pas juste une blague. C’était une confirmation que même dans des lieux soi-disant civilisés, même dans des métiers censés aider, il existe des salauds qui méprisent la souffrance et détestent ceux qu’ils prétendent soutenir.
Quand j’atteins mon point de rupture, je me coupe complètement. Je me détache de la réalité, je me noie dans tout ce qui peut m’anesthésier, je ne fais plus confiance à personne et j’ai l’impression que le monde entier me hait. Mon refus de chercher de l’aide, ce n’est pas juste de l’évitement—c’est la seule manière pour moi de garder un minimum de contrôle sur ma vie. Cela signifie que je ne dépends pas de personnes qui pourraient encore me blesser. J’ai trop souvent vécu des situations où l’"aide" m’a fait plus de mal que de continuer à souffrir seul. À ce stade, j’ai totalement perdu foi en la bonté de l’humanité. Tous les systèmes censés "aider" ne fonctionnent que pour ceux qui sont faciles à traiter, ceux dont ils peuvent tirer profit rapidement. Si vous êtes trop compliqué, trop brisé, trop gênant, on vous ignore, on vous rejette ou on vous fait du mal sous prétexte de vous aider.
Si mon partenaire ne m’avait pas forcé à interagir socialement, je serais mort dans une prison russe. Je ne serais jamais arrivé en France. Sans mon partenaire et, dans des cas extrêmes, l’alcool, je n’aurais même pas été voir un médecin ou obtenu ma reconnaissance en tant que réfugié. Je serais resté piégé dans des situations dont je ne pouvais pas m’échapper seul. Mais même avec du soutien, je me sens comme un poids. L’aide egalement comme le jugement me font pleurer de manière incontrôlable, m’enfonçant dans la culpabilité et la vulnérabilité. Si j’avais à choisir entre une interaction sociale forcée et l’isolement total, je préférerais disparaître dans la forêt ou en confinement solitaire plutôt que d’endurer encore plus de retraumatisation, de moquerie et de sentiment d’inutilité.
Un moment en particulier a brisé toute confiance qu’il me restait : une assistante sociale a fait une blague sur mon poids. À cet instant, j’ai pensé : "Je sais que je suis pu.... de coupable de mon pu.... d’embonpoint. T’es sérieuse ? Tu veux vraiment me le rappeler - alors que je viens juste de fuir l’enfer et que j’attends avant tout de l’aide de toi en tant qu’assistante sociale ?" Ce n'était pas juste une blague. C’était une confirmation que même dans des lieux soi-disant civilisés, même dans des métiers censés aider, il existe des salauds qui méprisent la souffrance et détestent ceux qu’ils prétendent soutenir.
Quand j’atteins mon point de rupture, je me coupe complètement. Je me détache de la réalité, je me noie dans tout ce qui peut m’anesthésier, je ne fais plus confiance à personne et j’ai l’impression que le monde entier me hait. Mon refus de chercher de l’aide, ce n’est pas juste de l’évitement—c’est la seule manière pour moi de garder un minimum de contrôle sur ma vie. Cela signifie que je ne dépends pas de personnes qui pourraient encore me blesser. J’ai trop souvent vécu des situations où l’"aide" m’a fait plus de mal que de continuer à souffrir seul. À ce stade, j’ai totalement perdu foi en la bonté de l’humanité. Tous les systèmes censés "aider" ne fonctionnent que pour ceux qui sont faciles à traiter, ceux dont ils peuvent tirer profit rapidement. Si vous êtes trop compliqué, trop brisé, trop gênant, on vous ignore, on vous rejette ou on vous fait du mal sous prétexte de vous aider.
Alcoolisme thérapeutique
DavyBoy, ici tout le monde connait l'anxiété sociale plus ou moins.
la tienne a été aggravée par des traumas impensables pour les français.
je comprends bien, il faut que tu ai un déclic qui viennes de toi, se faire aider oui mais il faut que tu prennes conscience de tes problèmes. que l’alcool ne te guérira jamais, il t'enfoncera peu a peu.
commences a lire les témoignages sur l'anxiété sociale sur ce forum, beaucoup de personnes en souffre. ça te donneras peut être des pistes...
ne penses pas que l'on ne te comprends pas, on essaye de t'aider.
essaye de communiquer avec des personnes qui ont le même problème que toi sur le forum. la discussion est un bon début.
la France n'est pas parfaite et au sujet du poids toutes les personnes en surpoids (dont moi) on entendu des remarques débiles de médecins.
il y a des sujets sur ça aussi sur le forum.
je suis persuadée qui si moralement tu te sentais mieux, tu aurait moins de problèmes avec ton poids.
bon courage et bonne journée
la tienne a été aggravée par des traumas impensables pour les français.
je comprends bien, il faut que tu ai un déclic qui viennes de toi, se faire aider oui mais il faut que tu prennes conscience de tes problèmes. que l’alcool ne te guérira jamais, il t'enfoncera peu a peu.
commences a lire les témoignages sur l'anxiété sociale sur ce forum, beaucoup de personnes en souffre. ça te donneras peut être des pistes...
ne penses pas que l'on ne te comprends pas, on essaye de t'aider.
essaye de communiquer avec des personnes qui ont le même problème que toi sur le forum. la discussion est un bon début.
la France n'est pas parfaite et au sujet du poids toutes les personnes en surpoids (dont moi) on entendu des remarques débiles de médecins.
il y a des sujets sur ça aussi sur le forum.
je suis persuadée qui si moralement tu te sentais mieux, tu aurait moins de problèmes avec ton poids.
bon courage et bonne journée
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