Je suis sans arrêt oppressé , je doute constamment de la réalité
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- Messages : 11
- Enregistré le : lundi 10 juin 2024 20:57
Je suis sans arrêt oppressé , je doute constamment de la réalité
Voilà, je sais pas trop comment introduire le sujet, en fait j’ai aussi en plus l’esprit assez embrouillé.
Je suis suivi dans un hôpital de jour pour un TP dépendant à caractéristiques psychotiques et le problème c’est que je suis sans arrêt oppressé moralement, et je doute constamment de la réalité, et m’attribue même des torts qui ne me reviennent même pas, j’ai un entourage qui ne se remet pas en question et qui rejettent tout sur moi. Je me sens coupable de tout et me sens tout le temps oppressé moralement, je compte bien sûr faire le travail avec ma psychologue mais quelquefois c’est trop et j’ai besoin de poster, je me sens très oppressé et comme une personne avec qui la discussion est impossible puisque ceux de mon entourage familial l’on dit alors que dès que je ne les contredits plus dans ce qu’ils disent ils disent que la discussion est à nouveau possible avec moi. Et si je parle avec ma mère je sais très bien que je vais me faire bloquer dans la communication et que je vais me retrouver avec l’esprit plus embrouillé qu’autre chose. Je me sens sous pression et aussi très seul et profondément rejeté, et j’ai aussi l’impression que les liens sociaux ne sont pas sûr du tout car j’ai l’impression que l’autre finira par ne plus vouloir me parler, et j’ai même tellement peur du rejet que je ne vais même pas vers les autres.
Je trouve parfois des recettes pour être moins oppressé comme aller dans le sens de ce qui est inculqué ce qui fonctionne quand même un peu, mais je reste quand même pas mal sous pression et les doutes et la culpabilité sont très douloureux.
Je suis suivi dans un hôpital de jour pour un TP dépendant à caractéristiques psychotiques et le problème c’est que je suis sans arrêt oppressé moralement, et je doute constamment de la réalité, et m’attribue même des torts qui ne me reviennent même pas, j’ai un entourage qui ne se remet pas en question et qui rejettent tout sur moi. Je me sens coupable de tout et me sens tout le temps oppressé moralement, je compte bien sûr faire le travail avec ma psychologue mais quelquefois c’est trop et j’ai besoin de poster, je me sens très oppressé et comme une personne avec qui la discussion est impossible puisque ceux de mon entourage familial l’on dit alors que dès que je ne les contredits plus dans ce qu’ils disent ils disent que la discussion est à nouveau possible avec moi. Et si je parle avec ma mère je sais très bien que je vais me faire bloquer dans la communication et que je vais me retrouver avec l’esprit plus embrouillé qu’autre chose. Je me sens sous pression et aussi très seul et profondément rejeté, et j’ai aussi l’impression que les liens sociaux ne sont pas sûr du tout car j’ai l’impression que l’autre finira par ne plus vouloir me parler, et j’ai même tellement peur du rejet que je ne vais même pas vers les autres.
Je trouve parfois des recettes pour être moins oppressé comme aller dans le sens de ce qui est inculqué ce qui fonctionne quand même un peu, mais je reste quand même pas mal sous pression et les doutes et la culpabilité sont très douloureux.
- Kriss
- Messages : 158
- Enregistré le : jeudi 29 février 2024 19:23
Je suis sans arrêt oppressé , je doute constamment de la réalité
Bonjour Ecoliner
C'est assez particulier jspr que je ne te decevrai pas. Si tu as besoin de parler je serais heureux de discuter avec toi. Veux tu me raconter tes angoisses ? Où simplement parler de sujets divers ?
Dsl la réponse est un peu tardive par rapport à ton poste. Sinon bon courage ça ne doit pas être facile a vivre de douter de la réalité
C'est assez particulier jspr que je ne te decevrai pas. Si tu as besoin de parler je serais heureux de discuter avec toi. Veux tu me raconter tes angoisses ? Où simplement parler de sujets divers ?
Dsl la réponse est un peu tardive par rapport à ton poste. Sinon bon courage ça ne doit pas être facile a vivre de douter de la réalité
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- Messages : 11
- Enregistré le : lundi 10 juin 2024 20:57
Je suis sans arrêt oppressé , je doute constamment de la réalité
Ça y est ça va beaucoup mieux, je suis beaucoup plus clair dans ma pensée et en me relisant je m’aperçois que je suis maintenant beaucoup plus serein. Mon trouble de personnalité dépendante serait en fait une défense contre une angoisse psychotique sur fond d’une personnalité qui s’est plutôt développée de manière dyssynchronique cad une dyssynchronie intelligence/affectivité. J’ai un entourage qui m’a vraiment mis le doute sur tout et n’importe quoi et qui se projetais sur moi, et c’était très difficile de se défaire de ces croyances émotionnelles.
Si maintenant je vais mieux c’est aussi que j’ai réussi à extérioriser ma colère et mon agressivité et ce jusqu’à être beaucoup beaucoup moins oppressé et moins désorganisé(comme si ces symptômes pouvaient être envisagés comme un retournement de l’agressivité contre moi-même).
Si maintenant je vais mieux c’est aussi que j’ai réussi à extérioriser ma colère et mon agressivité et ce jusqu’à être beaucoup beaucoup moins oppressé et moins désorganisé(comme si ces symptômes pouvaient être envisagés comme un retournement de l’agressivité contre moi-même).
- Kriss
- Messages : 158
- Enregistré le : jeudi 29 février 2024 19:23
Je suis sans arrêt oppressé , je doute constamment de la réalité
Je suis très heureux d'apprendre que tu vas mieux !
Je n'ai pas tout compris mais le principal c'est que tu ailles mieux.
Merci pour ton témoignage cela servira probablement a quelqu'un qui vit la même chose.
Merci pour ton témoignage cela servira probablement a quelqu'un qui vit la même chose.
- clémentine
- Messages : 4511
- Enregistré le : dimanche 08 avril 2012 17:41
Je suis sans arrêt oppressé , je doute constamment de la réalité
Bonjour Ecoliner,
Je suis et vois que tu es clair dans ton analyse et contente également que tu sois plus serein. Bref, contente que tu ailles mieux.
Tout ce que tu donnes comme explications me parle.
J'ai eu des problèmes avec ma mère dans l'enfance et sûrement dans ma petite enfance d'après ma psy.
J'ai des angoisses psychotiques soignées par quelques gouttes d'anxiolytiques bien que je sois névrosée. J'ai également (ou j'avais peut être car je
me trouve moins dépendante) un trouble de la personnalité dépendante, je ne savais pas que ça pouvait être une défense contre cette angoisse
mais oui, sans doute, je n'ai jamais demandé à ma psychiatre qui est aussi une pédopsychiatre. Mais sûrement aussi quand j'y réfléchis.
C'est ton psy qui t'a appris tout ça ?
J'arrive mieux à réguler ma colère et mon agressivité maintenant, qui étaient aussi souvent dirigées contre moi-même mais aussi contre les
autres.
Prends tu des anxiolytiques ?
Ma psy m'encourage et nous trouvons, elle et moi que je vais beaucoup mieux, malgré la rechute dépressive actuelle.
N'hésite pas à intervenir dans ce forum si tu en as envie.
Merci en tout cas.
Bon week-end
Je suis et vois que tu es clair dans ton analyse et contente également que tu sois plus serein. Bref, contente que tu ailles mieux.
Tout ce que tu donnes comme explications me parle.
J'ai eu des problèmes avec ma mère dans l'enfance et sûrement dans ma petite enfance d'après ma psy.
J'ai des angoisses psychotiques soignées par quelques gouttes d'anxiolytiques bien que je sois névrosée. J'ai également (ou j'avais peut être car je
me trouve moins dépendante) un trouble de la personnalité dépendante, je ne savais pas que ça pouvait être une défense contre cette angoisse
mais oui, sans doute, je n'ai jamais demandé à ma psychiatre qui est aussi une pédopsychiatre. Mais sûrement aussi quand j'y réfléchis.
C'est ton psy qui t'a appris tout ça ?
J'arrive mieux à réguler ma colère et mon agressivité maintenant, qui étaient aussi souvent dirigées contre moi-même mais aussi contre les
autres.
Prends tu des anxiolytiques ?
Ma psy m'encourage et nous trouvons, elle et moi que je vais beaucoup mieux, malgré la rechute dépressive actuelle.
N'hésite pas à intervenir dans ce forum si tu en as envie.
Merci en tout cas.
Bon week-end
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- Messages : 11
- Enregistré le : lundi 10 juin 2024 20:57
Je suis sans arrêt oppressé , je doute constamment de la réali
Coucou Clémentine,
Merci pour ta réponse, en fait je prends un neuro et des antidépresseurs. Pour ce qui est de l’angoisse, elle est psychotique car elle n’est tournée
que vers mon propre narcissisme, et elle est plus ou moins consciente. Je m’autoaccuse de narcissisme grandiose en pensant à l’époque où je me
sentais fort narcissiquement alors qu’il s’agissait plutôt d’un narcissisme sain(je confonds le surdoué que j’étais avec un narcissique indélicat), et
cette angoisse maintient mon comportement dépendant. C’est moi qui ait accompagné ma psychanalyste en lui disant que j’avais cette angoisse,
et à force d’analyser en profondeur avec elle, elle a découvert que mon trouble de la personnalité était en fait une défense contre cette angoisse
interne, mais elle dit ne pas comprendre la base psychopathologique puisqu’il s’agirait d’un narcissisme sain à la base.
Merci pour ta réponse, en fait je prends un neuro et des antidépresseurs. Pour ce qui est de l’angoisse, elle est psychotique car elle n’est tournée
que vers mon propre narcissisme, et elle est plus ou moins consciente. Je m’autoaccuse de narcissisme grandiose en pensant à l’époque où je me
sentais fort narcissiquement alors qu’il s’agissait plutôt d’un narcissisme sain(je confonds le surdoué que j’étais avec un narcissique indélicat), et
cette angoisse maintient mon comportement dépendant. C’est moi qui ait accompagné ma psychanalyste en lui disant que j’avais cette angoisse,
et à force d’analyser en profondeur avec elle, elle a découvert que mon trouble de la personnalité était en fait une défense contre cette angoisse
interne, mais elle dit ne pas comprendre la base psychopathologique puisqu’il s’agirait d’un narcissisme sain à la base.
- Kriss
- Messages : 158
- Enregistré le : jeudi 29 février 2024 19:23
Je suis sans arrêt oppressé , je doute constamment de la réalité
Merci Ecoliner c'est toujours un grand plaisir pour moi d'être ignoré avec autant de sang froid 
- clémentine
- Messages : 4511
- Enregistré le : dimanche 08 avril 2012 17:41
Je suis sans arrêt oppressé , je doute constamment de la réali
@Ecoliner
,
Merci pour ta réponse, en fait mon angoisse psychotique a évolué, j'y ai beaucoup travaillé avec ma psy. Le problème se serait passé avant mes 1 an donc pas de souvenir.
J'ai fait une dépression toute petite. Bon courage.

Merci pour ta réponse, en fait mon angoisse psychotique a évolué, j'y ai beaucoup travaillé avec ma psy. Le problème se serait passé avant mes 1 an donc pas de souvenir.
J'ai fait une dépression toute petite. Bon courage.
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- Messages : 11
- Enregistré le : lundi 10 juin 2024 20:57
Je suis sans arrêt oppressé , je doute constamment de la réalité
On s’aperçoit qu’il s’agirait plutôt d’une névrose obsessionnelle à fond hystérique avec des traits limites, cad névrose mixte qui expliquerait l’angoisse du charisme et pouvoir personnel qui serait à l’origine du trouble de personnalité dépendante. TPD qui est une inhibition comportementale qui chez moi constitue également une inhibition intellectuelle. Voilà.
Sinon pour ce qui est de la symptomatologie psychotique, en fait il y aurait plutôt une base dissociative cad traumatique…
Je vis un véritable calvaire où je passe complètement inaperçu de par mes problèmes d’inhibition que j’ai depuis plus de vingt ans. J’ai l’impression d’un véritable mensonge par dissimulation…même si je commence enfin à avoir une meilleure estime de moi, et je pense maintenant qu’une forte estime de moi ne ferait pas de moi un goujat narcissique, en fait c’est tout le contraire, je commence à résoudre ce conflit interne. Je croyais que mon inhibition était un complexe de l’albatros mais au final il s’agit plutôt d’un complexe du fort ego…
Sinon pour ce qui est de la symptomatologie psychotique, en fait il y aurait plutôt une base dissociative cad traumatique…
Je vis un véritable calvaire où je passe complètement inaperçu de par mes problèmes d’inhibition que j’ai depuis plus de vingt ans. J’ai l’impression d’un véritable mensonge par dissimulation…même si je commence enfin à avoir une meilleure estime de moi, et je pense maintenant qu’une forte estime de moi ne ferait pas de moi un goujat narcissique, en fait c’est tout le contraire, je commence à résoudre ce conflit interne. Je croyais que mon inhibition était un complexe de l’albatros mais au final il s’agit plutôt d’un complexe du fort ego…
- clémentine
- Messages : 4511
- Enregistré le : dimanche 08 avril 2012 17:41
Je suis sans arrêt oppressé , je doute constamment de la réalité
Bonjour @Ecoliner ,bonjour, Tu es de retour!!!!
C'est ça j'ai une "névrose obsessionnelle compliquée" sans traits limites mais oui avec un trouble bipolaire. Selon mon diagnostic, c'est uniquement névrotique. Moi aussi j'ai eu des traumatismes bébé et dépression toute petite fille.
A part ça comme vas-tu en ce moment ?????
C'est ça j'ai une "névrose obsessionnelle compliquée" sans traits limites mais oui avec un trouble bipolaire. Selon mon diagnostic, c'est uniquement névrotique. Moi aussi j'ai eu des traumatismes bébé et dépression toute petite fille.
A part ça comme vas-tu en ce moment ?????
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- Messages : 11
- Enregistré le : lundi 10 juin 2024 20:57
Je suis sans arrêt oppressé , je doute constamment de la réalité
Ça va pas toujours bien en fait. Je pense que tu connais aussi la tendance à se croire idiot qu’on peut trouver dans la dépendance affective, en fait avec mon entourage (familial ou autre), je ne me sens pas à la hauteur, c’est terrible…
J’avoue que je m’étais fait traiter de débile à l’adolescence et ça m’avait profondément marqué, et ça « m’handicape » encore maintenant sur le plan relationnel. En plus j’ai un bégaiement, un peu de bredouillement même si mes hésitations sont beaucoup moins fortes, et j’ai encore tendance actuellement à me sentir con…
Ma psy ne me valide pas dans mes perceptions car il y a un craving dans les demandes de réassurance, ce qui a été salvateur du fait que maintenant je parviens à me rassurer moi-même sans avoir besoin de l’autre, mais ne pas valider ou rassurer le patient a ses limites…
J’ai aussi des comportements d’évitement dû à de mauvaise expériences vers l’âge de 30 ans et du coup je me suis retrouvé sans vie sociale, je me suis isolé.
Sinon je suis content car j’arrive de nouveau à penser beaucoup plus clairement, je n’ai pas encore retrouvé ma grande capacité de synthèse mais ça va beaucoup mieux de ce côté.
Ça me touche que tu me demandes comment ça va
J’avoue que je m’étais fait traiter de débile à l’adolescence et ça m’avait profondément marqué, et ça « m’handicape » encore maintenant sur le plan relationnel. En plus j’ai un bégaiement, un peu de bredouillement même si mes hésitations sont beaucoup moins fortes, et j’ai encore tendance actuellement à me sentir con…
Ma psy ne me valide pas dans mes perceptions car il y a un craving dans les demandes de réassurance, ce qui a été salvateur du fait que maintenant je parviens à me rassurer moi-même sans avoir besoin de l’autre, mais ne pas valider ou rassurer le patient a ses limites…
J’ai aussi des comportements d’évitement dû à de mauvaise expériences vers l’âge de 30 ans et du coup je me suis retrouvé sans vie sociale, je me suis isolé.
Sinon je suis content car j’arrive de nouveau à penser beaucoup plus clairement, je n’ai pas encore retrouvé ma grande capacité de synthèse mais ça va beaucoup mieux de ce côté.
Ça me touche que tu me demandes comment ça va

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- Messages : 11
- Enregistré le : lundi 10 juin 2024 20:57
Je suis sans arrêt oppressé , je doute constamment de la réalité
J’en peux plus cette maladie c’est un enfer sur le plan relationnel je me sens complètement idiot et pas du tout à la hauteur, c’est très dur. Certains connaissent-ils aussi le fait de surestimer constamment les autres ?
- Maessania
- Messages : 32
- Enregistré le : mardi 21 novembre 2023 18:19
Je suis sans arrêt oppressé , je doute constamment de la réalité
salut
je ne suis pas sur que ce soit exactement de ça dont tu parles mais souvent quand je me lance dans un travail avec des collègues et amis. je me demande souvent, par réflexe, pourquoi iels veulent travailler avec moi, iels sont tellement forte dans leurs domaine, je vais pas faire le poids.
je ne sais pas si c'est de la dépréciation ou que je surestime les autres ou les deux.
mais parfois je me force à ne rien dire dans une conversation car je me dis qu'iels vont me prendre pour un idiot. Et pourtant il m'arrive souvent de couper la parole (le TDAH pour ma part) mais je suis souvent un peu a coté de la plaque dans la réponse ou pas sur la même longueur d'onde. Et je me sens très bête après ça ... ^^
si ma description te parle alors oui je partage ton sentiment

je ne suis pas sur que ce soit exactement de ça dont tu parles mais souvent quand je me lance dans un travail avec des collègues et amis. je me demande souvent, par réflexe, pourquoi iels veulent travailler avec moi, iels sont tellement forte dans leurs domaine, je vais pas faire le poids.
je ne sais pas si c'est de la dépréciation ou que je surestime les autres ou les deux.
mais parfois je me force à ne rien dire dans une conversation car je me dis qu'iels vont me prendre pour un idiot. Et pourtant il m'arrive souvent de couper la parole (le TDAH pour ma part) mais je suis souvent un peu a coté de la plaque dans la réponse ou pas sur la même longueur d'onde. Et je me sens très bête après ça ... ^^
si ma description te parle alors oui je partage ton sentiment

- clémentine
- Messages : 4511
- Enregistré le : dimanche 08 avril 2012 17:41
-
- Messages : 11
- Enregistré le : lundi 10 juin 2024 20:57
Je suis sans arrêt oppressé , je doute constamment de la réalité
Coucou maessania,
Oui je comprends tout à fait l’autocensure excessive (c’est ce que je vis), et aussi quand je m’exprime et que je fais une erreur, et ce devant les autres, je me sens très très bête, voir pire je me vois dire quelquechose qui n’a ni queue ni tête et que je ne pense pas vraiment et là je me sens encore plus bête…
Chez moi, où c’est plutôt de l’inhibition, il y a une difficulté à métaboliser la pensée avant de parler, et du coup à la fois une prudence excessive dans mes propos et en même temps je peux « me lancer « et dire quelque chose qui ne correspond que peu avec ce que je pense dans mon fond. En plus tout ça c’est très frustrant…
Oui je comprends tout à fait l’autocensure excessive (c’est ce que je vis), et aussi quand je m’exprime et que je fais une erreur, et ce devant les autres, je me sens très très bête, voir pire je me vois dire quelquechose qui n’a ni queue ni tête et que je ne pense pas vraiment et là je me sens encore plus bête…
Chez moi, où c’est plutôt de l’inhibition, il y a une difficulté à métaboliser la pensée avant de parler, et du coup à la fois une prudence excessive dans mes propos et en même temps je peux « me lancer « et dire quelque chose qui ne correspond que peu avec ce que je pense dans mon fond. En plus tout ça c’est très frustrant…
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