Je ne veux pas être heureuse, juste arrêter d'être malheureuse

[choucoulate]

Bonjour à tous!
Je suis une adolescente de 16 ans qui aimerai avoir des avis et des conseils sans ètre jugée.
Je n'arrive pas à en parler à quelqu'un mais j'ai envi de vider mon sac et de me faire aider.
Je vais résumer, et si vous voulez plus d'information sur un point précis n'hésitez pas

Mon père est alcoolique depuis toujour et ma mère passe son temps à passer ses nerfs sur moi. C'est simple je n'ai aucun lien affectifs avec eux, je les détestes et j'ai qu'une envi c'est de partir loin d'ici et de changer de vie. Malheureusement je ne suis ps encore majeur et je n'ai pas finit mes étude. De ce coté c'est d'ailleur catastrophique, je suis en 1èS mais je veux me réorienter.
Ces derniers temps je n'arrive plus à me concentrer à faire mes devoirs et à suivre; je suis condamné à faire mon sourir d'hypocrite, celle qui va bien alors que je suis à bout.Jusqu'à maintenant j'ai toujours tout extériorisé, tout gardé pour moi mais je sens un vide en moi qui grossi de jours en jours... Je n'ai plus gout à rien, je suis lasse de tout et je suis toujouts fatigué. J'ai une énorme envi de m'endormir et de ne jamais me réveiller,de ne plus avoir ce vide en moi qui me déchire.
Je n'en ai jamais parlé à personne, à qui d'ailleur? Je n'ai jamais eu de véritables amis, juste des simples camarades de classes qui m'oublient aussitot l'année scolaire terminé.
Je me fais peur, j'ai de plus en plus d'idées noirs qui en deviennent obsessionnelles. J'ai peur de faire une connerie ou de passer à l'act car je n'arrète pas d'y penser malgré moi. Autre chose qui m'inquiète: j'ai des envi de drogue ou d'alcool, enfin n'importe qui pourrai me faire oublier qui je suis et ma minable existance ne serai ce que pour quelques heures,
je n'en suis pas encore arrivée à là mais j'ai peur aussi de tomber là dedans.
Je n'ai jamais été réellement heureuse mais j'ai toujours tenu le coup en me disant que lorsque j'aurai terminé mes étude je partirai de la maison et partirai loin et tout recommencer, tout oublier.
Seuleument ça ne marche plus, car coté scolaire c'est une catastrophe.
J'ai donc voulu partir en internat pour m'éloigner de tout ça et me replonger sérieusement dans mes études mais ma mère refuse catégoriquement, elle me dit que ça coute chère et qu'on ne peux pas avoir de bourse, et puis que je n'ai pas besoin d'aller en internat; elle ne me comprend et n'a aucune idée de ce que je ressens.

Je ne sais pas quoi faire, alors si vous avez quelques petits conseils je suis toute ouii

[Darkness]

Bonsoir choucoulate

Bienvenue ici, déjà

Essayer de tenir jusqu'à avoir l'age de partir, c'est assez difficile, je comprend bien ça,

Tu es au bon endroit pour venir parler en tout cas, j'espère que tu trouveras un peu de réconfort ici

Voir un thérapeute pourrait t'aider, mais je suppose que ça risque d'être assez difficile, avec tes parents ?

Et en parler a ta mère, c'est vraiment impossible ?

En tout cas, ne laisse pas tes idées noires t'emplir trop la tête, tu es encore fort jeune, je vois bien que tu es dans une période très difficile, mais tout ca finira par changer, au fil du temps des années, quand tu auras eu une certaine indépendance

[claudine]

Bonsoir choucoulate,

Je te souhaite la bienvenue sur le forum

Il doit être difficile pour toi de t'épanouir dans ce climat familial . N'as-tu aucun adulte, dans ton entourage proche (oncle, tante...) à qui tu puisses te confier et qui pourrait parler, pour toi, à tes parents ?

[choucoulate]

Bonsoir !
Tout d'abord merci d'avoir pris le temps de me lire.

Pour répondre d'abors à Darkness:
Effectivement je ne pense pas que voir un thérapeute puisse ètre possible avec mes parents, de toute façon mon père sais à peine que j'existe car les rares fois où il m'adresse la parole c'est pour m'insulter ou me rabaisser, et le pire c'est qu'il est toujour défoncé et ne se rend jamais compte du mal qui me fait.
Quand à ma mère, je lui en ai toujour voulu ne n'avoir jamais eu le courage de divorcé.Avec elle le dialogue est totalement impssible surtout à ce sujet, de toute façon pour elle la situation est normal.

Pour répondre à Claudine:
Mon entourrage ne peux pas m'aider, d'ailleur à cause de l'alcoolisme de mon père une bonne partie de la famille est en froid.Il y a plus de la moitier que je ne connai d'ailleur pas.
Finallement il me reste juste mon frère qui à 10 ans de plus que moi et qui est partis de la maison il y a 6 ans: c'est un épisode que j'ai d'ailleur très mal vécu car c'est la seul personne que j'ai jamais aimé. Seuleument nous avons toujour évité le sujet, il m'a juste dis que si mon père se mettai à me battre il fallait que je l'appelle. Mais sinon il ne comprend pas non plus le fait que je veuille partir en internat.Il m'a souvent répété qu'il avait vécu bien pire que moi, or ce n'est pas vrai car l'alcoolisme de mon père s'enpire de jour en jour mais ça il ne le voit pas car il n'a plus aucun contacte avec lui.

[Luuna]

Bonjour Choucoulate,


Je comprends cet isolement et ce vide de vivre dans une famille que l'on ne peut pas encore quitter et qui ne peut pas nous aider à nous épanouir

La lassitude, la fatigue... mais ce n'est pas éternel
Il faudrait que tu te sentes soutenue pour combattre cette démotivation, tu ne peux pas passer un peu de temps avec ton frère, seulement pour être auprès de quelqu'un qui compte pour toi pour sortir de la solitude ?

Si tu désires faire une thérapie cependant il y a des moyens sans avoir recours à tes parents. Il y a sûrement un psychologue dans ton lycée avec lequel tu peux prendre rendez-vous ou si tu habites en ville il y a peut être un CMP (Centre Médico-Psychologique où l'on peut rencontre des professionnels gratuitement).

Prends soin de toi et nous sommes là si tu veux parler

[choucoulate]

Bonjour Luuna,
merci d'avoir pris le temps de lire mon histoire et de me conseiller.
En effet la vie à la maison deviens de plus en plus difficile et je sens que je craque petit à petit ma flamme d'espoir s'éteint.
Jusqu'à maintenant j'ai toujours tenu le coup en me motivant, en me disant que ce serai de passage et que dès que j'aurai finit mes études je pourrai tout recommencer. Seuleument je ne vois pas comment je vais m'en sortir de ce coté là car ma mère s'oppose à mes choix. J'ai été voir une conseillère d'orientation qui m'a plus enfoncé qu'autre chose en me disant que j'abondonnai dès que c'était trop dure (je suis en S), enfin breff rien qui m'a aidé. Sinon je ne me voie pas déballer ma vie à un de mes proffesseur ou à mon infirmère de lycée car je fais un blocage là dessus. Pour ce qui est de mon frère, mème s'il n'est au courant de rien sur ma dépression, ces derniers temps on s'est plus éloigné qu'autre chose, il à sa vie maintenant, en plus il va déménager un peu plus loin maintenant, donc je le verrai encore moin.
Enfin de toute façon le dialogue est bloqué de tous les cotés, je ne sais plus quoi faire pour m'en sortir seule.

[Darkness]

Coucou choucoulate,

Il n'y a vraiment pas moyen que tu en discutes avec ton frere ? Il ne voit peut-être pas dans quel état tu es, mais en sachant comment sont tes parents, si tu lui parle, il pourrait comprendre non ? Il pourrait peut-être même t'aider ?

Tu n'as pas une psychologue dans ton école ? Et tu n'as pas un médecin traitant, a qui tu pourrais aller parler ? C'est ce que j'ai fait quand j'ai fait ma première dépression, allez voir mon médecin traitant, et je suis sur que lui saurait te conseiller

Courage en tout cas, mais n'abandonne pas, et viens nous parler autant que tu en ressents le besoin

[choucoulate]

Non je ne peux pas en parler à mon frère, justement lui non plus ne comprend pas le fait que je veuille partir en internat. A l'époque où il était encore à la maison la situation était moin grave et puis il était surement plus fort que moi et pleins d'amis autour de lui. Je ne veux pas aller chez mon médecin traitant car il s'occupe de toute la famille et est au courant de l'alcoolisme de mon père depuis tout ce temps. Je ne sais pas du tout si j'ai une psychologue dans mon lycée. J'avais pensé à en parler à l'infirmière de mon lycée mais je ne saurai pas quoi lui dire. J'ai honte d'ètre faible à ce point.
Quand tu as été voir ton médecins la première fois, tu a commencé par lui dire quoi ? Tu lui a tout raconté ?

[Darkness]

T'as pas a avoir honte d'être faible hein, clairement pas, tu cherches a t'en sortir et tu es venu ici, c'est déja une preuve de courage tu sais

Disons que je lui ai raconté mes soucis dans les grandes lignes, et je lui ai dis que j'avais peur de commencer une depression

Mon medecin est celui qui suit toute ma famille depuis le début, il est aussi au courant de tout ce qu'il s'y passe, mais ca change rien

Même si ton medecin est au courant du probleme d'alcoolisme de ton pere, il reste avant tout un medecin, pourquoi ne pas lui en parler ? Tu as peur qu'il aille tout raconter a tes parents ?

Tu sais, même si tu es mineure, ton medecin va garder pour lui ce que tu vas lui dire, donc je pense vraiment que c'est ce que tu aurais de mieux a faire, si tu ne vois de solution nulle part autre, vas y franchement, dis lui ce qu'il se passe chez toi, et dis lui que tu as peur de tomber en depression, et que tu as besoin d'aide

Qu'est ce que tu risques a faire ca ?

[choucoulate]

Je ne sais pas, je ne me vois pas du tout en parler à mon médecin, à la limite l'infirmière de mon lycée mais j'hésite. Je sais que je n'dois pas avoir honte mais c'est plus fort que moi. En plus je suis de nature timide alors parler n'a jamais été mon fort. Et quand bien mème j'arriverai à aller à lui en parler, est elle tenu au secret proffessionnel? Je ne veux vraiment pas que mes parents soient au courant!

[Darkness]

Mmm franchement pour ton infirmière, je ne sais pas si elle est lié au secret, je préfère pas dire de bêtises, il faudrait que quelqu'un de plus compétent que moi la dedans vienne nous donner son avis
Qu'est ce qui te bloque pour en parler a ton médecin ? J'veux po t'ennuyer avec mes questions hein, mais j'ai envie d'essayer de t'aider

[choucoulate]

Non non tu ne m'embète pas avec tes questions, au contraires ça rassure un peu de savoir qu'on peut m'aider.
Et bien je ne sais pas trop ce qui me dérange pour en parler à mon médecin traitant, je dirai déjà qu'il me connai depuis petite, de plus mon père y va toutes les 2 semaines, je sais pas ça me dérange vraiment d'aller en parler à lui. Et puis comme je te l'ai dis je ne sais pas quoi dire, par où commencer, où m'arrèter. Et puis je n'ai que 16 ans, je n'ai pas toute à fait encore ma carte vital et il faut payer la consultation et donc mes parents seront forcément au courant. Sinon, il n'y a vraiment personne d'autre, je sais pas dans un planning familliale ou autre chose du genre qui ne passerai pas par lui ni mes parents ?

[Darkness]

Mmm plus pensé a la carte vitale et au payement j'avoue, surtout que je ne sais pas trop comment tout ca fonctionne en france - j'habite en belgique

Sinon, je pense vraiment pas que ton infirmière ira raconter tout ce que tu lui dis a quelqu'un d'autre, surtout si tu vas la pour demander de l'aide

Sinon, extérieur a ça, il y a les CMP aussi, ce sont des centres tourné vers l'aspect médical, et il y a un psy aussi, plusieurs membres du forum passent par la

[choucoulate]

Merci
je vais encore y réfléchir et attendre,
qui sais peut ètre que j'arriverai tout de mème à m'en sortir seule.
En attendant je vais rassembler mon courrage
et puis survivre à cette lourde semaine de lycée qui m'attend !
A très bientot.

[Darkness]

Attend si tu veux, mais pas trop quand même, ne te laisser pas couler, sinon les choses pourront être pire, bien pire

N'hésite pas a venir écrire ici tant que tu en ressents l'envie en tout cas, on sera toujours la,

Courage pour ta semaine alors,

[Chris]

Bonsoir Choucoulate,
je veux d'abord que tu saches que tu n'es plus seule. Les personnes qui t'on lu auront certainement des pensées pour toi cette semaine.
Je partage les avis qui te conseille de parler. Il existe sans doute des structures dans ta ville qui peuvent t'acceuillir gratuitement et en préservant ton anonymat. Tu trouveras ces informations facilement à ta mairie ou sur internet.
J'ai 9 années de thérapie derrière moi, c'est une solution mais il en existe bien d'autres. Pour exemple, j'ai commencé à parler de mes souffrrances lors de consultations pour arrêter de fumer. Je suis toujours fumeur mais cette personne (formidable : oui, oui, il y en a...) a été à mon écoute et m'a soutenu pendant plusieurs années en complément de ma thérapie.
Exprimer son mal-être avec une personne professionnelle ou non me parrait primordial.
Je te souhaite une bonne semaine.

[choucoulate]

Bonjour à tous!
Voilà une semaine que je n'ai plus allumé mon pc,
je viens donc donner de mes nouvelles mème si elles sont minables et inintéressantes, tant pis j'ai besoin d'écrire et de me confier.

Mon début de semaine à été pire que tout, mes "amis" ont commencé à s'inquiter pour moi car je n'avais mème plus la force de me forcer à sourrie et à parler, je me suis totalement renfermé sur moi, bien entendus personne ne sais pourquoi car je n'ai pas réussi à en parler.
Quant à mes résultats scolaires, ils sont en chute libre total, je n'arrive plus du tout à me concentrer ni mème à écouter en classe, je me ramasse gamelle sur gamelle mais les proff ne se posent pas de questions, ils disent juste "que je me laisse aller, que je ne suis pas sérieuse" etc. Le dialogue avec mes parents est devenu impossible, mon père me dégoutte au plus au point et j'en veux à ma mère de ne pas me laisser partir en internat pour faire le bac que je veux et m'éloigner de "lui". Ces derniers jours j'ai dùt devenir assicial avec casiment tout le monde qui m'entoure, mes proche par l'ignorance de mon état (ma mère pense simplement que c'est ma crise d'ado xD) et par les questionnements de mes "amis" alors que je n'veux pas leur en parler.
Heureusement, suite à une altercation avec un ami du fait de mon agresivité j'ai compris qu'il fallait que j'arrète de montrer mes émotions,
depuis hier j'ai donc retrouvé la force de jouer mon role de la personne qui va bien avec mon sourrir d'hypocrite et mon rire qui sonne bien faux.

Cette semaine à éré vraiment très difficile à supporter,
et j'ai pris concience que mème si au lycée j'arrive quelques fois à ne plus penser à tout ça et "m'amuser", et bien dès que je rentre chez moi tout reviens en pire j'ai l'impression. Je n'en peux vraiment plus de rester enfermé dans ma chambre. Je ne sais pas du tout comment je vais tenir encore 2 ans comme ça sans aller en internat !

Je ne sais pas si des personnes ont tout lùs, mais peut importe je voulais surtout me libérer un temps soit peu de mon malaise qui me déchire la poitrine jours après jours.


Ah si j'avais tout de mème une petite question!
Je pense connaitre la réponse mais qui sais peut ètre je me trompe.
Voilà, je sais que je n'peux pas me faire émanciper car il faut aller devant le tribunal et avoir une raison valable (or je ne sais pas si la mienne l'est), de plus je n'ai absolument pas les moyens de m'assurer financièrement. Mais n'existe-il pas une autre solution ? Je pense au faite de partir en internat contre l'accord de mes parents ou bien autre chose qui me ferai m'éloigner de chez moi ?

Vraiment désolé du roman, mais je crois que j'en avais besoin,
à très bientot.

[Darkness]

Coucou choucoulate

Content d'avoir de tes nouvelles ! Même si bien entendu, triste de voir que ça va toujours aussi mal

Bon déjà, ne dit pas que tes nouvelles sont minables et inintéressantes, c'est pas vrai du tout, on sent bien ton désespoir et ta tristesse quand tu écrits,

Je comprend ce que tu ressens, souvent quand on va mal à cette période de cette vie, on met tout de suite tout sur la crise d'adolescence, comme si ça expliquait tout, je suis passé par là aussi, donc crois moi que je te comprends

Pour ta question, vraiment je ne saurais pas t'aider, il n'y a personne a l'école qui pourrait te renseigner la dessus ?

Et pour ton infirmière, tu y as de nouveau pensé ? Je comprend que tu ne sais pas vers qui te tourner, mais en tout cas, tu ne peux rester ainsi seule avec ta douleur, il faut que tu en parles à quelqu'un

Tu n'as pas d'ami vraiment proche, à qui tu pourrais vraiment te confier ? Juste des connaissances de classes alors ?

J'espère que ça t'as soulagé de te libérer un peu ainsi, en tout cas, continue de venir ici, parler un peu, même si ça reste virtuel, fait déjà du bien

[choucoulate]

Coucou Darkness,
je te remercie pour ton message, c'est vrai que malgré que ce soit virtuel, ça soulage tout de mème pas mal.

Pour répondre à tes questions, je n'ai toujours pas été voir l'infirmière, et je n'ai pas d'amis proche, ce sont juste des camarade de classe et ça s'arrète là mème s'il n'empèche que je m'entende un minimum bien, je ne suis pas assez proche avec l'un d'eux pour pouvoir en parler.

Je pense que je vais attendre de voir comment va se dérouler cette semaine, et si d'ici là ça ne va vraiment pas, j'essaierai d'aller parler à m'infirmière. Mais j'ai entendus dire qu'elle n'étais pas super sympas et aimé bien casser les gens, ce qui m'a bloqué plus que je ne le suis déjà.

Je voulais te remecier d'ètre toujours là pour me répondre et me réconforter, mème si ça parait peu c'est déjà beaucoup pour moi. ^^

Je reviendrai à la fin de la prochaine semaine afin de donner des nouvelles bonnes ou mauvaises...

Merci pour ton soutient, à très bientot !

[claudine]

Bonsoir choucoulate,

Je viens de lire ton message avec intérêt et je suis vraiment touchée par ta détresse

J'avais pensé à plusieurs démarches qui pourraient t'aider :

1° Tu peux aller voir une assistante sociale afin de lui expliquer ta situation familiale et avoir son avis et ses conseils, au sujet de cette émancipation.

2° Tu peux, si tu veux avoir une aide psychologique, chercher dans un annuaire téléphonique, à la rubrique "Centres médicaux et sociaux, dispensaires", les coordonnées du CMP (centre médico psychologique) le plus proche de chez toi.

C'est un établissement qui regroupe des psychologues, des assistantes sociales, des psychiatres et des infirmiers. Les consultations sont gratuites.

3° Tu peux, demander un rendez-vous auprès du directeur de ton lycée afin de lui expliquer ce que tu vis et lui demander son appui (auprès de tes parents) pour un éventuel départ, l'année prochaîne vers un établissement avec internat.

J'espère que mes idées pourront t'aider un peu