Bonjour,
Désireux de comprendre mon mal-être, je souhaiterais avoir une définition simple du ça, le moi, le surmoi...
Merci d'avance pour vos réponses!
Le ça, le moi, le surmoi...la résilience Explications !
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Chris
- Messages : 14
- Enregistré le : dimanche 08 mars 2009 1:58
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claudine
- Membre d'honneur
- Messages : 5748
- Enregistré le : mardi 05 décembre 2006 19:30
Le ça, le moi, le surmoi...la résilience Explications !
Bonjour Chris,Chris a écrit :Désireux de comprendre mon mal-être, je souhaiterais avoir une définition simple du ça, le moi, le surmoi...
!
Je te souhaite la bienvenue sur le forum
Je te cite, dans un autre de tes messages : "J'ai 9 années de thérapie derrière moi".
J'ai du mal à comprendre qu'en 9 ans, tu n'ai pas eu de réponse à ta question
Peux-tu préciser ce que tu voudrais vraiment savoir ?
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Chris
- Messages : 14
- Enregistré le : dimanche 08 mars 2009 1:58
Chère Claudine,
J'ai arrêté ma thérapie au mois de juin 2008 après 9 années contre l'avis de mon psychiatre.
Par le passé, j'ai déjà eu des explications par mon psy mais je les ai oublié souffrant de pertes de mémoire importantes, d'un mal être grandissant.
Plus le temps passe et je me trouve intellectuellement diminué . problèmes de raisonnement...etc...J'ai fait des recherches, mais les définitions sont trop compliquées pour moi, j'ai du mal à tout comprendre, aussi je souhaiterais une définition simple de ces mots.
Pourquoi? parceque j'espère encore me sortir de cette M... de dépression chronique infantile et je compte continuer ce travail "seul" en m'aidant d'informations glanées à d à g.... Pas le courage de recommencer à zéro avec un autre psy...
Ouvert à autrui, je pense également que le sujet est intéressant et pourrait aider d'autres personnes en difficulté à essayer de mieux se comprendre et d'avancer...
J'espère avoir satisfait ta curiiosité,
Chris.
J'ai arrêté ma thérapie au mois de juin 2008 après 9 années contre l'avis de mon psychiatre.
Par le passé, j'ai déjà eu des explications par mon psy mais je les ai oublié souffrant de pertes de mémoire importantes, d'un mal être grandissant.
Plus le temps passe et je me trouve intellectuellement diminué . problèmes de raisonnement...etc...J'ai fait des recherches, mais les définitions sont trop compliquées pour moi, j'ai du mal à tout comprendre, aussi je souhaiterais une définition simple de ces mots.
Pourquoi? parceque j'espère encore me sortir de cette M... de dépression chronique infantile et je compte continuer ce travail "seul" en m'aidant d'informations glanées à d à g.... Pas le courage de recommencer à zéro avec un autre psy...
Ouvert à autrui, je pense également que le sujet est intéressant et pourrait aider d'autres personnes en difficulté à essayer de mieux se comprendre et d'avancer...
J'espère avoir satisfait ta curiiosité,
Chris.
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lewis
- Messages : 742
- Enregistré le : lundi 26 juin 2006 20:30
Hello,
j'ai tenté de faire quelques recherches, j'espère que cela pourra t'aider
Le Surmoi : c'est l'une des trois composantes de la personnalité avec le moi et le ça. C'est en quelque sorte le juge, on parle aussi de gendarme intérieur. Il permet de faire la différence entre bien et mal, de modérer ses pulsions primaires, de contrôler et limiter son impulsivité par rapport aux autres gens (donc indispensable pour développer ses compétences sociales). C'est la fonction MORALE.
Le surmoi se forme à partir de l'interdit parental, de l'interdit de l'Œdipe (pour le garçon: "tu n'as pas accès illimité à ta mère car je suis ton père et je m'interpose", l'inverse pour la fille). Une éducation trop sévère par exemple pourra sur-développer le surmoi qui peut ainsi devenir tyrannique.
Le Ça : à l'extrême opposé du Surmoi, ce sont les pulsions primaires. C'est la fonction PRIMALE.
Comme l'agressivité par exemple, le besoin sans limite et instinctif (de manger, de tuer, de satisfaire un besoin sexuel, etc.). C'est en quelque sorte l'instinct animal, qui ne connaît pas de moralité, qui n'a aucune conscience des autres et qui cherche la satisfaction immédiate de tous ses désirs. Par exemple un nourrisson qui pleure pour qu'on le nourrisse n'envisage pas d'interdit. Un premier né jaloux du second enfant peut avoir des envies destructrices à l'encontre de son cadet. Et c'est justement le Surmoi qui, en se formant, va modérer cette tendance, va apprendre à la personne que les autres existent et que tous ses désirs ne peuvent être comblés.
Le Moi : c'est en quelque sorte le résultat des deux topiques précédent. Le moi est à la fois constitué de nos désirs primaires et inconscients venant du ça (s'exprimant notamment dans nos rêves), et des lois intégrées au cours de notre éducation et qui ont permis une adaptation à la réalité et aux autres. C'est le MEDIATEUR et l'unificateur entre Ça, Surmoi, et la réalité extérieure.
j'ai tenté de faire quelques recherches, j'espère que cela pourra t'aider
Le Surmoi : c'est l'une des trois composantes de la personnalité avec le moi et le ça. C'est en quelque sorte le juge, on parle aussi de gendarme intérieur. Il permet de faire la différence entre bien et mal, de modérer ses pulsions primaires, de contrôler et limiter son impulsivité par rapport aux autres gens (donc indispensable pour développer ses compétences sociales). C'est la fonction MORALE.
Le surmoi se forme à partir de l'interdit parental, de l'interdit de l'Œdipe (pour le garçon: "tu n'as pas accès illimité à ta mère car je suis ton père et je m'interpose", l'inverse pour la fille). Une éducation trop sévère par exemple pourra sur-développer le surmoi qui peut ainsi devenir tyrannique.
Le Ça : à l'extrême opposé du Surmoi, ce sont les pulsions primaires. C'est la fonction PRIMALE.
Comme l'agressivité par exemple, le besoin sans limite et instinctif (de manger, de tuer, de satisfaire un besoin sexuel, etc.). C'est en quelque sorte l'instinct animal, qui ne connaît pas de moralité, qui n'a aucune conscience des autres et qui cherche la satisfaction immédiate de tous ses désirs. Par exemple un nourrisson qui pleure pour qu'on le nourrisse n'envisage pas d'interdit. Un premier né jaloux du second enfant peut avoir des envies destructrices à l'encontre de son cadet. Et c'est justement le Surmoi qui, en se formant, va modérer cette tendance, va apprendre à la personne que les autres existent et que tous ses désirs ne peuvent être comblés.
Le Moi : c'est en quelque sorte le résultat des deux topiques précédent. Le moi est à la fois constitué de nos désirs primaires et inconscients venant du ça (s'exprimant notamment dans nos rêves), et des lois intégrées au cours de notre éducation et qui ont permis une adaptation à la réalité et aux autres. C'est le MEDIATEUR et l'unificateur entre Ça, Surmoi, et la réalité extérieure.
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lilith
- Messages : 1050
- Enregistré le : jeudi 13 décembre 2007 16:30
on peut aussi trouver comme explication :
moi = conscient = ce qu'on décide ou choisit de faire .... bref ce qu'onf ait de son plein gré, éveillé et tout et tout !
surmoi = l'inconscient = ce qu'on ne maitrise pas et qui vient du passé, les reflexes importés par la société comme la honte .... quand il ne parait pas adapté, on creuse souvent l'enfance pour el comprendre et utiliser le Moi pour le faconner à nouveau ....
on y accède difficilement mais on peut
le ca = le subconscient = tout ce qu'on ne maitrise pas du tout comme la peur, un sursaut, la faim, l'envie .... le coté animal, normalement ca ne permet que de continuer à surcvivre, à s'équilibrer, de se reproduire .....
voila je ne sais pas si ca t'apporte grand chose ... en plus suis loin d'etre calée dans le domaine donc j'ai peut etre dit des bétises .... si c le cas je m'en excuse .....
moi = conscient = ce qu'on décide ou choisit de faire .... bref ce qu'onf ait de son plein gré, éveillé et tout et tout !
surmoi = l'inconscient = ce qu'on ne maitrise pas et qui vient du passé, les reflexes importés par la société comme la honte .... quand il ne parait pas adapté, on creuse souvent l'enfance pour el comprendre et utiliser le Moi pour le faconner à nouveau ....
on y accède difficilement mais on peut
le ca = le subconscient = tout ce qu'on ne maitrise pas du tout comme la peur, un sursaut, la faim, l'envie .... le coté animal, normalement ca ne permet que de continuer à surcvivre, à s'équilibrer, de se reproduire .....
voila je ne sais pas si ca t'apporte grand chose ... en plus suis loin d'etre calée dans le domaine donc j'ai peut etre dit des bétises .... si c le cas je m'en excuse .....
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cali77
- Messages : 71
- Enregistré le : mercredi 08 avril 2009 14:28
je suis nouvelle sur le forum je navigue et je me lance
je me suis dit que répondre en donnant mon ressenti pouvait sans doute m'aider et aider les autres alors me voila
je me pose une question qui me semble être en rapport avec ce que demande chris au début :
suis égoïste qu'en je donne mon avis ici, c'est a dire quand en fait je raconte ce que j'ai personnellement vécu sachant pertinemment que dans le cas de la dépression chacun a son propre vécue et surtout son ressenti propre ??
est qu'a exposé mon cas je répond meme si ce n'est que d'une certaine façon a la question posée ??
a trop s'interroger on ne sait plus ou alors on a l'impression de ne plus rien savoir, quel est votre point de vue la dessus ??
je me suis dit que répondre en donnant mon ressenti pouvait sans doute m'aider et aider les autres alors me voila
je me pose une question qui me semble être en rapport avec ce que demande chris au début :
suis égoïste qu'en je donne mon avis ici, c'est a dire quand en fait je raconte ce que j'ai personnellement vécu sachant pertinemment que dans le cas de la dépression chacun a son propre vécue et surtout son ressenti propre ??
est qu'a exposé mon cas je répond meme si ce n'est que d'une certaine façon a la question posée ??
a trop s'interroger on ne sait plus ou alors on a l'impression de ne plus rien savoir, quel est votre point de vue la dessus ??
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claudine
- Membre d'honneur
- Messages : 5748
- Enregistré le : mardi 05 décembre 2006 19:30
cali77,
Je ne vois rien d'égoïste à répondre en citant son propre vécu. Cela peut éclairer l'autre sur des aspects du problème qu'il n'avait pas envisagé
Toute expérience est bonne à prendre et le fait de nous parler de la tienne n'est pas une preuve d'égoïsme, mais au contraire l'action de partager un ressenti avec l'autre.
Je ne sais si j'ai répondu à ta question ?
Je ne vois rien d'égoïste à répondre en citant son propre vécu. Cela peut éclairer l'autre sur des aspects du problème qu'il n'avait pas envisagé
Toute expérience est bonne à prendre et le fait de nous parler de la tienne n'est pas une preuve d'égoïsme, mais au contraire l'action de partager un ressenti avec l'autre.
Je ne sais si j'ai répondu à ta question ?
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cali77
- Messages : 71
- Enregistré le : mercredi 08 avril 2009 14:28
merci laudine
je tortille trop ma tête si on peut dire j'en suis au stade ou je me pose des tonnes de questions (heu en fait j'ai toujours été trop interrogative et ça me bouffe la vie )
mais j'essaie d'y apporter des réponses et comme d'habitude je cherche toujours le pourquoi du comment ça doit etre maladif et je pense que c'est aussi ce qui fait que j'ai l'impression de ne pas avancer et surtout de ne rien faire
alors qu'en fait quand je regarde je n'arrête pas même si ça n'a pas l'air concret
enfin c'est pas toujours simple d'expliquer par écrit ce que l'on ressent dans sa tête !!
mais j'essaie d'y apporter des réponses et comme d'habitude je cherche toujours le pourquoi du comment ça doit etre maladif et je pense que c'est aussi ce qui fait que j'ai l'impression de ne pas avancer et surtout de ne rien faire
alors qu'en fait quand je regarde je n'arrête pas même si ça n'a pas l'air concret
enfin c'est pas toujours simple d'expliquer par écrit ce que l'on ressent dans sa tête !!
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Chris
- Messages : 14
- Enregistré le : dimanche 08 mars 2009 1:58
Coucou,
Merci pour vos réponses...
Je me pose encore également beaucoup de questions et ce malgré 9 ans de thérapie à raison d'une à deux scéances par semaine.
A ce jour, je n'ai pas encore toutes les réponses à ce mal-être persistant.
Par expérience, trop se questionner est usant; il faut apprendre à se reposer "le mental"...
Se questionner, c'est aussi prendre conscience que "quelque chose ne va pas", commencer une remise en question ce qui n'est pas à la portée de tous.
Quelques fois, j'aimerais être "idiot", un gros naze incapable de prendre conscience de quoique ce soit..
Merci pour vos réponses...
Je me pose encore également beaucoup de questions et ce malgré 9 ans de thérapie à raison d'une à deux scéances par semaine.
A ce jour, je n'ai pas encore toutes les réponses à ce mal-être persistant.
Par expérience, trop se questionner est usant; il faut apprendre à se reposer "le mental"...
Se questionner, c'est aussi prendre conscience que "quelque chose ne va pas", commencer une remise en question ce qui n'est pas à la portée de tous.
Quelques fois, j'aimerais être "idiot", un gros naze incapable de prendre conscience de quoique ce soit..
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Chris
- Messages : 14
- Enregistré le : dimanche 08 mars 2009 1:58
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claudine
- Membre d'honneur
- Messages : 5748
- Enregistré le : mardi 05 décembre 2006 19:30
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cali77
- Messages : 71
- Enregistré le : mercredi 08 avril 2009 14:28
j'avais pas trop le moral ni même l'envi de venir sur l'ordi et au final je regrette pas
j'ai mis des petits mots au message que j'ai vu meme si à l'origine ils ne m'étaient pas forcément destiné
c'est agréable de trouver un petit mot
et plus encore de lire les autres et avoir l'inmpression de s'entendre on a l'impression pendant un moment au moins d'être arrivé sur terre ou du moins dans un espace tranquille
j'ai mis des petits mots au message que j'ai vu meme si à l'origine ils ne m'étaient pas forcément destiné
c'est agréable de trouver un petit mot
et plus encore de lire les autres et avoir l'inmpression de s'entendre on a l'impression pendant un moment au moins d'être arrivé sur terre ou du moins dans un espace tranquille
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claudine
- Membre d'honneur
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cali77
- Messages : 71
- Enregistré le : mercredi 08 avril 2009 14:28
bonsoir
mais je me pose une question le fait d'être entre nous ne peut il pas a la longue avoir des effets négatifs, je veux dire ne risquons nous pas de ne plus tenter d'aller voir plus loin
ça fait bizarre tous ces sentiments contradictoires que l'on peut ressentir mais je crois qu'il faut prendre aussi les bons moments et le fait d'être comprise est effectivement important
vaste débat
ah dépression quand tu nous tiens !!
mais je me pose une question le fait d'être entre nous ne peut il pas a la longue avoir des effets négatifs, je veux dire ne risquons nous pas de ne plus tenter d'aller voir plus loin
ça fait bizarre tous ces sentiments contradictoires que l'on peut ressentir mais je crois qu'il faut prendre aussi les bons moments et le fait d'être comprise est effectivement important
vaste débat
ah dépression quand tu nous tiens !!
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claudine
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cali77
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- Enregistré le : mercredi 08 avril 2009 14:28
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